Rapport de stage différenciation entre main d’œuvre qualifiée et non qualifiée, tutoriel & guide de travaux pratiques en pdf.

Différenciation entre main d’œuvre qualifiée et non qualifiée

La différence entre main d’œuvre qualifiée et non qualifiée, c’est la conséquence du fait d’avoir une bonne éducation ou non.
* Main d’œuvre qualifiée
Quand on parle de la main-d’œuvre qualifiée, il s’agit d’un apport positif et concret de l’éducation. Son existence peut favoriser rapidement le développement du pays et, par conséquent, de la région. C’est une condition nécessaire pour combattre l’explosion, aussi bien du taux de chômage que celui de la pauvreté qui touche presque 85 % de la population en milieu rural.
Il est souvent vérifié que la qualification de la main d’œuvre est plus sollicitée que la durée d’expérience. Dans ce cas, la qualification est plus rémunérée que l’expérience ; une main d’œuvre qualifiée est toujours recherchée par l’employeur pour garantir la réussite de son projet.
* Main d’œuvre non qualifiée
Le fait d’être non qualifiée est perçu comme étant les conséquences de l’insuffisance de formation. Tous ceux qui entrent dans la vie professionnelle sans spécialisation sont classés dans la catégorie de main d’œuvre non qualifiée.
Ces deux types de main d’œuvre peuvent dégager des salaires différents que nous pouvons présenter comme suit :
– les agents de la main d’œuvre qualifiée touchent un salaire relativement supérieur, et l’on parle ainsi de « salaire d’existence », et..
– les agents de la main d’œuvre non qualifiée touchent un salaire inférieur, et l’on parle, par conséquent, de « salaire de subsistance ».

Analyse micro-économique

La microéconomie est une science qui étudie les comportements économiques individuels, ainsi que le fonctionnement des marchés et du système général que ces marchés forment ensemble.
Les néo-classiques ont fait l’étude de la rentabilité de l’éducation, pour pouvoir dégager son rôle le plus essentiel. L’objectif est simple, il faut comparer les résultats de l’éducation aux différents coûts, qui incluent le processus de cette éducation et de donner une définition de la rentabilité de l’éducation. Cette analyse est donc particulièrement développée par la théorie du capital humain. Les différents concepts apportés parles théoriciens pour évoquer leurs idées sont les suivants : le rendement du système scolaire, et le passage de la rentabilité privée à la rentabilité sociale.

Taux de rendement du système scolaire

Par définition, le rendement c’est la production évaluée par rapport à une norme ou une unité de mesure. Le système scolaire est alors considéré comme tout autre secteur d’activités, qui a un but bien déterminé. Mais le rendement du système scolaire est à la fois quantitatif et qualitatif, car quelques objectifs du système ne sont pas mesurables comme : le niveau des enfants passant en classe supérieure, dans une école ; et la capacité d’adaptation des enfants pouvant améliorer le taux de réussite à l’examen.
Ce taux est le rapport entre l’effectif des élèves admis et l’effectif total des élèves par classe. Le rendement du système scolaire varie donc selon les résultats d’un établissement, où le taux de promotion par classe est satisfaisant. Il est donc déduit du taux de redoublement et celui de l’abandon, qu’on a constaté dans chaque établissement.

Passage de la rentabilité privée à la rentabilité sociale

Selon les définitions que nous avons présentées plus haut, l’éducation a pour objectif de former tout homme et tout l’homme. Ainsi, les bienfaits ne resteront pas uniquement au niveau de chaque individu, mais également au niveau de la communauté,donc de la société.
Si un individu dégage, par le biais de l’éducation, une rentabilité par ses activités,il s’agit d’une rentabilité privée. De ce fait, si tous les individus améliorent leur niveau de revenu, grâce à l’éducation, et apportent des effets positifs sur le plan social, on pourra alors parler de rentabilité sociale.

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