Le développement durable vu a travers les activités du parc

PROGRAMMES ENVIRONNEMENTAUX

Le PAE qui s’étend sur 15 années est reparti en 3 phases ou Programme Environnemental :
-Phase I ou PE I – De 1992 à 1996 – consacrée à la mise en place des structures et à l’application pratiques des théories élaborées par les spécialistes de l’environnement. L’ANGAP (Cf. Annexe) était chargée de la coordination des activités dans l’élaboration du Programme des Aires Protégées (PAP).
-Phase II ou PE II – De 1997 à 2001 – consacrée à l’opérationnalisation des acquis du PE I. Dans le cadre de l’exécution du PE II, la gestion directe du réseau des aires protégées a été confiée à l’ANGAP, suivant les termes de la loi programme n° 97-012 du 6 juin 1997 modifiant certaines dispositions de la loi n° 90-033 du 21 décembre 1990 portant Charte de l’Environnement.
-Phase III ou PE III – De 2002 à 2006 – qui consiste à poursuivre en vitesse de croisière les activités du programme.
Comme il s’agit du démarrage d’un processus complexe à long terme, pour lequel l’expérience et la capacité locale doivent être développées, toutes ces activités ne pourront avoir lieu immédiatement.
En tant que première tranche de cinq ans du PAE, le Premier Programme Environnementale PEI avait développé les six programmes prioritaires ci-dessus.
Les critères suivants ont été utilisés pour identifier les priorités de cette première tranche du PAE:
i)le développement les opérations urgentes, à savoir:
(a) la protection du patrimoine de biodiversité dans les parcs, les réserves et les forêts classées actuellement en danger, en conjonction avec le développement de leurs zones périphériques;
(b) la lutte contre la déforestation et l’érosion dans les bassins versants prioritaires où les impacts économiques négatifs sont actuellement les plus marqués;
ii) l’établissement de solides fondations pour la gestion de l’environnement au moyen du renforcement des institutions, de la réalisation d’études et du développement des ressources humaines.
Afin d’atteindre ces objectifs, la stratégie proposées’appuyait sur les principes suivants :
i) un cadre institutionnel innovatif et souple fondé sur la participation équilibrée des secteurs public et privé et sur l’association d’un grand éventail d’institutions étrangères (organismes internationaux et bilatéraux, universités, ONG) tout en assurant une coordination efficace et une augmentation de la capacité nationale de gestion;
ii) un rythme progressif de réalisation tenant compte du caractère novateur du Programme et épousant le développement progressif des institutions.
Le Programme sera évolutif en combinant des activités ayant différents niveaux de maturité, certaines étant testées à une petite échelle, alors que d’autres, déjà confirmées, pourront être étendues sur de vastes zones.
Pour cette raison, le Programme était à réaliser en deux phases:
– la première, pendant environ deux ans, mettra l’accent sur la consolidation des institutions, sur la formation et le lancement progressif d’opérations sur le terrain; une évaluation à mi-parcours sera entreprise pour tirer les premières leçons et ainsi réorienter le Programme en conséquence;
– la seconde phase, pendant environ trois ans, permettra d’étendre ces opérations. En conséquence, les objectifs et coûts correspondants du Programme ont été estimés en termes globaux. Ils devront être ajustés chaque année pendant l’exécution;
iii) mise en place de systèmes de suivi, d’évaluation et de gestion de données; ces outils seront indispensables pour gérer le Programme en tant que processus.
Les systèmes de suivi et d’évaluation fourniront des informations pour élaborer les plannings annuels.
Ils permettront de préparer l’évaluation à mi-parcours, et ainsi de faire évoluer la conception du Programme.
Un effort particulier sera fait pour développer les données sur les ressources naturelles et les informations géographiques, en fonction de la demande des utilisateurs;
iy) reforme de politique et éléments d’incitations pour un développement durable; les nouvelles politiques environnementales qui ont été définies durant le PAE seront appliquées
durant le Programme. v) continuité dans la réalisation du PAE. Au cours du Programme, la deuxième tranche quinquennale du PAE est préparée en fonction des résultats et de l’expérience acquise ainsi que des études et actions pilotes menées. C’était le premier Programme environnemental global à être exécuté en Afrique.
La nouveauté des activités proposées, l’établissement de nouvelles institutions et le nombre important d’organismes et ONG nationales, bilatérales et internationales impliqués, nécessitent une coordination et une supervision étroite.
Pour ce faire, un Secrétariat de Bailleurs de Fonds (SBF) a été installé au Siège de la Banque Mondiale pour trois ans afin de tenir informés les organismes participants, de renforcer la coordination et la supervision, de capitaliser l’expérience pour guider l’exécution du Programme et préparer les futures interventions environnementales à Madagascar ainsi que dans d’autres pays africains. De plus, un Comité d’Orientation et de Suivi (SteeringCommittee) – COS – a été créé à Madagascar pour l’accompagnement de l’ensemble de l’exécution du Programme.

Description sommaire

Le Programme environnemental 1 comprend sept composantes 

i) Protection et gestion de la biodiversité et des principaux écosystèmes terrestres là où ils sont les plus menacés, en association avec le développement des zones périphériques. Le renforcement du réseau des parcs et réserves constituera la base indispensable au développement du « tourisme écologique », appelé à devenir une source prometteuse de devises étrangères ;
ii) Conservation des sols agroforesterie, reforestation et autres actions de développement rural dans les zones prioritaires. Lamise en œuvre de cette composante repose sur la pleine participation des communautés locales;
iii) Cartographie et mise sur pied progressive d’un système d’information géographique (SIG) dans les zones prioritaires du Programme;
iv) Etablissement des limites des aires protégées et amélioration de la sécurité foncière par titrage des terres dans les zones prioritaires du Programme;
(v) Promotion de la sensibilisation, de la formation et de l’éducation en matière d’environnement;
vi) Recherche environnementale sur les écosystèmesterrestres, côtiers et marins; et
vit) Activités d’appui comprenant la mise en place d’un cadre institutionnel, l’établissement de procédures d’EIE, le renforcement de la base de données environnementales, le suivi et l’évaluation, et les études.
Cette composante inclut la préparation de la deuxième tranche quinquennale du PAE au moyen d’études et d’activités pilotes.
Le principe dicte que les sept composantes du Programme sont hautement interdépendantes.
Leur mise en œuvre va donc demander un effort spécial de coordination pour assurer un enchaînement logique des activités.
Ceci nous amène à voir et analyser les différentes institutions, organisme gouvernemental ou non gouvernemental qui ont marqué la gestion ou protection de ces aires protégées en liaison avec les politiques et stratégies environnementales et développement à Madagascar.

Cadrage institutionnel et principaux organismes

Période coloniale et 1988

A Madagascar la gestion des espaces protégées revient toujours à l’administration forestière. Durant la période coloniale, le Gouverneur ou Chef de Canton avec l’aide des techniciens forestiers, Cantonnements ou autres, sont les responsables de la gestion de ces espaces protégés et les autres éléments des domaines forestiers.
Les trois républiques ont hérité de cette organisation avec quelques modifications à Madagascar. Les Ministères chargés de la gestion deces espaces ont par exemple changé de nom quelquefois (MPAEF, MADR, MINENVEF, MEF, etc.).
La gestion des aires protégées revient avec ses divisions spécialisées au Service de la protection de la Nature rattaché à la Direction desEaux et Forêt.L’organisation de cette gestion suit la hiérarchie des services décentralisés de laDirection des Eaux et Forêts. Toutefois, vu l’importance des espaces protégées, les responsables peuvent correspondre directement avec la Direction des Eaux et Forêts et celui-ci peut ordonner directement les responsables à exécuter des travaux spécifiques de conservation mais sans oublier d’informer les supérieurs hiérarchiques des responsables des AP.

Financement du PEIII

Divers bailleurs de fonds y contribuent : les institutions internationales de financement de l’environnement (GEF, Banque Mondiale, PNUD, PNUE), les organismes de coopération bilatérale (USA, Allemagne, France, Suisse) et les organisations non gouvernementales internationales (CI, KBG, MBG, WCS, WWF, …). Le PE III était prévu se terminer en 2009.
Le souci de survie pour la population des zones d’intervention a toujours été la principale cause de pression sur les ressources naturelles. Certes, les programmes de développement actuels traitent des besoins.

STRUCTURE DU PE III

L’organigramme des entités qui entrent dans la gestion des aires protégées durant la phase trois a connu des changements vu l’objectif ci-dessus. (La mise en place du financement durable et automat isation des actions environnementales, le mainstreaming de la gestion de l’environnement, le renforcement des partenariats).
Le Ministère de l’Environnement et des Forêts connait renforcer son rôle d’organisateur point focal et cela avec la création du CELCO une cellule de coordination de la Banque Mondiale créer surtout en vue de coordonner les dons et financements internationaux que nationaux pour les actions environnementales.

CADRAGE SPATIAL

Définition de la Forêt

(Loi N°97-017 en date du 08/08/ 97, portant révis ion de la législation forestière, Article 1 et 2) Article 1 -: Par forêt, au sens de la présente loi, on entend toutes surfaces répondant aux qualifications ci-après :
• les surfaces couvertes d’arbres ou de végétation ligneuse, autres que plantées à des fins exclusives de production fruitière, de production de fourrage et d’ornementation ;
• les surfaces occupées par les arbres et les buissons situés sur les berges des cours d’eau et lacs et sur des terrains érodés ;
• les terrains dont les fruits exclusifs ou principaux sont des produits forestiers, tels qu’ils sont définis à l’alinéa ci-dessous.
Sont qualifiés produits des forêts : tous produits naturels issus de leur exploitation et dont la liste fera l’objet d’un décret.

Art. 2 -: Sont assimilés aux forêts 

• les surfaces non boisées d’un bien fonds forestier telles que les clairières ou surfaces occupées par des routes forestières, constructions et installations nécessaires à la gestion forestière ;
• les terrains non boisés à vocation forestière, notamment pour la conservation et la restauration des sols, la conservation de la biodiversité, la régulation des systèmes hydriques ou l’accroissement de la production forestière dès qu’ils auront fait l’objet d’un classement tel que défini à l’article 43 de la présente loi ;
• les terrains déboisés depuis moins de cinq ans etn’ayant pas fait l’objet d’une autorisation de défrichement ;
• les marais, les peuplements d’aloès ;
• les peuplements naturels et purs d’arbres produisant des fruits, tels que les manguiers et anacardiers ;
• les mangroves, les bois sacrés, les raphières (cœur de palmiers Ravinala).
La couverture forestière de Madagascar Madagascar a été initialement presque couverte de forêt. Et on a parlé de lui « une île verte ». Actuellement cette couverture forestière présente à peine 10% de la surface totale du pays.La superficie des forêts et des plantations à Madagascar est estimée à environ 9,7 millions d’hectares en 2005.
De cet ensemble de forêts naturelles et artificielles, une grande partie, soit 5.3 millions Ha, a été mise en protection pour la future expansion du Système National d’Aires Protégées (SAPM). Les forêts à l’extérieur des zones potentielles en SAPM restent disponibles pour l’exploitation commerciale, c’est-à dire environ 4,1 millions d’hectares de forêts naturelles et 265 000 ha de plantations en 2005, après la prise en compte de la déforestation depuis 2000.
Dans un cadre de gestion durable (KoloAla) ces forêts à vocation de production permettent une production annuelle de 18,5 millionsde m3 de bois. De cette production totale, 12,6 millions de m3 (75 %) proviennent des forêts naturelles, 5,2 millions de m3 (25 %) peuvent être produits dans les plantations existantes. Il faut y ajouter environ 7,8 millions de m3 de bois, essentiellement de feu (5,8 millions de m3) et pour le charbon (2 millions de m3), provenant des lambeaux ou bosquets isolés de forêts dans les zones agricoles et pastorales.

LES AIRES PROTEGEES D’ANDASIBE

LE PARC NATIONAL ANDASIBE-MANTADIA

Généralité sur les Aires Protégées

Définition d’une Aire protégée

Une aire protégée(selon UICN) est un territoire ou zone marine et/ou côtière consacrée particulièrement à la protection et au maintien de la diversité biologique (écosystèmes, espèces, variabilité génétique) ainsi que des ressources naturelles et culturelles associées et gérée par des moyens efficaces, juridiques ou autres.
Au sens de la nouvelle loi COAP, Code de Gestion des Aires protégées (Loi adoptée par les parlements et non encore publiée), on entend par Aire protégée (AP) un territoire délimité, terrestre, marin, côtier, aquatique dont les composantes présentent une valeur particulière notamment biologique, naturelle, esthétique, morphologique, historique, archéologique, cultuelle ou culturelle, et qui nécessite, dans l’intérêt général, une préservation multiforme.
On peut dire donc qu’elle est gérée en vue de la protection et du maintien de la diversité biologique, de la conservation des valeurs particulières du patrimoine naturel et culturel et de l’utilisation durable des ressources naturelles contribuant à la réduction de la pauvreté. Toutes les aires protégées à Madagascar sont régies par la Loi Nº028/2008 du 29 Octobre 2008 portant refonte du Code de Gestion desAires Protégées et ses décrets d’application.

Définition de système d’aires protégées

Un système d’aires protégées est un ensemble représentatif* d’aires protégées qui comprend:
– tous les habitats majeurs (par exemple d’un pays ou d’une région) ;
– des habitats assez larges, capables de soutenir des populations viables de flore et de faune ;
– des habitats bien connectés, pour permettre les échanges génétiques nécessaires à la stabilité des espèces.
Le concept de « représentation écologique » traduit la nécessité de mettre en place des aires protégées qui représentent une variété complète de la biodiversité dans tous les domaines (marin et terrestre) et à des échelles biologiques différentes (espèces et écosystèmes). Avant de pouvoir être classé dans une des six catégories présentées dans la nouvelle loi COAP, le site doit d’abord répondre à la définition d’aires protégées et démontrer sa
contribution aux objectifs du SAPM. Le SAPM est constitué des Aires Protégées gérés par le Madagascar National Parks et les nouvelles Aires Protégées.

SITUATION GEOGRAPHIQUE du Parc National Mantadia

La région d’Andasibe a deux noms Andasibe-Mantadia et Périnet. Cette dernière appellation vient de l’ingénieur Périnet qui a participé à la construction du chemin de fer reliant Tananarive à la côte Est (TCE), ligne ferroviaire qui n’est pas exploitée durant des années avant l’arrivée de MADARAIL bien qu’il existe diverses gares et de rails de chemin de fer qui traverse la région.
Le parc se situe à deux heures de temps d’ANTANANARIVO le capital de MADAGASCAR, 140 km et à 220 km de la côte orientale Malgache en suivant la Route Nationale 2 Le parcs est l’un des les plus visités à Madagascar à cause de sa proximité de la capitale et la variété de sa faune et flore rare. La commune rurale d’Andasibe est l’assise de tous ces aires protégées d’Andasibe

CLIMAT ET RELIEF

L’altitude de la région d’Andasibe varie de 900 à 1250m. Le relief est accidenté, grâce aux nombreux cours d’eau qui y coulent et qui laissent un paysage d’une beauté unique. Le climat est de type tropical humide et pluvieux. Sa pluviométrie est de 1700 mm pour 210 jours. Sa température moyenne est de 18°C. Les mois le plus chaud sont de Novembre à Janvier avec une température de 27°C, il fait très froid entre Juillet et Septembre, la température peut atteindre les 10°C, et il pleut abondamment entre le mois de Janvier et le mois de Mars, avec des crachins brusques et intempestifs.

LE PARC NATIONAL MANTADIA

Définition

Un Parc National désigne une aire affectée à la protection et à la conservation d’un patrimoine naturel ou culturel original d’intérêt national, tout en offrant un cadre récréatif et éducatif. Il appartient à la catégorie II du classement UICN ou COAP.

Objectifs principaux de gestion

La gestion d’un parc doit pourvoir les objectifs principaux suivants :
– Protégé des régions naturelles et des paysages d’importances nationales, régionales, ou communales à des fins écologiques spirituelles, scientifiques, éducatives, récréatives et/ou touristiques.
– Mettre en place un système de gestion durable de l’écosystème aux fins ci-dessus, en particulier pour la gestion de l’écotourisme.
– Perpétuer dans des conditions aussi naturelles que possible des exemples représentatifs de régions physiographiques, de communautés biologiques, de ressources génétiques et d’espèces de manière à garantir une stabilité et une diversité écologique.
– Garantir le respect des éléments écologiques et géomorphologiques,
– Satisfaire les besoins des populations riveraines, y compris l’utilisation des ressources à des fins de subsistance, dans la mesure où ces besoinsn’ont aucune incidence négative sur les autres objectifs de gestion.

Spécificités malagasy

La gestion des aires protégées de Catégorie II doit permettre le développement de l’écotourisme. L’écotourisme se caractérise par son souci de la conservation de la nature et par le partage équitable des bénéfices (notamment retombées économiques) avec les populations locales sans engendrer la perte ou le changement de leur culture.Des Zones d’Occupation Contrôlée pourrait exister à l’intérieur d’une aire protégée Catégorie II.
Les activités touristiques doivent être consignées dans des zones dédiées clairement délimitées.La préservation des particularités culturelles /traditionnelles peut être une partie intégrante des activités touristiques dans l’aire protégée et devrait être assurée en parallèle avec les objectifs primaires de gestion.

LES AIRES PROTEGEES GEREES PAR LE PNAM

Le PNMA gère en premier lieu la Réserve Spéciale Analamazaotra ou Réserve Spéciale d’Indri Indri. La réserve a été Créée en 1970 par arrêté ministériel. Sa Superficie est de 810 ha et elle est créée dans le but de préserver l’écosystème naturel, protéger l’espèce animale particulière, l’Indri Indri.
La deuxième aire protégée gérée en même temps que la réserve est le Parc National de Mantadia. C’est un parc créé par décret en 1989 dans le but de protection et conservation de la faune et flore unique dans le monde et que nous verrons en détails ci-dessous. Le parc est aussi destiné à d’autre activité dans le cadre récréatif et éducatif, sa superficie est de 15480 ha.Ainsi le Parc National Mantadia regroupe deux réserves distinctes qu’on peut visiter le jour et la nuit.

La réserve de Mantadia

Il s’agit d’une forêt primaire intacte comportant quelque 10 000 ha avec des sentiers quasiment tracés. La forêt est divisée en deux par la route et dans la forêt de droite se trouvent les lémuriens à queue touffue noire et rouge tandisqu’à gauche le sifaka au diadème doré ou Simpona, et quelques Indri. Cette section de Mantadia comporte de bonnes pistes, même si elles sont abruptes offrant une vision admirable del’ensemble de la forêt et des points de vue intéressants d’observation des oiseaux, dont certains comme les fouisseurs à écaille, les fouisseurs à pitta et le coua à gorge rouge.

Table des matières

SOMMAIRE
REMERCIEMENT
INTRODUCTION
PROBLEMATIQUE
PARTIE I : GENERALITES SUR LES AIRES PROTEGEES
CHAPITRE I: LE CADRAGE JURIDIQUE, INSTITUTIONNEL ET SPATIAL.
1.1. CADRAGE JURIDIQUE
1.2. POLITIQUE ENVIRONNEMENTALE
1.3. CADRE INSTITUTIONNEL ET PRINCIPAUX ORGANISMES
1.4. CADRAGE SPATIAL
CHAPITRE II: LES AIRES PROTEGEES D’ANDASIBE
1.1 GENERALITES SUR LES AIRES PROTEGEES
1.2. LE PARC NATIONAL D’ANDASIBE MANTADIA
1.3. LA RESERVE DE MANTADIA
1.4. LA RESERVE D’ANALAMAZAOTRA
PARTIE II : LE DEVELOPPEMENT DURABLE VU A TRAVERS LES ACTIVITESDU PARC
CHAPITRE I : LES ACTIVITES DE DEVELOPPEMENT DU PARC
1.1. Le PNMA assure le maintien de l’intégrité écologique
1.2. Le PNMA assure l’amélioration de l’efficacité économique
1.3. Le PNMA assure l’amélioration de la justice sociale
1.4. L’éducation des adultes en remplacement ou enrenforcement de l’éducation environnementale
CHAPITRE II : LA COMMUNE RURALE D’ANDASIBE
1.1.CARACTERISTIQUES GEO-PHISIQUES ET HISTORIQUE
1.2.CARACTERISTIQUES BIOLOGIQUES ET LES RESSOURCES NATURELLES
1.3.CARACTERISTIQUES DEMOGRAPHIQUES et ADMINISTRATIFS
1.4.ACTIVITES ECONOMIQUE ET PRODUCTIVES
CONCLUSION 
BIBLIOGRAPHIE
LISTES ILLUSTRATIONS DOCUMENTS

projet fin d'etude

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *