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AVANT – PROPOS ET REMERCIEMENTS

En 1997, quand je suis admis à la filière professionnelle de Diplôme d’Études Supérieures Spécialisées (DESS) en Sciences de l’Environnement, rien ne pouvait encore présager de la soutenance d’une Thèse de Doctorat. J’avais été notamment passionné par les enseignements de biologie et physiologie végétales et surtout par les aspects botaniques. J’ai dès lors découvert une autre passion en moi, celle de mieux connaitre les relations entre les hommes et le milieu qui les entoure, et qui dit milieu parle aussi de la flore et de la végétation.
En 2000, quand je soutiens mon Mémoire de DESS, toujours rien ne pouvait me faire penser à une Thèse. Plus tard en 2004, dans l’exercice professionnel, je me retrouve à l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) à Yaoundé. Les obligations professionnelles m’amènent à Maroua (Région de l’Extrême-Nord) où je dois travailler dans des initiatives transfrontalières du Bassin du Lac Tchad. Je suis alors profondément marqué par les conditions climatiques de la région, la souffrance des populations et jusqu’à quel point cette souffrance pouvait impacter les ressources naturelles. C’est à ce moment que le Parc National de Waza devient un grand centre d’intérêt pour moi. J’étais impressionné par le potentiel de ce parc, mais en même temps frappé par la pauvreté des populations riveraines.
Avec nos interventions dans ce Parc à partir de 2006, j’ai été aux devants des petits appuis aux bénéfices des communautés riveraines pouvant changer la vie de ces populations et même réduire la pression sur le Parc. Mais ces appuis étaient comme un grain de sable dans la mer ; car, tellement les besoins étaient nombreux. C’est à ce moment que je commence à demander si ma modeste personne ne pouvait rien apporter. Mais comment ? Peut-être en montrant au monde entier et à la communauté scientifique les problèmes, cela pourrait-il attirer plus d’intérêt ?
C’est dans cette réflexion qu’un sujet me vient à l’esprit : l’analyse des systèmes d’exploitation des ressources à la périphérie du parc et leur impact sur le développement et la conservation. C’est ce sujet qui sera le sujet de mon Master II de l’Université du Maine, où je rencontre à tout hasard, Moïse TSAYEM, de surcroit camerounais d’origine. C’est en 2009 quand j’obtiens mon Diplôme de Master II en Géographie et Aménagement de l’Université du Maine (France), et que je commence à imaginer que je pourrais approfondir ces études dans le cadre d’une Thèse de Doctorat. Mais c’est difficile pour moi de prendre la décision, surtout qu’il faut beaucoup de moyens et de temps. Prof. Moïse TSAYEM et Prof. Louis ZAPFACK m’encouragent à postuler pour une cotutelle entre l’Université de Yaoundé I et l’Université du Maine.
Le sujet retenu fait partie des priorités de recherche du parc. Au tout début des travaux, j’avais tendance à focaliser sur les aspects botaniques, mais le fait d’être encadré aussi par des géographes m’a ouvert l’esprit et m’a permis de casser certaines barrières entre les disciplines. Je me souviens toujours des rencontres avec Prof. Jeannine CORBONNOIS, Prof. Moise TSAYEM et Prof. Paul TCHAWA qui m’ont fortement édifiées. Je leur adresse mes remerciements les plus sincères.
Mes remerciements s’adressent en particulier au Prof. Louis ZAPFACK, qui a été toujours disponible par ses conseils, ses orientations et même ses encouragements répétitifs. Il savait bien que mes responsabilités professionnelles étaient lourdes, mais ne cessait de m’encourager à finir cette thèse qui devait aider le monde scientifique, notamment pour les écosystèmes de savanes. J’ai aussi une pensée particulière pour Dr. Léonard USONGO, Directeur de l’UICN-Cameroun qui m’a beaucoup encouragé et soutenu dans cette initiative. Visionnaire et stratégique qu’il est, il savait que ce travail était mutuellement bénéfique pour moi et pour l’UICN.
Mes remerciements s’adressent également à Louis-Roger KABELONG ; il a su tirer l’opportunité qui a été offerte à travers le stage à l’UICN-Maroua duquel il a obtenu son Master. Il a utilisé cette opportunité pour enrichir ses connaissances qui se sont avérées très utiles lors de certaines analyses et interprétations. L’expertise des géomaticiens et des cartographes a été fortement mobilisée. Un coup de chapeau à Arnaud CHOUMELE qui a beaucoup contribué à l’acquisition et traitement des images satellitaires, ainsi qu’à la production d’une bonne partie des supports cartographiques, avec les appuis d’Emmanuel NANFANG. Un coup de chapeau également à Arnaud FOFE FOUEKENG pour sa contribution sur la spatialisation des résultats d’inventaires. Enfin mes remerciements s’adressent également à Prof. David CHELO, et Camille JEPANG pour les contributions substantielles sur la forme et le fonds du document, ainsi qu’à tous mes camarades du Laboratoire ESO qui ont toujours été là en appui lors de mes différents séjours au Mans.

RESUME

Le Parc National de Waza et sa périphérie font partie d’un ensemble écologique, la plaine d’inondation de Waza Logone. La connaissance de la biodiversité surtout végétale est à la base des aménagements nécessaires à la restauration de l’environnement. En outre, la conservation reste encore un défi majeur au Cameroun ; d’où la nécessité de trouver des solutions nouvelles pour faire face à ces défis. Au PNW et sa périphérie, le zonage n’a jamais été véritablement réalisé, pourtant, c’est une réserve de Biosphère qui doit être géré en respectant les principes liés à ce statut. La présente étude a pour objectif d’analyser la dynamique de la flore et de la végétation ligneuse à la périphérie du Parc National de Waza et en tirer des enseignements pour améliorer la conservation et la gestion durable des ressources ligneuses de ce parc.
L’étude porte particulièrement sur l’analyse de la flore ligneuse, de la structure de la végétation ligneuse, leur dynamique spatio-temporelle ainsi que les facteurs qui les influencent avant de proposer des options pour une meilleure gestion du Parc et sa zone périphérique. La méthodologie est une combinaison des approches botaniques et géographiques. Les données botaniques ont été collectées avec les inventaires floristiques. Les données socio-économiques ont été collectées à l’aide des enquêtes semi-structurées auprès des villages riverains du Parc. Ces enquêtes ont été complétées par le diagnostic et la prospective du territoire. Les approches de gestion des territoires et des paysages, ainsi que la télédétection ont été fortement mobilisées dans le cadre de cette étude.
Cette étude a permis d’identifier trois unités paysagères qui caractérisent le PNW et sa zone périphérique : la savane herbeuse, la savane arbustive et la savane arborée. Les caractéristiques de la flore et de la végétation sont différentes dans le trois unités paysagères. L’inventaire floristique a permis de recenser un total de 52 espèces ligneuses, reparties en 42 genres et appartenant à 21 familles dans la périphérie du PNW. La densité absolue moyenne de toute la zone est de 81 individus / ha. Cette densité diminue suivant un gradient décroissant, de l’extérieur vers l’intérieur du parc, sauf dans le cas où certains facteurs comme l’intrusion du bétail dans le parc inverse ce gradient. La structure verticale montre que les tiges les moins représentées sont les tiges d’avenir et les tiges de régénération, signe que l’écosystème dans son ensemble est en état de dégradation. Au niveau de la dynamique temporelle, on assiste à une régression du couvert végétal ligneux. Chaque année 478 ha de ce couvert disparaissent et 319 ha de sols se dégradent.
Plusieurs facteurs sont à l’origine des changements observés dans la flore et la végétation : les facteurs anthropiques ; les facteurs naturels ; les facteurs bioécologiques ; les facteurs politico-institutionnels. Pour y faire face, les options d’aménagement suivantes sont proposées : zonage du parc et sa zone périphérique, développement et mise en œuvre d’un projet REDD+, restauration des terres et des espaces, gestion participative et écodéveloppement.

Table des matières

DEDICACE
SOMMAIRE
RESUME
ABSTRACT
INTRODUCTION GENERALE
1. MOTIVATIONS SCIENTIFIQUES
2. CADRE THEORIQUE ET CONCEPTUEL
2.1. FLORE ET VÉGÉTATION : DEUX NOTIONS COMPLÉMENTAIRES
2.2. DYNAMIQUE DE LA FLORE, DE LA VÉGÉTATION ET DES PAYSAGES : QUELLE SIGNIFICATION
2.3. CONCEPTS DE BIODIVERSITÉ, D’ESPÈCES ET DE LIGNEUX
2.4. ÉTAT DES CONNAISSANCES SUR LA PROBLÉMATIQUE DE LA DYNAMIQUE DE LA FLORE
LA VÉGÉTATION
3. PLAN DE LA THESE
CHAPITRE 1: CONNAISSANCE DU MILIEU ET METHODOLOGIE
INTRODUCTION
1.1. CHOIX ET DELIMITATION DE LA ZONE D’ETUDE
1.2. DONNEES ET CONNAISSANCES DU MILIEU
1.2.1. WAZA AU SEIN D’UN COMPLEXE TRANSFRONTALIER, LE BASSIN DU LAC TCHAD
1.2.2. LE PNW ET SA PÉRIPHÉRIE DANS LA ZONE ÉCOLOGIQUE SOUDANO-SAHÉLIENNE
1.2.3. DES UNITÉS PAYSAGÈRES RÉVÉLATRICES DES PARTICULARITÉS BIOPHYSIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES
1.2.3.1. Population et données socio-économiques
1.2.3.2. Différents types d’occupation des sols
1.2.3.3. Faune, flore et végétation du parc national de Waza : un grand potentiel, peu connu
peu valorisé
1.2.4. AUTRES TRAITS PHYSIQUES RÉVÉLATEURS DES SPÉCIFICITÉS DU MILIEU
1.2.5. DÉCOUPAGE DES UNITÉS PAYSAGÈRES DU PARC NATIONAL DE WAZA ET SA PÉRIPHÉRIE
1.3. METHODE D’ETUDE DE LA FLORE, DE LA VEGETATION LIGNEUSE DE
BIOMASSE
1.3.1. ÉTUDE DE LA FLORE ET DE LA VÉGÉTATION
1.3.2. ÉTUDE DE LA BIOMASSE ET DE SA DYNAMIQUE.
1.4. APPROCHE POUR L’ETUDE DE LA DYNAMIQUE DE LA FLORE ET DE
VEGETATION LIGNEUSE
1.4.1. DYNAMIQUE SPATIALE
1.4.2. DYNAMIQUE TEMPORELLE
1.5. DEMARCHE POUR L’ETUDE DES MOTEURS DE LA DYNAMIQUE
1.5.1. INVESTIGATIONS SOCIOÉCONOMIQUES
1.5.2. DIAGNOSTIC ET PROSPECTIVE DU TERRITOIRE
1.5.3. SYNTHÈSE DES MOTEURS DE CHANGEMENT
1.6. METHODE D’ANALYSE DES OPTIONS D’AMENAGEMENT DU PNW ET
PERIPHERIE
CONCLUSION
CHAPITRE 2: ETAT DES LIEUX ET DYNAMIQUE DE LA FLORE, DE LA
VEGETATION LIGNEUSE ET DE LA BIOMASSE
INTRODUCTION
2.1 CARACTERISTIQUES DE LA FLORE ET DE LA VEGETATION LIGNEUSE
2.1.1. COMPOSITION, DIVERSITÉ DE LA FLORE ET VÉGÉTATION LIGNEUSE
2.1.1.1. Composition et diversité des espèces dans toute la zone d’étude
2.1.1.2. Composition et diversité dans chaque unité paysagère
2.1.1.3. Composition et diversité à l’intérieur et à l’extérieur du PNW
2.1.2. DIVERSITÉ DES GENRES ET DES FAMILLES.
2.1.3. CLASSIFICATION MORPHOLOGIQUE DE LA FLORE LIGNEUSE
2.1.4. ABONDANCE ET DOMINANCE DES ESPÈCES
2.1.5. DENSITÉ DE LA POPULATION, RECOUVREMENT ET ANALYSE DES GROUPEMENTS
FLORISTIQUES
2.2 STRUCTURE DU PEUPLEMENT VEGETAL
2.2.2. STRUCTURE VERTICALE DU PEUPLEMENT
2.2.3. SURFACE TERRIÈRE
2.2.4. ANALYSE FACTORIELLE DES CORRESPONDANCES
2.3 DISTRIBUTION SPATIALE ET DYNAMIQUE DE LA FLORE ET DE
VEGETATION LIGNEUSE
2.3.1. DISTRIBUTION SPATIALE DES ESPÈCES A DISTRIBUTION RARE
2.3.2. DISTRIBUTION DES ESPÈCES SUR QUELQUES TRANSECTS PARTICULIERS
2.3.3. DISTRIBUTION SPATIALE ET DYNAMIQUE DES ESPÈCES DE L’EXTÉRIEUR VERS L’INTÉRIEUR
DU PARC
2.3.4. DYNAMIQUE TEMPORELLE
2.4 ESTIMATION DE LA BIOMASSE ET PREDICTION DE SA DYNAMIQUE
2.4.1. ESTIMATION DE LA BIOMASSE
2.4.2. DYNAMIQUE DE LA BIOMASSE
CONCLUSION
CHAPITRE 3: FACTEURS DE LA DISTRIBUTION ET DE LA DYNAMIQUE
DE LA FLORE ET DE LA VEGETATION LIGNEUSE
INTRODUCTION
3.1 FACTEURS ANTHROPIQUES
3.1.1. CROISSANCE DÉMOGRAPHIQUE
3.1.2. SYSTÈMES DE PRODUCTION
3.1.2.1. AGRICULTURE
3.1.2.2. ÉLEVAGE
3.1.2.3. PÊCHE
3.1.3. EXPLOITATION DE BOIS POUR DIVERS USAGES
3.1.4. NIVEAU ET QUALITÉ DE VIE DES POPULATIONS
3.2 FACTEURS NATURELS
3.2.1 CHANGEMENT CLIMATIQUE
3.2.2 PÉDOLOGIE
3.2.3 HYDROLOGIE
3.3 FACTEURS BIO-ECOLOGIQUES
3.3.1 MORTALITÉ ET RÉGÉNÉRATION NATURELLE
3.3.2 BRACONNAGE
3.3.3 FEUX DE BROUSSE
3.3.4 DÉGRADATION DES TERRES
3.4 FACTEURS POLITIQUES ET INSTITUTIONNELS
3.5 SYNTHESE DES FACTEURS
CONCLUSION
CHAPITRE 4: OPTIONS POUR LA CONSERVATION ET LA GESTION
DURABLE DU PARC NATIONAL DE WAZA ET SA ZONE
PERIPHERIQUE
INTRODUCTION
4.1. MECANISME REDD+ AU PARC NATIONAL DE WAZA ET SA PERIPHERIE
4.1.1 BREF APERÇU DU CONTEXTE INTERNATIONAL ET NATIONAL DE LA REDD+
4.1.2 LEVIERS ET PRIORITÉS POUR UN PROJET REDD+
4.1.2.1. AMÉNAGEMENT DE L’ESPACE, FONCIER ET LÉGISLATIONS
4.1.2.2. INVESTISSEMENT DANS LE SECTEUR AGRO-PASTORAL
4.1.2.3. INVESTISSEMENT DANS LE SECTEUR BOIS-ÉNERGIE
4.1.2.4. INVESTISSEMENTS DANS LE SECTEUR FORESTIER
4.1.2.5. INVESTISSEMENTS DANS LE SECTEUR FAUNE ET AIRES PROTÉGÉES
4.1.2.6. PRIORITÉS D’INVESTISSEMENT PAR UNITÉ PAYSAGÈRE
4.1.3. ANALYSE FFOM DU PROJET REDD+ A WAZA ET PÉRIPHÉRIE
4.1.3.1. Forces et opportunités
4.1.3.2. Faiblesses et menaces
4.1.4. ATOUTS ET PRINCIPAUX DÉFIS POUR LE DÉPLOIEMENT DU PROJET REDD+ AU PNW
ZONE PÉRIPHÉRIQUE
4.1.5. DIAGNOSTIC ET PROSPECTIVE DU TERRITOIRE DE MISE EN OEUVRE DE LA REDD+
4.1.5.1. Délimitation du territoire et diagnostic
4.1.5.2. Analyse prospective du territoire PNW et sa périphérie
4.1.5.3. Scenarios
4.2. RESTAURATION DES TERRES ET DU COUVERT VÉGÉTAL DU PNW
PÉRIPHÉRIE
4.3. GESTION PARTICIPATIVE ET ÉCODÉVELOPPEMENT
4.4. REDEFINITION DU ZONAGE DU PNW ET DE SA ZONE PERIPHERIQUE
4.4.1. RAPPEL DES PRINCIPES DE BASE D’UNE RÉSERVE DE BIOSPHÈRE
4.4.2. PROPOSITION DE ZONAGE DU PARC NATIONAL DE WAZA ET SA PÉRIPHÉRIE
CONCLUSION
CONCLUSION GENERALE ET PERSPECTIVES SCIENTIFIQUES
1. RAPPELS INTRODUCTIFS
2. PRINCIPAUX RESULTATS
2.1. FLORE LIGNEUSE, VEGETATION LIGNEUSE ET PAYSAGES : PRINCIPALES CARACTERISTIQUES284
2.1.1. Richesse, diversité et densité des taxons
2.1.2. Dynamiques présentes
2.1.3. Biomasse et productivité des unités paysagères
2.1.4. Les Paysages : compréhension et caractéristiques dans le contexte de notre étude
2.2. MOTEURS DE CHANGEMENT DE LA FLORE ET DE LA VEGETATION
2.3. QUELLES STRATEGIES POUR UNE MEILLEURE GESTION DU PNW ET SA PERIPHERIE ?
2.4. SYNTHÈSE DES RESULTATS
3. LIMITES DE L’ETUDE ET PERSPECTIVES SCIENTIFIQUES
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
SIGLES ET ACRONYMES
LISTE DES FIGURES
LISTE DES TABLEAUX
ANNEXES
Annexe 1: Fiches de relevés d’inventaires
Annexe 2: Questionnaire d’enquête socio-économique à la périphérie du PNW
Annexe 3: Questionnaire pour le diagnostic et la prospective territoriale
Annexe 4: Liste des espèces par familles
Annexe 5: Espèces recensées dans les parties des transects situées à la périphérie intérieure
extérieure du Parc
Annexe 6: Dominance relative des familles
Annexe 7: Distribution des espèces par classe de recouvrement
Annexe 8: Indices de biodiversité dans les parties des transects situés à l’intérieur et à l’extérieur
du Parc
Annexe 9: Liste des espèces et abondance
Annexe 10: Valeur des surfaces terrières des espèces et de leur dominance relative
Annexe 11: Valeurs des surfaces terrières par familles et par espèce (cm ² / ha)
Annexe 12: Densités absolues à l’intérieur et à l’extérieur du Parc
Annexe 13 : Analyse des acteurs
TABLE DES MATIERES

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