Cours bases de données les cardinalités entre deux entités

Cours bases de données les cardinalités entre deux entités, tutoriel & guide de travaux pratiques en pdf.

Les cardinalités entre deux entités

Les cardinalités d’une entité vers une autre, vont avoir pour but d’indiquer combien de fois l’événement va se produire au minimum = Cardinalités mini (0 ou 1 fois) et combien de fois l’événement va se produire au maximum 1 ou plusieurs fois (n).

Cardinalités Minimales
Premier sens de lecture de SALARIE vers SERVICE. Répondre à la question suivante :
Au Minimum : Un salarié travaille dans 0 ou 1 service, en d’autres termes, un salarié peut-il ne pas travailler (ne pas être affecté) dans un service ?
Si la réponse est Oui, elle sera matérialisée par le nombre 0.
Si la réponse est Non cela signifiera qu’il est obligatoirement affecté à un service.

Cardinalités Maximales
Au Maximum : Un salarié travaille au maximum dans un service ou peut-il travailler, (être affecté) dans plusieurs services.
Si la réponse est : Il travaille ( il est affecté) dans au maximum un service, la cardinalité maxi sera 1
Sinon, s’il peut travailler dans plusieurs services, la réponse sera plusieurs et sera matérialisée par n .
Dans le cas ci-dessous, la lecture de SALARIE vers SERVICE devient :
Un salarié travaille au minimum 0 fois dans un service (ou il peut ne pas travailler, être affecté, dans un service mais par contre il travaille au maximum dans 1 service, il ne peut pas être affecté à plusieurs).

Cardinalités de SERVICES vers SALARIES
Cardinalités Mini : – Un service fait travailler au moins un salarié (Card Min = 1).
Cardinalités Maxi : – Un service fait travailler au maximum plusieurs salariés,
(Card Max = n).
Ce (M.C.D.) est maintenant complet et porteur de sens.
La lecture est double, de SALARIES vers SERVICES, un salarié peut ne pas travailler dans un service (Card. Mini=0). Mais s’il est affecté, il est affecté au plus dans un (Card. Max=1).
A contrario de SERVICES vers SALARIES, un service fait travailler au moins un salarié (Card. Mini=1), mais il peut au maximum en faire travailler plusieurs (Card. Maxi=n)

Séance 2

•  Un ensemble de définitions par rapport aux objets des SGBD
–  Tables, typage des champs
–  Points de vues et Vues
–  Requêtes
–  Un langage universel : le SQL
•  Les BD spatiales
–  Spécificités
–  Illustration de l’interaction SGBDR/SIG-Outil

Introduction
•  Les SGBDR font référence au modèle relationnel. Ils fonctionnent avec des tables.
•  Ils offrent également une série d’outils pour faciliter l’utilisation et la constitution de ces tables :
–  Un générateur de requêtes
–  Un générateur de formulaire
–  Un générateur d’états
–  Une interface de programmation
•  par macros ;
•  par modules de programmation.
•  Attention : le vocabulaire change entre la théorie et les logiciels SGBDR, et entre les différents SGBDR
Microsoft Office : Access
Open Office : Base

Les tables
•  Les tables contiennent les données
•  Avec les relations (liens), les tables constituent la base de données proprement dite
•  Globalement, une table se présente comme un fichier issu d’un tableur Calc ou MS Excel, mais :
– pas de formules ;
– les titres de colonnes (nom des champs) ne font pas partie de la table ;
– chaque colonne correspond à un seul type de données.
Les tables : typage
•  Quel doit être le contenu des champs (cf dictionnaire de données)
–  Taille, type de données, nature et des propriétés
•  Quelle est la clé de la table
–  (un type spécial –
compteur- peut être utilisé s’il n’existe pas de clé a priori.)
Types de données dans une table :
Texte : Jusqu’à 250 caractères
Mémo : Jusqu’à 64000 caractères
Numérique : Valeur entière ou réelle
Date / heure : No comment
Monétaire : Valeur monétaire
Compteur : Valeur entière automatique
Oui/Non : Valeur booléenne
Liaison OLE Objets divers : graphiques, images, etc.)
Les tables : propriété des champs
Taille du champ : Nombre de caractères maximum qui peuvent être saisis
•  Valeur par défaut : Texte qui sera contenu par défaut dans ce champ
•  Valide si : Expression pour valider la saisie, exemple : <> « machin », interdira la saisie du mot « machin » dans ce champ
•  Message si erreur : i va être affiché si l’expression saisie n’est pas valide
•  Null Interdit : Si oui, il faudra obligatoirement saisir une valeur dans ce champ
•  Chaîne vide autorisée : La chaîne vide est  » « , on peut l’utiliser lorsqu’on n’a rien à entrer dans un champ obligatoire,si cette propriété est non, il faudra obligatoirement saisir du texte dans ce champ
•  Indexé : Le champ est un index avec ou sans doublons, si l’index n’a pas de doublons, il ne sera pas possible de saisir deux fois le même contenu pour ce champ dans la table
•  Format : Va définir comment le contenu du champ va être affiché
•  Masque de saisie : Oblige à saisir le contenu du
champ selon un format précis (par exemple un
numéro de téléphone).

Les relations
•  lier logiquement certaines informations= définir les clés étrangères à l’aide d’un outil graphique
1a. Créer et afficher les tables à l’aide de 2a. Lier les champs (clés primaires et
l’outil « relation » ; étrangères) des deux tables ;
1b. Identifier les clés primaires (indiquées par 2b. définir le type de relation
une clé) et étrangères de chaque table) 1-1 ou 1-n.
3. Répéter l’opération avec d’autres tables s’il y lieu de le faire.
Suppression, ajout
Illustration de l’intégrité
référentielle : cohérence de la BD
Requêtes Qu’est-ce qu’une requête ?
Une question que l’on se pose sur les données :
> Les requêtes permettent de créer une nouvelle table à partir des données existantes.
> TOUTE REQUETE CREE UNE TABLE
> Cette table « résultats » pourra être utilisée dans un formulaire ou un état.
1. Avec un générateur graphique
Ce qui apparaît comme la solution la plus simple à notre niveau
2. En langage SQL
Ce qui permet de communiquer avec d’autres SGBD, mais nécessite évidemment de maîtriser
le langage SQL.
Dans les deux cas, le résultats est
le même : on applique des opérateurs relationnels

Les requêtes
•  Les opérateurs relationnels (algèbre ensembliste) »  Unaire : s’applique à une seule table
»  Binaire : deux tables sont nécessaires en entrée
–  De base
•  Union
•  Différence
•  Restriction (sélection)
•  Projection
–  Dérivés
•  Intersection
•  Jointure

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