Biologie – bactéries

BIOLOGIE

BIOLOGIE – AUDITION-1

L’environnement sonore des étudiants du Collège André-Grasset Par Julie Marceau (hiver 1995) Résumé L’expérience suivante tentait de tracer un portrait global des intensités sonores auxquelles sont soumis les étudiants en évaluant, à l’aide d’un sonomètre, le niveau sonore de plusieurs endroits qu’ils fréquentent dans le Collège, mais aussi dans l’autobus, le métro et même dans une discothèque. Nous avons également mesuré l’intensité à laquelle treize jeunes écoutaient leur baladeur. Les résultats ont démontré que seule l’Escale et la discothèque pouvaient provoquer une fatigue auditive. Les intensités mesurées étaient élevées mais elles ne causeront pas de perte permanente d’audition.

BIOLOGIE – AUDITION-2

Influence des fréquences sur la diminution temporaire du seuil auditif Par Mylène Dandavino et Marianne Roussy (hiver 1996) Résumé Le but de notre recherche consistait à déterminer l’influence relative des différents niveaux fréquentiels sur la diminution temporaire du seuil auditif, dans un échantillon composé d’étudiants du Collège André-Grasset. Ce seuil auditif, mesuré à l’aide d’un audiomètre, était évalué par un test d’audition qui précédait et suivait les trois séances d’écoute, pour lesquelles des écouteurs et un magnétophone étaient utilisés. Les données recueillies ont démontré une diminution du seuil plus marquée pour les hautes fréquences que pour les fréquences originales. Les basses fréquences ont par contre causé un résultat contraire. La diminution temporaire du seuil auditif est donc influencée par le niveau fréquentiel de la musique.

BIOLOGIE – BACTÉRIES-1

Effets bactériostatiques et bactéricides de certains produits à usage domestique Par Sophie Lapointe et Karine Sabourin (hiver 1995) Résumé Tout a commencé au laboratoire de biologie lors d’une froide journée d’hiver. Nous nous demandions alors si notre univers était peuplé de bactéries et si celles-ci pouvaient facilement être tuées par des produits domestiques. Il fallait donc tester leurs effets sur des souches choisies. Pour ce faire, nous avons prélevé des bactéries dans notre environnement et utilisé des produits domestiques en fonction du lieu de prélèvement. Plus précisément, nous avons d’abord obtenu des cultures mixtes que nous avons repiquées. Nous avons testé les produits sur les cultures pures ainsi préparées. Nous avons pu constater l’effet (bactéricide, bactériostatique ou nul) caractéristique sur chaque culture pure, le même produit pouvant avoir différents effets selon la bactérie analysée. Ayant établi comme hypothèse de départ que tous les produits testés empêchaient la croissance bactérienne, les résultats de l’expérience nous ont permis de l’infirmer. En somme, nous avons appris qu’il fallait se méfier des publicités de certains produits antibactériens car elles pouvaient être trompeuses…

BIOLOGIE – BACTÉRIES-2

Par Sabine Roussin et Rosalie Langevin (hiver 1997) Résumé Ce travail de recherche porte sur la transmission d’un facteur de fertilité chez les bactéries. À partir de ce principe, l’hypothèse suivante fut posée: en mettant une bactérie receveuse, sensible à un médicament en présence d’une bactérie donneuse, résistante à ce médicament, nous créerons une bactérie résistante au médicament, présentant des caractéristiques de la souche sensible. Afin de vérifier notre hypothèse, nous avons utilisé la bactérie Escherichia Coli. Nous avons dû cultiver cette bactérie en milieu nutritif et la manipuler constamment en milieu stérile. L’expérience initiale, effectuée en fonction de l’ampicilline et de la tétracycline, n’a pas abouti. Conséquemment, nous avons entrepris une seconde expérience, orientée vers des souches différentes d’Escherichia Coli et évaluant leurs réponses lorsqu’introduites dans la streptomycine. Le résultat de cette démarche fut concluant : une colonie résistante à la streptomycine mais

BIOLOGIE – BACTÉRIES-3

Étude de l’effet d’un produit sur une bactérie qui lui est propre et étude de la croissance bactérienne en fonction du temps de contact avec un produit Par Sabrina Arciero, Maude Saucier et Nadine Tremblay (hiver 1998) Résumé Cette recherche visait à déterminer l’effet nul, bactériostatique ou bactéricide de certains produits d’usage courant sur des bactéries. Nous voulions également démontrer la décroissance exponentielle des populations de micro-organismes suite à l’addition de substances telles le vinaigre, le Vim, le Spray Nine, le rince-bouche de marque Personnelle et le savon de chimie. Notre hypothèse principale étant que ces produits ont un effet inhibiteur sur les bactéries ayant un rapport direct avec eux, nous avons alors utilisé des instruments et certaines techniques de base en microbiologie pour confirmer ou infirmer cette hypothèse. Suite à cette étude, nous avons confirmé cette hypothèse pour le Vim et le Spray Nine, mais non pour les autres produits. Cette conclusion est cependant précaire puisque nous avons testé chaque produit sur un seul type de bactéries. De plus, notre deuxième hypothèse affirmant que les produits agissent sur la croissance des populations bactériennes en fonction du temps n’a pu être vérifiée.

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