Caractérisation des étangs pour une optimisation de la pisciculture traditionnelle en Basse-Casamance

Caractérisation des étangs pour une optimisation de la pisciculture traditionnelle en Basse-Casamance

Facteurs physico-chimiques de l’eau influançant la pisciculture

 La température est considérée comme l’un des facteurs les plus importants en élevage de poissons. Elle influe sur la croissance, la reproduction et la survie des poissons (Azaza et al., 2007). Les températures observées sont assez élevées (27,5°C en moyenne), donc favorables à une bonne croissance et reproduction des poissons particulièrement les carpes. D’une manière générale, une élévation de température jusqu’à un niveau optimal accélère la croissance des poissons alors qu’une baisse de celle-ci provoque l’effet inverse. Par ailleurs, dans les régions subtropicales africaines, un arrêt de croissance est observé pendant la saison froide alors que la reprise de croissance n’intervient que lorsque la température augmente (Lwamba et al., 2015). On note un écart important entre les valeurs moyennes de températures minimales (23,5°C) et celles des températures maximales (32,5°C). Les plus faibles températures sont notées en décembre dans la zone proche de l’estuaire qui subit l’influence maritime. Les plus élevées sont notées en juillet-août dans des zones éloignées de la façade maritime et accentuées par la profondeur relativement faible des étangs. Cependant, dans la présente étude, les écarts de températures des eaux entre étangs d’une même zone restent faibles (27,5±5,11°C). Par ailleurs la salinité est un paramètre important, qui influe aussi sur la croissance, la reproduction et la survie des poissonss eolon (Le Bail et Fontaine, 2004 ; Azaza et al., 2007). Les fortes salinités observées sont dues à la fois à la pénétration profonde des eaux marines et à l’évaporation importante avec 1400 à 1727 mm/an (Pagès al., 1987). Les salinités les plus faibles sont notées entre août et octobre du fait de l’abondance des pluies pendant cette période. En effet, les eaux des étangs contigus aux casiers rizicoles sont moins salées du fait du drainage et du ruissellement des eaux de pluies. Plus les étangs sont loin des casiers rizicoles, plus ils subissent l’influence des bolons et plus la salinité de leurs eaux est forte surtout vers la fin du cycle d’élevage. D’ailleurs dans la zone d’étude, l’élevage des poissons dans les étangs se fait en eaux saumâtres (15 à 35‰) ou en eau douce (0 à 2,5‰) ou alors en eaux salées (65 à 70‰) selon Ndour et al.,2017.

 La géomorphologie du milieu 

Parmi les unités du relief qui caractérisent la topographie du bassin versant du fleuve Casamance, on peut distinguer: – la zone est relativement élevée (altitude pouvant atteindre 40 m) avec plusieurs cuirasses ferrugineuses (Michel, 1973 cité par Saos et al.1987). Elle est traversée par le cours d’eau du 12 Soungrougrou et par de multiples dépressions à fond plat, entre Séfa et Sédhiou. Ces dépressions sont en réalité d’anciennes entailles du plateau du Continental Terminal, remblayées lors du maximum de la transgression nouakchottienne ; – la zone nord-ouest formée par le plateau du Continental Terminal très disséqué par une série d’entailles colmatées. C’est sur son rebord, notamment dans les zones de topographie basse, que se localisent les vasières à mangroves et les tannes ; – la zone sud-ouest particulièrement incisée par les anciens cours d’eau, où apparaissent à l’ouest de Ziguinchor les dépôts de l’ancien golfe marin et les grès argileux du Continental Terminal. Recouverts par un niveau de cuirasse, les dépôts forment le plateau digité d’Oussouye (Saos et al., 1987). En référence au bassin sénégalo-mauritanien, la Casamance constitue, du point de vue géologique, l’un des plus vastes bassins du littoral ouest africain. Le socle métamorphique du paléozoïque est constitué de schistes, de grès et de quartzites. Il est traversé par un complexe volcanique effusif (rhyolites, dolérites) et se situerait, d’après les recherches géophysiques et les forages pétroliers, à plus de 7000 m en Basse-Casamance (Dacosta, 1989 ; Malou, 1992). Les dépôts sédimentaires (sables, argiles, marnes, calcaires) résultant d’une série de transgressions marines ont commencé dès le Jurassique. Des forages profonds ont montré l’enfoncement de ces structures au niveau du fleuve Casamance et un relèvement en direction de l’anticlinal gambien, ce qui explique l’absence de l’Oligocène à Baïla et la disparition de l’Éocène Supérieur vers le nord-ouest. Au cours du Miocène, des sédiments argilo-sableux se sont déposés sur l’ensemble de la Basse-Casamance. Cette période coïncide avec une importante phase tectonique cassante. Les réseaux de fractures de direction Nord vont fortement conditionner l’hydrographie (Dacosta, 1989). Les cours d’eau, en suivant les lignes de fractures, dessinent des coudes brusques qui caractérisent le cours de la Casamance et des bolons qui lui sont connexes. Après la régression qui a suivi le Miocène, un sédiment détritique qui correspond à la formation appelée Continental Terminal s’est déposé. Ce sédiment est composé de grès argileux bariolés inter stratifiés de couches d’argiles. Ces matériaux seraient originaires des régions plus élevées, à l’est du bassin (Fouta Djalon) et se seraient déposés sous l’action d’un climat tropical à tendance subaride (Viellefont, 1977). L’origine continentale de ces sédiments est, cependant contestée par certains auteurs qui considèrent que cette formation provient d’une altération importante (in situ) de sédiments marins (Saos et al., (1987). 

Les sols de mangrove de la zone d’étude 

En Casamance, les sols de mangrove sont des dépôts fluviomarins récents qui occupent les parties moyennes et inférieures des vallées (MDRH, 1980). Ce sont le plus souvent des sols sulfatés acides, riches en matières organiques et salées. Ils sont situés au voisinage du niveau moyen des 13 marées. Il existe le plus souvent un gradient le long de la topo-séquence, allant des vasières à mangrove au plateau où les uns sont des dépôts récents et les autres des dépôts plus anciens. Les vasières à mangrove sont caractérisées par trois grands types de sol: – les sols sulfatés acides qui ont déjà subi par oxydation une acidification due à une alternance annuelle de submersion et d’assèchement ; – les sols potentiellement sulfatés acides, soumis à l’influence des marées riches en sulfures réduites dans les vasières de pH neutre tant que la submersion s’y maintient. Ce sont des sols riches en matière organique; – les sols des tannes qui sont un prolongement de la zone des terrasses qui ne sont atteintes que par les marées de vives eaux. Ils sont occupés selon le degré de salinité par des herbacées ou par un sol à structure poudreuse ou à croute saline; la pénétration de l’oxygène dans ces sols à travers les fissures et les pores grossiers provoque l’oxydation de la pyrite et la formation de jarosites. Dans les zones oxydées, le pH est fortement variable, acide à très acide (3 à 1). Dans les zones encore réduites, le pH est proche de la neutralité (Guiral et al., 1999). La pyrite des sols inondés quotidiennement ne peut être oxydée, ce qui donne des pH de 6 à 7 tandis que les tannes généralement exondées présentent des pH qui varient entre 3,5 et 4. Sur le plan sédimentaire, le fleuve Casamance est divisé en 3 zones de l’embouchure à Adéane : – à partir de Diogué jusqu’à la pointe Saint Georges, le taux de lutites (argiles fines inférieures à 64 µm) est inférieur à 20%. Les grains de sables ont un diamètre moyen de 0,250 mm; – entre la pointe Saint Georges et Ziguinchor, les sédiments sont plus hétérogènes ; – entre Ziguinchor et Adéane, les éléments sont fins. Les sables et les graviers ne représentent plus que 1 à 15% du sédiment. Les sols de mangrove sont des milieux vaseux très fluides et de faible portance, ce qui constitue une contrainte à la fixation des palétuviers. Cependant, malgré ces contraintes écologiques (fluidité du matériel vaseux, humidité permanente, salinité des sols), les palétuviers ont réussi à s’adapter à ce milieu. Ils sont appelés de manière générale “la mangrove’’ qui se présente sous trois grandes formes:  une mangrove primaire avec peu de déboisements, en bordure des bolons;  une mangrove secondaire de taille moyenne résultant de l’exploitation de la mangrove primaire ; elle peut être bien développée d’aval en amont en fonction du gradient de décroissance de la salinité; 14  une mangrove aménagée en rizières et étangs piscicoles, dans la zone de transition entre l’estuaire et le continent. 

 La flore et la végétation 

Le climat joue un rôle prépondérant dans la répartition des paysages végétaux en Casamance. Cela a pour première conséquence une disposition zonale de types particuliers de formations végétales notamment la forêt de mangrove, les palmeraies à Elaeis guineensis ou à Borassus akeassii, la forêt demi-sèche et les parcs arborés. La mangrove de la Basse Casamance présente une diversité floristique réduite à six espèces : Rhizophora mangle, R. racemosa, R. Harisonnii, Avicennia germinans, conocarpus erectus et Laguncularia racemosa. En 2003, le Conseil Régional de Ziguinchor a divisé la zone de mangrove en deux sous zones éco géographiques. La sous zone forestières Sud –Ouest à mangrove (S.O.M) et la sous zone forestière Sud –Ouest continentale (S.O.C). La S.O.M est fortement influencée par l’estuaire fluviomaritime de la Casamance et concerne les départements d’Oussouye et Ziguinchor, l’arrondissement de Tendouk et la commune de Kaffoutine, soit 48% de la superficie régionale (Guèye, 2008). Dans cette zone se trouve, le long du fleuve Casamance et de ses bolons, d’importantes superficies de mangrove. Estimée à 130000 ha en 1869, cette mangrove est aujourd’hui en déclin (Blasco, 1983). Dans les départements de Ziguinchor et de Bignona, elle est passée de 150000 ha en 1980 à 83 000 ha en 2006 (Bassène, 2016). Elle a connu une régression de 25% en moins de 15 ans sous l’effet de la riziculture, de la construction des routes et des barrages-anti-sel (Tendeng et al. 2016). Avec la perturbation de l’équilibre écologique du milieu, les surfaces occupées par la mangrove deviennent une propriété familiale à partir du moment où elles sont transformées en rizières ou encore en étangs piscicoles (Bassène, 2016). La végétation de type forêt demi-sèche dense est caractérisée par des espèces sub-guinéennes dont les plus représentatives sont Khaya senegalensis (khay), Afzelia africana (Linké), Parinari excelsa (Mampato), Ceiba pentandra (Beinting), Chlorophora regia (Iroko), Antiaris africana (Tomboiro), Detarium senegalense (Detah) et Erythrophleum guineense (Tali).

 La faune terrestre et Avifaune

 La région recèle un important potentiel faunique. Les galeries forestières et certaines forêts classées sont des habitats des guibs harnachés (Tragelaphus scriptus), des céphalophes à flanc roux, des céphalophes à dos jaune et des cercopithèques (singes verts, patas et colobes), des porcs épics et des reptiles. La végétation rupicole bien représentée constitue l’habitat de premier choix des singes verts. Dans le département d’Oussouye et plus précisément à Santhiaba-Manjaque, le parc national de la basse Casamance constitue une importante zone de repli de la faune. Plus de 50 espèces de mammifères ont été signalées notamment la panthère (Panthera pardus), le buffle 15 de forêt (Syncerus caffer nanus) et le lamantin (Trichechus senegalensis). Il faut noter en particulier les primates, dont le singe des palétuviers (Cercopithecus campbelli), le galago de Demidoff (Galagoides demidoff) et le colobe bai (Colobus badius temmincki). Le pangolin géant (Manis gigantea) et le serval (Felis serval) sont également signalés. L’Anomalure de Beecroft (Anomalurus beecrofti) ne se rencontre nulle part ailleurs au Sénégal. Les reptiles rencontrés comprennent le python royal Python regius, le python de Seba (Python sebae), le cobra (Naja nigricollis) et la vipère (Bitis arietans) selon IDEE Casamance (2010). L’avifaune est constituée de plus de 200 espèces d’oiseaux, dont les migrateurs paléarctiques, en particulier les échassiers. L’aigle couronné (Stephanoaetus coronatus) est aussi présent dans le parc. Cette richesse de l’avifaune montre que le littoral casamançais constitue une étape importante dans la migration des espèces aviaires paléarctiques. 

 La faune quatique 

Dans la région de Ziguinchor, la pêche artisanale est dominante au niveau de l’estuaire du fleuve et des bolons. Bien qu’elle rencontre diverses contraintes, la pêche artisanale constitue l’une des activités les plus prospères de l’économie locale et une source de revenus directs ou indirects des ménages. Les principales espèces de poissons capturés de manière permanente par les autochtones sont l’Ethmalose, le Barracuda, les Otolites, la Crevette, la Sole, les Mulets, le Capitaine, les Carpes (tilapie) et le Machoiron. Les mollusques cueillis ou ramassés généralement par les femmes sont l’huître, l’arche et Cymbium sp. Concernant la pisciculture, les espèces de poissons élevés et capturés dans les étangs traditionnels appartiennent à diverses familles notamment la famille des Cichlidae (Tilapia guineensis, Sarotherodon melanotheron), des Mugilideae (Mugil Cephalus, Mugil curema, Liza grandisquamis, Liza bananensis, Liza falcipinnis) et des Ariidae (Arius sp.). Ce sont des espèces euryhalines qui migrent dès que possible des eaux salées vers des eaux saumâtres ou même douces. Quand la salinité augmente, les tilapias survivent à des taux dépassant 80‰. La production obtenue à la fin de la saison des pluies dans les étangs traditionnels est en moyenne 355 kg/ha à Djivente, ce qui est faible selon Bambara (1989). Pendant la saison sèche, les nasses utilisées pour obturer les drains des étangs, fonctionnent comme un piège à poissons. En fonction des marées l’eau entre ou sort de l’étang et les nasses sont placées avec l’ouverture opposée au courant. Les petits poissons capturés (audessous de 12 cm) sont destinés à l’autoconsommation. Bien que les quantités capturées par nasses à chaque marée soient faibles [0,25 à 1,0 kg], la totalité piégée en fin de cycle d’élevage peut atteindre 50 à 150 kg par étang. En pleine saison sèche, les producteurs ne s’adonnent pas à la pisciculture ce qui certainement explique l’absence de données sur le fonctionnement et les rendements des étangs traditionnels pendant cette période.

Table des matières

Dédicaces
REMERCIEMENTS
RESUME
ABSTRACT
TERMES TECHNIQUES DU MATERIEL ET DE L’IMATERIEL DE L’AMENAGEMENT AQUACOLE DE LA ZONE
LISTE DES ANNEXES
LISTES DES FIGURES
LISTE DES TABLEAUX
INTRODUCTION .
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODE
Encadré 1: Synthèse sur la partie matériel et méthodes
I.1. Situation géographique et réseau hydrographique
I.2. Le climat
I.3. Facteurs physico-chimiques de l’eau influançant la pisciculture
I.4. La géomorphologie du milieu
I.5. Les sols de mangrove de la zone d’étude
I.6. La flore et la végétation
I.7. La faune terrestre et Avifaune
I.8. La faune quatique
I.9. Les activités socio-économiques
I.9.1. Gestion hydraulique
I. 9.2. L’élevage des poissons
I. 9.3. La pêche
I. 9.4. La commercialisation du poisson
I. 9.5. L’élevage des huîtres en zone de mangrove
I. 9.6. Le tourisme .
I. 9.7. L’organisation sociale de la population
I.. Méthodes d’étude
I..1. Paramètres étudiés et matériel utilisés
I..2. Collecte de données biophysiques dans les étangs piscicoles
I..3. La collecte des données de la pisciculture traditionnelle
I..4. La collecte de données sur les perceptions de la pisciculture traditionnelle par les acteurs
I..5. Traitement et analyse des données collectées
CHAPITRE II : RESULTATS DE L’ETUDE
Encadré 3 : Synthèse sur les résultats de l’étude
II.1. ETATS DES LIEUX DES SYSTEMES DE PRODUCTION PISCICOLE
II.1.1.Aménagements de l’écosystème mangrove en Casamance
II.1.2. Décadence du système d’aménagement «riziculture-pisciculture» dans la zone
II.1.3. Importance socioéconomique de la pisciculture
II.1.4. Relance de la pisciculture en Casamance
II.1.5. Commercialisation des produits piscicoles en Basse-Casamance
II.1.6. Acceptabilité sociale d’un aménagement piscicole moderne
II.1.7. Obstacles à la pisciculture traditionnelle
II.2. ATOUTS ET CONTRAINTES DES SYSTEMES DE PRODUCTION PISCICOLE
II.2.1. Caractérisistiques biophysiques des étangs piscicoles de Bandial et Mlomp
II.2.1.1. Caractéristiques de la mangrove autour et dans les étangs de Bandial
II.2.1.2. Caractéristiques de la mangrove autour et dans les étangs de Mlomp
II.2.1.3. Diversité des espèces de poissons élevés dans les étangs de la zone d’étude
II.2.1.4. Sex-ratio des poissons élevés à Badial et Mlomp
II.2.1.5. Abondance et diversité du phytoplancton dans les eaux des étangs de la zone d’étude
II.2.1.6. Caractéristiques physicochimiques des eaux des étangs piscicoles de la zone
II.2.1.6.1. Caractéristiques physicochimiques des eaux des étangs piscicoles de Bandial
II.2.1.6.2.Caractérisation physicochimiques des eaux des étangs piscicoles de Mlomp
II.2.2. Dimensions et intégration des étangs piscicoles à la mangrove de la zone
II.2.3. Réponses physiologiques des poisssons dans leur milieu de vie
II.2.3.1. Réponses physiologiques des poissons dans les étangs de Bandial
II.2.3.2. Réponses physiologiques des poissons dans les étangs de Mlom
II.2.4. Croissance et embonpoint des poissons élevés à Bandial et Mlomp
II.2.5.Production des étangs piscicoles de Bandial et de Mlomp
II.2.5.1. Production des étangs piscicoles de Bandial
II.2.5.2. Production des étangs piscicoles de Mlomp
II.2.6. Régime alimentaire des poissons élevés dans les étangs piscicoles en Basse-Casamance
II.2.6.1. Diversité du phytoplancton dans le contenu stomacal des poissons de Bandial
II.2.6.2. Diversité du phytoplancton dans le contenu stomacal des poissons de Mlomp
II.2.6.3. Analyse du contenu des eaux des étangs et du suc stomacal des poissons .
II.3. PERCEPTIONS DE LA PISCICULTURE TRADITIONNELLE PAR LES ACTEURS
II.3.1. PERCEPTIONS DE LA DIVERSITE DES POISSONS PAR LES POPULATIONS
II.3.2. Maîtrise et connaissance de la pisciculture traditionnelle par les producteurs
II.3.3. Perceptions des décideurs et des services techniques régionaux .
CONCLUSION PARTIELLE SUR LA PERCEPTION DES ACTEURS .
CHAPTRE III. DISCUSSION DES RESULTATS
III.1. Discussion .
III.1.1 Sur l’état des lieux de la pisciculture traditionnelle .
III.1.2. Sur les aouts et contraintes de la pisciculture traditionnelle
III.1.2.1. Diversité des espèces de poissons dans les étangs
III.1.2.2. Analyse de la productivité et du rendement des étangs piscicoles
III.1.2.3. Analyse de la croissance des espèces de poisson dans les étangs
IV.1.2.4. L’intégration des étangs piscicoles à la mangrove2
III.1.2.5. Conditions environnementales des étangs piscicoles de la zone
III.1.2.6. Abondance et diversité du phytoplancton dans les étangs piscicoles
III.1.2.7. Régime alimentaire des poissons dans les étangs piscicoles
III.1.3. Sur la perception du régime alimentaire des poissons par les producteurs
CONCLUSION PARTIELLE
RECOMMANDATIONS
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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