Mémoire de recherche étude sur le comportement alimentaire de Prolemur simus, tutoriel & guide de travaux pratiques en pdf.

Vologasy (Valiha diffusa)

Les Vologasy prennent plus la moitié des toutes les pourcentages dans les deux groupes. Il s’avère qu’à première vue, le groupe II le consomme plus que le groupe I, de 68,71% pour le groupe II, il se peut que cette différence soit significative contre 54,88% pour le groupe I. Pour prendre une décision sur notre doute faisons de test. On a comme hypothèse nulle
H0 : la consommation de deux groupes en Vologasy sont les mêmes
L’alimentation de ces deux groupe en cette espèce est très significative, donc l’hypothèse nulle est rejetée (U= 4, p-value = 0.3333). Le groupe II mange plus de vologasy que le groupe I.

Longosa (Aframomum angustifolium)

La fréquence montre que c’est le groupe I qui ingère plus de Longoza pour ces deux groupes. Avec 21,37% contre 17,54%, il s’est avéré qu’il y a une différence sur la préférence de ces espèces de plantes. On voulait savoir si cette différence est significative. Posons l’hypothèse nulle
H0 : il n’y a pas de différence significative sur la préférence de cette espèce
Le test nous demande d’accepter l’hypothèse nulle c’est-à-dire que la consommation en Longosa de ses deux sont diffèrent mais très peu (W = 4, p-value = 0.33).

Votrotrokala (Cledima hirta)

Pour cette espèce, le groupe I le consomme plus que le groupe II. La proportion pour le groupe I est de 15,50% et la proportion de groupe II est de 11,57%. Ils occupent tout de même pour les deux groupes la troisième position si on se réfère à nos quatre espèces. Mais est ce que la différence qu’on vient de dire ci-dessous est significative. Pour le test on va poser l’hypothèse nulle :H0 : la différence qu’on peut constater à partir de pourcentage de consommation de Votrotrokala n’est pas significative
La différence de consommation de Votrotrokala n’est pas significative pour nos groupes. Le test nous force d’accepter la différenciation significative de consommation en cette espèce. Et de rejeter notre hypothèse nulle (U = 4, p-value = 0.33)

Vahipika (Flagellaria indica)

Cette espèce représente une très minime proportion dans leur régime alimentaire pour les deux groupes avec seulement 2,18% pour le groupe II et 8,25% pour le groupe I. le groupe I consomme plus cette espèces que le groupe II. Regardons maintenant si la différence qu’on aperçoit sur la fréquence est significative. On va formuler l’hypothèse nulle :
H0 : il n’y a pas de différence significative entre les deux groupes sur la consommation de Vahipika.
Le résultat de notre test nous permet de rejeter l’hypothèse nulle c’est-à-dire qu’il y a une différente significative sur la consommation de cette espèce. Le groupe I consomme plus de Vahipika que le groupe II (U= 3, p-value = 0.67).

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