Mémoire Online: Comportement des structures métalliques avec assemblage semi-rigide en zone sismique

  Sommaire: Comportement des structures métalliques avec assemblage semi-rigide en zone sismique

Chapitre 1: Introduction générale
Chapitre 2: Synthèse bibliographique
2.1 Introduction
2.2. Comportement des assemblages
2.3. Classification des assemblages métalliques
2.3.1. Classification des assemblages en rigidité
2.3.2. Classification des assemblages par la résistance
2.3.3. Classification des assemblages par capacité de rotation
2.4. Les assemblages semi-rigides
2.5. Modélisation des assemblages semi-rigides
2.5.1. Modèles linéaires
2.5.2. Modèle polynôme
2.5.3. Modèle de puissance
2.5.4. Modèles exponentiels
2.6. Approche analytique de calcul des assemblages selon l’EC3
2.6.1. Présentation de la méthode des composantes
2.6.2. Identification des composantes
2.7. Conclusion
Chapitre 3: Détermination de la rigidité
3.1. Introduction
3.2. Modèle polynomial Frye-Morris
3.3. Modèle de puissance Ang-Morris
3.4. Modèle de puissance Kishi et Chen
3.5. Modèle exponentiel de Wu et Chen
3.6. Modèle de l’Eurocode 3
3.6.1. Rigidité en rotation
3.6.2. Coefficients de rigidité des composantes des assemblages
3.6.3. Le moment résistant de l’assemblage M
3.6.4. La capacité de rotation
3.7. Conclusion
Chapitre 4: Simulation et interprétation des résultats
4.1. Simulation numérique
4.2. Interprétation des résultats
Chapitre 5: Conclusion générale
Références bibliographiques
Annexes
Annexe A
Annexe B
Annexe C
Résumé

Extrait du mémoire Comportement des structures métalliques avec assemblage semi-rigide en zone sismique

Chapitre 2: Synthèse bibliographique
2.1. Introduction
Ce chapitre est consacré comme son titre l’indique à l’étude bibliographique, dans laquelle nous abordons les caractéristiques du comportement des assemblages, ainsi que la classification des assemblages métalliques. Dans cette classification, nous présentons les assemblages à rigidité, les assemblages par la résistance et les assemblages par capacité de rotation.
Egalement, nous parlerons des assemblages semi-rigides en mettant en valeur les  modèles les plus cités et les plus connus en l’occurrence, le modèle linéaire, le modèle polynôme, le modèle de puissance ainsi que les modèles exponentiels.
Par ailleurs, nous nous penchons dans ce chapitre sur l’approche analytique de calcul  des assemblages selon l’EC3 en présentant la méthode des composantes et l’identification de ces composantes.
2.2. Comportement des assemblages :
Lors de l’analyse structurale, les assemblages entre les éléments structuraux sont traditionnellement modélisés comme rigides ou articulés. Les nœuds articulés ne transmettent aucun moment de flexion et n’empêchent pas la rotation des éléments assemblés. Quant aux nœuds rigides, ils interdisent toute rotation relative entre les éléments assemblés et assurent ainsi la transmission intégrale des efforts appliqués [31].
Toutefois, le comportement réel des assemblages est situé entre les deux cas extrêmes, généralement supposés rigides ou articulés. Les assemblages les plus flexibles sont capables de transmettre un certain moment de flexion tandis que les assemblages les plus rigides
autorisent toujours une certaine rotation relative des pièces assemblées [09],[12],[15],[29] [36].
L’acceptation de cette réalité a conduit à l’introduction du concept de la semi-rigidité dans les approches de calcul et de dimensionnement des structures [20]. Ce concept permet de tenir compte du comportement réel de l’assemblage situé entre l’articulation et l’encastrement (Figure 2.1). Il est modélisé au moyen d’un ressort en rotation placé au point d’intersection entre les axes de la poutre et du poteau.

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