Théories économiques orientées aux accès aux ressources des femmes et des hommes

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APPROCHE POLITIQUE DU GENRE 

On va surtout parler dans cette partie de l’approche de l’ « empowerment » ou la prise de pouvoir par les femmes. Parler de la politique dans un concept de développement est une nécessité puisque la politique influence beaucoup le développement. Et dans notre approche, on ne va parler de la politique que sous un axe : « la prise de pouvoir et de décisions» par les femmes.

La conception Weberienne de pouvoir :

On va en parler pour introduire l’influence de pouvoir dans le Genre. Pour M. Wéber, le pouvoir s’impose avec le monopole des violences physiques. Et on parle de violences puisqu’il y a plusieurs types de violences physiques, morales, etc. Selon lui, il y a (3) trois types de pouvoir légitime : l’idéal type charismatique, le pouvoir ypet traditionnel et l’idéal type légal-rationnel. Mais ce qui nous intéresse c’est le type de pouvoir entre l’homme et la femme et aussi des violences à l’égard des femmes.

L’ « empowerement » :

Sur ceux, on va donc parler de « la prise de pouvoir » ou de l’ « empowerement » en anglais.Par définition,« l’« Empowerment»estunprocessus d’intervention fondé sur la reconnaissance et ledéveloppement du pouvoir de l’individu et du renforcement des capacités pour dépasser les obstacles qui entravent l’accès à l’égalité » A la base du terme empowermentse trouve la notion de power, « pouvoir », ce qui exprime bien l’importance de reconsidérer les rapports hommes/femmes en termes de rapport de pouvoir et de domination.Le concept même de « pouvoir » ne veut pas le renforcement d’un sexe par rapport à l’autre, mais bien revoir les rapports entre les hommes et les femmes dans une perspective plus juste, égalitaire. Et on rappelle que l’approche Genre ne tente pas à marginaliser le s hommes mais plutôt d’élargir la participation des femmes à tous les niveaux. Il n’est donc pas co nsidéré comme « le pouvoir des femmes pour dominer les hommes » mais « il s’agira d’une renégociation permanente entre les deux sexes et les autres acteurs de la société pour atteindre une capacité individuelle et collective de prise en charge et de justice sociale »11. Parmi les différents débats sur la notion de pouvoir, pour aborder le concept d’ « empowerment », nous allons distinguer quatre types de pouvoir 12:
– le « pouvoir sur » : cette notion repose sur des rapports soit de domination, soit de subordination, mutuellement exclusifs. Elle suppose que le pouvoir n’existe qu’en quantité limitée, c’est un pouvoir qui s’exerce sur quelqu’un ou, de manière moins négative, qui permet de « guider l’autre ». Il suscite des résistances qui peuvent être passives ou actives. Par exemple,une femme qui a la compétence de faire le commerce, ne peut le faire que sur autorisation de son mari ;
– le « pouvoir de » : un pouvoir qui comprend la capacité de prendre des décisions, d’avoir de l’autorité, de solutionner les problèmes et de développer une certaine créativité qui rend apte à accomplir des choses. La notion renvoie donc aux capacités intellectuelles (savoir et savoir-faire) et économiques (avoir) ; à l’accès et au contrôle des moyens de production et des bénéfices ;
– le « pouvoir avec » :pouvoir social et politique, il met en évidence la notion de solidarité, la capacité de s’organiser pour négocier et pour défendre un objectif commun (des droits individuels et collectifs, des idées politiques : lobbying, etc.). Collectivement, les gens sentent qu’ils ont du pouvoir lorsqu’ils s’organisent et s’ unissent dans la poursuite d’un objectif commun ou lorsqu’ils partagent la même vision. Exemple : onstruction d’une maternité ; pouvoir des associations féminines pour résoudre leurs problèmes;
– le « pouvoir intérieur » :cette notion de pouvoir se réfère à l’image de soi, l’estime de soi, l’identité et la force psychologique (savoir être)Elle. se réfère à l’individu ; comment, à travers son analyse, son pouvoir intérieur, il est capable d’influencer sa vie et de proposer des changements.
Les inégalités en matière de pouvoir font preuve d’une résistance considérable. Que ce soit àl’échelon familial, communautaire ou institutionnel, le droit des femmes à la parole demeure trèslargement formel. Dans de nombreux pays, elles n’ont toujours pas le droit de posséder un terrain, degérer une propriété, de diriger une entreprise ou même de voyager sans le consentement de leur mari.
Quant à l’implication des femmes dans la scène poli tique, l’obtention du droit de vote, symbole de la lutte contre l’inégalité politique, n’a été acquis, que très progressivement et au prix de nombreuses luttes : « à la fin du XIXe pourles p ionnières (1893 pour les néo-zélandaises), très récemment pour certains pays pourtant réputés enmatière de défense des droits humains (1971 pour la Suisse) et certains s’obstinent dans le refus(Koweït notamment). Les femmes demeurent largement sous-représentées aux assemblées localeset nationales, avec une moyenne de moins de 10 % des sièges au Parlement (sauf en Asie de l’Est oùelles occupent entre 18 et 19 % des sièges). Dans les régions considérées comme développées, femmesles occupent à peine 8% des positions ministérielles (Banque Mondiale, 2003) » . Certes, l’égalité devant le droit de vote est énocée dans des articles de certains pays du Monde comme à Madagascar dans l’article de la Constitution et aussi que les femmes sont éligibles, elles ne jouissent jamais de leur droit à cause d’une discrimination indirecte de la mentalité machisme du commun des mortels. En guise d’exemple, Brigitte RASAMOELINA a affirmé dans un article de journal paru hebdomadairement « qu’au sein du Congrès de la transition, sur les 365 membres, seulement 64 sont des femmes, ce qui ne représente même pas 20% ».
Encore une discrimination se présente au niveau de la politique et fût alors née l’ « empowerement » pour passer à une égalité. Qu’en est-il de la place de la femme et de l’homme au niveau de l’économie ?

APPROCHE ECONOMIQUE : APPROCHE DE KEYNES, DE MARX ET D’ADAM SMITH :

On parle du Genre associé au Développement et doncil n’est jamais séparé du domaine de l’économie et surtout des théories économiques. Enen parlant, on va parler des ressources de la femme, de leur revenu, leur emploi et de la division de travail.
On sait très bien que chaque activité, qu’elle soitcommunautaire, de reproduction ou de production exige des ressources et procure des avantages (économiques et/ou sociaux) à celui qui l’exerce, à sa famille et/ou à sa communauté. Mais les femmes ne disposent pas de ressources à effectuer une activité décente alors que la productivité et les revenus du travail dépendent de la capacité et de l’efficacité de l’individu qui exerc l’activité et aussi de son accès aux ressources. Mais comme les femmes n’en disposent pas, à cause d e la défaillance de leur éducation et de leur santé et aussi de leur exclusion au niveau de la société, elles sont condamnées à gagner peu, de plus, ce qu’elles gagnent se retrouvent en grande partie dans les dépenses familiales. Comment les grands théoriciens voient ces formes de l’inégalitéde répartition de ressources ?

La théorie de Keynes (1823-1946), de Marx (1818-1883) et de Thomas Robert Malthius (1766-1834):

On peut emprunter la théorie de sous-consommation de Marx, de Keynes et de Malthius pour illustrer les aspects de l’inégalité de la répartition de revenu. Keynes et Marx, qui sont les précurseurs de la « théorie multi variable endogène» portent leurs études sur la détermination des variables explicatives de la crise du système économique.
Keynes, lui, il parle de la répartition inégale derevenu et que cette dernière entraîne la crise économique d’un pays. Alors que le revenu est inégalement réparti entre les hommes et les femmes d’après ce qu’on a expliqué ultérieurement.
Quant à Marx, il affirme que la sous-consommation p rovient de l’insuffisance de Revenu des travailleurs. Et cela explique la dégradation de l’espérance de vie des femmes car leur revenu est très inférieur qui entraîne leur sous-consommation se manifestant par leur malnutrition. Alors il faut augmenter la plus-value et alors maintenir le salaire à un niveau minimal. Ce qui engendre un problème de débouché et conduit enfin à la crisede surproduction au niveau de l’économie d’après Marx.

La théorie de l’accès aux ressources : la théorie de François QUESNAY et le « microcrédit » :

Plusieurs sont appelées ressources en économie : la terre, le crédit, la formation, organisations, etc.
La ressource « terre » associé à la théorie deFrançois QUESNAY (1756-1768) :
Si on veut voir l’activité agricole, on parle de la ressource « terre ». Et d’après F.QUESNAY, seule l’activité productive est capable de produire un « produit net » et c’est l’origine de la richesse. Et la propriété de la terre se fait, en général, par la tradition : transmission aux familles d’une génération à une génération. Etcomme l’on a vu ultérieurement, dans le cas fréquent, les héritages sont destinés aux fils nonaux filles de la famille. Ainsi, la plupart des femmes ne disposent pas de terre cultivable. L’accès aux ressources foncières selon le droit traditionnel est donc loin d’être égalitaire.En outre, diverses normes socialesinterdisant aux femmes de posséder un titre de propriété. Et si unefemme travaille comme agriculteur c’est que soit elle travaille comme une simple salariée c’est-à-dire qu’elle travaille pour les terres des autre s en échange d’une moindre salaire, soit qu’elle travaille pour aider son mari ou travaille sur la terre de son mari pour une autosubsistance. Et tout cela entraîne son gain négligeable.
La ressource financière associée au « microcrédit »:
Si on parle du secteur financier, on peut parler du crédit car le capital disposé ou prêté d’un individu est l’une des ressources dont dépend sa productivité. Mais les femmes ne peuvent pas permettre de disposer de bénéficier du crédit car no considère leurs activités comme un prolongement de leurs tâches ménagères non des activités économiques par leur petite dimension et leur caractère saisonnier. Les femmes sontégalement très souvent défavorisées en matière d’accès à des ressources financières extérieures telsque les crédits bancaires (faute de garanties, mais aussi de capital humain et social nécessaire à lanégociation et à la compréhension des procédures).
Mais des études concernant le Genre ont apporté sonfruit et dans de nombreux pays, des ONG accordent du crédit même moindre pour qu’elle uissep créer un emploi même informel pour survivre et aussi pour nourrir sesenfants vu que le monoparental est en vogue de nos jours. Donc, en général, les crédits alloués aux femmes sont deptites sommes provenant de réseaux informels et sont investis dans des activités génératrices derevenus, dans la consommation du ménage ou dans les activités sociales. Contrairement aux hommes qui bénéficient souvent de crédits plus substantiels leur permettant d’acquérir des moyens et du matériel de production.
Bref, l’accès aux ressources est aussi en faveur des hommes, l’exclusion à l’égard des femmes joue encore son tour dans ce domaine. Qu’en est-il de la division sexuelle de travail ?

La division sexuelle de travail et la théorie d’Adam Smith :

La théorie d’Adam Smith (1723-1790) :
Ce père fondateur de l’économie classique a démontré, dans son œuvre « Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations », sa conception de la richesse en la définissant comme produit du travail humain. Selon lui, le facteur déterminant de la croissance économique est la division de travail, qui selon lui, est la source de l’enrichissement des nations. Il y a donc un effet de la productivité de Division de Travail.
Il a même affirmé que « le travail est la source primitive de toute valeur échangeable » et c’est la base de la théorie de la production et répartition des revenus.
Le marché sexué de travail:
En parlant de l’emploi, on devra faire référence à ce qui était dit ultérieurement notamment l’inégalité au niveau de la scolarisation et le rôle traditionnel accordé aux femmes. L’effet pervers du niveau bas de la scolarisation des femmes est leur incapacité à participer au processus de production par rapport aux hommes.
Les femmes restent concentrées dans des secteurs d’activité moins valorisés et donc moins payés.Ce « marché sexué de l’emploi » existe quelsque soient les pays : les femmes sont surreprésentéesdans les postes de service, les emplois techniques et professionnels, les emplois de bureau et de vente,alors que les hommes sont majoritaires dans les emplois de production ainsi que dans les postes dedirection et d’administration c’est-à-dire les mieux payés. Dans les pays privilégiant l’emploi salarial (les pays du Nord), lesfemmes sont beaucoup plus nombreuses dans les emplois précaires et à temps partiel. Dans les pays où l’auto-emploi et le secteurinformel dominent, les femmes sont quasiment exclues des emplois formels, et donc de touteprotection sociale, elles sont surtout axées par l’emploi informel tel que la broderie, lessiveuse, vendeuses de légumes, femmes de ménage, couturières, coiffeuses,etc. En milieu rural, elles sont cantonnées aux cultures vivrières qui certes, assurent lasécurité alimentaire familiale, mais sont beaucoup moins rémunératrices que les cultures d’exportation,réservées aux hommes. En milieu urbain, petit commerce, restauration, sous-traitance sous forme detravail à domicile sont souvent les seules options possibles, faute de capital, de formation mais aussi faute de temps. Ces inégalités de ressources sont d’autant moins supportables que lesfemmes travaillent en général plus que les hommes. Des statistiques réalisées par le PNUD au oursdesc années 90 montraient que dans lequasi-totalité des pays, le temps de travail des femmes étaitsupérieur mais en large partie invisible puisque non rémunéré comme son rôle de mère et d’épouse, par exemple. Toujours selon les mêmesstatistiques, environ 2/3 du temps de travail des hommes est consacré à des activités rémunérées etcette proportion est inverse pour lesfemmes. 2/3 de leur temps de travail passe donc complètementinaperçu et dans les pays du Sud, cette proportion atteint les ¾ (PNUD, 1995).Et aussi, quels que soient les pays, les femmes assument la quasi-totalitédes tâches familiales et parfois communautaires.
Pour conclure toujours en matière économique, les emmesf sont toujours défavorisées en matière d’accès à la propriété. Les inégalités faceàl’héritage, qu’on a évoqué au-dessus, sont ici en cause, ainsi que diverses normes socialesinterdisant aux femmes de posséder un titre de propriété, alors que mêmela législation prévoite unégalité de droits. Cette question de l’accès à la propriété, faut-il le préciser,est déterminante ans:d les pays à dominante agricole, c’est-à-dire bon nombre de pays du Sud, l’accèsà la propriété restela principale source de pouvoir économique, social et symbolique. Les femmes sontégalement trèssouvent défavorisées en matière d’accès à des ressources financières extérieures telsque lescrédits bancaires (faute de garanties, mais aussi de capital humain et social nécessaire à lanégociation et à la compréhension des procédures). La Division de Travail que prône Adam Smith ne serait possible au niveau Genre à cause de non accès aux ressources des femmes. Que propose alors la grille d’analyse de l’école de l’Harvard en ce qui concerne l’accès aux ressources et décisions? Mais avant d’entamer la grille d’analyse, parlons d’abord de l’approche théorique proprement dite du Genre notamment « les femmes dans la théorie économique ».

APPROCHE THEORIQUE DU GENRE :

Théories économiques orientées aux accès aux ressources des femmes et des hommes :

Ecole institutionnaliste :

Ce courant spécifie le rôle des institutions comme l’Etat ou bien encore la famille dans la formation et le développement des processus économiques. L’institutionnalisme se différencie par le rejet des principes fonctionnalistes individuel (néoclassique) et social (marxiste). Ce courant montre notamment que les institutions ayant un rôl e déterminant dans l’expérience professionnelle, ce sont elles non le manque de valorisation du capital humain comme le soutiennent les néoclassiques qui sont à l’origine des inégalités de salaires entre les hommes et les femmes. L’étude des processus culturels peut également servir à expliquer les différences entre les sexes par le biais de construction de mythes, par exemple, celui de la « maternité innée » c’est-à-dire l’existence de caractéristiques « naturelles » des femmes qui les rendraient plus aptes au travail domestique. La construction de ces mythes reste cependant inexpliquée.

Perspective marxiste :

Le travail domestique s’analyse comme l’effort lié à la production de valeur d’usage donnant lieu ou non à un échange marchand. Pour certains, la situation des femmes dans la famille et le travail domestique répondent à la logique du capital. Il en résulte que la lutte des femmes fait partie de la lutte des classes. D’autres, au contraire, opposent la logique du capital à la logique du patriarcal. Les femmes dans la famille sont exploitées par les hommes. Les femmes constituent donc une classe spécifique et antagoniste des hommes. La lutte des femmes est autonome vis-à-vis de la lutte des classes. Pour d’autres encore, il est nécessaire d’articuler les deux logiques. Ainsi, la fin du capitalisme ne signifiera pas la fin de l’oppression des femmes. Inversement, le patriarcal ne peut se comprendre sans sa base matérielle, à savoir qu’il repose sur le contrôle exercé par l’homme sur le travail de la femme à l’intérieur comme à l’extérieur du foyer.

Segmentation du marché de travail:

La théorie distingue deux marchés de travail : primaire et secondaire. Les emplois du marché primaire se caractérisent par une rémunération plus élevée et de meilleures conditions de travail. Cette théorie d’un double marché de travail permet de mieux comprendre l’inégalité des hommes et des femmes en montrant la distribution sur le marché et selon les professions.
Dans le segment féminin, les salaires sont plus bas et l’éventail des professions et des expériences est plus réduit. Au moment de recrutement, et en raison de coûts d’information et de prospection, l’employeur aura rationnellement tendance à recruter dans le marché primaire où se trouve concentrés les hommes et à délaisser le marché secondaire où se trouvent les femmes. Etant donné que les hommes ont suivi une meilleure formation et ont plus d’expériences, les employeurs ont toujours une préférence pour eux et la ségrégation se perpétue.

Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE I- APPROCHE THEORIQUE DU GENRE ET DEVELOPPEMENT
Chapitre1: LES DIFFERENTES APPROCHES DU GENRE
I- APPROCHE SOCIOCULTURELLE DU GENRE
I-1 Genre et tradition
I-2 Genre au niveau social
II- APPROCHE POLITIQUE DU GENRE
II-1 : La conception Weberienne de pouvoir
II-2 : L’ « empowerement »
III- APPROCHE ECONOMIQUE : APPROCHE DE KEYNES, DE MARX ET D’ADAM SMITH
III-1 : La théorie de Keynes (1823-1946), de Marx (1818-1883) et de Thomas Robert Malthius (1766-1834)
III-2 : La théorie de l’accès aux ressources : la théorie de François QUESNAY et le « microcrédit »
III-3 : La division sexuelle de travail et la théorie d’Adam Smith
Chapitre2 : APPROCHE THEORIQUE DU GENRE
I- Théories économiques orientées aux accès aux ressources des femmes et des hommes
I-1 Ecole institutionnaliste
I-2 Perspective marxiste
I-3 Segmentation du marché de travail
II- Théories économiques orientées au domaine socio-culturel du Genre
II-1 Economie de la violence domestique
II-2 Ségrégation socioculturelle
II-3 Théorie du capital humain
PARTIE II : LES GRILLES D’ANALYSE DE L’ECOLE DE L’HARVARD et LE CAS DE MADAGASCAR
Chapitre 1 : LA GRILLE D’ANALYSE DE L’ECOLE DE L’HARVARD
I- Principe et le profil d’activité
I-1 Principe
I-2 Le profil d’activité
II- Le profil d’accès aux ressources et aux bénéfices et de leur maîtrise
III- Les facteurs d’influence et l’analyse du cycle du projet
III-1 Les facteurs d’influence
III-2 L’analyse du cycle du projet
Chapitre 2 : GENRE ET DEVELOPPEMENT A MADAGASCAR
I- Genre et Développement à Madagascar selon le rapport de PNUD
I-1 Suivi des indicateurs des OMD (Genre)
I-2 Caractéristiques des ménages à Madagascar
I-3 Les indicateurs macroéconomiques du Genre
II- Genre et Développement à Madagascar par rapport à la grille d’analyse de Harvard
II-1 Le profil d’activité à Madagascar
II-2 Le profil d’accès aux ressources et aux bénéfices à Madagascar
II-3 Les facteurs d’influence et l’analyse du cycle du projet à Madagascar
II-3-1 Les facteurs d’influence
II-3-2 L’analyse du cycle du projet
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE et REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES

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