Effet de Lobaria pulmonaria (0,17µg ml)

Effet de Lobaria pulmonaria (0,17µg ml)

Chez les couples témoins, nous avons trouvé que le nombre de vibration est d’une moyenne de 14,050 ± 2,929 vibrations, avec un minimum de 1 et un maximum de 42 alors que la moyenne est de 7,182± 1,500 vibrations chez les couples traités avec un minimum de 1 et un maximum de 19 (Tab.126). Chez les couples dont les mâles sont témoins et les femelles sont traitées la moyenne est de 4,750± 1,840 vibrations, avec un minimum de 1 et un maximum de 17. Alors que chez les mâles sont traitées et les femelles sont témoins la moyenne est de 10,571± 3,174 vibrations avec un minimum de 1 vibrations et un maximum de 33 vibrations (Tab.126). La comparaison des variances montre qu’il existe des différences hautement significatives entre le nombre de vibration (Fobs= 4,633 p : < 0,006).

Effet de Lobaria pulmonaria (0,17μg/ml) sur le temps de premier léchage :

Chez les couples témoins, les mâles lèches les sécrétions des femelles après un temps moyen de 284,450 ± 33,620 secondes et ce se fait dans 97 à 650 secondes, mais chez les couples traités, nous avons notés un temps moyen de 939,571±200,284 secondes dont le minimum est de 373 secondes et le maximum est de 1720 secondes (Tab.127). Lorsque les mâles sont témoins et les femelles sont traités, nous avons enregistré un temps moyen de 258,000± 143,003 secondes avec un minimum de 40 secondes et maximum de 677 secondes, alors que chez les couples des mâles traités et des femelles témoins, nous avons enregistré de 666,000± 53,429 secondes (Tab.127). L’analyse statistique révèle qu’il existe des différences très hautement significatives entre les temps de premier léchage (Fobs=12,974; p :0,0001***).

Effet de Lobaria pulmonaria (0,17μg/ml) sur le nombre de léchage :

Nos résultats montrent que chez les couples témoins, le nombre de léchage est d’une moyenne de 3,150± 0,499 léchage, avec un minimum de 1 léchage et maximum de 9 léchages, pour les couples traités on a une moyenne de 2,286±0,474 léchages dont le minimum est de 1 léchage et le maximum est de 4 léchages (Tab. 128). Lorsque les mâles sont témoins et les femelles sont traitées, nous avons enregistré une moyenne de 3,250± 1,601 léchages, dont le minimum est de 1 et un maximum de 8 tandis que chez les couples des mâles traités et des femelles témoins, nous avons enregistré une moyenne de 3,714± 0,969 avec un minimum de 1 léchage et maximum de 7 léchages (Tab.128).Nous avons enregistré qu’il n’existe pas des différences significatives entre le nombre de léchage observé (Fobs=1,044; p : 0,386)Chez les couples témoins nous avons noté que le temps de la première tentative est d’une moyenne de 302,500±36,337 secondes, avec un minimum de 75 secondes et maximum de 650 secondes. Alors que lorsque les deux partenaires sont traités le temps moyen est deChez les couples dont les mâles sont témoins et les femelles sont traités, le minimum est de 1670 et un maximum de 1670 secondes, avec une moyenne de 1670,000±0 secondes, alors que le minimum est de 201 et un maximum de 1077 secondes, avec une moyenne de 623,000± 146,376 lorsque les mâles sont traités et les femelles sont témoins. L’analyse statistique montre qu’il existe des différences significatives entre les temps de tentatives (Fobs=3,610 ; p : 0,025).

Effet de Lobaria pulmonaria (0,17μg/ml) sur le nombre de tentative d’accouplement :

Les résultats de cette étude montrent que le nombre des tentatives effectuées par les mâles des couples témoins, affiche une moyenne de 3,200±0,506 tentatives dont le minimum est de 1 tentative et le maximum est de 9 tentatives. Pour les couples traités le nombre de tentatives est d’une moyenne de 2,286± 0,522 tentative avec un minimum de 1 tentative et un maximum de 5 tentatives (Tab.130). Chez les couples des mâles témoins et des femelles traitées, nous avons enregistrés de 1 tentatives, avec une moyenne de 1,000± 0, mais chez les couples dont les mâles sont traités et les femelles sont témoins le nombre de tentative est de 1 à 8 tentatives, avec une moyenne de 3,000±1,304 tentatives (Tab. 130). La comparaison des variances montre qu’il n’existe pas des différences significatives entre le nombre de tentative (Fobs=1,441 ; p: 0,251) L’accouplement est effectué dans à secondes lorsque les deux partenaires sont témoins avec une moyenne de 485,150±64,382 secondes, avec un minimum de 112 secondes et un+ maximum de 1335 secondes. Pour les couples traités nous avons notés une moyenne de 821,250±359,308 secondes, avec un minimum de 56 et un maximum de 1736 (Tab. 131). Pour les couples dont les mâles sont témoins et les femelles traités nous avons notés un temps moyen de 503,000±331,874 avec 1152 secondes, tandis que chez les couples dont les mâles sont traités et les femelles sont témoins nous avons enregistré un temps moyen de 1140,500±226,156 secondes, avec 1732 secondes (Tab.131). L’étude statistique montre qu’il existe des différences significatives entre le temps d’accouplement (Fobs=4,503; p: 0,010).

Cours gratuitTélécharger le document complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *