Conventions typographiques

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première phase du Sommet mondial sur la société de l’information, affirmons notre volonté et détermination communes d’édifier un nouveau type de société, la société de l’information, (dans le processus de transition vers des sociétés du savoir), fondée sur les principes consacrés par la Charte des Nations Unies, la Constitution de l’UNESCO et la Déclaration universelle des droits de l’homme, ainsi que le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, société qui se caractériserait par la possibilité d’accéder universellement à des informations de qualité et de les utiliser dans le but de créer, accumuler et diffuser la connaissance. [Dans cette société/et dans laquelle] les nouvelles technologies, en particulier les technologies de l’information et de la communication (TIC) doivent devenir un outil essentiel et accessible à tous, pour enrichir les services que fournissent le gouvernement, les entreprises et les organisations de la société civile, pour la construction d’un monde plus pacifique, plus prospère et plus juste qui s’appuie sur le patrimoine commun de l’humanité dans toute sa diversité, et pour promouvoir le dialogue entre les cultures et les civilisations .

Nous reconnaissons que le droit de communiquer et le droit d’accéder à l’information et à la connaissance sont des droits fondamentaux de l’homme. Toute personne, où que ce soit dans le monde, devrait avoir la possibilité de participer à la société de l’information, et personne ne devrait être privé des bénéfices que cette société offre. Dans un monde fondé sur la connaissance et l’information, le droit de communiquer et le droit d’accéder à l’information et à la connaissance sont des exigences essentielles pour pouvoir jouir d’autres droits de l’homme universellement reconnus, tels que le droit à la libre expression. L’accès universel aux infrastructures de l’information et la communication et à l’Internet est essentiel à la société de l’information. 1 B. Nous reconnaissons le fait que, outre les responsabilités séparées que nous assumons envers nos propres sociétés, nous avons la responsabilité collective de soutenir les principes humains de la dignité, de l’égalité et de l’équité à l’échelle mondiale. En tant que dirigeants nous avons un devoir envers l’humanité mondiale, notamment envers les plus vulnérables, et plus spécialement envers tous les enfants du monde, à qui le futur appartient. 1 C. Nous réaffirmons l’engagement qui nous lie aux objectifs et aux principes de la Charte des Nations Unies, qui ont fait preuve de leur intemporalité et de leur universalité. En effet, leur pertinence et leur capacité à inspirer n’ont cessé de croître au fur et à mesure que les nations et les peuples sont devenus de plus en plus liés entre eux et interdépendants.

Nous sommes déterminés à établir une paix juste et durable dans le monde conformément aux objectifs et aux principes de la Charte. Nous nous engageons de nouveau à soutenir tous les efforts visant à établir l’égalité souveraine de tous les Etats, le respect de leur intégrité territoriale et de leur indépendance politique, la résolution des litiges par des moyens pacifiques conformément aux principes de la justice et aux lois internationales, le droit à l’autodétermination des peuples encore sous domination coloniale et sous occupation étrangère, la non-ingérence dans les affaires internes des Etats, le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales, le respect de l’égalité des droits sans discrimination basée sur la race, le sexe, la langue ou la religion, et la coopération internationale pour la résolution des problèmes internationaux de nature économique, sociale, culturelle ou humanitaire. 1 E. Nous réaffirmons l’indivisibilité et l’interdépendance de l’ensemble des droits de l’homme – civils, politiques, économiques, sociaux et culturels – et leurs liens avec les principes d’une société démocratique, de la suprématie du droit et du développement durable. Sur le chemin plein d’espoirs et de dangers qui mène vers la société de l’information, nous sommes déterminés à conserver et renforcer toutes ces valeurs. Les technologies de l’information et de la communication (TIC) offrent des possibilités sans précédent pour l’application de tous les droits de l’homme.

 

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