Institut National de l’Information Géographique et Forestière (France)

Rapport de stage forestière, tutoriel & guide de travaux pratiques en pdf.

Géoclip

La page d’accueil de Géoclip possède de nombreuses informations qui ne sont pas forcément claires à première vue. Comme pour la plupart des sites, il y a un paragraphe en milieu de page qui nous informe des fonctionnalités du site web. Il y a également un flux d’actualités accessible de plusieurs manières. En ce qui concerne l’accès à la partie cartographie du site, il n’est pas intuitif puisqu’il faut chercher dans les onglets pour le trouver. De plus, les divers onglets nous amènent bien souvent à une page de texte qui peut vite surcharger l’utilisateur. Les éléments sont pour la plupart noyés dans l’information et la recherche est plutôt décourageante.
Une fois arrivé sur l’espace dédié à la cartographie, le site nous propose une carte de France avec les départements d’outre-mer. Cette carte possède quelques fonctionnalités comme une barre d’outils qui propose divers zooms (souris, boutons plus + et moins – et rectangle), la possibilité de revenir sur une vue d’ensemble et la possibilité de créer un géosignet37. La carte possède également une échelle (barre), les coordonnées de la souris et la projection.
Pour accéder aux cartes contenant des données spécifiques, nous devons nous rendre dans l’onglet afficher les cartes. Cet onglet nous amène à une liste de cartes classées par catégories. Lorsque nous choisissons un thème qui nous intéresse, nous sommes informés du nombre de cartes qui sont associées à ce thème.
Par exemple, dans le thème démographie nous pouvons entre autres retrouver les cartes de densité de population (hab/m²) ou du taux de natalité. Le chemin est cependant un peu long avant d’accéder aux informations qui nous intéressent. Un autre aspect à mettre en évidence est le fait que nous ne pouvons pas associer deux types de données, c’est-à-dire que nous ne pouvons par exemple pas associer la population avec le nombre de chômeurs.
Une fois que nous avons choisi notre carte, elle apparait avec sa légende. Cette dernière peut dans certains cas s’avérer complexe, car elle possède beaucoup de classes et/ou n’est pas claire. Soulignons le fait que le site propose une fonctionnalité inédite très intéressante. Il est en effet possible de modifier la légende en modifiant le nombre de classes, en changeant les couleurs, ainsi que d’autres propriétés.
Pour conclure, nous dirons que parmi tous les sites consultés, Géoclip est relativement difficile à utiliser. En effet, il y a beaucoup d’informations qui peuvent perturber l’utilisateur. De plus, les accès ne sont pas toujours intuitifs. Malgré la richesse du site, l’ensemble manque de clarté et il serait judicieux de le rendre plus simple. Soulignons également qu’il ne semble pas possible d’avoir accès aux métadonnées.
Comme nous l’avons déjà mentionné plus haut, nous avons accès à des données brutes. De ce fait, les cartes ne peuvent pas être modifiées et les couches ne peuvent pas s’additionner. Cependant, il semble être possible de charger ses propres données et de les ajouter à la carte. Les cartes peuvent aussi être exportées.

Ecowas observatory for renewable energy and energy efficiency (ECOWREX)

Le site d’Ecowrex est spécialisé dans les énergies renouvelables40. Même si la page d’accueil est plus ou moins chargée, elle est assez efficace. En effet, en haut de page, il y a plusieurs onglets plutôt intuitifs. En dessous il y a un flux d’actualités sur des projets en cours ou terminés ainsi qu’un guide d’utilisation du site en vidéo. Il y a également un texte explicatif sur les activités d’Ecowrex. Comme pour la plupart des sites, des doublons dans les onglets existent. Les liens sous forme d’images (avec des petites cartes par exemple) rendent la navigation agréable. Notons également que le site peut être consulté en trois langues.
Pour ce qui est de la partie cartographie, l’accès se fait très facilement. Nous nous retrouvons sur une nouvelle page qui explique ce qui est proposé et nous devons cliquer sur une nouvelle image pour avoir accès à la carte et ses couches.
Avant cela, il y a des onglets imagés qui proposent des cartes déjà faites selon une thématique. Elles peuvent s’avérer intéressantes si elles touchent directement la thématique qui nous intéresse. Cependant, étant donné que l’utilisation de la carte est très facile, nous pouvons nous demander si l’existence de ces cartes préfabriquées est justifiée.
Le fond de carte par défaut est celui de Google43. Nous pouvons cependant le modifier ainsi que la liste des couches. Tout cela est très intuitif. Tout comme pour la Global Risk Data plateforme44 que nous étudierons par la suite, l’ordre des couches ne peut pas être modifié. De ce fait, elles se superposent, ce qui est déplaisant puisqu’il n’est pas possible de mettre une couche en évidence plutôt qu’une autre.
En bas de la carte, il y a une liste d’onglets qui permet d’activer ou désactiver certaines fonctionnalités. Nous pouvons faire apparaitre une barre d’outils, la liste des couches, la légende, faire une recherche de couche, afficher les résultats et se rendre vers les métadonnées des couches. En ce qui concerne les métadonnées de la carte, il n’y a rien de spécifique à part une indication en bas de carte que cette dernière provient de Google. La carte dispose également d’un zoom (dans la barre d’outils et sur la carte elle-même), des coordonnées de la souris, ainsi que de la projection.

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