Percevoir des choses : vouloir les nommer et les comprendre

UMTS

L’UMTS (Universal Mobile Telecommunications System) désigne une technologie de la famille dite IMT 2000 comme norme pour les systèmes de télécommunications mobiles dits de troisième génération. Les technologies développées autour de la norme UMTS conduiront à une amélioration significative des vitesses de transmission avec des débits supérieurs à 144Kb/s et pouvant aller jusqu’à 2.Mb/s (en zone urbaine, avec une mobilité réduite). De tels débits sont significativement supérieurs à ceux permis tant par les réseaux GSM actuels (9,6Kb/s) que par leurs évolutions prochaines (GPRS à 30 Kb/s). Cette amélioration des débits est rendue possible par l’évolution des technologies radio qui autorisent une meilleure efficacité spectrale et l’exploitation de bandes de spectre de fréquences supérieures à celles utilisées par la technologie GSM. L’UMTS permet en effet la convergence d’Internet et de la téléphonie mobile et ouvre le marché des services de « données mobiles », en mettant sur l’ensemble des territoires couverts « Internet au bout des doigts » de tout utilisateur disposant d’un appareil électronique communicant. Les réseaux UMTS devraient ainsi capter une part significative de l’accès à Internet au cours de la prochaine décennie. La combinaison de l’interactivité et de la mobilité permet d’imaginer l’essor de multiples services avancés. Nous pouvons distinguer trois grands types de services avancés en fonction de la clientèle: les professionnels, les particuliers et les services universels. Ils constituent une base de différenciation des systèmes. Les spécialistes considèrent à partir de là, 6 niveaux.

WiMax et LTE Basé sur un coeur de réseau IP, le système de télécommunication 4ème génération (4G) représente la convergence entre le réseau 3ème génération (type UMTS) et les diverses technologies radio complémentaires. L’objectif est de fournir aux utilisateurs des services sans interruption dans un environnement hétérogène. Les utilisateurs mobiles peuvent accéder ou échanger des informations indépendamment de leurs positions, du temps et en utilisant des équipements différents. Les réseaux 4G sont des réseaux hybrides qui intègrent différentes topologies et plateformes réseaux. Il existe deux niveaux d’intégration : l’intégration des différents types de réseaux sans fil hétérogènes avec leurs techniques de transmission (wireless LAN, WAN, PAN ainsi que les réseaux ad hoc) ; et l’intégration des réseaux sans fil avec l’infrastructure fixe, l’Internet et le réseau téléphonique fixe. Cependant, beaucoup de travail demeure pour permettre une intégration sans coupure, comme par exemple l’extension du protocole IP pour le support des stations mobiles. La figure est plus représentative de ce que l’on dit sur les réseaux de 4éme génération. Avec le réseau 4G, un utilisateur accède à ses données où qu’il se trouve : à son domicile ou dans son entreprise (Bluetooth, UWB ou Wi-Fi), dans la rue (UMTS) ou même dans les lieux publics équipés de hot spots. Passer d’un réseau à l’autre devient transparent.

Enfin, les débits (jusqu’à 100 Mbit/s en déplacement et 1 Gbit/s dans les environnements fermés) permettent d’accéder à plusieurs applications multimédias en parallèle. En offrant de plus rapides services aux utilisateurs avec des taux de données supérieurs à 100Mbps, cette génération de réseaux mobiles peut représenter une solution capable pour satisfaire tous les besoins de communication des utilisateurs en général, par laquelle un seul terminal offre une expérience incluant la voix, les données, le multimédia, et plusieurs autres services, qui ne sont encore pas disponibles dans les réseaux mobiles à cause des contraintes de bandes larges. Un tel terminal doit être capable de gérer différents standards et donc de satisfaire toutes les contraintes relatives à chacun d’eux. Cela reste pour le moment une étude théorique qui peut aboutir d’ici quelques années à la réalisation d’un vrai terminal mobile multistandard permettant d’atteindre des débits élevés pour le transfert de données ainsi que tout type de service multimédia.

Les Servlets : Server-side applet

Les Servlets sont une technologie qui à été développée par Sun. Elles sont en quelque sorte des applets, mais s’exécutant du coté serveur cette fois. Il est alors possible de gérer les requêtes HTTP qui parviennent au serveur hôte et cela avec du code java, alors que généralement on aurait utilisé un script PHP ou ASP. L’utilisation de Servlets a plusieurs avantages. Les Servlets correspondent à des programmes Java normaux qui utilisent des modules supplémentaires (ainsi que les classes et les méthodes associées) figurant dans l’API des Servlets Java. Une Servlet peut être chargé lorsque le premier client demande les services de la Servlet. Une fois chargées, les Servlets restent actives dans l’attente d’autres requêtes du client. Un client envoie une requête au serveur. Ce dernier transmet au Servlet les informations relatives à la requête. La Servlet créée ensuite une réponse que le serveur renvoie au client. Une Servlet peut traiter les connexions avec plusieurs clients en acceptant les données en entrée de plusieurs clients et en diffusant à ces derniers des résultats. Dans la mesure où il s’agit d’un programme Java : -La Servlet peut utiliser toutes les fonctions du langage Java lors de la création de la réponse. -Elle peut également communiquer avec des ressources externes tels que des fichiers ou des bases de données, ou avec d’autres applications (également écrites en langage Java ou dans d’autres langages), afin de créer la réponse et éventuellement de sauvegarder des informations relatives à l’interaction requête/réponse. Dans notre projet on a créé trois Servlets :

Apparition du Smartphone en quelques dates

La connaissance historique de la téléphonie mobile, permettait d’envisager sa possible évolution. La machine est déjà en marche, voici l’évolution technologique : les Smartphones. Bien entendu, la notion du téléphone intelligent n’est pas apparu d’un coup, mais en plusieurs étapes, en plusieurs essais, et donc à plusieurs dates. Commençant par Nokia Communicator 900 fut le premier appareil enclenchant déjà l’idée de PDA-téléphone: Une messagerie et un agenda électronique. Sa sortie est en 1996. Surgit ensuite le Alcatel One Touch Com en 1998, associé avec les japonais Sharper, c’est l’un des premiers téléphones agenda avec l’un des premiers écrans tactiles. Ensuite 2001, voit la naissance du Sagem WA305, premier Smartphone qui apparaît sous Windows Mobile avec écran tactile. Le Palm Treo 180 sera le premier Smartphone sous Palm OS. Lancer en 2002. Vint aussi la même année, le BlackBerry 5810 de RIM. Il sera jusque ici, le Smartphone le plus connu et acclamé par les travailleurs (cadres) du monde entier. C’est donc en 2002 que naît le Smartphone. L’entrée du Sony Ericsson P800, en 2003, a voulu marquer la foule, après plusieurs années de silence. Il sera le premier Smartphone à être sur la plateforme Symbian. Puis, HTC, qui deviendra l’un des plus grands par la suite, décide de produire le QTek S100 en 2004. Ça sera son premier succès, et lui permettra d’agrandir sa gamme par la suite. Ce téléphone est défini comme un ordinateur de poche, combiné à un téléphone. Sa plateforme est sur Windows. Puis, en 2006, apparaît le Nokia N95 en introduisant de nouvelles idées novatrices, dépassant la fonction d’assistant personnel. Le portable à tout pour plaire, tant au niveau de l’esthétique que du contenu. Cependant, un dernier appareil viendra chambouler ce siècle: L’Iphone d’Apple en 2007. Avec un accès assez rapide à internet, des programmes et des utilitaires, ainsi qu’une innovation au niveau de l’écran tactile, l’Iphone marqua l’esprit [6].

Conclusion générale

Le développement d’applications pour mobiles a de beaux jours devant lui. La mobilité devient un facteur clé de l’informatique et les systèmes d’informations. Les utilisateurs sont de plus en plus mobiles et veulent pouvoir accéder à leurs informations quel que soit le lieu où ils se trouvent. Les applications doivent donc être adaptées pour répondre à ce nouveau besoin. Pour cela, il existe plusieurs plateformes concurrentes pour simuler les différentes applications mobiles. Le choix était de travailler avec l’environnement J2ME selon notre contexte de travail et nos besoins. Ce travail expose une architecture logicielle complète d’un système de transaction bancaire à distance, pour le public. Cette solution non couteuse proposée, nous a permis d’adapter, déployer et de développer un service mobile de « M-Banking » et de manipuler les téléphone portables comme outils de base. Alors auparavant, un tel projet aurait nécessité de gros moyens ainsi qu’une grosse infrastructure, aujourd’hui un simple téléphone portable peut suffire. C’est dans cette vision qu’on peut imaginer des applications et des services pour ces types d’appareils qui n’étaient à la base que des outils de communications vocales.

Table des matières

RÉSUMÉ
REMERCIEMENTS
TABLE DES MATIÈRES
LISTE DES ILLUSTRATIONS
INTRODUCTION
SECTION VISUELLE : IMAGES DE L’EXPOSITION MANIÈRE DE FAIRE | MANIÈRE DE VOIR
URNES D’ARTISANES : EN MÉMOIRE DE LA PERTE
MISE EN FORME D’UNE CONSTRUCTION DOMESTIQUE
TÂCHES
RÉCIT IMAGÉ D’UNE PRATIQUE EN MOUVANCE
POINTS CHOISIS
RÉÉCRITURE
CHAPITRE PREMIER PERCEVOIR DES CHOSES : VOULOIR LES NOMMER ET LES COMPRENDRE
1.1 VERS UN SUJET DE RECHERCHE (GENÈSE)
1.2 ASSISES THÉORIQUES
1.2.1 LE FÉMINISME
1.2.1.1 D’OÙ JE PARS
1.2.1.2 TERMINOLOGIE DE BASE ET CONTEXTE
1.2.1.3 MA POSTURE FÉMINISTE
1.2.2 L’ART ET LE POLITIQUE
1.2.3 UNE ÉCRITURE FÉMININE
1.2.4 L’ARTISANAT TRADITIONNELLEMENT FÉMININ
1.2.5 LA RÉAPPROPRIATION
1.3 PROBLÉMATIQUE
1.3.1 OBJECTIFS ET SOUS-OBJECTIFS DE MA RECHERCHE
1.3.2 MÉTHODOLOGIE D’UNE RECHERCHE EN PRATIQUE ARTISTIQUE
CHAPITRE DEUXIÈME ART, ARTISANAT ET FÉMINISME : ARTISTES CHOISIES ET DIALOGUES
2.1 UNE HISTOIRE (UN CONTEXTE)
2.2 NADIA MYRE (L’IDENTITAIRE
2.3 GHADA AMER (L’ART ET LA FEMME)
2.4 ANNETTE MESSAGER (LE DOMESTIQUE ET LE SAVOIR-FAIRE)
CHAPITRE TROISIÈME MANIÈRE DE FAIRE | MANIÈRE DE VOIR : LES OEUVRES, L’EXPOSITION
3.1 VERS UNE EXPOSITION
3.2 URNES D’ARTISANES : EN MÉMOIRE DE LA PERTE
3.3 MISE EN FORME D’UNE CONSTRUCTION DOMESTIQUE
3.4 TÂCHES
3.5 RÉCIT IMAGÉ D’UNE PRATIQUE EN MOUVANCE
3.6 POINTS CHOISIS
3.7 RÉÉCRITURE
3.8 RETOUR SUR MES OBJECTIFS
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
A — CARTON D’INVITATION DE L’EXPOSITION
B — INFORMATIONS TECHNIQUES DES OEUVRES DE L’EXPOSITION

 

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