Généralités sur les outils nécessaires

Généralités sur les outils nécessaires

Il existe nombreuses définitions d’un système d’information géographique. Très simplement, un SIG est un outil informatique qui permet d’intégrer, de localiser, d’analyser et de représenter les données qui ont ou non une dimension géographique. [1] L’association des éléments suivants sont nécessaires pour bien le fonctionner :  Les données : c’est certainement les composantes les plus importantes des SIG. Les données géographiques et les données tabulaires associées peuvent être soit constituées en interne, soit acquises auprès de producteurs de données. L’information géographique peut être définie comme étant une représentation de la réalité, localisée dans le temps et dans l’espace. Elle est classiquement représentée sous forme cartographique et avec deux composantes : les données spatiales (liées entre elles par des règles de comportement) et les données attributaires.

Les données attributaires

Les données attributaires fournissent les informations caractérisant la donnée géographique. Ces attributs peuvent être de type numérique, date, texte pour ne citer que les principaux, ou un mélange de plusieurs types. On les désigne globalement par le terme de données alphanumériques. Une capacité puissante de SIG réside dans le lien établi entre les données spatiales et attributaires. Association de 2 types de données Le format raster des données représente la réalité par des cellules (pixels) de grille uniformes d’une résolution spécifique. A chaque valeur de pixel sont associées, une ou plusieurs valeurs décrivant les caractéristiques de l’espace. La résolution dépend de la taille de la cellule de la grille, plus la cellule est grande, moins l’information est précise; plus la grille est petite, plus la résolution est grande et plus la base de données est grande parce qu’il y a plus de détails. Un système basé sur le mode vectoriel affiche les données graphiques comme étant des points, des lignes, des courbes, ou des surfaces (aires) avec des attributs. La plupart des cartes produites à partir des SIG sont dans le format vectoriel. Les données de télédétection doivent : rue ou rivières) ou des objets linéaires qui ont une longueur mais pas de surface comme les courbes de niveau.

Formats des données sur ArcGIS

Des éditeurs pour chaque logiciel SIG ont développé leur propre format de données. Ainsi, tous les formats de données développés par ESRI sont supportés par le logiciel ArcGIS. Il prend en charge les modèles fichiers tels que les fichiers de forme, les couvertures, les grilles et les géodatabases. Les grands formats des données CAO/DAO (DXF, DGN, DWG) ainsi qu’un grand nombre de format de données IMAGE sont également supportés. ArcGIS nous permet ainsi de travailler avec plusieurs formats de données sans avoir besoin de les convertir en un ou unique format. Le modèle de géodatabase prend en charge le même type d’informations géographiques mais il y a des avantages de gestion des données proposées par un SGBD. Un modèle commun pour les informations géographiques est défini par les modèles fichiers et les modèles de géodatabase (SGBD). On peut dire qu’ArcGIS s’adapte à tous les logiciels de système d’information géographique grâce à sa plateforme solide.

On peut implanter une géodatabase à l’aide des deux systèmes physiques tels que les géodatabases personnels et les géodatabases ArcSDE. Les projets à petite échelle sont gérés par les géodatabases personnels et sont stockés dans des fichiers .mdb. On n’a pas besoin d’autre logiciel pour créer ou gérer ce type de géodatabase. Pour les grandes bases de données, on peut les gérer et stocker à l’aide des géodatabases arcSDE sans stocker dans un des formats de SDBR. Pour cela, une interface est nécessaire entre le logiciel bureautique et le SGBDR qu’on va choisir. Les opérations d’affichages, d’interrogations et d’analyses sont les mêmes pour les deux types des géodatabases. La gestion et le stockage dans des tables du système de gestion de bases de données relationnelles standard sont ainsi engagés par le géodatabase.Ainsi, on crée un nouveau répertoire pour stocker tous les résultats pendant le traitement. En remarquant que l’organisation de toutes les données se fait dans l’ARCatalog, il faut que toutes les données nécessaires pendant le traitement soient enregistrées dans une nouvelle base de données d’une manière que les autres utilisateurs puissent les consulter.

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