Analyse numérique du comportement d’une semelle

Rapport de stage (PFE) : Méthodologie et exemples pour réussir le rapport (Analyse numérique du comportement d’une semelle reposant sur un sable renforce par des géogrilles supportée par une couche d’argile molle). Ce modèle de projet de fin d’étude a pour objectif de vous aider à rédiger votre propre rapport.

CHAPITRE I : CAPACITE PORTANTE DES FONDATIONS SUPERFICIELLES

I. 1 GENERALITES
La partie inferieure d’une structure qui transmit les charges au sol est désignée par le terme de « fondations ». Les fondations peuvent être classées en deux majeures catégories, ce sont les fondations superficielles et les fondations profondes.
Les semelles isolées carrées ou rectangulaires supportant des poteaux (colonnes) ou semelles continues (filantes) supportant murs, poteaux ou des éléments de structures similaires sont généralement classées comme des fondations superficielles. Les radiers constitués de dalle en béton armé font aussi partie des fondations superficielles.
Quand le sol sous-jacent à la structure (fondations) ne peut pas supporter la charge appliquée ou les tassements sont trop importants, les charges provenant de la structure sont transmis au moyen de pieux et puits à de grandes profondeurs sur des couches plus résistantes ; ces types de fondations sont désignés par le terme « fondations profondes ».
Cette partie est une synthèse des méthodes d’évaluations théoriques et expérimentales présentement disponible dans la littérature sur le sujet de la détermination de la capacité portante et tassements des fondations superficielles.
Pour les fondations superficielles, la fondation est appelée :
• Radier : si la surface totale du bâtiment est la fondation
• Semelle : si seule une partie de la surface du bâtiment correspond à la fondation de plus pour une semelle si : L/B > 10 il s’agit d’une semelle filante (le problème peut être considérer comme bidimensionnel) Pour des raisons de coût, on cherche souvent à fonder un ouvrage superficiellement. Si cette solution n’est pas satisfaisante d’un point de vue technique ou économique, une solution en fondation profonde est envisagée.
1.1.1-TYPES DE RUPTURES DANS LE SOL A LA CHARGE ULTIME
La Figure 1.1 montre une fondation superficielle de largeur B, ancrée à une profondeur Df par rapport à la surface du sol, supportée par un sable dense (où une argile raide).
Si cette fondation est chargée progressivement, la charge par unité de surface, ݍ = ܳ/ܣ (avec A : aire de la semelle), la charge en augmentant, fait subir la semelle subie un tassement croissant.
Quand q devient égal à qu pour un tassement de la semelle S=Su, le sol supportant la fondation subi une soudaine (rupture par cisaillement). La surface de rupture dans le sol comme indiqué sur la Figure 2a et la courbe q en fonction S présentée sur la Figure 2b. Ce type de rupture est appelée « rupture générale par cisaillement », et qu est la capacité portante ultime. Notons que pour ce genre de rupture la valeur de pic q=qu est clairement définie sur la courbe charge-tassement.

Si le lien ne fonctionne pas correctement, veuillez nous contacter (mentionner le lien dans votre message)
Analyse numérique du comportement d’une semelle reposant sur un sable renforce par des geogrilles supportée par une couche d’argile molle (4.68 MB) (Rapport PDF)
Analyse numérique du comportement d'une semelle

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *