Des énergies renouvelables comme solutions
Télécharger le fichier original (Mémoire de fin d’études)
Les bois de chauffe et les charbons de bois
Ils représentent 78% des dépenses énergétiques dea lgrande Ile. Ainsi, plus de 20% du territoire malgache est couvert par la forêt : ce qui représente 13 millions d’hectares.
Ces types d’énergies contribuent jusqu’à 30% à la d éforestation à Madagascar et celle-ci atteint une proportion inquiétante actuellement carchaque année, quelque 200 à 300 hectares de forêt disparaît au profit de ce secteur.
Les bois de chauffe et les charbons de bois sont les seules sources d’énergies utilisées par la majeure partie de la population rurale qu’urbaine. En plus de cela, les foyers ruraux utilisent aussi du pétrole lampant pour l’éclairage.
Une situation de dépendance extérieur
Madagascar dépend totalement de l’extérieur dans l’approvisionnement en énergie de tous les secteurs stratégiques de l’économie tels que l’industrie, le transport et le commerce.
Cette dépendance se reflète souvent à la vulnérabilté de l’économie face aux fluctuations du cours du baril de pétrole sur le marché mondial etaux impacts de toutes crises de production énergétiques extérieurs.
Les secteurs concernés
A Madagascar, on peut dire que tous les secteurs sont concernés par l’énergie comme le cas de tous les pays du monde. Ces secteurs sont : le transport, l’industrie, le commerce et les résidences.
Le secteur du transport
Il englobe le transport terrestre, le transport aérien, le transport maritime et fluvial.
Ce secteur absorbe 90% des importations malgaches en matière d’énergies et demeure le secteur clé de l’économie.
Les secteurs de l’industrie et du commerce
A Madagascar, la plupart des industries et des entreprises utilisent dans leur processus de production surtout de l’électricité fourni par la ociétés JIRAMA qui est la seule à faire face à toutes les demandes de toute la grande Ile.
Le secteur résidentiel et les Administrations publiques
Dans les zones urbaine et périurbaine, l’électricité est la seule source d’énergie pour l’éclairage et d’autres activités non seulement auniveau des particuliers mais aussi au niveau de l’administration publique. L’électricité tient une place importante pour le secteur.
LE MARCHE DES ENERGIES A MADAGASCAR
Dans la grande Ile, le marché ne présente pas assezde particularité. Tous les secteurs sont formels excepté celui de bois de chauffe et de charbon de bois. C’est la raison pour laquelle nous avons du mal à trouver des chiffres exacts y a fférant. Ainsi le secteur est encore traditionnel.
Le marché est totalement libéralisé seulement sure lpétrole à cause des contraintes imposées par les bailleurs de fonds traditionnels dans le cadre de la politique d’ajustement structurel.
Analyse de l’offre
Il s’agit de l’analyse de l’offre en carburant et e n électricité
Offre en carburants et gaz
Concernant les combustibles fossiles comme le gaz, le gas-oil, l’essence, le pétrole lampant ; l’offre est assurée par des compagnies privées telles que TOTAL, SHELL, GALANA et JOVENNA.
Offre en électricité
La société JIRAMA qui en assure pour toutes les régions de la grande Ile. La société dispose actuellement 10 centrales hydroélectriques et 700 centrales thermiques. 50% de la production totale provient des centrales hydroélectriques.
Dans ce domaine, d’une part, il y a une insuffisance de l’offre car seulement les 2% de la population rurale y ont accès et les 13 millions demeurent non connectés au réseau électrique, et d’autre part, il y a mauvaise qualité des services offerts.
A l’aide du tableau-3, nous pouvons suivre l’offre totale de la société pendant les cinq dernières années : c’est-à-dire de 2002 à 2006.
A travers ce graphique, on voit clairement que les centrales hydroélectriques produisent plus d’électricité que les centrales thermiques alors qu’il y a seulement 10 centrales hydroélectriques contres 700 centrales thermiquesà Madagascar.
Analyse de la demande
Il s’agit de l’analyse de la demande en électricitéet en combustibles pétrolifères.
Demande en électricité
Elle est exprimée par les industriels, les résidents, les PME et services et les administrations publiques. En moyenne, le secteur résidentiel consomme la plus grande part de la production totale d’électricité à Madagascar. Le tableau-4 montre cette situation :
Tableau-4 : Répartition sectorielle de la consommation en énergie électrique de 2002 à 2006(unité en KWh)
Demande en combustibles pétrolifères
La demande est exprimée par les administrations publiques, les organismes et établissements publiques ou privées, et les entreprises de transport et particuliers.
Les prix
Il concerne le prix de l’électricité et des carburants.
Le prix des carburants
En ce qui concerne le secteur pétrolier le prix à la pompe n’a cessé de s’accroître pendant ces deux dernières années. En, 2005 et 2006 ; le prix du baril de pétrole sur le marché mondial est respectivement de 63, 70 dollars. Il a atteint le pic de 100 dollars en octobre 2007 et a enregistré une légère baisse le mois de novembre jusqu’à 94 dollars : Les principales raisons en sont :
L’accroissement important de la demande des pays comme la Chine qui trouve son besoin multiplié par 3 dans un espace de 2 ans ;
La vétusté des infrastructures des pays de l’OPEP otamment en Arabie Saoudite ; Les tensions géopolitiques et les crises politiquescomme les conflits en Irak et la crise syndicale des ouvriers au Nigeria; et La rareté des gisements en cours d’exploitation.
Ces faits entraînent des ruptures fréquentes au niveau de l’approvisionnement et d’insuffisance de l’offre qui ne fait qu’accentuer les tensions sur le prix sur le marché mondial.
En tant que pays dépendant énergétiquement de l’extérieur, Madagascar ne pourra pas s’échapper à cette emprise.
Le prix de l’électricité
Tandis que du coté de l’électricité, pour les régions qui sont connectées aux réseaux électriques thermiques, le tarif a eu tendance à suivre proportionnellement l’évolution du prix du pétrole sur le marché mondial car la tarification électrique est une fonction croissante du prix du pétrole brut. Cette tendance est expliquéepar le fait que les centrales thermiques fonctionnent avec du fioul et du gas-oil qui est des combustibles dérivés du pétrole.
Mais pour les régions connectées aux réseaux hydroélectriques, c’est le pareil cas mais relativement à un degré moins significatif.
Depuis des longues années, le pays dépendait totalement de l’extérieur en matière d’énergie pour les secteurs les plus important excepté celui des combustibles ligneux sur lesquels le pays est largement autosuffisant.
Ainsi en ce qui concerne le secteur électricité, laproduction totale est encore insuffisante pour fournir aux 18 millions de Malgache de l’électricité. Car, seulement 20% de la population totale sont actuellement connectées aux réseaux et2% de la population rurale. La majeure partie des consommateurs est constituée par des agents économiques habitant les grandes villes, les zones urbaines et périurbaines.
Cependant, le pays dispose de relief et de climat favorables à une exploitation intensive des gisements énergétiques
De ce fait, on constate que les gisements énergétiques malgaches sont sous exploités alors qu’il y a là beaucoup des demandes non satisfaites. On constate en partant de cette idée, le pays se retrouvera sur la capacité de pouvoir limiter les dommages et la dépendance que ces sources traditionnelles d’énergies impliquent sur l’environnement et sur la souveraineté économique. Ces problèmes sont la pollution industrielle, la pollution automobile et la dépendance extérieure.
Dans la deuxième partie, nous allons étudier ces problèmes, leurs causes et leurs conséquences sur l’environnement en général.
LA NECESSITE DE PRODUIRE PAR OPPOSITION A LA NECESSITE DE PRESERVER.
Un pays doit connaître une croissance économique soutenable dans la poursuite d’un objectif de développement. Cela se fera seulement dans le cadre de la promotion des investissements productifs à travers le développement du secteur de l’industriel et du commerce d’une part ; et du secteur transport et des autres secteurs d’autre part. Toutefois, les secteurs de transport et de l’industrie demeurent ceux qui sont à l’origine des problèmes environnementaux que la plupart des pays de la planète connaissent actuellement. Madagascar n’en est pas épargné quant à ses impacts sur l’objectif de croissance à long terme. Ces faits sont expliqués par le fait que ces secteurs dépendent fortement des énergies fossiles dont leur utilisation produit beaucoup de polluants. Ainsi, la consommation des combustibles ligneux dans les foyers ruraux et urbains ne fait qu’aggraver la situation.
Ainsi, dans le chapitre premier, nous allons voir ces problèmes et leurs conséquences certaines sur l’environnement économique, social et naturel, tandis qu’en second chapitre les solutions envisagées pour atténuer ou éliminer les impacts de ces problèmes.
LES PROBLEMES LIES AUX SOURCES TRADITIONNELLES ET LEURS CONSEQUENCES SUR L’ENVIRONNEMENT
On peut résumer ces problèmes par la pollution et al déforestation. Pour le cas de Madagascar, la déforestation prend désormais une tournure très inquiétante.
Section-1/ Les problèmes liés aux sources traditionnelles d’énergies Ce sont la pollution et la déforestation.
La pollution
Ce sont la pollution atmosphérique et la pollution des eaux et des sols
La pollution atmosphérique
C’est l’air qui est pollué par des polluants. Selon l’institut mondial des sciences nucléaires, ces polluants proviennent par la plupart des composés naturels et gazeux tels que :
Le monoxyde de carbone (CO) qui est le plus répandu. Il se produit dans toutes les combustions incomplètes quelque soit les combustibles ;
Le dioxyde de soufre (SO2) émis principalement lors de la combustion de fuel et de charbon, du gas-oil par les diesels et du raffinage des pétroles. Sa présence dans l’air ne doit pas être supérieur à 250 microgrammes/m3. Selon l’institut national des sciences et des techniques nucléaires d’Antananarivo, cette proportion est encore faible pour le cas de Madagascar.
Le dioxyde de carbone (CO2). Même si c’est un constituant naturel de l’atmosphère, il contribue également à la pollution atmosphérique. lI est un des principales causes de l’effet de serre. Il a deux origines, pour les ¾ des cas, il provient de la combustion des carburants fossiles et pour les restes, de la destruction des forêts tropicales ;
Le dioxyde d’azote (NO2). Il réagit avec les hydrocarbures et provoque des smogs photochimiques. Il provient notamment des combustibles à haute température ;
Le plomb et l’ozone (O3) ; et
Les composés organiques volatils non méthaniques (COVNM) qui sont dégagés lors d’un combustion incomplète.
Option Développement Energies et Environnement à Madagascar
Tous ces polluants sont naturels. Ce n’est donc pas leur présence dans l’atmosphère, mais leur forte concentration qui pollue.
Portant d’autres polluants sont cette fois de nature anthropique. Ce sont les chlorofluorocarbures (CFC) qui sont utilisés dans les agents gonflants (solvants, réfrigérateurs, climatiseurs et bombes aérosols)
La pollution des eaux et des sols
Elle est entraînée par les eaux usées et les déchets toxiques déversés par les usines dans les rivières et dans la nature. Les polluants peuvent être aussi des huiles de vidange.
La déforestation
C’est la disparition de la forêt au profit des combustibles ligneux. A Madagascar, on compte 200 à 300 hectares de forêt qui disparaît chaque année. Le secteur énergétique est le responsable de 30% de cette déforestation massive dans le pays.
Les causes des problèmes
Il y a de nombreuses causes principales mais celles qui nous intéressent ici sont celles qui sont liées aux différents types d’énergies. Dans ce casles causes les plus coupables sont les actions dévastatrices de l’homme. Ce sont les activités humaines dans les secteurs de l’industrie, du transport et l’utilisation des sou rces traditionnelles d’énergies dans ces secteurs.
Les activités industrielles et d’usines
Elles sont effectivement à l’origine de la pollutio n sur le milieu par le rejet de gaz polluants dans l’atmosphère, le déversement des eaux usées les déchets solides et toxiques dans la nature. Ainsi, la combustion des énergies dans le secteur libère beaucoup de dioxyde de carbone et de dioxyde de soufre.
Les activités de transport
Les réseaux de transport ont des impacts non négligeables sur l’environnement. Ceux-ci peuvent être des accidents provoquant des épandagesdes produits toxiques, l’émission de gaz polluant à travers l’échappement des voitures. Selon l’INSTAT, la majeure partie des véhicules circulant dans le territoire national dépasse le 10 ans de sa date de mise en circulation. Selon l’institut national des sciences et des techniques nucléaires d’Antananarivo, on note que, les activités de transport sont le responsable de rejet de 87% de monoxyde de carbone par les combustions incomplètes et de 70% d’oxydes d’azote. A la pollution industrielle s’ajoute donc la pollution automobile.
L’utilisation des combustibles ligneux
Elle entraîne certains aspects des problèmes environnementaux à travers la consommation domestique des énergies tirées des bois qui conduit à la déforestation. En effet, 25% des rejets de dioxyde de carbone proviennent de la destruction des forêts tropicales à Madagascar.
En général, la pollution de la nature provient essentiellement des activités humaines comme l’industrie, le transport et la déforestation.
Les conséquences des problèmes
Les conséquences de la pollution et de la déforestation sont aussi nombreuses que les polluants et elles affectent aussi bien l’être humain lui-même que son environnement.
Les conséquences sur l’environnement naturel
Ce sont les impacts écologiques ; qui englobent le réchauffement climatique, la destruction de la couche d’ozone et l’acidification des pluies, d’ une part et les impacts physiques constitués par la dégradation du sol et la destruction des vies sauvages d’autre part.
Les impacts écologiques
Elles concernent tous ceux qui sont des implications sur le climat et les éléments qui le conditionnent.
Acidification des pluies
Elle est provoquée par le dioxyde de soufre à 60% et d’oxydes d’azote à 30% qui sont oxydés dans l’atmosphère. Ces polluants en pluie retombent ensuite sous formes d’acides sulfuriques (H2SO4) et nitriques (NHO3). Une pluie est dite acide lorsque son PH est inférieur à 5.6. Ces pluies acides provoquent également des brouillards très acides.
L’acidification des pluies a donc pour impacts l’acidification des sols et des eaux de surface, la solubilité des métaux toxiques et la destruction des forêts. Elle est ainsi à l’origine de la destruction des plantations et d’extinction des espèces végétales et aquatiques.
Le réchauffement climatique
Selon la théorie de l’effet de serre, qui a été éncéeo par le Suédois Arrchenius, établit que l’augmentation de dioxyde de carbone émis dans l’air entraîne un réchauffement de la planète. Trois types de polluants y contribuent : le dioxyde de carbone à 63.4%, le méthane à 20.3% et l’oxyde nitreux et les CFC à 10%. Ces gaz polluant l’atmosphère forment une couverture autour de la terre qui permet aux rayons du soleil de passer mais empêche la rediffusion dans l’espace du rayonnement infrarouge transmis par la surface de la terre. La conséquence principale est l’augmentation de la température moyenne. Depuis 1982, à Madagascar, la température moyenne s’est augmentée de 0.2°C et cele de la mer de 0.18°C et de niveau de 2mm selon la direction de la climatologie du ministère de transport et de la météorologie.
La destruction de la couche d’ozone
C’est la dernière conséquence écologique de la pollution atmosphérique. La couche d’ozone se trouve à une altitude de 30 kilomètres au-dessus du sol.
Sa destruction se produit notamment à cause des chl orofluorocarbures dont un seul atome de chlore peut endommager 100 000 molécules d’ozone. En outre, 10% d’ozone détruit signifie une augmentation de 13% des rayons ultraviolets.
Ces phénomènes pourraient avoir des impacts gravessur l’agriculture et l’élevage, les forêts, les ressources en eau et le niveau de la mer.
LA NECESSITE DE PRODUIRE PAR OPPOSITION A LA NECESSITE DE PRESERVER.
Un pays doit connaître une croissance économique soutenable dans la poursuite d’un objectif de développement. Cela se fera seulement dans le cadre de la promotion des investissements productifs à travers le développement du secteur de l’industriel et du commerce d’une part ; et du secteur transport et des autres secteurs d’autre part. Toutefois, les secteurs de transport et de l’industrie demeurent ceux qui sont à l’origine des problèmes environnementaux que la plupart des pays de la planète connaissent actuellement. Madagascar n’en est pas épargné quant à ses impacts sur l’objectif de croissance à long terme. Ces faits sont expliqués par le fait que ces secteurs dépendent fortement des énergies fossiles dont leur utilisation produit beaucoup de polluants. Ainsi, la consommation des combustibles ligneux dans les foyers ruraux et urbains ne fait qu’aggraver la situation.
Ainsi, dans le chapitre premier, nous allons voir ces problèmes et leurs conséquences certaines sur l’environnement économique, social et naturel, tandis qu’en second chapitre les solutions envisagées pour atténuer ou éliminer lesimpacts de ces problèmes.
On peut résumer ces problèmes par la pollution et al déforestation. Pour le cas de Madagascar, la déforestation prend désormais une tournure très inquiétante.
Des énergies renouvelables comme solutions
Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE: CONTEXTE DE L’ENERGIE A MADAGASCAR
CHAPITRE I : SITUATION DE L’ENERGIE A MADAGASCAR
Section 1 : Les principales sources d’énergies à Madagascar
1-1 : Les énergies les plus utilisées
1-1-1 : Les combustibles fossiles
1-1-2 :L’électricité
1-1-3 : Les bois de chauffe et les charbons de bois
1-2 : Une situation de dépendance extérieur
Section 2 : Les secteurs concernés
2-1 : Le secteur du transport
2-2 : Les secteurs de l’industriel et du commerce
2-3 Le secteur résidentiel et les Administrations publiques
Chapitre II : LE MARCHE DES ENERGIES A MADAGASCAR
Section 1 : Analyse de l’offre
1-1: Offre en carburants et gaz
1-2: Offre en électricité
Section 2 : Analyse de la demande
2-1 : Demande en électricité
2-2 : Demande en combustibles pétrolifères
Section 3 : Les prix
3-1 : Le prix des carburants
3-2 : Le prix de l’électricité
DEUXIĒME PARTIE : LA NECESSITE DE PRODUIRE PAR OPPOSITION A LA NECESSITE DE PRESERVER
Chapitre I: LES PROBLEMES LIES AUX SOURCES TRADITIONNELLES ET LEURS CONSEQUENCES SUR L’ENVIRONNEMENT
Section 1 : Les problèmes liés aux sources traditionnelles d’énergies
1-1 : La pollution
1-1-1 : La pollution atmosphérique
1-1-2 : La pollution des eaux et des sols
1-2: La déforestation
Section 2 : Les causes des problèmes
2-1 : Les activités industrielles et d’usines
2-2 : Les activités de transport
2-3: L’utilisation des combustibles ligneux
Section 3: Les conséquences des problèmes
3-1 : Les conséquences sur l’environnement naturel
3-1-1 : Les impacts écologiques
3-1-1-1 : Acidification des pluies
3-1-1-2 : Le réchauffement climatique
3-1-1-3 : La destruction de la couche d’ozone
3-1-2 : Les impacts physiques
3-1-2-1 : Effets sur la biodiversité
3-1-2-2 : Effets sur les sols et les eaux
3-2 : Les conséquences sur l’environnement socioéconomique
3-2-1 : Les impacts économiques
3-2-2 : Les impacts sociaux
Chapitre II : DES ENERGIES RENOUVELABLES COMME SOLUTIONS
Section 1: Evaluation de la faisabilité de l’énergie renouvelable
Télécharger le rapport complet énergies renouvelables comme solutions