stratégie entrepreneuriale et modalité pratique pour une économie d’échelle

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Approches théoriques de développement Les apports d’Émile Durkheim

Emile Durkheim présente dans De la division du travail social (1893) une vision holiste du développement, aux accents évolutionniste. En effet, selon l’auteur, la division du travail social est « un résultat de la lutte pour la survie, mais elle en est un dénouement adouci. « Grâce à la division du travail, les rivau x ne sont pas obligés de s’éliminer mutuellement, mais peuvent coexister les uns à côté des autres »3. Ainsi, Durkheim considère que la division du travail provient essentiellement de l’accroissement de la population et de la « densité sociale ». Il y auraitun seuil critique au-delà duquel les humains choisissent de coopérer, de commercer entre eux, plutôt que de se combattre. Les communautés traditionnelles laissent place à la société moderne. Dans ce contexte, le système social de production sociale œuvre sans ces se à trouver une place aux nouveaux arrivants qui sont intégrés dans un tissu productifde plus en plus complexe. La division du travail serait la réponse de la société à l’accroissement du volume et de la densité sociale qui implique une « intensité plus grande de la lutte »4. Ce qu’explique Durkheim recouvre deux aspects étroitement liés entre eux : le passage d’une société moderne à une société traditionnelle à travers le dépassement de l’équilibre population-subsistance. Ce sont deux aspects essentiels du développement qui se conjuguent dans le phénomène de transition
démographique. Or, celui-ci a été observé (ou estbservé)o dans toutes les sociétés.
Les apports de Max Weber
La contribution de Max Weber à la compréhension du développement s’inscrit dans ses nombreuses analyses d’un processus qu’il considère être à l’œuvre dans toute société : le processus de rationalisation. Weber démontre dans L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme (1905) que les actions guidées par une rationalitéen finalité prennent une importance croissante au fil de l’évolution sociale. Si la religion est au centre du processus décrit par Weber, c’est aussi et surtout, pour l’auteur, un moyen explicatif en terme épistémologique. Autrement dit, ce ne sont pas les valeurs protestantes, telle que l’ascétisme, qui expliquent l’avènement du capitalisme ; il y a simplement une proximité entre ces valeurs religieuses et celles propres au capitalisme. Ce qu’explique Weber, c’est qu’à une certaine forme d’ordre social correspondent certaines valeurs, une certaine culture qui, en conférant un sens aux actions humaines, lesoriente. Pour résumer, l’évolution de l’ordre social (le développement) est accompagné par une transformation des manières de faire, de sentir, d’agir, de penser des membres de la société. À l’inverse, l’absence d’évolution des valeurs peut bloquer le processus de développement, ou du moins le compromettre.
Les apports de Karl Marx
Karl Marx offre une interprétation du développementcomme étant indissociable d’un système de rapports sociaux qu’il résume avecle terme « capitalisme ». Ce système se traduit notamment par la dépossession des instruments de production pour une partie de la population qui se constitue alors enprolétariat par la classe des capitalistes. Ce groupe social avait déjà été identifié par Adam Smith, parexemple, qui se méfiait de ses possibles abus de pouvoir (ententes sur les prix…). Marx cons idère que la position des capitalistes comme propriétaires des moyens de production se traduit par leur domination de l’espace social. Le capitaliste, exploite le prolétaire et accapare les profits issus de l’exploitation. Le rapport social marxien est donc fondamentalement inégal. Ce qu’explique Marx, c’est que le développement capitaliste est motivé par la recherche de profits qui sont eux-mêmes indissociables de la domination du prolétariat. Le développement capitaliste serait déséquilibré du fait de la répartition sociale dea lpropriété. Toutefois, dans l’optique marxienne, ce processus inégalitaire, producteur d’inégalités, est un passage obligé vers la libération de l’homme. Le capitalisme est voué à disparaître, emporté par la révolution prolétaire ; il contient en lui-même les germes desa propre destruction, de son dépassement par une forme sociale supérieure (socialisme, communisme).

Problématique du paysan local

• Le problème culturel
Ici, on parle de la culture traditionnelle et elle n’est pas considéré comme un obstacle fondamental du développement des paysans mais elle se présente comme un facteur qui limite le développement .Alors la conservation et la pratique de la tradition limitent le développement car les gens qui le pratique doivent suivre des règlements et ou gaspiller de l’argent ou autres ,mais le véritable source du problème c’est que la pratique de la tradition nécessite beaucoup de temps et dansce cas les gens sont obligés de diminuer leur temps de travail. Ainsi c’est la tradition qui dicte le comportement d’une partie de la population du Bongolava à s’abstenir de travailler tous les après midi (cf. « Bongolavatsymiasahariva » selon le proverbe de la région).Néanmoins certains personnes pensent que cela relève de la paresse. Entres autres exemples de traditions culturelles on peut également citer l’interdiction pratiquer toute forme de commerce certains jours de la semaines ;pour la plupart dans la région de Bongolava c’est le mercredi. Et pourtant la population de la dite région se plaint perpétuellement de la circulation des produits.
• Le problème de genre
Comme dans toutes les zones rurales à Madagascar, le problème de genre est considéré comme un des facteurs importants qui détourne le développement local vu le faible taux de participation des femmes dans le développement.Cet absence des femmes dans les activités de développement est intimementlié à la culture malgache (coutumes). La considération des femmes comme des éléments inférieurs par rapport au genre masculin donc ne pouvant s’occuper que des tâches ménagères et quelques travaux de champs engendreun grand déséquilibre entre le genre masculin et le genre féminin dans la contribution au travail de développement local.
• Le problème du comportement social
Un des cas spécifiques qui caractérise le problématique de développement local dans la commune rural de Bemahatazana, c’est le problème de comportement social.Ce problème est notamment dû à la présence de divers groupes ethniques qui vivent dans un même lieu et pourtant qui ont des coutumes différents .C’est le cas des JER qui sont affecté dans le fokontany d’Ambatobe qui est un territoire dominé par les Bara alors il y a souvent des conflits entre eux car se sont les Bara qui occupaient les terrains en premier et alors les autres qui veulent s’y installer tels que les JER doivent effectuer le fameux « Velam-ponenana » qui symbolise la clé de l’initiation du partage de la vie sociale.
• Le problème de migration
Le district de Tsiroanomandidy est très connu comme le berceau des migrants pourtant ce mouvement migratoire peut engendrer de problème dans le développement car les paysans autochtones n’apprécient pas les nouveaux migrants qu’ils les considèrent comme des individus qui vont prendre leur part de survie ainsi que leur terre. Il est clair que les gens migrent afin de trouver une vie plus stable. Mais ce n’est pas le cas pour les JER car dés lors où ils sont installés, les natifsde la région commencent à lancer maintes perturbations, voire même des menaces pour les déstabiliser. Cela se manifestes par les pillages et destructions des biens des nouveaux venus ; parfois même cela peut aller jusqu’à la sorcellerie et ou la malédiction à l’enc ontre de ces derniers.
• Le problème foncier
Notre enquête nous a permis de constater que dés ledébut de l’installation du PROJER dans le Fokontany d’Ambatofotsy le problème foncier existait déjà ; parce que les terrains prévus pour l’implantation PROJER étaient déjà occupé par des gens depuis la disparition de l’ex-ferme d’Etat; et la régulation de ce conflit entre le PROJER avec les natifs nécessite beaucoup de temps.
A ce jour nous pouvons affirmer que le problème foncier existe toujours dans beaucoup de zones rurales surtout dans des endroits enclavés tels que la commune de Bemahatazana.Les natifs de la commune arguent des années d’occupation et de mise en valeur des terrains pour prouver qu’ils sont les propriétaires légitimes des dits terrains. Or la législation est tout autre car on ne peut être propriétaire terriensans titres fonciers ni cadastres en bonne et due forme.
Le conflit survient alors quand le réel propriétaire intervient pour occuper son terrain. Cela se manifeste généralement par la destruction esd biens, le saccage des champs. Ainsi au lieu de se soutenir entre eux pour le développement les migrants deviennent des ennemis, des rivaux à cause des problèmes fonciers.
• Le problème de formation et d’information
Dans les zones rurales enclavés tels que la commune rurale de Bemahatazana, la défaillance en moyen de communication est une faiblesse dans la recherche du développement local, parce que les paysans ont besoins d’être informer ils doivent être au courant des nouvelles pratiques de l’exploitation moderne. Les paysans de Bemahatazana sont mal informés et manquent de sensibilisation. Certes il y a la radio, malheureusement la population ne s’intéresse qu’aux programmes de dédicaces. C’est surtout l’absence des leaders et des vrais techniciens pour les initiés qui empêche les paysans d’évoluer d’où leur techniques d’exploitation qui restent archaïqu es.
• L’absence d’infrastructures sociales (santé et éducation)
Parmi les bases du problème de dévelopement local dans cette commune est l’absence des infrastructures sanitaires, ainsi que le manque de moyen pour aménager des écoles et des centres d’éducation des jeunes.
Pour la santé, les enquêtes qu’on a menées ontrentm l’absence des centres de soin dans cette commune : on ne compte que 3 médecins libres tout prés de la mairie, donc en cas d’urgence les gens doivent se contenter des moyens sur place tels que les soins traditionnels car les lieux où se trouvent les médecins sont très éloignés pour les autres fokontany de la commune.Des fois les malades doivent marcher des kilomètres pourtant le médecin s’est absenté. C’est pour cette raison quela plupart des gens qui ont les moyens se déplacent à Tsiroanomandidy pour recevoir des traitements efficaces.
Du coté de l’éducation, c’est encore une affaire qui nécessite d’énormesprogrès. Dans la commune, l’éducation se résentep sous deux formes :on perçoit l’accroissement du taux de scolarisation en classe primaire qui s’est élevé à 95%, cela grâce au 19 EPP existant dans cette commune, p ar contre, il y a aussi le faible taux de scolarisation chez les adultes car on a constaté que le taux des chefs de ménage analphabètes atteint le 29,77% ;
Donc le niveau d’étude existant est limité à la classe primaire c’est-à-dire que dans une commune entière il n’existe que des écoles primaires et 1 seul CEG limité à la classe de 5 e et 6 e .Ainsi donc la plupart des élèves qui ont terminésleurs études primaires ne peuvent pas accéder aux études secondaires, dans ce cas cesenfants commencent à travailler ou à errer partout sauf pour les gens qui ont la possibilité de vivre dans les autres communes comme AnkadinondrySakay ou Tsiroanomandidy là où il s peuvent continuer à étudier.
Il est alors évident qu’il n’y aura pas de place pour le développement dans ce cas, car la connaissance des gens surtout celles des jeunes acteurs dans l’avenir ne s’améliorera et ne se développera jamais.

Problématique du PROJER

L’ensemble des problèmes du PROJER pour la réalisation du développement peut se traduire en deux façons, d’abord il y a ce que l’on considère comme les problèmes internes et en suite les problèmes extérieur, liés généralem nt avec les problèmes du paysan local.

Les problèmes internes du projet

Depuis son installation le PROJER a rencontré de nombreux problèmes. En premier lieu la défaillance de pilotage du projet, suivi del’absence de capacité de gestion avec une vision globale et stratégique permettant de déveloper une capacité anticipative et d’opérer selon une approche systémique et non selon une démarche linéaire avec des solutions ponctuelles. Outre la priorisation défaillante et l’absence d’outils performants de programmation l’articulation des séquences logiques du projet n’était pas opérationnelle et cohérente sur le terrain.
En second lieu la recherche de solutions ponctuelles à courts termes en l’absence d’une vision stratégique interconnectée a dominé lepilotage.
Par ailleurs le projet s’est lancé sans priorisation et avec une logique de rattrapage misant sur des réalisations quantitatives, comme exemple la 1ère et 2ème promotion de JER ont été handicapées et n’ont pas bénéficié des mesuresd’accompagnement.
Le projet a aussi subi des retards très pénalisant de la mobilisation et gestion des fonds notamment pour les campagnes agricoles. Le projet n’a pas bien réussi ses campagnes agricoles. Si la première dimension de mise à niveau des JER semble être maitrisée la seconde qui concerne la mise en valeur n’a pas étémaitrisée.
Il y a aussi le processus de suivi et d’évaluation peu consolidé, en conséquence on constate l’absence de traçabilité. En outre la faute d’un système de suivi-évaluation qui n’est pas orienté vers l’impact permettant de redresser la situation et d’améliorer la performance du projet est à déplorer.
D’une part, le PROJER a connu aussi de nombreuses complications avec les JER ou les jeunes entrepreneurs ruraux:
– Le projet n’a pas réussi à bien responsabiliser les JER (absence de coopération JER-JEA). Aussi, des relations conflictuelles ont parfois dominé les relations avec le projet (échange de suspicions, …)
– Compte tenu du retard le projet s’est placé d’emblé dans une logique de rattrapage. La précipitation vers des résultats quantitatifs aux dépens de la qualité a largement dominé le processus (sous estimation de la séquence pré-installation des jeunes, les stages d’imprégnation une séquence clédans la sélection2 a été réduite aux JER4 à une journée, …) sur le terrain de 117 JE R. Sur les 313 JER opérationnels seuls 6 % sont réellement installésurs leur exploitation (20 JER ont construit leur maison)
– Le faible taux de mise en valeur des terres, problème de valorisation du potentiel foncier alloué (sur les 12 ha octroyés les JER n’exploitent en moyenne que 4 à 5 ha) avec des rendements encore faibles (30 à 50 % d es rendements prévus selon les spéculations).
– Le détournement des matériaux par les personnels engrais,( riz, carburant…) qui doivent être utilisé pour soutenir les JER ; pourtant ces derniers se plaignent d’avoir une grande liste de manque dans leurs besoins quotidiens.

Les problèmes externes

Ce que l’on considère comme problèmes externes du PROJER c’est l’ensemble de toutes les difficultés que le projet croise et qui ont une relation avec son entourage tel que la population local et son environnement.
Ainsi donc les problèmes de développement local dela population ont des liensproches avec les problématiques de développements du PROJERcomme le problème de la mentalité des paysans. En effet les paysans restenttoujours fidèlesà l’anciennes pratiques dans l’agriculture malgré les efforts menés par lespersonnels du projet mais le plus grand problème avec la population autochtone c’est la question d’occupation foncière. La population devient rancunière à cause de la faço n dont le PROJER a pris leurs terres, ainsi, certaines personnes se montrent hostiles par rapport aux activités organisées par le PROJER même si c’est pour leur bien. Et cela empêchd’élargir la collaboration entre les acteurs de développement et la population locale.
Il y a aussi l’absence d’une technique pour instaur er directement la pratique entrepreneuriale au niveau de la population locale alors les gens n’ont qu’à imiter se que font les Jeunes Entrepreneurs Ruraux qui s’installent ou qui sont en relation avec eux ; mais la population n’a jamais eu de formation directe sur le sujet de l’entrepreneuriat rural.

Problématique de l’autorité locale

La principale source de problème au niveau des dirigeants c’est le manque d’information au niveau de la réalité dans la vie de la population car il n’y a pas assez de communication directe entre les autorités locales et la population locale ainsi ces dirigeants ne savent que quelques facettes du quotidien de la population.
En plus dans cette région du Bongolava, l’insécurité liée au vol de bœufs par les « Dahalo »est considéré comme un problème de taillepour l’autorité est cela freine le développement local car le marché de zébu détiente lpôle position dans l’activité économique de cette région.
D’une part, les forces de l’ordre visent à obtenir la confiance et l’adhésion de la population afin qu’elle participe à cette intermina ble lutte contre l’insécurité. Néanmoins, le problème de l’éloignement du tribunal de Miarinarivo où devrait se dérouler les enquêtes, reste un grand obstacle pour pouvoir suivre la procédure judiciaire des inculpés.
Mais, c’est surtout la crainte d’une cruelle vengea nce qui reste toujours une menace assez sérieuse pour ce lui qui ose donner des informations.
Et d’autre part, les gens constatent aussi au niveau des autorités la présence inadmissible de la corruption dans tous les domaines et cette corruption est plus ou moins liée à ce problème d’insécurité car la populationffirmea qu’il y a de relation douteuse entre les « Dahalo » et certaines personnes de l’autorité.
Pour les dirigeants au niveau de la commune, la problématique de développement local est caractérisée par l’absence des élémentsuivants :
– Révision de la politique agricole ;
– Soutient à la production agricole ;
– Stratégie efficace de lutte contre l’acte de banditisme ;
– Promotion de la santé et d’éducation pour la famille paysanne et l’accès à l’eau potable;
– Lien entre les acteurs de développement et les représentants des organisations paysannes ;
– Mobilisation pour la création des groupements paysans ;
– Exemple de variété de culture,
– Sensibilisation pour adopter les techniques de production moderne

Dimension centrale des problématiques

Dans son ensemble, pour les zones enclavées tels que la commune rurale de Bemahatazana et surtout dans le district de Tsiroanomandidy,la problématique de développement se caractérise le plus souvent par l’insécurité rurale liée au vol de bœufs et le délabrement des routes, pourtant c’est l’implication de chacun pour être cause de ces problèmes du développement rural qui accentuent deplus la pauvreté en milieu rural.
Cela commence au niveau des autorités locales qui montrent leur faiblesse au niveau de la société à travers la corruption ainsi le manque d’informations sur la réalité de la population, sans oublier l’absence d’une politique de développement stable et bien élaboré. Par ailleurs l’inconstance des projets qui est du généralement au non respect des étapes du développement ruralqui normalement doit commencer par le développement culturel car c’est la culture qui est la cause des différents conflits au niveau de la société, et entrave le développement local et engendre l’indifférence envers d’autres individus tels que les migrants. Entre autre la présence de l’individualisme au niveau de la population pousse les gens à penser que les zones enclavés constituent un monde sans foi, ni loi et que les autorités n’ont rien à faire dans la vie quotidiennes de la population d’où l’absence chronique de l’Etat.

Table des matières

Introduction générale
Première partie : Problématiques de développement et structures disponibles
Chapitre 1 : approches théoriques et problèmes de développement
1. approches théoriques de développement
2. Problématiques du paysan local
3. Problématiques du PROJER
4. Problématiques de l’autorité locale
5. Dimensions centrales des problématiques
Chapitre 2 : état de lieu et le PROJER Localisation de la commune rurale de Bemahatazana
1. Milieu humain
2. Milieu physique
3. Vie sociale
4. Situation économique
5. Les migrants
6. Le PROJER
Conclusion
Deuxième partie : les pratiques entrepreneuriales
Chapitre 3 : le PROJER sur terrain
1. Zones d’interventions du PROJER
2. Missions du PROJER
3. Activités du PROJER
3.1 sécurisation foncière
3.2 développement et réhabilitation des infrastructures
3.3 installation et appui au JER
3.4 mesure d’accompagnement et crédit rural
4. intégration des JER dans leur nouvelle vie
5. activités économiques des JER
6. Problèmes des JER
Chapitre 4 : les JER dans leur environnement
1. Interaction entre JER et la population locale
2. Interaction entre JER et la valorisation des ressources
3. Interaction entre JER et les institutions publiques privées
4. Résultat
Chapitre 5 : impact du projet (PROJER) sur le développement local
1. Les apports du projet
2. Les synergies entre PROJER et logiques paysannes
2.1 Les principaux points forts du projet
2.2 Les principaux points faibles du projet
Conclusion
Troisième partie : prospectives de leadership entrepreneurial
Chapitre 6 : acquisitions et suggestions des autres entités
1. Acquisitions
2. Suggestion de la population locale
3. Suggestion de l’autorité locale
4. Suggestion des JER
Chapitre 7 : stratégie entrepreneuriale et modalité pratique pour une économie d’échelle
1. Stratégie
2. Modalités pratiques
Conclusion générale

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