La politique de motivation et d’implication au travail mise en place à l’entreprise

Situation économiques de la région 

L’économie de la région est caractérisée par la prédominance du secteur primaire et actuellement du tourisme. La complémentarité entre les cultures vivrières, les cultures de rente, les cultures industrielles, l’élevage, l’exploitation forestière, la pêche devrait constituer un atout, mais elle reste encore déficitaire en produits. Les raisons en sont nombreuses et présentent les traits de caractère essentiels suivants :

Sur 1.322.639 ha qui forment la superficie cultivable de la région DIANA, seules 112.490 ha, soit 8,5%, sont mis en culture, sans parler des risques sur les cultures (manque d’eau, les ravageurs, les maladies ou la non maîtrise du marché, une grande partie des paysans sont en régime de métayage ou fermage, et par conséquent, ont un statut très précaire et très peu réceptif d’innovation). ?

Le tissu industriel qui caractérise le secteur secondaire de cette région est dominé par de grosses unités agro-industrielles comme CSM (Compagnie Salinière de Madagascar), la LGA (Les Gambas de l’Ankarana), la PFOI (Pêche et Froid de l’Océan Indien), à vocation principalement exportatrice. D’autres industries de transformation des ressources locales dans certains districts comme STAR, SIRAMA, qui n’ont pas encore permis d’obtenir un effet d’entraînement suffisant pour décoller l’économie régionale. La SÉCREN, la JIRAMA, la CMDMD constituent les industries lourdes de la région. Il faut souligner l’extraversion fondamentale et la grande dépendance industrielle et commerciale, par rapport à la capitale, qui caractérise ce secteur.

Les distances et l’insularité de la région font obstacle aux échanges commerciaux, cela est également valable pour les partenaires financiers. L’ensemble du réseau routier régional compte 1997 km dont 355 km de Nationales primaires, 39 km de Nationales secondaires, 20 km de Nationales temporaires, 626 km de Routes provinciales et 957 km de Routes communales. Seules 450 km (soit 22%) sont en bon état1. Cette situation pénalise les relations économiques et sociales, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de la région.

malgré les potentiels à la disposition de la région DIANA, des difficultés empêchent certains partenaires techniques et financiers à injecter des financements. La région, avec une population de près de 680.000 habitants, représente un marché à forte potentialité, mais il existe une importante disparité de niveau de vie. Ainsi, il n’est pas aisé de cerner de façon précise les marchés que représente la population régionale ;

Chronique de la microfinance1 :

L’histoire de la microfinance comporte trois périodes distinctes : avant 1990, de 1990 à 1995 et 1996 à nos jours. Ainsi, l’origine de la microfinance à Madagascar remonte près d’une vingtaine d’années. Les défaillances du système bancaire en milieu rural ont favorisé la création des Institutions de MicroFinance (IMF) à partir de 1990 à Madagascar. Le microcrédit a pris véritablement son essor dans les années 1980, bien que les premières expérimentations remontent au début des années 1970 au Bangladesh en particulier, et dans quelques autres pays. Par rapport à la situation antérieure qui se caractérisait en grosso modo par l’octroi de crédits subventionnés, effectués le plus souvent par des non spécialistes, la différence tient à l’importance accordée au remboursement, à la fixation d’un taux d’intérêt couvrant le coût de la prestation du crédit, et au ciblage de groupes de clients, n’ayant le plus souvent pour seule autre source de crédit que le secteur informel. En Afrique, les pratiques de la microfinance sont encore plus anciennes, surtout celles qui relèvent de la collecte de la petite épargne. Dans des pays comme le Burkina Faso ou le Cameroun, par exemple, les premières coopératives d’épargne et de crédit ont vu le jour au cours des années 60. Avant 1990 : aucune institution de microfinance n’existait encore à cette époque à Madagascar. Néanmoins, la BTM, Banque Nationale, depuis 1976, et reprise en 1999 par la Bank Of Africa (BOA), dans le cadre de sa privatisation, était la seule banque qui intervenait dans le secteur de la microfinance. Mais ses activités dans ce domaine étaient limitées à l’octroi de crédit au paysannat, et n’atteignaient qu’une frange limitée de la population rurale. L’intervention de cette banque en faveur du secteur de la microfinance s’est toutefois maintenue après sa récente privatisation. 1990 – 1995 : phase d’émergence des IMF. L’émergence des IMF a été surtout favorisée par la conjugaison des interventions de trois entités :

Les Bailleurs de fonds (Banque Mondiale, Union Européenne, Agence Française de Développement, Coopération Allemande, Inter-coopération Suisse, …) ;

Le Gouvernement au travers de sa politique, en faveur de ce secteur, avec le concours du financement de la Banque Mondiale, à travers: le projet d’exécution PATFR/ADMMEC jusqu’en 1997, puis le Projet MicroFinance (PMF) pour une phase de deux ans 1998-1999 et l’AGEPMF : GEstion du Programme MicroFinance planifié sur quinze ans, dont le démarrage officiel a débuté en juin 1999.

Les agences d’implantation et de développement ou opérateurs techniques spécialisés et qui ont assuré l’encadrement technique des IMF. Il s’agit entre autres que de DID, FERT, IRAM, CIDR. Au cours de cette période, de nombreuses IMF, mutualistes ou non mutualistes, se sont créées à Madagascar. Très rapides et soutenues, la croissance et le développement de l’IMF au cours des dix dernières années se sont traduits par : l’extension de la couverture territoriale tant en milieu rural qu’en milieu urbain, l’augmentation du taux de pénétration et le développement des activités sur l’augmentation du nombre des membres et des clients touchés, du volume des dépôts collectés auprès de la clientèle, en fin, du volume des crédits distribués.

CONCLUSION

Après avoir effectué les analyses du contexte général sur l’implantation de notre futur établissement de microfinance, nous avons pu constater l’importance de la réalisation du présent projet. Ce projet constitue un sujet d’actualité et de nécessité, compte tenu de la perspective d’avenir du marché financière à Madagascar et de sa place dans notre économie. Avec la création de la richesse générée par notre activité, on peut s’attendre à des valeurs ajoutées qui constituent un apport non négligeable au développement du pays. Le projet favorise à promeut des activités dans le secteur tertiaire, qui est une bonne issue pour le développement de notre pays. Ce projet en est donc un bon exemple. Le projet correspond à la politique menée par le gouvernement, pour le développement de la nation. Pour valoriser le secteur financier, la création d’une entreprise de ce genre aidera la population à se détourner de l’informel. De plus la firme va sûrement contribuer au développement de la région DIANA, en particulier de la ville de Nosy-Be. Le suivi de près des études d’exploitation du politique marketing et les aspects organisationnels nous a révélé l’adéquation des techniques adoptées au domaine envisagée. La situation géographique et économique du lieu d’implantation est favorable aux conditions nécessaires pour sa réalisation. Ce projet peut servir d’un exemple de créativité, qui devrait être réalisé dans d’autres régions non encore couverts par les établissements de microfinance. En effet, un tel projet a besoin de financement suffisant. Avec son coût élevé, nous nous sommes donc demandé si le projet est financièrement rentable.

Sur le plan financier, notre étude nous a relaté tous les avantages que cet investissement nous réserve. Le cout de l’investissement prévu pour le projet s’élève a 94 540 000 Ar. Les critères d’évaluation comme la pertinence, l’efficacité et l’efficience de l’entreprise doivent être pris au sérieux. Notre analyse a montré que les capitaux investis seront récupérés entre la troisième et la quatrième année de vie du projet, plus exactement le 28 May de l’année N+4. La valeur actuelle nette ou VAN est largement positive, avec une valeur de 91 848 202,41 Ar. L’indice de profitabilité est supérieur à l’unité 1.73, où un Ar investi apportera 0,73 Ar de profit. Le taux de rentabilité interne est de 42,897%, alors que le taux d’emprunt bancaire est de 20%. La trésorerie est saine, puisque les résultats au cours des cinq premières années d’exploitation sont bénéficiaires et augmentent d’une année à l’autre. Les ratios croisent avec le temps et la pertinence de la firme. En outre, l’analyse des différents outils et critères d’évaluation du projet nous révèlent la faisabilité et la rentabilité de l’investissement envisagé.

Le versement des impôts sur le revenu et taxes et versement assimilées, amplifie la recette de l’État et les collectivités territoriales décentralisées. Macro économiquement parlant, le projet va apporter des valeurs ajoutées et des excédents bruts d’exploitation assez importants pour favoriser le produit intérieur brut du pays. De plus, le projet a des impactes socio-économiques, non seulement sur la zone d’implantation, mais aussi au niveau de la région DIANA. A savoir l’augmentation du pouvoir d’achat, les emplois directs ou indirects et autres avantages procurés par l’implantation de cet établissement de microfinance. En un mot, tout cela ne peut que confirmer la faisabilité de ce projet, et sa réalisation constitue un avantage considérable pour l’ensemble de notre économie. Bien que c’est encore du projet, nous envisageons déjà l’extension dans d’autres régions, et nous optons comme points cibles : île Sainte Marie (Analanjorofo), Marovoay (Boeny), Maintirano (Melaky), Ihosy (Horombe) ; où les institutions financières sont rares avec seulement une ou deux banques primaires, mais qui ont des potentiels économiques. Madagascar doit croître et se développer moyennant de ses atouts tant sur le plan humanitaire ainsi que de ses ressources.

Table des matières

SOMMAIRE
REMERCIEMENTS
LISTE DES ABRÉVIATIONS, SIGLES ET ACRONYMES
INTRODUCTION
PREMIÈRE PARTIE : L’APERÇU GÉNÉRAL ET ÉTUDE DESCRIPTIVE DU PROJET Erreur !
CHAPITRE I : GÉNÉRALITÉS SUR LE PROJET
SECTION I : L’ÉTUDE MONOGRAPHIQUE DE LA ZONE D’ÉTUDE
§1- La situation géographique de la région DIANA et de Nosy-Be
A- Localisation :
a) Localisation de la région DIANA
b) Localisation du district de Nosy-Be
B- Le climat de la zone d’étude
C- Relief et paysage de l’île de Nosy-Be
D- Démographie de la zone d’étude
a) La population de la Commune urbaine de Nosy-Be
b) Évolution de la population de Nosy-Be
§2- Les activités principales dans le district de Nosy-Be
A- Agriculture
B- L’élevage
C- La pêche
D- Les mines
E- L’artisanat
F- Transport
G- Le commerce
H- Le tourisme
I- L’industrie
§3- Les problèmes socio-économiques de la région
A- Les conditions de vie
B- Situation économiques de la région
SECTION II : LA NOTION DE MICROFINANCE
§1- La définition de microfinance
A- Définition
B- La distinction entre microfinance et microcrédit
§2- L’historique et l’évolution de la microfinance
A- Chronique de la microfinance
B- L’évolution des IMF
a) L’augmentation du taux de pénétration
b) L’accroissement des membres
c) L’extension des épargnes
d) L’intensification de crédit distribué
§3- Les différents types et formes de microfinance
A- Les différentes formes de microfinance
B- Le classement des établissements de microfinance
SECTION III : LA CONDUITE TECHNIQUE ET ORGANISATIONNELLE DE PROJET
§1- La nature du projet
A- Forme juridique
a) Les différentes possibilités de choix
b) Notre choix de nature juridique
B- L’identité de l’entreprise
§2- But et objectif du projet
A- Les objectifs du projet
B- Les buts de ce projet
§3- Intérêt du projet
A- Intérêt économique
B- L’intérêt social
CHAPITRE II : ÉTUDE TECHNIQUE DU PROJET
SECTION I : ÉTUDE ORGANISATIONNELLE
§1- Structure organisationnelle
§2- Les fonctions du personnel
A- Les organes délibérants
a) L’assemblée générale
b) Le conseil d’administration
c) Le conseil de surveillance
d) Le conseil de crédit
B- L’organe exécutif
a) Directeur d’agence
b) Le responsable d’administration et financier ou RAF
c) Responsable de crédit
d) Logistique
e) Agents de crédits
f) Le comptable
g) Les caissiers
h) Secrétaire administratif
i) Responsable d’accueil
j) Agents de sécurité
k) Femme de ménage
§3- La Gestion des Ressources Humaines de l’entreprise
A- La politique salariale
a) Le recrutement
b) La gestion du temps adoptés
c) La rémunération
B- La politique de motivation
a) L’approche des concepts sur la motivation au travail et implication
b) L’approche théorique de motivation
c) Mesurer et favoriser la motivation et l’implication au travail
d) La politique de motivation et d’implication au travail mise en place à l’entreprise
C- La politique de formation
a) L’évaluation du personnel
b) La facilitation de la mobilité professionnelle
c) La formation
d) La sortie de la vie professionnelle
SECTION II : CHRONOGRAMME DE REALISATION DU PROJET
§1- Le chronogramme des travaux
A- Objet et domaine d’application
B- La préparation de la mise en oeuvre des travaux
C- Le calendrier des travaux
§2- Le diagramme de GANTT
A- Le diagramme de GANTT de la 1ère étape de la vie de l’entreprise
B- Le diagramme de GANTT de la 2ème étape de la vie de l’entreprise
§3- L’aménagement du bâtiment
A- Surfaces nécessaires pour l’aménagement du bâtiment
B- Le plan envisagé pour l’aménagement du lieu de travail
SECTION III : LES ACTIVITÉS PRINCIPALES DU PROJET
§1- Les produits crédits
A- La définition de crédit et son utilité
a) La définition
b) L’utilité du crédit
B- Les risques de crédit
a) Les risques de crédit aux petites entreprises
b) Les risques de crédit aux particuliers
C- Les types et la politique de crédit
a) Les types de crédit
a. Crédit commerciale des PME
b. Le crédit Grenier Communautaire villageois
c. Le crédit des équipements productifs
d. Les caractéristiques générales de crédit
e. Le portefeuille de crédit
b) Procédure d’octroi de crédit
a. L’analyse de l’agent de crédit
b. La recommandation du conseil de crédit
c. La décision du C.A.
d. Le déblocage de crédit
§2- L’épargne
A- Les types de comptes d’épargne
a) compte de dépôt à vue
b) compte de dépôt à terme
c) épargne bloquée
B- Les caractéristiques des comptes d’épargnes
a) Caractéristiques du compte de dépôt à vue
b) Caractéristiques du compte de dépôt à terme
c) Caractéristiques du compte bloqué
C- Les avantages des comptes d’épargnes
CHAPITRE III : LA PRÉSENTATION DU MARCHÉ
SECTION I : DESCRIPTION DU MARCHÉ
§1- Le domaine d’étude du projet
§2- Les clientèles cibles
§3- La part du marché visée
SECTION II : L’ANALYSE DE L’OFFRE ET DE LA DEMANDE
§1- L’étude de l’offre
A- L’estimation de l’offre dans la région DIANA et de Nosy-Be
B- La quantité et la qualité de service à offrir
a) La qualité de service à offrir
b) La quantité des services à offrir
§2- L’étude de la demande
A- La situation globale de la demande dans la région
B- Analyse de potentialité du marché
§3- Les concurrents
SECTION III : LA POLITIQUE ET STRATÉGIE MARKETING À ENVISAGER
§1- La stratégie marketing à adopter
A- La stratégie pull
B- La stratégie push
§2- La politique de service et de dépôt
A- La politique de service
B- La politique de dépôt
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§3- La politique de distribution et de communication
A- La politique de distribution
B- La politique de communication
DEUXIÈME PARTIE : ÉTUDE FINANCIÈRE DU PROJET
CHAPITRE I : LES INVESTISSEMENTS ET LES COMPTES DE GESTION
SECTION I : LES COÛTS DES INVESTISSEMENTS ET LEURS AMORTISSEMENTS
§1- L’investissement
A- La définition économique de l’investissement
B- La définition comptable de l’investissement
C- La définition macroéconomique de l’investissement
§2- La nature et le coût des investissements
A- La nature des investissements
a) Les immobilisations incorporelles
b) Les immobilisations corporelles
c) Les immobilisations financières
B- Les coûts des investissements
a) Le coût des immobilisations incorporelles
b) Le coût des immobilisations corporelles
a. Terrain
b. Construction
c. Installation technique
d. Matériel de transport
e. Matériel de bureau
f. Matériel informatique
g. Autre matériel et outillage
c) Récapitulation des investissements
§3- L’amortissement des immobilisations
A- La définition de l’amortissement
B- La comptabilisation de l’amortissement
a) Prise en compte de l’amortissement en comptabilité
b) La notion de la valeur résiduelle
C- Calcul de l’amortissement
a) La description de la méthode
b) Les tableaux d’amortissement
a. Les frais d’établissement
b. La construction
c. L’installation technique
d. Le Matériel de bureau
e. Le matériel informatique
f. Le matériel de transport
g. Le groupe électrogène
D- La récapitulation des amortissements
SECTION II : LES MODALITÉS DE FINANCEMENT
§1- Les modalités de financement
A- Le financement interne
a) La formation du capital
b) L’autofinancement
B- Le financement externe
a) Le financement par fonds propres
b) Le financement par endettement
c) Le crédit bail
§2- Le choix de financement
A- Les critères d’octrois de crédit
a) Les critères subjectifs
b) Les critères objectifs
B- Types de crédits bancaires
C- Les conditions d’emprunts
§3- Fonds de roulement initial
A- Le mode de calcul du FRI
B- La récapitulation du financement des immobilisations avant exploitation
C- Le bilan d’ouverture
SECTION III : LES COMPTES DE GESTION
§1- Les comptes de charges
A- Les charges d’exploitation
a) Les achats consommés
a. Les fournitures de bureau
b. L’eau et l’électricité
c. Le carburant
d. Récapitulation des charges sur achats consommés
b) Les services extérieurs
c) Impôts, taxes et versements assimilés
a. Les salaires
b. Les charges sociales
B- Les charges financières (classe 66)
C- Les dotations aux amortissements (classe 68)
D- La récapitulation des charges
§2- Les comptes de produit
CHAPITRE II : L’ANALYSE DE LA RENTABILITÉ DU PROJET
SECTION I : LES ÉTATS FINANCIERS
§1- Les comptes de résultats prévisionnels
§2- Les flux de trésorerie
§3- Les bilans prévisionnels
A- Les éléments constitutifs du bilan
a) Le passif du bilan
b) L’actif du bilan
B- Présentation des bilans prévisionnels
SECTION II : LA CAPACITÉ D’AUTOFINANCEMENT ET LES RATIOS
§1- La capacité d’autofinancement
A- La notion de capacité d’autofinancement
B- Mode de calcul de la CAF
§2- Le seuil de rentabilité
A- La définition
B- Le mode de calcul du SR
a) Les charges variables de l’entreprise
b) Les charges fixes
§3- Analyse à partir des ratios
A- Les ratios de sécurité
a) La marge de sécurité
b) L’indice de sécurité
B- Les ratios de rentabilité
a) La rentabilité financière
b) La rentabilité commerciale
c) La rentabilité économique
C- Les ratios de structure financière
a) Le ratio de capacité de remboursement
b) Le ratio d’indépendance financière
c) Ratio sur la valeur ajoutée
SECTION III : LES CRITÈRES D’ÉVALUATION DE LA RENTABILITÉ D’UN PROJET
§1- Les cash-flows
A- Définition
B- L’actualisation des cash-flows
§2- La valeur actuelle nette(VAN) et l’indice de profitabilité(IP)
A- La valeur actuelle nette
a) Définition
b) L’interprétation
B- L’indice de profitabilité
a) Définition
b) L’interprétation
§3- Le taux de rentabilité interne (TRI) et les délais de récupération des capitaux investis
A- Le taux de rentabilité interne
a) Définition
b) Interprétation
B- Les délais de récupérations des capitaux investis
a) Définition
b) Interprétation
CHAPITRE III : ÉVALUATION ÉCONOMIQUE ET SOCIALE DU PROJET
SECTION I : L’ÉVALUATION ÉCONOMIQUE
§1- La création de la valeur ajoutée
A- La notion de valeur ajoutée
B- La projection de la valeur ajoutée
§2- La croissance économique
SECTION II : L’ÉVALUATION SOCIALE DU PROJET
§1- La création d’emplois
A- Les emplois directs
B- Les emplois indirects
§2- L’amélioration du revenu
SECTION III : L’APPRÉCIATION DE L’OPPORTUNITÉ DU PROJET
§1- L’efficience et l’efficacité du projet
A- L’efficience
B- L’efficacité
§2- La pertinence et la cohérence
A- La pertinence
B- La cohérence
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
LISTE DES TABLEAUX ET DES ILLUSTRATIONS
TABLE DE MATIÈRES

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