L’ORIENTATION SCOLAIRE DANS L’ENSEIGNEMENT SECONDAIRE GENERAL

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Approche historique de l’enseignement secondaire général aux Comores

L’enseignement secondaire général est un maillon important du système éducatif comorien actuel. Il est reparti sur deux cycles définies comme suit par la loi N°80-007/PR du 30 Mai 1980 relative à l’éducation.
Le premier cycle :
Il est assuré dans les collèges ruraux qui dispensent un enseignement commun reparti sur quatre (4) années successives (…). La formation donnée dans des écoles rurales tend à l’approvisionnement des connaissances enseignées dans les écoles élémentaires (…). Elle constitue le support de formations générales, professionnelles ou techniques ultérieures.
Le deuxième cycle :
Il est réalisé dans les lycées qui assurent sur oistr (3) années successives une formation générale et une formation spécialisée sanctionnéespar la délivrance du diplôme de baccalauréat.
Dans ce chapitre nous allons présenter le systèmeéducatif comorien d’une manière diachronique, puis de voir particulièrement l’enseignement secondaire, objet de notre mémoire.

Le système éducatif comorien : Son évolution etson rendement interne

S’il est un point sur lequel tout le monde s’est a ccordé sur le système éducatif comorien depuis la période coloniale, c’est son manque d’adaptation aux réalités et aux besoins du pays. Quant aux solutions qui ont été précisées pour remédier à cette situation, elles n’ont cessé de varier avec le changement des régimes et des équipes dirigeantes pour obtenir comme seuls résultats tangibles, l’augmentation des effectifs des élèves et des enseignants dont la formation a été sensiblement améliorée.

La période coloniale

Comme dans les primaires, et les collèges, les lycées ont vu leurs effectifs augmentés depuis l’Indépendance. Et depuis il n’a cessé de croître.
Le bilan1est le suivant : à la veille de l’Indépendance, très précisément au cours de l’année scolaire 1972-1973 : l’enseignement secondaire compte un lycée établi àMoroni et couvrant les enseignements de la sixième à la terminale, avec 1162 élèves dont 22,46% de filles. cinq collèges existent sur l’ensemble des quatre îles et rassemblent 989 élèves dont 22,34% de filles.
un concours normal annexé au lycée de Moroni assurela formation des instituteurs avec un effectif de 23 élèves. La durée de formation est d’une année.
l’enseignement supérieur n’est pas du tout dispensésur place.
l’enseignement technique et professionnel est très embryonnaire et touche un nombre très limité de personnes dans les domaines uivantes :
Maçonnerie ;
Mécanique automobile, plomberie, savonnerie ; Dactylographie
L’organigramme suivant montre le système éducatifcomorien existant pendant cette première période d’Indépendance.

La période d’Août1975 à Mai 1978

Les nouvelles autorités du pays héritent d’un système éducatif coûteux et très peu performant, caractérisé par :
un faible taux de scolarisation : 30 à 50% ;
un rendement interne très faible : 5 % seulement des élèves inscrits au primaire passent en sixième et seuls 10% de ce petit nombre se présentent au baccalauréat qui ne permet qu’à une infime minorité de faire des étudessupérieures ;
une inadaptation aux réalités et aux besoins du pays ; une insuffisance de qualification de maîtres ;
un quasi inexistence de nationaux dans l’encadrement du secondaire.
Face à cette situation, les Comores, après une période de réflexion intense, se lancent dans un vaste reforme pour un système éducatif au servic de développement et dont les objectifs très clairement définis, consistent essentiellement:
à la préparation de citoyens responsables ;
à la libération de la jeunesse et à son épanouissement ;
à la connaissance et à la transformation du milieu par la maîtrise de la science et de la technique ;
l’éducation s’adresse à tous les âges et doit être fonctionnelle et concrète. Elle est organisée de la façon suivante avec le comorien comme langue d’enseignement :

Education fondamentale

Elle doit durer onze (11) années reparties sur deux (2) cycles :
Le premier cycle fondamental ou éducation de base. Cet enseignement est prioritaire. Il dure huit (8) années.
Le deuxième cycle fondamental.
Il dure 3 ans et accueille les élèves sur la base des besoins en agents subalternes, moyens et supérieurs.
L’organigramme ci dessous, nous renseigne sur le système éducatif comorien proposé après plusieurs discussions et réflexions.

L’enseignement secondaire spécialisé

Il accueille les titulaires du baccalauréat de l’enseignement secondaire spécialisé en
fonction des besoins du pays en cadres supérieurs.
Il serait très difficile d’évaluer et de préjugerce phénomène.
Des indices montrent cependant que les objectifs et l’organisation soigneusement planifiés du système ont été sacrifiés au profit de la précipatiton à vouloir vite réussir :
la population n’est pas suffisamment préparée à l’abandon de l’enseignement général pour une éducation communautaire ;
les effectifs des élèves explosent sans tenir compte de l’insuffisance des moyens humains, matériels et didactiques ;
l’enseignement supérieur est négligé.

A partir de Mai 1978

De l’extrême de l’Ecole communautaire, le nouveausystème éducatif passe à celle de la priorité à l’éducation générale, avec tout de même la création d’écoles supérieures.
Mais, du fait qu’il manque d’objectifs précis et de planification, le système sera victime de l’empirisme de redressement progressivement mis en place, telle que l’Institut National de l’Education(I.N.E) qui fonctionne sans cohérence et n’atteint pas les résultats escomptés.
Les sessions de réflexion organisées à l’échelle ationale au cours de cette période, notamment le séminaire de 1981 et le Colloque de 1988, traduisent la lourdeur du système et son manque de finalités et d’objectifs sans jamais pouvoir réellement redresser la situation.
Au bout du compte, malgré les nombreux investissements dont il bénéficie, le système éducatif comorien se trouve dans un état délabré enregistre de très faibles résultats. En 1992-1993 : le taux net de scolarisation des enfants de 7 à 12 ans était de 58,3% ; 59% des élèves du primaire avaient 1 an et plus deretard, les taux de redoublement étaient encore de 40% du CPau CM et de 50% au CM et le taux de promotion CM /6ème était de 14% ; en 1991-1992, 55% des élèves des collèges avaient 3ans et plus de retard et le taux de promotion 3éme/2nd était de 49% ; les résultats au baccalauréat tournent actuellementau tour de 15%.
On estime ainsi que, sur 1000 élèves inscrits au CP1, 535 seulement parviennent au CM2, 96 terminent le cycle avec succès et vont en 6éme, 36 arrivent en 2nd et 6 ont le baccalauréat, ceci prenant en compte 3 redoublements.

L’enseignement secondaire général au sein du système éducatif national

Depuis l’Indépendance des Comores, l’enseignement secondaire général du pays a subi de multiples changements relatifs à son statut , à son organisation, à son contenu et à son encadrement :
en 1977, le nombre de collège est brusquement passéde 5 à 45 créant ainsi des difficultés énormes pour le contrôle des effectifs,pour l’approvisionnement en matériels didactiques et pour l’encadrement ;
les programmes et méthodes n’ont jamais été clairset stables ;
depuis Mai 1978, l’enseignement secondaire généraln’a eu comme objectif que la préparation des élèves à l’accès aux niveaux supérieurs.
Pour notre étude, il nous serait utile de détermine les finalités de la politique éducationnelle, puis de voir les dispositions y afférentes

Les finalités

Le problème fondamental du système éducatif actuelréside dans l’absence de définition précise des finalités de chaque niveau’enseignement,d dans l’orientation scolaire et dans la tendance populaire à considérer l’éducationcomme un moyen pour accéder à un poste dans la Fonction Publique (F.P).
Un sous produit de ce problème est la préférence ourp l’enseignement général et la perception d’un cycle comme étant une simple préparation pour le cycle suivant, sans sa propre finalité.
La politique éducationnelle actuelle favorise excessivement l’enseignement général sans tenir compte des besoins du marché du travailet des aptitudes et préférences des élèves. Des mesures partielles ont été adoptées depuis l’Indépendance pour modifier l’orientation générale du système vers un enseignement pratique mieux adapté au contexte nouveau du pays.
Cependant ni la volonté politique, ni les moyens n’ont été suffisamment mobilisés pour pousser à fond une reforme conséquente.

Les dispositions périphériques nécessaires à l’efficacité de l’enseignement secondaire général

En vue de l’efficacité de l’enseignement secondaire des dispositions périphériques doivent être prises pour soutenir les fondements :
1. La revalorisation du métier d’enseignant doit constituer l’une des stratégies d’amélioration de l’enseignement secondaire. Elle suppose l’amélioration des conditions de vie et de travail.
Des dispositions budgétaires doivent être allouéesaux postes d’enseignants vacants selon le cas : les recours à des vacataires (rempla çants de courte durée), à des contractuels (remplaçants de longue durée) et à la récupérationdes postes budgétaires affectées à d’autres ministères.
Les indemnités de logement doivent jouer le rôle de stimulateur pour l’enseignant et doivent par conséquent être accordées à tout le personnel exerçant effectivement le métier et aux inspecteurs.
La commission administrative paritaire doit être edynamiséer pour jouer son rôle permanent de médiateur entre les différents partenaires de l’éducation.
2. Les modalités de passage en classe supérieure doivent être améliorées notamment par l’instauration à tous les niveaux du secondaire du système de compositions semestrielles comptant pour 50% dans le calcul de la moyenne.
3. L’établissement du calendrier scolaire devrait tenir compte des intempéries de Décembre, Janvier, Février liés à la saison des pluies (Kashkazi).
4. Une bonne orientation scolaire des élèves dès leurscolarisation.
Tel se présente l’état des lieux de l’enseignementaux Comores. Pour continuer notre analyse, notre problématique nous conduit à définirles tendances qui ont été à la base des différentes options, orientations dans ce domaine du social.

Généralités sur l’orientation scolaire

Le mot « orientation » est d’un emploi relatif récent.
Le dictionnaire Universel le définit comme « la détermination du lieu où l’on se trouve, à l’aide des points cardinaux ou de tout au tre repère ».
Le dictionnaire Larousse lui attribue un sens administratif « orientation professionnelle » : répartition judicieuse que possible de la jeunesse entre les métiers et les professions.
En France, l’orientation scolaire a été réglementée, officiellement par le décret du 26 Septembre 1922. Depuis cette date les choses ont beaucoup évolué, et nous parlons maintenant « d’orientation scolaire et professionnelle » ou « d’orientation continue »1 .
Pour ce faire nous allons esquisser un tableau historique, puis de voir comment s’est formée l’idée d’orientation.

Historique

L’utilisation du terme « orientation » présente une difficulté majeure dès lors que la réflexion cherche à intégrer une perspective historique. Si le terme, actuellement, est usuellement associé aux processus scolaires déterminant les cursus scolaires des élèves (au moment des conseils de classe et commissions d’appel principalement), une telle définition a une signification des plus limitées pour comprendrela situation propre au début du siècle.
Pour dépasser cette inadaptation du terme orientation aux réalités multiformes il est convenable de recourir aux différentes époques, l’orientation est ici définie, non par sa dimension strictement scolaire, mais par l’ensemble des mécanismes sociaux éclairant les mécanismes de gestion des flux d’élèves.

L’orientation des élèves au début du siècle

Au début du siècle l’organisation institutionnelledes enseignements primaire et post primaire est à l’image d’une représentation du monde fondé sur lestatu quo des positions et rôles sociaux. Les différents ordres d’enseignement sont en effet conçus pour recueillir les élèves selon leur position sociale définie par leexes et l’appartenance sociale.
La spécificité de cette « orientation » est qu’ell ne relève pas des institutions scolaires : elle a lieu en amont du processus de scolarisation. Les textes écrits officiels et notamment l’exposé des motifs des réformes éducatives en témoignent abondamment dans ce sens. Celles-ci, à partir des spécificités des publics attendus dans telle ou telle filière, définissent des critères d’orientation bien avant al naissance officielle comme pratique institutionnelle.
Nous donnerons seulement l’exemple des motifs avancés lors de la création de l’enseignement spécial en 1865.
Celui-ci concerne « ceux qui après l’école primairepeuvent retarder de deux ou trois ans leur entrée dans l’atelier, le comptoir ou l’usine »1. A contrario, il est explicitement prévu que l’enseignement classique soit fréquenté par « celuiqui a le temps, peut être l’aisance, même la fortune. Rien le presse ; nous pouvons donc avec lui travailler lentement à poser les longues et solides bases d’un édifice qui devrait s’élever plus haut »2.
Il n’est nullement question d’ « aptitudes » ou de s « capacités » dans cette façon de concevoir la correspondance entre publics scolaires et filières d’enseignement : l’orientation est, à l’époque, définie par un critère de temps disponible pour les études, directement en rapport avec la fortune et l’appartenance sociale de l’élève.

Table des matières

INTRODUCTION
– Choix du sujet et du cadre de l’étude
– Le choix d’Anjouan
– Le terrain d’étude
– La problématique
– Les hypothèses
I.- Méthodologie
1- Discipline et instrument d’analyse
a)-Discipline
b)-Instrument d’analyse
2.- La recherche documentaire
3.- Les acteurs
4.- Technique d’échantillonnage
A.-Echantillonnage des élèves
a)-Le lycée public de Mutsamudu
b)-Le lycée privé Neimane School
B.-Echantillonnage des enseignants
a)-Le lycée public de Mutsamudu
b)-Le lycée privé Neimane School
5.- Déroulement de l’enquête
6.-Problèmes rencontrés et limites de l’étude
II.- Plan de l’étude
PREMIERE PARTIE : PRESENTATION GENERALE DE L’ENSEIGNEMENT COMORIEN
CHAPITRE I : Approche historique de l’enseignement secondaire général aux Comores
I.- Le système éducatif Comorien : son évolution et son rendement historique
A.- La période coloniale
B.- La période d’Août 1975 à Mai 1978
1.- Education fondamentale
2.- L’enseignement secondaire spécialisé
C.- A partir de Mai 1978
II.- L’enseignement secondaire général au sein du système éducatif national
A.- Les finalités
B.- Les des positions périphériques nécessaires à l’efficacité de l’enseignement secondaire général
CHAPITRE II : Généralités sur l’orientation scolaire
A.- Historique
1.- L’orientation des élèves au début du siècle
1-1.- Les années vingt
1-2.-L’après guerre : le collège unique
2.- Nécessité et rôle de l’orientation scolaire
3.- Performance scolaire et orientation scolaire
4.- Psychologie générale et orientation scolaire
B.- Présentation générale de la population scolaire d’Anjouan
C.- Les chemins qui conduisent à l’orientation scolaire
1.- Les poids des facteurs internes
1-1.- Le rôle traditionnel de l’école
2.- Les poids des facteurs externes
2-1.- Les préjugés sociaux
2-2.- Les contraintes socio économiques
CONCLUSION PARTIELLE
DEUXIEME PARTIE : L’ORIENTATION SCOLAIRE DANS L’ENSEIGNEMENT SECONDAIRE GENERAL
CHAPITRE III : L’étude du lycée public de Mutsamudu
I.- Présentation générale du lycée public de Mutsamudu
A.- Situation géographique
B.- Historique
C.- La population scolaire du lycée public de Mutsamudu
1.- Les élèves
a)-Les classes de seconde
b)-Les classes de première
c)-Les classes de terminale
2.- Les agents de l’Etat
a)-Le corps enseignants
b)-Le personnel administratif
II- Présentation des résultats du lycée public de Mutsamudu
A.- Le problème de l’orientation scolaire à Anjouan
B.- Les résultats des élèves de seconde du Lycée public de Mutsamudu concernant leurs choix d’étude scolaire spécialisée
1- Les classes secondes
a)-L’âge
b)-Les C.S.P des parents, classe de seconde
2- Les motivations de l’orientation scolaire dans le choix de l’étude scolaire spécialisée des élèves du lycée public de Mutsamudu, classes de seconde
C.- Les résultats des enquêtes auprès des élèves en classe de première au lycée public de Mutsamudu concernant leur choix sur la section d’étude scolaire spécialisée
1- Les classes de premières
a)-L’âge des élèves en classe de première
b)-Les C.S.P des parents
2- Les motivations de l’orientation des élèves en classe de première
D.- Les résultats des enquêtes auprès des élèves des classes terminales du lycée public de Mutsamudu concernant leur choix sur la section d’étude scolaire spécialisée
1.- Les classes terminales
a)-L’âge des élèves en classe terminale
b)-Les CSP des parents
2.- Les motivations du choix de la section d’étude scolaire spécialisée des élèves en classes de terminale, lycée de Mutsamudu
CHAPITRE IV: L’étude du lycée privé Neimane School
I.- Présentation générale de Neimane School
A.- Situation géographique
B.- Historique
C.- La population scolaire
1.- Les élèves
a)-Classes secondes
b)-Classes premières
c)-Classes terminales
2- Les enseignants
3- Les personnels administratifs
II- Présentation des résultats du lycée privé Neimane School
A.- Présentation des élèves de la classe de seconde, Neimane School
1-Les classes de seconde
a)-L’âge
b)-Les CSP des parents
2- Les motivations du choix de la section d’étude scolaire spécialisée des élèves en classe de seconde
B.- Présentation des élèves des classes de première, à Neimane School
1- Les classes premières
a)-L’âge
b)-Les CSP des parents
2- Les motivations du choix de la section d’étude scolaire spécialisée des élèves en classe de première
C.- Les résultats des élèves en classe de terminale, Neimane School
1.- Les classes terminales
a)-L’âge
b)-Les CSP des parents
2.- Les motivations du choix de la section d’étude scolaire spécialisée des élèves en classes de terminale
CHAPITRE V: Etude comparative : lycée public de Mutsamudu et lycée privé Neimane School
I.- Présentation globale des deux lycées
A.- Situation géographique
B.- Historique
C.- Les populations scolaires
1.-Les élèves
a)-Les classes de seconde
b)-Les classes de première
c)-Les classes de terminale
2.-Les agents
a)-Les enseignants
b)-Les personnels administratifs
II.-Observations
A.- Les effectifs
B.- L’âge des élèves
C.- La saturation
D.- Siège
CONCLUSION PARTIELLE
TROISIEME PARTIE : APPROCHE PERSONNELLE
CHAPITRE VI: Typologie et dynamique critique des choix d’études scolaires
I.- Typologie
A.- Lycée public de Mutsamudu
a)-La série A
b)-La série C
c)-La série D
B- Lycée privé Neimane School
a)-La série A
b)-La série C
c)-La série D
II.- Dynamique critique des choix d’études scolaires
A.- La vocation scolaire
B.- Les motifs du choix scolaire
C.- Le rôle des éducateurs
1)-La démocratisation
2)- La pertinence de l’installation des instituts psychologiques
CHAPITRE VII : Suggestion sur l’orientation scolaire aux Comores (Anjouan)
I.- Les mises en place du service d’orientation, scolaire et professionnelle
A.- Le conseiller pédagogique
B.- Les éducateurs
C.- Le rôle de l’Etat
D.- L’élève
E.- Les parents
F.- Les enseignants
II.- Une intégration scientifique et technologique de l’enseignement général
A.- Actualisation des méthodes
B.- L’intégration des l’information
C.- Le support télévisuel
CHAPITRE VII: prospective sur l’orientation et de l’éducation aux Comores
I.- Approche prospective de l’orientation
II.- Approche prospective de l’éducation
A.- Orientations proposées
B.- Orientations générales
1.- La démocratisation
2.- Authenticité et ouverture
3.- Les structure
CONCLUSION GENERALE
Tables des matières
Bibliographie
Liste des abréviations
Liste des tableaux
Liste des illustrations
Liste des organigrammes
Annexes

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