L’opportunité entre dans la vie sous forme de défaite temporaire

Le plus important était sa pensée

Observez soigneusement comment il avait procédé pour transformer son DÉSIR en réalité et vous comprendrez mieux les 13 principes qui mènent à la richesse.
Lorsque ce DÉSIR surgit pour la première fois dans l’esprit de Barnes, il ne pouvait en aucune manièreagir sur elle. 2 obstacles se dressaient sur son chemin : D’abord, il ne connaissait pas Thomas Edison et de plus, il n’avait même pas assez d’argent pour payer le train jusqu’à Orange, dans le New-Jersey.
Ces obstacles auraient suffi à décourager la plupart des gens mais Barnes allait les surmonter. Il était telement déterminé à exaucer son souhait lui-même qu’il décida de voyager au moyen d’un train de marchandises.
Il se présenta au laboratoire d’Edison et annonça qu’il venait faire affaire avec l’inventeur. Quelques années plus tard, relatant cette première rencontre, Edison raconta :
“Il se tenait debout là devant moi et ressemblait à un type ordinaire ; mais quelque chose dans l’expression de son visage me donnait l’impression qu’il était très déterminéàobtenir ce qu’il venait chercher. Des années d’expérience m’aientv appris qu’un homme qui DÉSIRE réellement et profondément une chose et qui est capable, pour l’obtenir, de jouer tout son avenir sur un simple coup de dé, est sûr de gagner. Je luidonnai la chance qu’il demandait parce que je vis qu’il étaitfermement décidé à réussir. Les événements qui suivirent meonnèrentd raison.”
Ce que le jeune Barnes déclarait à Edison à cette o ccasion était bien moins important que ce qu’il pensait.
L’apparence extérieure du jeune homme n’avait eu aucun poids dans son succès mais qu’au contraire elle l’eût desservi.
La seule chose qui compta fut sa PENSÉE qui se lisa it en lui.
Si la signification de cette phrase pouvait convaincre tous les lecteurs, il n’y aurait aucun besoin du reste de ce livre.
Celui qui désire profondément une chose est sûr de gagner
Cependant, Barnes n’avait pas obtenu tout de suite ce qu’il voulait avec Edison lors de leur première entrevue. Il avait juste la possibilité de travailler dans les bureauxd’Edison, pour un salaire ordinaire. Il réalisait les tâches qui étaient sans importance pour Edison mais toutefois très importantes pour Barnes car cela lui donnait l’occasion de montrer ses talents pour que l’associé qu’il espérait puisse les remarquer.
Les mois passèrent. Apparemment, rien ne permettait à Barnes de se rapprocher du BUT PRINCIPAL qui comptait à ses yeux. Cependant, quelque chose d’important se précisait en lui : son DÉSIR de devenir l’associé d’Edison s’intensifiait constamment.
Les psychologues disaient que “lorsqu’on est vraiment prêt à obtenir une chose, celle-ci viendra toute seule.”
Barnes était prêt à cette collaboration avec Edisonet IL ÉTAIT DÉCIDÉ À LE DEMEURER JUSQU’À CE QUE SON DÉSIR SE RÉALISÂT.
Il ne se disait pas : “À quoi bon ? Je ferais mieux
d’abandonner et de me contenter d’une place de vendeur.”
Au contraire, il pensait : “Je suis venu ici pour d evenir l’associé d’Edison et je ferai tout pour atteindremon but, même s’il faut consacrer le reste de ma vie.” Et il le pensait vraiment !
L’histoire des hommes serait bien différente s’ilsavaient un seul BUT PRÉCIS et s’y tenaient jusqu’à le trans former en une obsession tenace !
Le jeune Barnes l’ignorait peut-être à cette époque, mais sa détermination et sa persistance à réaliser son DÉSIR allaient avoir finalement raison de tous les obstacles et lui apportaient l’opportunité qu’il recherchait.

L’opportunité entre dans la vie sous forme de défaite temporaire

L’opportunité qu’il attendait se présenta enfin, mais pas du tout comme il l’avait imaginée.
Souvent, l’opportunité entre dans la vie sous formede malheur ou de défaite temporaire. C’est probablement pour cette raison que beaucoup de personnes ne la reconnaissent pas.
Edison venait juste d’inventer une nouvelle machine de bureau, connue à l’époque sous le nom de Machine à dicter d’Edison (ça s’appelle Ediphone maintenant). Ses vendeurs n’étaient pas enthousiastes et hésitaient à vendrecette machine.
Ils ne croyaient pas qu’ils pourraient la vendre sans grand effort. Barnes sut que c’était une occasion à saisir.
La machine était cachée dans une machine d’apparenc étrange qui n’intéressait que Barnes et son inventeur.
Barnes sut qu’il pourrait vendre cette machine à dicter d’Edison. Il le dit à Edison, qui le laissa courir sa chance. Il la vendit si bien qu’Edison lui en confia le marché pour tout le pays.
En plus de cette collaboration, le slogan “Inventé par Edison et installé par Barnes” se développa. Cette collaboration dura pendant plus de 30 ans. Elle rendit Barnes riche financièrement, mais ce qui est infiniment important est qu’il prouvait que n’importe qui peutvraiment “devenir riche grâce à sa pensée”.
Combien ce DÉSIR de Barnes lui rapporta-t-il exactement ? Lui seul le sait. Peut-être 2 ou 3 millions de dollars, mais cette somme, aussi élevée soit-elle,devient insignifiante comparée à la richesse inestimable que Barnes avait acquise : une pensée peut se concrétiser si’onl agit suivant quelques principes.
Tout ce qu’il faut pour réaliser son désir
Barnes désirait fortement devenir l’associé du grand Thomas Edison ! Il désirait faire fortune. Il n’avait qu’un seul atout : IL SAVAIT CE QU’IL VOULAIT ET IL ÉTAIT PRÊT À PERSÉVÉRER JUSQU’À LA RÉALISATION DE SON DÉSIR.
Il n’avait pas d’argent pour démarrer. Il n’avaiteçur que peu d’instruction. Il n’avait pas de relations. Mais il avait l’esprit d’initiative, la confiance en lui et la volonté de gagner. Avec ces forces immatérielles, il avait fait de lui-même le premier associé du plus grand inventeur.

L’homme qui abandonna

Voyons une autre situation. Un homme avait beaucoup de dons, mais il n’avait pas réussi parce qu’il avaitabandonné la partie juste à quelques pas du but qu’il cherchait à atteindre.
Une des causes les plus communes de l’échec est l’habitude d’abandonner lorsque nous sommes découragés par ce que nous croyons être un échec définitif. Nousvonsa tous vécu cela un jour ou l’autre.
À l’époque de la ruée vers l’or, un oncle de R. U.Darby eut la “fièvre de l’or” et partit vers l’Ouest pour CREUSER ET DEVENIR RICHE. Il ne savait pas que les pensées des hommes recèlent plus d’or que la terre n’en aura jamais. Il gagna une concession et s’y rendit avec une pioche et une pelle.
Après des semaines de labeur, ses efforts se virent récompensés. Il avait découvert le métal tant convoité. Il lui fallait maintenant du matériel pour exploiter le filon. Il referma tranquillement la mine et retourna chez lui, à Will iamsburg, dans le Maryland, pour informer ses parents et amis de “l’affaire”. Ensemble, ils parvinrent à réunir l’argent pour acquérir le matériel nécessaire. Darby et son oncleretournaient travailler à la mine.
Le premier fourgon chargé d’or fut acheminé vers une fonderie. Le rendement prouva aux heureux propriétaires qu’ils possédaient une des plus riches mines du Colorado !Encore quelques fourgons d’or et toutes leurs dettes seraient payées. Ensuite viendraient les gros bénéfices.
En avant les foreuses et voguent les espoirs!
Mais, tout à coup, le filon disparut ! Les machines forèrent désespérément, essayant de le retrouver.nEvain. Finalement, ils décidèrent D’ABANDONNER. Ils vendirent matériel et concession pour une bouchée de pain etils reprirent le train pour rentrer chez eux.
Le nouveau propriétaire consulta un ingénieur des mines qui se livra à un petit calcul et attribua l’échec des Darby à une méconnaissance des terrains et des couches géologiques. D’après lui, on retrouverait le filon À 3 PIEDS DE L’ENDROIT OÙ LES DARBY AVAIENT FAIT ARRÊTER LE FORAGE ! Ce qui se révéla parfaitement exact !
L’homme ramassa ainsi des millions de dollars parce qu’il avait sollicité les conseils d’un expert.
Une grande partie de l’argent utilisé pour l’achatdu matériel avait été obtenue par les efforts de R. UDarby,. qui était alors très jeune. L’argent venait de ses parents et amis car ils avaient confiance en lui.

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Le succès suit l’échec

C’est bien des années plus tard, quand il comprit que LE DÉSIR PEUT SE TRANSFORMER EN OR, que Darby amortit enfin cette lourde perte.
Il l’avait compris lorsqu’il avait monté sa compagnie d’assurance vie. Il appliquait la leçon qu’il avait tirée de son expérience malheureuse. Il se répétait chaque foisque l’occasion se présentait : “J’ai capitulé devant or,l’ je ne capitulerai jamais devant un client qui me refuse une assurance.”
Darby est l’un des petits groupes de moins de 50 personnes, qui vend par an pour plus d’un million de dollars d’assurances.
Le succès vient rarement sans que l’on ait d’abord rencontré plusieurs défaites temporaires. Lorsque l’échec paraît total, la chose la plus facile et la plus logique à faire est D’ABANDONNER. C’est exactement ce que font la plupart des gens. Plus de 500 Américains parmi ceux qui ont le mieux réussi m’ont confié qu’ils avient connu leur plus grand succès immédiatement après un échecqui semblait pourtant sans espoir.
L’échec, comme s’il voulait jouer un bon tour, neaitf que masquer la réussite qui est en fait beaucoup plus proche qu’on ne le pense.
“Non” ne signifie pas toujours non
Peu de temps après que M. Darby avait reçu son diplôme de “l’Université des coups Durs” et qu’il avait décidé que la leçon n’était pas perdue, il assista à une scène qui lui prouva que “non” ne signifie pas toujours non.
Un après-midi, il aidait son oncle à moudre le blédans un vieux moulin. La porte s’ouvrit lentement et une petite fille noire rentra et demeura plantée sur le seuil.
L’oncle leva les yeux, vit l’enfant et gronda : “Qu’est-ce que tu veux ?”
L’enfant répondit doucement : “Ma maman vous demande de lui donner 50 cents.”
“Pas question, rétorqua l’oncle, maintenant va-t-en.”
“Oui, Monsieur”, dit l’enfant, mais elle ne bougea pas. L’oncle était si occupé par son travail qu’il neens’ aperçut pas tout de suite.
Quand il la vit, il hurla : “Je t’ai dit de t’en aller.
Maintenant va-t-en ou je me charge de te faire déguerpir.”
“Oui, Monsieur”, dit la petite, mais elle ne bougea toujours pas.
L’oncle laissa tomber le sac de grains qu’il s’apprêtait à vider dans la trémie du moulin, saisit la douve d’un tonneau éventré et avança vers l’enfant. Son visage laissait voir l’embarras qui résultait d’une telle situation.
Darby retint son souffle. Il était certain d’êtreientôtb témoin d’un meurtre car il savait que son oncle était colérique et qu’en plus les noirs n’étaient pas censés défierles blancs dans cette partie du pays.
Quand l’oncle se trouva à l’endroit où la petite se tenait, celle-ci fit rapidement un pas en avant, le fixa droit dans les yeux et cria de toutes ses forces : “MA MAMAN A BES OIN DE 50 CENTS.” L’oncle s’arrêta, la regarda pendant un moment, puis il posa lentement la planche par terre, mit sa main dans sa poche et en sortit 50 cents.
L’enfant prit l’argent et recula lentement jusqu’àla porte, sans quitter des yeux l’homme qu’elle venait justede conquérir. Quand elle fut sortie, l’oncle s’assit sur une caise et regarda le paysage par la fenêtre pendant plus de 10 minutes.Il analysa, avec crainte, les causes de sa défaite.
Vous trouverez les secrets de la réussite dans ce livre M. Darby réfléchissait aussi de son côté. C’était l première fois qu’il voyait une enfant noire maîtriser délibérément un adulte blanc. Comment était-ce possible ? De quel pouvoir extraordinaire cette enfant disposait-elle donc pour arriver à transformer l’oncle colérique en un agneau docile ? Quel était le secret qui lui avait permisde dominer la situation ?
Darby n’avait toujours pas trouvé de réponses à ces questions quand, plusieurs années plus tard, il meraconta l’histoire à l’endroit même – étrangement – où sononcle connut la défaite de sa vie. Dans le vieux moulin sentant le moisi, M. Darby me demanda : “Quel était ce pouvoir étrange qu’utilisait cette enfant pour fouetter complètement mon oncle ?”
La réponse à cette question se trouve dans les principes décrits dans ce livre. Elle est complète et contien suffisamment de détails et d’instructions permettan à n’importe qui de comprendre et d’utiliser ce même pouvoir qu’exerça instinctivement l’enfant. Vous en aurez un aperçu dans le chapitre suivant.
Quelque part dans ce livre, vous trouverez une idéequi pourrait activer vos puissances réceptives. Elle pourrait venir sous forme d’idée simple, de plan ou d’objectif. Vous prendrez alors conscience de vos erreurs passées et cela sufira à vous faire rattraper tout ce qu’elles vous auront fait perdre.

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