Niveau de production de matière verte et d’huile essentielle

Télécharger le fichier original (Mémoire de fin d’études)

Documentation, stage de recherche, entretiens

La revue bibliographique, les recherches sur Internet, le stage de recherche auprès du PSDR et les entretiens auprès de la société d’extraction et d’exportation d’HE et de la Mairie de la CR sont des moyens de répertorier les informations traitant les questions concernant le thème de recherche. Ce procédé a permis de :
– S’informer sur les recherches, les notions et concepts relatifs au thème à étudier : évaluation économique et sociale, analyseéconomique de la filière (10).
– S’informer sur la méthode utilisée par d’autres chercheurs ayant examiné le cas relatif à l’objet de l’étude : méthode des effets (5).
– Connaître la procédure d’exécution des SP (9) afin de définir une méthodologie qui respecte à la fois l’attente de l’organisme d’accueil et la scientificité de la recherche.
– S’informer sur la région de l’étude et délimiter lafilière géranium (12).

Précision des composantes de la recherche

Pour la conduite de la recherche, il a été nécessaire d’établir le plan de recherche et le chronogramme des activités (Annexe n°4), de précise le type et la méthode de collecte de données et la méthode de traitement des informations.
Ces composantes ont servi de moyens pour :
– Représenter les éléments essentiels à expliquer avec les données à fournir.
– Préparer la descente sur terrain et faciliter l’analyse des données.

Etudes sur terrain

Il s’agit de la suite des études préliminaires. Cesétudes consistent à collecter les données quantitatives et qualitatives et auprès des acteurs et par rapport aux activités concernées par la recherche : production de MV et d’HE.

Méthodes utilisées

Des focus group ou réunions ont été effectués lorsde la collecte des données auprès des OP. A l’aide de la méthode de sondage aléatoire, 88 % des OP ont été présentes au moment de cette enquête (11). Cet échantillon a étéconstitué par 21 sur 24 OP.
Puis les présidents des OP venues ont été aussi interviewés à l’aide d’un questionnaire puisqu’ils disposent le plus d’informations générales sur les membres qu’ils gèrent. La réunion et l’entretien ont été menés d’une manièresemi-structurée ou semi-directive. Autrement dit, l’enquête effectuée est précédée ned’u phase préparatoire qui consiste à polariser les sujets dans le support d’enquête (Annexe n°1).
Il faut gagner alors la confiance de l’interlocuteur moyennant une synchronisation pour pouvoir obtenir le plus d’informations possibles.
Des entretiens ont été menés auprès des personnesessources : responsables de la société d’extraction et d’exportation et Maire de al CR. Lors de ces entretiens, un check-list (Annexe n°1) a été utilisé pour pouvoir obtenir desdonnées déjà existantes.

Données collectées

Ces données servent à expliquer les éléments essentiels exigés par la présente recherche : effets économiques et socio-économiquesdes SP du PSDR par rapport à ses objectifs c’est-à-dire à l’amélioration des revenus ruraux et développement de l’économie rurale. Elles comprennent des données quantitativesqui expriment des valeurs mesurables (2). Ces valeurs pourront être obtenues à différents moments dans le temps et se rapportent à l’ensemble des membres : coût des SP, prix d’intran ts, volume de production de MV et d’HE de 2003 à 2004.
En outre, elles comprennent aussi les données qualitatives qui ont fourni des explications à l’interprétation des résultats quantitatifs et à la réponse paysanne face aux SP. Ces données font référence à des situations qui expriment le comportement des OP et les conditions de réalisation de la géraniculture : choix de la force de travail, utilisation de la production.

Traitement des informations

Le traitement des informations est la dernière étape de la recherche. Il comprend la phase préparatoire et la phase de traitement des données collectées.

Phase préparatoire

La phase préparatoire consiste à saisir puis à clas ser les données de base sur ordinateur (Annexe n°1). Cette opération a rendu les données plus claires et prêtes pour le traitement. Elle a permis aussi de connaître les informations manquantes. En effet, la non disponibilité des données a amené à faire des estimations à partir des données existantes.
A titre d’exemple, les dossiers de formulation du PSDR ont été utilisés dans lesquels, il y a les budgets des SP. Ces données ont permis d’estimer la consommation spécifique pour produire 1 kg de MV avec le prix des intrants supposé constant.

Méthode de traitement des données

Le traitement des données a pour but d’analyser les données de base et de les interpréter suivant une méthode d’évaluation économique et sociale (5). En fait, il est à noter que l’évaluation économique tient compte des interdépendants économiques tels que la subvention, les impôts et le système de prix. Pour ce traitement, la méthode des effets doit être utilisée. En fait, cette méthode privilégie l’éclatement des Consommations Intermédiaires (CI) en CI locales et importées.
A défaut des coefficients techniques issus des échanges des branches, il a été impossible de dresser le tableau des entrées et sorties et de différencier les CI. Il en résulte que la méthode utilisée est celle de la méthode d’analyse économique de la filière. Cette méthode présente la faiblesse de ne pas déterminerl’ensemble des VA indirectes mais elle a l’avantage d’identifier les résultats économiques elst que la VA globale et la rentabilité. L’évaluation côté socio-économique des SP (Annexe °1)n tient compte des critères sociaux qui pourront expliquer ces résultats économiques etelle permet de déduire les effets sociaux.

Analyse économique de la filière

L’analyse économique (Annexe n°1) de la filière s’intéresse alors au taux de rentabilité, à la formation et à la répartition de la VA afin d’expliquer la rentabilité et le revenu générés par les activités de la filière. Cestravaux s’appuient sur l’utilisation du logiciel Tableau de SIMulation (TSIM). Ce mode de traitement des informations a permis de :
– Traiter les données de base rapidement et de manière organisée
– Dégager les résultats économiques qui expliquent larentabilité et le revenu

Optique de rentabilité

Dans cette optique, la rentabilité (2) des investissements injectés pour la géraniculture et la production d’HE est calculée à partir du Taux de Rentabilité Interne (TRI). Concernant la géraniculture, la rentabilitédes composantes de l’investissement initial (subvention et apport bénéficiaire) sont à mettre en exergue. Ces indicateurs montrent l’efficacité de l’intervention du PSDR non seulement au niveau des OP mais aussi au niveau de la société.
La VAN (Valeur Actuelle Nette) de l’investissement et la Capacité d’Auto Financement (CAF) des exploitants de la filière sont des grandeurs qui déterminent respectivement la valeur effective de l’investissement et la possibilité de financer le renouvellement de l’investissement. Les formules suivantes expriment alors la relation entre ces grandeurs et à partir desquelles la rentabilité de l’investissement peut être déduite.
CAF = RNE + Amortissement = RBE
VAN = – Io + ∑ CAF / (1+ i)n où TRI = le taux i qui annule la VAN i=1
Rentabilité de la subvention = CAF / Subvention
Rentabilité de l’apport bénéficiaire = CAF / Apportbénéficiaire

Optique de revenu

Le revenu généré par les activités est expliqué plarproduction, la CI et la VA. Cette VA se répartit en revenu des salariés (sous forme ed salaires), en Revenu Net d’Exploitation (RNE) des paysans et de l’entreprise et en revenu de l’Etat (sous forme d’impôts). Cette répartition s’est traduite par des flux monétaires décrivant l’emprise spatiale des SP : valorisation des emplois créés dans la CR, crédit ed la CECAM, développement de la transaction monétaire sur le marché rural, rentréede devises et de fiscalité. Les formules ci-dessous permettent d’identifier ces revenus.
Valeur de la production = Vente des produits ou revenu + Vente des services CI = Coûts des inputs dont main d’œuvre non incluse
VA= Valeur de la production – CI = Salaires + impôt s + RNE + Amortissement

Analyse socio-économique

Cette analyse complète l’analyse économique décriteci-dessus si bien qu’elle a contribué à l’explication des résultats économiques. La partie socio-économique donne malgré tout quelques indications (Annexe n°1) sur la façon dont on peut apprécier :
– les déterminants des comportements des membres face aux SP : conditions de réalisation des SP et catégorie sociale des membresdes OP.
– les incidences de cette spéculation au niveau des ménages bénéficiaires de l’appui du PSDR suite à l’utilisation des revenus générés parla géraniculture.

Description du domaine de la recherche

Région de l’étude et les sous-projets

La recherche s’est déroulée dans la CR d’Ambatomena, district d’Antsirabe II, région de Vakinankaratra. Malgré l’éloignement et la difficulté d’accès en période de pluie, la CR est caractérisée par la prédominance des cultures vivrières telles que : haricot, pomme de terre, patate, manioc, arachide et riz. Ces cultures importent sur le calendrier cultural (Annexe n°2) des paysans locaux. Concernant la géraniculture, ele est à la fois une culture nouvelle et non-vivrière pour les OP. Et pourtant, les conditions naturelles existantes (Annexe n°5) peuvent répondre aux exigences de cette culture : climat d’altitude, type de sol. La carte suivante montre la localisation des 24 SP de culture intensifiée de géranium biologique et la société d’extraction dans les fokontany de la CR. Ces SP sont donc répartis dans les 4 fokontany de la CR à savoir : Tsarafieràna, Betampona, Anosy et Mah azoarivo. Ces localités ont constitué également les terrains d’études.

Graphe de la filière géranium

Ce graphe comprend d’une part les activités de la filière géranium partant de l’amont de la MV puis en aval après stade de transformation d’HE jusqu’au niveau du marché final. Et d’autre part, il comprend les acteurs concernés : PSDR , OP, prestataires, société d’extraction et d’exportation (Annexe n°2) et débouchés extérieurs. Il met en évidence l’interdépendance entre ces acteurs, l’enchaînement des activités autour du géranium et les flux de services, physiques et monétaires. D’après ce graphe, le coût des SP est à la charge d u PSDR et des OP. Par l’intermédiaire de la subvention, les 85 % constitue la contribution du PSDR. Et par l’intermédiaire de l’apport bénéficiaire, les 15% constitue la contribution des OP. Les prestataires du PSDR fournissent des biens et services auprès des OP. La société d’extraction et d’exportation assure l’achat de MV et produit d’ HE qui est destinée totalement à l’exportation. L’interaction entre ces acteurs assu re la réalisation des SP et contribue au développement de la filière géranium. Le tableau suivant détaille la nature de la subvention et de l’apport bénéficiaire (8).
Ce tableau montre que PSDR subventionne des biens et des services durables tels que les biens d’investissement, les formations, et les travaux. Les OP contribuent à la mise en œuvre des SP moyennant les apports bénéficiaires. Ces apports sont des biens d’investissement et d’exploitation. Ils sont constitués par des équipements, de la force de travail et d’intrants pour la conduite de la géraniculture. Les OP disposent alors les facteurs de production pour pouvoir mener cette spéculation : capital, technique et travail. Le paragraphe suivant détaille les résultats économique et socio-économique de la miseen œuvre de cette spéculation.

Résultats économiques

Le fonctionnement et la réalisation des SP a engendré des résultats économiques au sein de la filière. Ces résultats mettent en évidence la rentabilité et les revenus dégagés par la production de MV et d’HE qui affectent ainsi l’expl oitation des OP et celle de la société d’extraction et d’exportation.

Niveau de production de MV et d’HE

Production de MV

Lancé en 2002, le Projet 14 ou P14 est constitué par 14 OP comptant en tout 158 membres exploitant la géraniculture sur 42 ha soit3 ha par OP. Quant au Projet dix ou P10, il est lancé en 2003. P10 est constitué de 120 membresexploitant la géraniculture sur 30 ha soit 3 ha par OP. Le tableau ci-dessous montre l’évolution réelle et prévisionnelle de production de MV.

Le Projet 14 : P14

En se référant à la situation réelle, ce tableau montre que de 2003 à 2004, il y a eu une légère augmentation de la production de MV avec un rendement n’atteignant même pas 1kg/pied inférieur à la norme (1,25kg/pied). La MV est récoltée 3 fois dans l’année. Le volume de la récolte (Annexe n°3) varie selon la saison, la disponibilité et la motivation des membres. La saison pluvieuse maximise en fait la production de MV. Les membres sont disponibles pour entretenir la plantation au cas où il n’y a pas une forte demande de main d’œuvre et si les activités principales ne les préoccupent pas davantage. La prévision de la période de soudure incite les membres à mieux produire afin de pouvoir parer aux difficultés économiques et sociales : endettement, insuffisance alimentaire ; ce qui démontre alors la légère augmentation de la production de MV.
En effet, si le rendement reste inférieur à la norme, le problème est d’ordre technique. Il s’agit du choix de terrain favorable : épargné ontrec le gel et culture sur bas-fond. Il en est de même pour le type et la quantité de fertilisation à utiliser : fumure organique, bouses de vache. En outre, la géraniculture est une nouvelle spéculation pour les membres. Il y a encore une incapacité liée à la maîtrise de la culture. C’est pourquoi, elle tient encore une place secondaire dans leur système de production d’où le rendement est inférieur à la norme.

Le Projet 10 : P10

Le rythme de la production annuelle de P14 et P10 (Annexe n°1) suit la même tendance et le rendement reste toujours inférieur à la norme. On a constaté que la première année de récolte de P10 a dégagé plus que celle deP14. Cette différence est due à la prise en compte par P.10 des problèmes techniques rencontréspar P14. Cette deuxième vague d’OP a amélioré le système d’entretien de la plantation par l’utilisation de fertilisation complémentaire en cendre. Ces OP sont peu nombreuse ; aussi sont elles mieux encadrées. La plantation est mieux contrôlée par les agents de suivi.
En effet, la production optimale n’est pas atteinte car le taux de mortalité de la plantation est de 12 % au bout de trois ans. En outre, la conduite de la culture est complexe. L’entretien nécessaire s’avère encore insuffisant :fréquence et volume de paillage, quantité et qualité de fumure, produit phytosanitaire utiliséD’où. les dégâts des parasites et les dépérissements menacent l’état sanitaire et la qualité de la MV. Le niveau de production et le rendement de MV dépend donc du respect de la technique de production, de la variation saisonnière, de la place de la géraniculture dans el système de production des membres et du taux de mortalité des plants.
Par rapport à la situation prévisionnelle, ce tableau montre que les OP seront en mesure d’atteindre la capacité théorique (Annexe n°1) et la norme (1,25kg/pied). En effet, ce résultat est conditionné par la capacité techniqueet financière de chaque exploitant. Autrement dit, la capacité d’autofourniture d’intrants tels que les boutures de remplacement et la gestion de conduite de la culture qui sont indispensables.

Production d’HE

La société d’extraction et d’exportation d’HE produisait d’HE avant l’intervention du PSDR. Elle devient ensuite l’opérateur privé qui asure l’achat de la MV des OP en vue de transformation en HE destinée totalement à l’exportation. Le tableau suivant montre l’évolution de la production d’HE1 produite par la société d’extraction et d’exportation issue de la MV auto produite c’est-à-dire sans l’appui du PSDR. L’HE 2 est produite par la société d’extraction et d’exportation issue de la MV des OP appuyées par le PSDR.
De 2003 à 2004, le volume exporté a évolué positivement. Cela signifie que la demande d’HE existe car ce produit tient toujours une part de marché potentiel malgré la fluctuation du marché qui peut survenir. Ce tableau montre aussi qu’avant projet, la production de la société a tendance à augmenter alors qu’après elle a diminué. Cette baisse résulte de l’existence d’un contrat de vente de MV que les OP ont établi avec la société pour une durée de 4 ans dans le cadre de la collaboration avec PSDR. Ce qui démontre la diminution d’HE 1.
La production d’HE 2 issue de la MV des OP a augmenté de sorte qu’elle contribue significativement à la hausse de 79 % (Annexe n° 3) par rapport à la production totale d’HE. Cette hausse s’explique par l’effet de l’existence de ce contrat. Les 2 vagues d’OP sont incitées à produire davantage puisque l’achat de MV est assuré.
L’intervention du PSDR a donc poussé le partenariat entre les acteurs économiques : OP et opérateur privé pour développer cette filière.Cela permet la valorisation des produits de la filière grâce à la diversification des AGR des O P et à la promotion du produit d’exportation.

Rentabilité de l’investissement

La rentabilité de l’investissement est la raison d’être de l’exploitation. Selon Marx, cette rentabilité est aussi le taux de profit ou laCAF/investissement. Elle exprime la capacité à engendrer un revenu à partir de l’investissement initial. On va expliquer cette rentabilité par le TRI car il mesure l’efficacité de l’investissement lié à la géraniculture et à la production d’HE.

La rentabilité de l’investissement lié à la géraniculture

L’investissement initial est constitué par la subvention et l’apport bénéficiaire. Le TRI et la rentabilité de l’investissement initial sont donc les grandeurs utilisées pour expliquer cette rentabilité.

TRI de la production de MV

Après le calcul du TRI, on a constaté que l’investissement de P10 est plus rentable que celui de P14 avec un taux respectif de 16 % et de 9 % (Annexe n°1). Cela veut dire que l’investissement de P10 a dégagé plus de RNE que P14. Ce revenu élevé provient de la hausse de la production de MV de P10 en comparant avec celle de P14. Cette hausse résulte du choix rationnel de technique et d’entretien de la géraniculture puis de la réduction à 120 du nombre d’exploitants encadrés. Par conséquent, la charge éeller totale est moins importante que celle de P14. Cela démontre que le revenu net dégagé parP10 est supérieur à celui de P14, d’où le TRI l’est aussi. On peut conclure donc que la hausse du TRI dépend de la rationalité de l’exploitant par l’intermédiaire du choix de facteur de production tel que l’intrant et la main d’œuvre. Ce choix permet de maximiser la production tout en minimisant le coût de ces facteurs (3).

Rentabilité des composantes de l’investissement

L’investissement est composé de la subvention du PSDR et de l’apport bénéficiaire. La rentabilité de cet investissement dépend de la CAF dégagée par la géraniculture. Notons que la CAF assure le développement du cycle de production. On va expliquer ci-après cette rentabilité par l’importance de la CAF par rapport à la subvention et à l’apport bénéficiaire.

Table des matières

INTRODUCTION
I METHODOLOGIE
1. Etudes préliminaires
1.1.Choix du thème à étudier
1.2.Etude bibliographique et stages de recherche
1.3.Précision des composantes de la recherche
2. Etude sur terrain
2.1.Méthodes utilisées
2.2.Données collectées
3. Traitement des informations
3.1.Phase préparatoire
3.2.Méthode de traitement des données
II RESULTATS
1. Description du domaine de la recherche
1.1.Région de l’étude
1.2.Graphe de la filière géranium
2. Résultats économiques
2.1.Niveau de production de matière verte et d’huile essentielle
2.2.Rentabilité de l’investissement
2.3.Valeur ajoutée globale, répartition
3. Résultats socio-économiques
3.1.Importance de la catégorie sociale des membres
3.2.Satisfaction des besoins fondamentaux
III DISCUSSIONS
1. Forces de la filière géranium
1.1.Système d’organisation existant
1.2.Géraniculture : activité secondaire potentielle
1.3.Produit agro commercial et industriel intéressant
2. Faiblesses de la filière géranium
2.1.Problème d’ordre technique
2.2.Système de renforcement de capacité
2.3.Types de marché
3. Réflexion sur les conditions de pérennisation de la filière
3.1.Efficacité de l’étude de faisabilité
3.2.Existence d’un partenariat productif entre les acteurs de la filière
3.3.Quel processus pour un relais de développement
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *