Identification et enregistrement des animaux dans le monde 

 Identification et enregistrement des animaux dans le monde 

Epoque préhistoire

L’identification et enregistrement des animaux datent de plusieurs millénaires. Par exemple, l’identification individuelle au moyen de marquage du corps a été pratiquée depuis plus de 3.800 années. Le début de l’enregistrement écrit de toutes les caractéristiques des animaux marqués, remonte à plus de 2.000 ans. Le marquage au fer rouge, accompagné ou non d’enregistrement écrit des caractéristiques des animaux a été employé durant la civilisation antique (FINET, 1983). Des marques temporaires de différentes couleurs ont été appliquées sur les animaux confiés au gardien de troupeau dans la Mésopotamie. Ces variations de couleurs représentaient les différents propriétaires, cette pratique a survécu jusqu’à aujourd’hui (BLANCOU, 2001).

Au 18ème siècle

A cette époque, la présentation des documents écrits certifiant l’origine des animaux a été exigée en Europe suite à l’apparition d’une épizootie extensive. La première certification obligatoire date du début du 18ème siècle (BLANCOU, 2001). Deux exemples sont décrits cidessous : En 1716, les animaux importés ou qui ont fait des mouvements à l’intérieur du royaume de Prusse devaient être marqués par une lettre F/W (Friedrich Wilhelm) sur la corne droite. Les RAZAFINDRABE RANDRIAMIALY Fanomezantsoa_ Département ELEVAGE_ESSA_ Mémoire de fin d’études 5 Mise en place d’un système d’identification et de répertoire suivant la couleur de la robe des zébus. animaux devaient également être accompagnés d’un document daté indiquant l’origine de chaque animal et le nom du propriétaire. Si l’animal est acheté par un boucher, les initiales du boucher doivent être marquées sur la corne gauche de l’animal, et l’animal ne doit pas être abattu que trois jours après la vente afin de vérifier qu’aucune maladie n’est incubée (BLANCOU, 2001). En 1746, le Conseiller du roi de la France a publié un décret indiquant les précautions à prendre contre la maladie épidémique du bétail. Le décret proscrivait, entre autres, que les animaux infectés par la peste bovine devaient avoir une lettre « M » tamponnée sur une corne, et devaient être abattu immédiatement. Un certificat établi par un officier de police (contresigné par le prêtre de paroisse ou un officier de loi) était exigé pour tous les animaux sains qui étaient déplacés de leurs fermes d’origine. Ce document devait énoncer le nom de la région (ou commune) d’origine des animaux, du statut de la région ou de la commune « en relation avec la maladie », de même que le nombre et la finalité des animaux déplacés. D’après DELAFOND (1844), il a été suggéré de prolonger l’application du système de marquage établi pour les bovins en 1746, en 1784 et en 1795 dans le but de prévenir contre la péripneumonie contagieuse bovine. Les animaux étaient marqués de la lettre « M » (malade), « S » (suspect), ou « G » (guéri) sur l’épaule plutôt que sur la corne ou sur le sabot, puisque ces marques pouvaient être effacées en raclant les cornes

Du 20ème siècle jusqu’à aujourd’hui

Les objectifs de l’identification et enregistrement animal sont variés, incluant l’administration (taxes, impôts, traçabilité et lutte contre le vol des bœufs), « animal husbandry » et la prophylaxie (achat des vaccins, des médicaments de traitement). D’après BLANCOU (2001), les trois principales méthodes d’identification utilisées dans le passé sont basées sur au moins un des points suivants : – un document descriptif, attestation ou certificat se référant à des signes ou des marques qui différencient les animaux, le document est tenu par la personne responsable des animaux et parfois enregistré par l’autorité nationale. – une simple marque placée directement sur le corps de l’animal (peau, cornes, sabots, pattes,…). – une marque extérieure amovible attachée à l’animal (collier, anneau, …).  

En Australie

L’identification individuelle des bestiaux avec une étiquette provisoire attachée à la queue et mentionnant leur destination est obligatoire quand les animaux partent de leur établissement d’origine, pour identifier les destinataires. Depuis 1999, l’Australie a également un programme bénévole d’identifier les bovins individuellement avec des boucles d’oreilles, pour se conformer aux normes approuvées par le ministère de l’élevage. Les étiquettes sont appliquées avant que les animaux ne quittent leurs établissements natals (BARCOS, 2001).

Au Canada

Le programme individuel d’identification est un système simple de traçabilité qui consiste à identifier des bétails par l’utilisation des étiquettes lorsque l’animal quitte l’établissement d’origine. Les étiquettes restent sur l’animal jusqu’à ce que la carcasse soit inspectée à l’installation de transformation de viande. Si un problème est détecté, l’étiquette permet de faire une recherche efficace d’identification de la cause du problème. Le programme a été obligatoire depuis 31 décembre 2000 et inclut une base de données centralisée mise en œuvre par une agence privée. Le service vétérinaire est autorisé à avoir accès à la base de données pour des raisons qui concernent la santé animale. Actuellement, différents éléments sont employés pour identifier des animaux. Ces éléments évoluent suivant les développements technologiques, et leur utilisation dépend des facteurs tels que le type de l’animal et le but de l’identification (STANFORD et al, 2001). 

En Argentine

Des animaux sont individuellement identifiés au moyen d’une marque sur la peau, indiquant le propriétaire du bétail. Chaque éleveur de bétail a une marque individuelle et les animaux doivent être identifiés avant d’être transférés. Le marquage permet à l’animal ou au troupeau d’être lié avec l’établissement d’origine.

En France

L’identification individuelle des bovins est basée sur des boucles auriculaires apposées sur les oreilles gauche et droite de l’animal. Le règlement (CE) n° 911/2004 de la Commission du 29 avril 2004 portant dispositions d’exécution du règlement (CE) n°1760/2000 du Parlement européen et du conseil pour ce qui concerne les marques auriculaires, les passeports et les registres d’exploitation prévoit, à son article 4, que les Etats membres peuvent choisir d’autres matériau marque La dénomm I La applicat chevaux registran les grou plupart activités R ux ou mod décrite à l’ description mée N98 est Figu I.2.1.3.5 Aux technologie tion. Dans x et les chie nt, et la vér upes sangui des pays d s significati RAZAFINDRABE Mise e dèles pour l article 3. n du modè t illustrée pa ure 1 : modèle x Etats-Unis e d’identific le secteur s ens, le test A rification d’A ins. Un la dans lesquel ives (JEFFR E RANDRIAMIAL en place d’un sys la seconde èle standard ar la figure e standard de S d’Amérique cation génét spécialisé d ADN est lar ADN de ce aboratoire p ls la produc REYS et al, LY Fanomezantso stème d’identifi marque au d de la bo 1 ci-après : e la boucle off Source : minist tique basée de l’élevage rgement rép es races pur pour le test ction anima 1985). oa_ Département cation et de rép uriculaire qu oucle offici ficielle des bo tère de l’Agric sur le test A e à race pur pandu pour es remplace t ADN est ale et la mu t ELEVAGE_ESSA ertoire suivant ue ceux pré ielle d’iden ovins dénomm culture et de l ADN a été re, en parti confirmer l e progressiv susceptible ultiplication A_ Mémoire de fi la couleur de la évus pour l ntification mée N98 la pêche fran intensiveme iculier des la parenté d vement le te e d’être trou de race pu in d’études 7 a robe des zébus. la première des bovins çaise (2000). ent mise en bétails, des e nouveaux est basé sur uvé dans la ure sont des . e s . n s x r a s RAZAFINDRABE RANDRIAMIALY Fanomezantsoa_ Département ELEVAGE_ESSA_ Mémoire de fin d’études 8 Mise en place d’un système d’identification et de répertoire suivant la couleur de la robe des zébus. 

Différents types d’identification utilisée dans le monde

Suivant l’évolution des techniques et l’efficacité de celles-ci, l’homme a trouvé mille et une façons pour identifier un animal lui appartenant ou bien tout simplement pour en établir le signalement (PORTETELLE et al, 2000) : • des marques imprimées sur la peau de l’animal : diverses formes de tatouage, marquage au fer rouge; • des marques apposées sur l’animal : boucles auriculaires métalliques et plastiques (code-barres) ; • marquage électronique : transpondeur disposé sous forme d’implant par voie souscutanée ou sous forme de bols dans le rumen par ingestion, transpondeur sur les étiquettes d’oreilles ; • plus récemment, marquage génotypique : empreintes génétiques. 

Marques imprimées sur la peau de l’animal

Marquage au fer rouge – Définition Le marquage au fer rouge est une méthode permanente d’identification des bovins que l’on utilise essentiellement pour afficher la propriété (BLAKELY, 2010). Le marquage à chaud ou au fer rouge est rapide et peu coûteux. Sa marque est facile à lire. Toutefois, la lisibilité est fonction de la bonne technique de marquage.  Caractéristiques Le fer chaud détruit les follicules pileux, ce qui entraîne la formation d’une cicatrice permanente dépourvue de poils de la forme du fer utilisé. Pour réussir le marquage, il faut bien chauffer le fer, tondre l’animal à l’endroit où le fer sera appliqué et garder le fer propre en tout temps. On peut chauffer le fer au moyen d’un feu de bois, d’un feu de gaz propane ou d’accessoires électriques. Le marquage ne nécessite que de 3 à 5 secondes de bon contact entre le fer et la peau. Les fers à marquer sont faits sur mesure (entre 8 à 10 cm) et fabriqués de fer, d’acier ou d’acier inoxydable (ROBERT FELSMAN, 1999). La forme de la marque varie selon l’utilisateur (figure 2).  

Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PARTIE I : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
I.1 UTILITE DE L’IDENTIFICATION DES ZEBUS
I.1.1 RAISONS DE L’IDENTIFICATION DES ZEBUS
I.1.2 INTERETS DE L’IDENTIFICATION DES ZEBUS
I.2 IDENTIFICATION ET ENREGISTREMENT DES ANIMAUX DANS LE MONDE
I.2.1 HISTORIQUE
I.2.1.1 Epoque préhistoire
I.2.1.2 Au 18ème siècle
I.2.1.3 Du 20ème siècle jusqu’à aujourd’hui
I.2.1.3.1 En Australie
I.2.1.3.2 Au Canada
I.2.1.3.3 En Argentine
I.2.1.3.4 En France
I.2.1.3.5 Aux EtatsUnis d’Amérique
I.2.2 DIFFERENTS TYPES D’IDENTIFICATION UTILISEE DANS LE MONDE
I.2.2.1 Marques imprimées sur la peau de l’animal
I.2.2.1.1 Marquage au fer rouge
I.2.2.1.1.1 Définition
I.2.2.1.1.2 Caractéristiques
I.2.2.1.1.3 Avantages
I.2.2.1.1.4 Inconvénients
I.2.2.1.2 Marquage à froid
I.2.2.1.2.1 Définition
I.2.2.1.2.2 Caractéristiques
I.2.2.1.2.3 Avantages
I.2.2.1.2.4 Inconvénients
I.2.2.1.3 Entaille des oreilles
I.2.2.1.3.1 Définition
I.2.2.1.3.2 Caractéristiques
I.2.2.1.3.3 Avantages
I.2.2.1.3.4 Inconvénients
I.2.2.1.4 Tatouages
I.2.2.1.4.1 Définition
I.2.2.1.4.2 Caractéristiques
I.2.2.1.4.3 Avantages
I.2.2.1.4.4 Inconvénients
I.2.2.2 Marques apposées sur l’animal
I.2.2.2.1 Les étiquettes d’oreille
I.2.2.2.1.1 Définition
I.2.2.2.1.2 L’étiquette en plastique
I.2.2.2.1.2.1 Caractéristiques
I.2.2.2.1.2.2 Avantages
I.2.2.2.1.2.3 Inconvénients
I.2.2.2.1.3 L’étiquette métallique
I.2.2.2.1.3.1 Caractéristiques
I.2.2.2.1.3.2 Avantages
I.2.2.2.1.3.3 Inconvénients
I.2.2.3 Marquages électroniques
I.2.2.3.1 Définition
I.2.2.3.2 Les étiquettes d’oreille électroniques
I.2.2.3.2.1 Caractéristiques
I.2.2.3.2.2 Avantages
I.2.2.3.2.3 Inconvénients
I.2.2.3.3 Les puces électroniques
I.2.2.3.3.1 Caractéristiques
I.2.2.3.3.2 Avantages
I.2.2.3.3.3 Inconvénients
I.2.2.3.4 Les colliers électroniques.
I.2.2.3.4.1 Caractéristiques
I.2.2.3.4.2 Avantages
I.2.2.3.4.3 Inconvénients
I.2.2.4 Caractères naturels pour identifier l’animal
I.2.2.4.1 Marquage génotypique
I.2.2.4.1.1 Identification optique
I.2.2.4.1.1.1 Avantages
I.2.2.4.1.1.2 Inconvénients
I.2.2.4.1.2 Marqueur moléculaire.
I.2.2.4.1.2.1 Avantages
I.2.2.4.1.2.2 Inconvénients
I.2.2.4.2 Marquage phénotypique (Empreinte nasale).
I.2.2.4.2.1 Caractéristiques
I.2.2.4.2.2 Avantages
I.2.2.4.2.3 Inconvénients
I.3 : IDENTIFICATION ANIMALE A MADAGASCAR
I.3.1 : HISTORIQUE
I.3.2 : DIFFERENTS TYPES D’IDENTIFICATION ANIMALE APPLIQUEE A MADAGASCAR
I.3.2.1 Marques imprimée sur l’animal
I.3.2.1.1 : Marquage au fer rouge
I.3.2.1.1.1 Caractéristiques
I.3.2.1.2 : Entaille sur les oreilles
I.3.2.1.2.1 Caractéristiques
I.3.2.2 Marques apposées sur l’animal
I.3.2.2.1 : Etiquettes en plastiques
I.3.2.2.1.1 Caractéristiques
I.3.2.3 : Appellation de la robe des zébus
I.3.2.3.1 Caractéristiques
I.3.2.3.2 Avantages
I.3.2.3.3 Inconvénients
I.3.3 : SYSTEME D’IDENTIFICATION ET D’ENREGISTREMENT ACTUEL
I.3.3.1 Points fort du système
I.3.3.2 Points faibles du système
I.4 RECOMMANDATIONS SUR L’IDENTIFICATION ET LA TRAÇABILITE EN GENERAL ET
PROBLEMATIQUE
CONCLUSION PARTIELLE DE LA SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
PARTIE II : MATERIELS ET METHODES.
II.1 DELIMITATION DE LA ZONE D’ETUDE
II.1.1 SITUATION GEOGRAPHIQUE
II.1.2 CLIMAT
II.2 L’INVENTAIRE DE L’APPELLATION DE LA COULEUR DE ROBE DE ZEBU
II.2.1 MOYENS NECESSAIRES A LA REALISATION DE CET INVENTAIRE
II.2.1.1 Marché des bestiaux.
II.2.1.2 Matériel animal.
II.2.2 METHODES
II.2.2.1 Stratégie d’approche
II.2.2.1.1 Approche systémique
II.2.2.1.2 Approche participative
II.2.2.1.3 Prises de photos de zébu
II.3 LA FORMATION DES SUBDIVISIONS FIXES A PARTIR DE L’APPELLATION TRADITIONNELLE
II.4 INFORMATISATION DE LA NOUVELLE STRUCTURE D’APPELLATION DE COULEUR
DE ROBE DES ZEBUS
II.4.1 DEMARCHE A SUIVRE POUR CREER UN LOGICIEL D’IDENTIFICATION ET D’ENREGISTREMENT TRAVAILLANT AVEC
L’IMAGE DE SYNTHESE EN 3D DU ZEBU
II.4.1.2 La création de la base de données
II.4.1.1 Création du cahier de charge
II.4.1.3 L’analyse Merise
II.4.2 INTEGRATION DE L’IMAGE EN 3D DANS LE LOGICIEL D’IDENTIFICATION ET D’ENREGISTREMENT
II.4.2.1 Création d’image de synthèse
II.4.2.1.1 Utilisation de la technologie 3D
II.4.2.1.2 Matériels utilisés
II.4.2.1.2.1 Pour la modélisation : 3DSMax
II.4.2.1.2.2 Pour le rendu : Swift 3DMax
II.4.2.1.2.3 Pour les textures : Adobe Photoshop
II.4.2.2 Formation de la base de données à partir des images de synthèse en 3D
II.4.2.3 Intégration proprement dite de l’image en 3D dans le logiciel d’identification et d’enregistrement
CONCLUSION CHAPITRE II
PARTIE III : RESULTATS, DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
III.1 RESULTAT SUR L’INVENTAIRE DES APPELLATIONS DE COULEUR DE ROBE DE ZEBU
III.1.1 LES COULEURS DE BOVIDES REVETANT L’ASPECT DE FORMES VERBALES. 37
III.1.2 LES COULEURS DE BOVIDES SE RAPPORTANT A LA FAUNE ET A LA FLORE. 38
III.1.2.1 Les robes comportant un nom de végétal. 38
III.1.2.2 Les robes comportant un nom d’animal ou ses sousproduits
III.1.3 CARACTERISTIQUE DE L’APPELLATION DE LA COULEUR DE ROBE DE ZEBU A MADAGASCAR
III.2 RESULTAT SUR LA FORMATION DES SUBDIVISIONS FIXES POUR RECONSTITUER
UNE NOUVELLE APPELLATION
III.2.1 SUBDIVISIONS FIXES POUR LA RECONSTITUTION D’UNE NOUVELLE APPELLATION
III.2.2 CLASSIFICATION DE LA COULEUR DE ROBE DE ZEBU SUIVANT LES SUBDIVISIONS DU CORPS EFFECTUEES
III.2.3 RESTRUCTURATION DE L’APPELLATION DE LA COULEUR DE ROBE DES ZEBUS
III.3 – RESULTAT SUR LA CONCEPTION DU SYSTEME EN 3D
III.3.1 CREATION DE L’IMAGE DE SYNTHESE DE ZEBU EN 3D
III.3.1.1 Création d’un studio virtuel
III.3.1.2 Modélisation de l’image virtuelle
III.3.1.3 Création de la couverture applicable sur le modèle
Mise en place d’un système d’identification et de répertoire suivant la couleur de la robe des zébus
III.3.2 INTEGRATION PROPREMENT DITE DU SYSTEME D’IDENTIFICATION A BASE DE COULEUR DE ROBE DE ZEBU DANS
LE SYSTEME D’IDENTIFICATION ET D’ENREGISTREMENT ACTUEL
III.4 – DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
III.4.1 LES AVANTAGES DUS AUX RESULTATS DE LA CREATION DU SYSTEME D’IDENTIFICATION 3D
III.4.2 TRAITS NEGATIFS SUR L’APPLICATION DE CE SYSTEME
III.4.3 RECOMMANDATIONS
III.4.3.1 Amélioration du système 3D
III.4.3.2 Sécurisation du système d’identification et d’enregistrement.
III.4.3.3 Utilisation du système.
III.4.3.4 Trait à apporter pour l’amélioration de l’enregistrement.
CONCLUSION CHAPITRE III
CONLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXE 1 : STRUCTURE DU SYSTEME D’IDENTIFICATION ET D’ENREGISTREMENT DES
ZEBUS UTILISEE A MADAGASCAR
ANNEXE 2 : RELEVE DES COULEURS ET DES ROBES DE ZEBU DANS L’AMBONGO
ANNEXE 3 : PRESENTATION DU LOGICIEL
1 LANCEMENT DE L’APPLICATION.
2 GENERALITE DE L’ECRAN.
3 PRESENTATION DE TOUS LES MENUS
3.1 Le menu « zébu »
3.2 Le menu « Détenteur »
3.3 Le menu « Déplacement »
3.4 Le menu « Option »

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