La face visible ou le côté caché ?

La face visible ou le côté caché ?

Plus on avance dans la recherche des causes cachées et plus les difficultés et les paradoxes se dressent sur notre chemin. Il est difficile de communiquer des informations trop sensibles à des personnes qui ne sont pas sur la même longueur d’onde. Les gens en recherche, ont majoritairement une conscience tributaire du monde extérieur, le monde objectif et formel. D’autres – minoritaires – perçoivent la réalité à partir de leur intériorité, ou du moins s’efforcent à une perception plus aigüe. Les deux groupes sont souvent sincèrement sur une voie spirituelle, mais, alors que les premiers sont attirés par les enseignements qui parlent de la Lumière, les autres veulent parvenir jusqu’à la Flamme intérieure d’où provient la lumière. Il y a donc un malentendu latent dès que l’on veut révéler des phénomènes secrets, car les êtres qui vivent immergés dans le monde objectif « clair et lumineux » ne sont pas en demande d’explications trop poussées, ou seulement jusqu’à un certain point. Après quoi, ils s’écrient : « J’en sais suffisamment ! Ne m’en dites pas plus ! » En réalité, ils ne savent pas grand chose, mais leurs paramètres mentaux qui dépendent de l’objectivité formelle, ne leur permettent pas de s’engager dans une exploration des zones plus profondes. Ces personnes déclarent : « On sait bien tout ça ! » (C’est le signe de l’ignorance) Elles expriment ainsi qu’elles ne sont pas orientées vers la recherche de la vérité ultime.

Elles aspirent à la lumière et à une certaine vérité, en fonction de ce qu’elles peuvent en assimiler. Les informations qui vont trop loin pourraient les « brûler », et d’instinct, ces personnes les rejettent. On peut leur révéler des faits stupéfiants, mais pas les causes extrêmes. Elles s’arrêtent à une vérité assimilable – une explication que leur pensée peut intégrer à l’ordre spatio-temporel. Elles bloquent. Elles cherchent sans doute la « lumière » mais elles ne veulent pas aller jusqu’à la flamme de la « connaissance secrète » qui est la source de cette lumière. (Nous ne voulons pas les forcer à ingérer ce qui leur est indigeste) Elles nieront même qu’il puisse y avoir une cause secrète aux phénomènes. A l’opposé, l’autre groupe veut aller plus loin. Undercover s’adresse en priorité au groupe minoritaire de ceux qui ne craignent pas de faire éclater les modèles de la représentation conforme du monde. On sait par expérience que les explications ésotériques trop poussées n’intéressent pas ceux qui sont attachés à la réalité extérieure. Leur bonheur est de se réjouir dans la beauté de l’apparence formelle. Ils peuvent même ressentir la démarche intérieure comme une agression car elle réduit leur vision du monde à une imagerie enfantine. Alors que la minorité qui tente d’aller au fond des choses peut admettre la démarche de ceux qui n’osent pas explorer la réalité jusqu’au bout, cette compréhension n’est pas réciproque. La majorité attachée à la forme ne comprend pas la démarche de ceux qui se dirigent vers les zones secrètes. On trouve cela inquiétant, inutile, incompréhensible.

De tous temps, ce fut un grand malentendu. Cette incompréhension fut la cause des bûchers de l’inquisition, car lorsque ceux qui sont attachés à la forme extérieure croisent ceux qui s’échappent du monde par la voie de l’intériorité, ils les déclarent hérétiques. (hérétique = aller au-dedans) Undercover est radicalement et joyeusement hérétique. Il est par conséquent normal que certains lecteurs ne captent pas tout. Un effort supplémentaire de pédagogie ne sert à rien, car tôt ou tard, ils nous déclarent avec un certain mécontentement : « Toutes ces explications sur les secrets de la politique planétaire sont encore un piège…de l’égo. » Nous devons avancer au risque de devenir de plus en plus élitiste, ce qui est agréable pour l’esprit quoique néfaste pour les finances. Nous présentons dans ce numéro deux approches du phénomène extraterrestre. L’une est une description des races galactiques selon le côté physique, et l’autre selon une vision spirituelle. (voir « Projet Pléiadien » de Yasmine Rooney). La description des races extraterrestres selon la vision extérieure demeure anecdotique, comme l’est la recherche ufologique classique. Par contre, la vision des Pléiadiens de Yasmine Rooney nous plonge dans une dimension intérieure surprenante. Enfin, une chercheuse est parvenue à une synthèse cohérente des données métaphysiques, scientifiques et spirituelles en relation avec la présence extraterrestre ! Dans le domaine de la spiritualité, de nouvelles approches se font jour, des informations et des révélations inédites. Il faut se tenir à l’écoute. Il se pourrait que nous n’ayons encore rien entendu.

 

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