Les complexes mafiques et ultramafiques birimiens de la ceinture de mako

 Les complexes mafiques et ultramafiques birimiens de la ceinture de mako

Les roches mafiques

 Elles sont représentées par des formations volcanoplutoniques composées de basaltes et de gabbros. Les laves basaltiques sont massives ou structurées en coussin attestant de leurs émissions sous-marines. Depuis les travaux de Bassot (1963 et 1966), elles ont été décrites et analysées par de nombreux auteurs, dans les parties centrale et méridionale du groupe de Mako (Diallo, 1983 ; Debat et al., 1984 ; Ngom, 1985 et 1989 ; Abouchami et al., 1990 ; Diallo, 1994 ; Ngom, 1995 ; Ngom et al., 1998 ; Diallo, 2001 ; Ngom et al., 2007 et 2010 ; Cissokho, 2010 ; Théveniaut et al., 2010 ; Dabo et al., 2017) et dans sa partie septentrionale (Dioh, 1986 ; Dia, 1988 ; Dioh et al., 1990 ; Dioh, 1995 ; Pawlig et al., 2006).

 Les basaltes 

Les basaltes en coussin 

 Affleurements 

Les basaltes en coussin (pillow lavas) qui résulte d’un volcanisme sous aquatique représentent l’essentiel des affleurements à l’Ouest du secteur du village de Mako. Sur le terrain, on les retrouve du Sud au Nord dans les secteurs de Bafoundou, Badian, Linguékoto, Niéméniké et Séguéko Peul (Fig. 15). Unités Lithologies N°Ech Latitude (N) Longitude (W) Localités Wehrlite IL18 12°50’47 » 12°21’24 » Mako Wehrlite IL32 12°50’52 » 12°21’36 » Mako Wehrlite ILL3 12°50’34 » 12°20’27 » Lamé Wehrlite 77 12°50’38 » 12°20’19 » Lamé Wehrlite 116 12°54’02 » 12°15’24 » Koulountou Wehrlite MKNT312 12°50’98 » 12°21’66 » Mako Wehrlite MKNT313 12°50’96 » 12°21’60 » Mako Gabbro IL64 12°54’43 » 12°14’91 » Koulountou Gabbro IL68 12°35’26 » 12°22’61 » Bandafassi-Landiéné Gabbro 69 12°49’57 » 12°19’26 » Lamé Gabbro 125 12°50’70 » 12°19’24 » Lamé Basalte amygdalaire IL17 12°50’32 » 12°19’92 » Lamé Basalte IL23 12°50’49 » 12°21’97 » Fleuve Gambie Andésite microlitique IL42 12°52’80 » 12°21’31 » Niéméniké Andésite microlitique IL63 12°54’33 » 12°15’17 » Kanouméring Andésite à phénocristaux de Plg IL34 12°51’24 » 12°21’81 » Mako Andésite à phénocristaux de Cpx ILN7 12°54’01 » 12°23’83 » Séguéko Peul Andésite à phénocristaux de Cpx MKNT318 12°49’27 » 12°19’38 » Boto Dacite porphyrique IL5 12°54’74 » 12°08’52 » Tinkoto Rhyolithe porphyrique IL15 12°51’79 » 12°20’26 » Mako Rhyolithe porphyrique IL60 12°52’28 » 12°20’54 » Mako Roches filoniennes Roches ultramafiques 63 Figure 15: Carte d’affleurement des basaltes avec la localisation des sites d’échantillonnage. Les coussins de forme elliptique et de taille variable (5,5 cm à 1,2 m) affleurent au Nord-Ouest de Séguéko Peul (IL57), dans la carrière à l’Ouest de Niéméniké (IL40) où ils reposent sur un gabbro, au Sud de Bafoundou (IL59) et à l’Ouest de Badian sur la bordure Sud du fleuve Gambie (IL25). Ce dernier affleurement constitue un parfait site d’observation car à cet endroit les coussins sont très bien conservés et notamment montrent une tête, une queue et un pédoncule (partie convexe où sort la lave), le tout recouvert par une carapace appelée cortex (Fig. 16a). Les coussins sont réunis par un ciment inter-pillow constitué de quartz et de calcite bien visible au Sud de Bafoundou (IL59) (Fig. 16b). Au sein de ces coussins, on observe également de nombreuses vésicules (2 – 5 mm de diamètre) témoin de l’évaporation de gaz dont l’exemple le plus spectaculaire se trouve dans le secteur Nord-Ouest de Séguéko Peul (IL57) (Fig. 16c). Ces vésicules sans orientation particulière à l’échelle de l’affleurement ont été ultérieurement colmatées par du quartz secondaire. Dans le secteur de Linguékoto (IL4) en revanche, les coussins elliptiques sont de petite taille (8,5 – 20 cm) (Fig. 16d); ils constituent le toit du gisement d’or de Torogold. Sur le terrain les coulées de basaltes en coussin sont débitées en blocs polygonaux de couleur verdâtre ou bleuâtre.

 Pétrographie

 Les basaltes en coussin sont caractérisés par une texture microlitique avec une paragenèse primaire presque complètement déstabilisée composée de plagioclase, de clinopyroxène et d’amphibole et une paragenèse secondaire avec, en proportion variable, actinote, épidote, chlorite, calcite, quartz et minéraux opaques. Les plagioclases forment des microlites en lattes très allongées (0,03 – 0,1 mm) partiellement ou totalement saussuritisés (transformation hydrothermale ou altération des plagioclases en épidote, lawsonite, albite). Les clinopyroxènes non altérés sont uniquement observés dans le basalte en coussin de Bafoundou (IL59). Ils sont à composition d’augite (Wo28-38; En44–53; Fs15-22), de forme et de taille variable représentant jusqu’à 60% du mode de la roche (Fig. 16e). En revanche, dans les autres basaltes en coussin, les clinopyroxènes sont complètement transformés en amphiboles secondaires de type actinote formant des fibres de petite taille (0,06 – 0,2 mm). Ces actinotes sont regroupées en agrégat polycristallin disposées en gerbe (Fig. 16f et g). Dans les micro-coussins elliptiques de Linguékoto (IL4), les actinotes de même que les minéraux d’altération sont orientés localement par la schistosité métamorphique (Fig. 16h). Cependant, on peut parfois reconnaître l’amphibole primaire de type édénite (Si= 7,8 – 7,4 p.f.u. ; XMg= 0,8 – 0,7) ; elle apparaît en très faible proportion (1 à 2% du mode dans certains faciès) sous forme de prisme trapu, losangique, hexagonal et en très fine baguette (0,1 – 0,5 mm). Ces amphiboles sont souvent transformées en épidote, chlorite, calcite et minéraux opaques en treillis de taille variable (0,01 – 0,1 mm). La mésostase est constituée de microlites squelettiques de plagioclase, de clinopyroxène et d’amphibole, de quartz recristallisé et associé à l’épidote, chlorite, calcite et minéraux opaques relativement abondants. Les coussins et le matériel inter-coussin sont recoupés par un réseau anastomosé de filonnets de quartz, calcite, chlorite et épidote. 65 Figure 16: (a) Basalte de Badian (IL25) montrant des coussins avec une tête, une queue et un pédoncule dirigé vers le bas. (b) Basalte en coussin de Bafoundou (IL59) qui présente un matériel inter-coussin constitué de quartz et de calcite. (c) Basalte en coussin au Nord-Ouest de Séguéko Peul (IL57) qui laisse apparaître des vésicules témoin d’une évaporation de gaz. (d) Basalte structuré en micro-coussin elliptiques de Linguékoto (IL4). (e) Caractères microscopiques du basalte en coussin de Bafoundou (IL59) montrant des fibres de clinopyroxène (Cpx). (f) Basalte en coussin de Badian (IL25) montrant au microscope des baguettes d’amphibole (Amp) disposées en gerbe . L’amphibole est déstabilisée en épidote, 66 chlorite, calcite et minéraux opaques. (g) Caractères microscopiques du basalte en coussin au niveau de la carrière de Niéméniké (IL40) montrant des aiguilles d’amphibole disposées en gerbe . (h) Basalte en micro-coussin de Linguékoto (IL4) recoupé par une veine de quartz et montrant des cristaux orientés d’amphibole parfois chloritisés et des minéraux opaques en treillis. 

Les basaltes massifs

Affleurements 

Contrairement aux basaltes en coussin, les basaltes massifs ne montrent aucune structure particulière à l’échelle de l’affleurement. Ces basaltes massifs sont généralement associés aux basaltes en coussin et aux gabbros dans les secteurs de Lamé (IL13) et de Séguéko Peul (IL44, IL48) (Fig. 15). Ils affleurent sous forme de coulées débitées en blocs isolés de grande taille ou sous forme de petites buttes homogènes allongées dans la direction NE-SW. Les basaltes massifs affleurent à Lamé (IL13) (Fig. 17a) et au Nord-Ouest de Séguéko Peul (IL48) où ils sont très schistosés (N105-70) et recoupés par un filon de gabbro N40 et montrant une zone de relais extensif avec un réseau de veines et de veinules de quartz fumés disposées en échelon (Fig. 17b). Par ailleurs, ils apparaissent sous forme d’enclaves dans la diorite au Nord-Ouest de Séguéko Peul (IL44) (Fig. 17c). Ces enclaves basaltiques arrachées lors de la remontée du magma dioritique montrent des limites curvilignes et des interpénétrations en forme de doigt de gant avec la roche hôte. On parle de contact en chouxfleur (Dia, 1988). Ce phénomène traduit un état non encore consolidé de la roche hôte au moment de la mise en place des fragments d’enclave de roche. 

Pétrographie 

Les basaltes massifs présentent une texture microlitique porphyrique avec des phénocristaux de plagioclase et d’amphibole. La minéralogie est la même que celle des basaltes en coussin avec plagioclase, amphibole comme paragenèse primaire et actinote comme produit du remplacement des clinopyroxènes et épidote, chlorite, calcite, quartz et minéraux opaques comme paragenèse secondaire. Dans le secteur de Lamé (IL13), les plagioclases en agrégats polycristallins forment des phénocristaux automorphes (0,5 – 0,9 mm) complètement saussuritisés (Fig. 17d). Dans le secteur Nord-Ouest de Séguéko Peul (IL48) en revanche où les minéraux sont beaucoup plus 67 frais, les plagioclases apparaissent sous forme de phénocristaux et de microlites. Les phénocristaux de plagioclases (0,03 – 0,14 cm) sont automorphes à sub-automorphes à bords irréguliers présentant des macles simples et polysynthétiques bien visibles (Fig. 17e). Les plagioclases forment également des microlites limpides en lattes parfois regroupés en amas polycristallins. Les amphiboles sont représentées par la magnésio-hornblende (Si = 7,4 – 7,3 p.f.u; XMg = 0,8) formant des microcristaux (0,2 – 0,4 mm) en lattes dans le secteur de Lamé alors que dans le secteur de Séguéko Peul, elles forment des petits cristaux (0,05 – 0,07 mm) parfois hexagonaux, losangiques ou trapus pouvant atteindre 50% du volume total de la roche. La magnésio-hornblende est maclée et contient beaucoup de sections de quartz globuleux et de minéraux opaques. Elle est altérée en actinote, épidote, chlorite, calcite et minéraux opaques xénomorphes relativement abondants (15%). Les minéraux d’altération tout comme les microlites de plagioclases et quelques fantômes de minéraux ferromagnésiens apparaissent dans une mésostase très peu abondante dans le secteur de Séguéko Peul et presque complètement vitreuse dans le secteur de Lamé. Les basaltes massifs à texture microlitique porphyrique apparaissent également en enclave dans la diorite au Nord-Ouest de Séguéko Peul (IL44) (Fig. 17f). Ces enclaves se distinguent des autres basaltes massifs et en coussin par la présence occasionnelle de biotite (0,05 – 0,3 mm) représentant jusqu’à 10% du mode de la roche. La biotite englobe des sections minérales de plagioclase, d’amphibole et de minéraux opaques qui soulignent ses clivages. Les amphiboles primaires sont de type magnésio-hornblende (Si = 7 – 6,6 p.f.u.; XMg = 0,6) formant de gros cristaux tabulaires (0,2 – 0,7 mm) et secondaires de type actinote en aiguilles de petite taille (< 0,2 mm) très effilochées. La magnésio-hornblende présente des bordures très corrodées par la mésostase. Les plagioclases forment des cristaux en lattes totalement saussuritisées. La mésostase peu abondante constituée de microlites de plagioclase est tapissée de quartz xénomorphes localement très abondants associés à l’épidote, chlorite, calcite et minéraux opaques. Le caractère porphyrique et les relations mutuelles entre les cristaux dans les basaltes en coussin et massifs définissent la succession de la cristallisation des minéraux comme suit: plagioclase + clinopyroxène + amphibole de type magnésio-hornblende comme paragenèse primaire; amphibole de type actinote + épidote + chlorite + calcite + quartz + opaques et ± biotite, représentant la paragenèse hydrothermale et de métamorphisme de faciès schiste vert. 68 Figure 17: Caractères macroscopiques du basalte massif de Lamé (IL13). (b) Basalte massif au Nord-Ouest de Séguéko Peul (IL48) indiquant une zone de relais extensif avec des veines de quartz disposées en échelon. (c) Enclaves de basalte massif montrant des contacts curvilignes et des interpénétrations sous forme de doigts de gant avec la diorite au Nord-Ouest de Séguéko Peul (IL44). (d) Caractères microscopiques du basalte massif de Lamé (IL13) montrant des phénocristaux de plagioclase (Plg) complètement saussuritisés et des microlites d’amphibole (Amp) qui baignent dans une mésostase presque vitreuse. (e) Basalte massif de Séguéko Peul (IL48) montrant des phénocristaux de plagioclase avec la macle 69 polysynthétique et des microcristaux d’amphibole fortement déstabilisés en minéraux opaques. (f) Caractères microscopiques de l’enclave de basalte massif au Nord-Ouest (IL44) constituée d’amphiboles altérées en minéraux opaques, de plagioclases complètement transformés et exceptionnellement de biotite.

Table des matières

PREMIERE PARTIE: INTRODUCTION GENERALE
CHAPITRE I: CONTEXTE GEOGRAPHIQUE ET GEOLOGIQUE
I-1. Contexte géographique
I-2. Contexte géologique
I-2-1. Le Craton Ouest Africain (COA)
I-2-2. La Boutonnière de Kédougou-Kéniéba (BKK)
I-2-2-1. Le groupe de Mako
I-2-2-2. Le groupe du Dialé-Daléma
I-2-2-3. Les granitoïdes
I-2-2-4. Les données géochronologiques
I-2-2-5. Tectonique et métamorphisme
I-2-2-6. Contexte géodynamique
DEUXIEME PARTIE: METHODOLOGIES
CHAPITRE II : TRAVAUX DE TERRAIN ET DE LABORATOIRE
II-1. Travaux de terrain
II-2. Travaux analytiques
II-2-1. Méthode d’analyse à la microsonde électronique
II-2-2. Travaux à la salle blanche et à la salle de préparation d’échantillon .
II-2-3. Méthode de mesure à l’ICP-MS
II-2-4. Méthode de mesure au laser-ICP-MS
II-2-5. Méthode de mesure au TIMS (Spectromètre de masse à thermo-ionisation)
TROISIEME PARTIE: RESULTATS ET INTERPRETATIONS
CHAPITRE III : ETUDE PETROGRAPHIQUE.
III-1. Les roches mafiques
III-1-1. Les basaltes .
III-1-1-1. Les basaltes en coussin
III-1-1-2. Les basaltes massifs
III-1-2. Les massifs de gabbros
III-2. Les roches ultramafiques
III-2-1. Diversité des types pétrographiques
III-2-2. Les massifs de lherzolites et de la harzburgite
III-2-3. Les massifs de wehrlites
III-3. Les formations filoniennes
III-3-1. Les gabbros
III-3-2. Les basaltes
III-3-3. Les andésites
III-3-3-1. Les andésites riches en amphiboles
III-3-3-2. Les andésites riches en plagioclases ou clinopyroxènes
III-3-4. Les dacites
III-3-5. Les rhyolites
III-4. Conclusion sur l’étude pétrographique
CHAPITRE IV : ETUDE MINERALOGIQUE ET COMPOSITION CHIMIQUE
DES MINERAUX (ELEMENTS MAJEURS)
IV-1. Composition chimique des minéraux des roches mafiques et ultramafiques 5
IV-1-1. Composition chimique des olivines
IV-1-1-1. Les olivines du complexe ultramafique
IV-1-1-2. Les olivines des massifs de wehrlites
IV-1-2. Composition chimique des clinopyroxènes
IV-1-2-1. Les clinopyroxènes des basaltes en coussin
IV-1-2-2. Les clinopyroxènes des massifs de gabbros
IV-1-2-3. Les clinopyroxènes des roches ultramafiques
IV-1-3. Composition chimique des orthopyroxènes
IV-1-3-1. Nomenclature
IV-1-3-2. Caractéristiques chimiques des orthopyroxènes des roches UM
IV-1-4. Composition chimique des oxydes
IV-1-4-1. Nomenclature
IV-1-4-2. Caractères chimiques des chromites
IV-1-5. Composition chimique des amphiboles
IV-1-5-1. Les amphiboles des basaltes en coussin et massifs
IV-1-5-2. Les amphiboles des massifs de gabbro
IV-1-5-3. Les amphiboles des roches ultramafiques
IV-1-6. Composition chimique des plagioclases
IV-2. Compositions chimiques des minéraux des roches filoniennes
IV-2-1. Composition chimique des clinopyroxènes
IV-2-1-1. Les clinopyroxènes des gabbros
IV-2-1-2. Les clinopyroxènes des andésites
IV-2-2. Composition chimique des amphiboles
IV-2-2-1. Les amphiboles des andésites
IV-2-2-2. Les amphiboles des dacites porphyriques
IV-2-3. Composition chimique des plagioclases
IV-3. Synthèse des données
IV-3-1. Comparaison des olivines des roches ultramafiques
IV-3-2. Comparaison des clinopyroxènes des roches mafiques de ceux des formations filonienne
IV-3-3. Comparaison des clinopyroxènes des roches ultramafiques
IV-3-4. Comparaison des amphiboles primaires des roches ultramafiques de celles des formations filoniennes
IV-4. Affinité magmatique et contexte géotectonique
IV-4-1. Les roches mafiques
IV-4-2. Les roches filoniennes
IV-5. Conclusion à l’étude minéralogique
CHAPITRE V : ETUDES GEOCHIMIQUES ET ISOTOPIQUES
V-1. Caractéristiques géochimiques
V-1-1. Classification et nomenclature des roches
V-1-1-1. Les basaltes en coussin et massifs
V-1-1-2. Les massifs de gabbro
V-1-1-3. Les formations filoniennes
V-1-2. Mobilité des éléments chimiques
V-1-2-1. Les éléments majeurs
V-1-2-2. Les éléments en traces
V-1-3. Caractéristiques chimiques des séries magmatiques
V-1-3-1. La série tholéiitique mafique
V-1-3-2. La série ultramafique
V-1-3-3. La série calco-alcaline
V-1-4. Identification de trois lignées pétrogénétiques
V-1-4-1. La lignée tholéiitique
V-1-4-2. La lignée tholéiitique
V-1-4-3. La lignée calco-alcaline
V-2. Les signatures isotopiques du Sr et du Nd
V-2-1. Les lignées tholéiitiques 1 et 2
V-2-2. La lignée calco-alcaline
V-2-3. Identification de trois sources magmatiques
V-3. Contexte géodynamique
V-3-1. Approche du contexte géodynamique à partir des éléments majeurs et des éléments en traces
V-3-1-1. Les lignées tholéiitiques 1 et 2
V-3-1-2. La lignée calco-alcaline
V-3-2. Approche du contexte géodynamique à partir des isotopes
V-4. Comparaison avec les données de la bibliographie
V-4-1. Comparaison avec la série tholéiitique mafique
V-4-1-1. Comparaison avec les travaux précédents au niveau du groupe de Mako
V-4-1-2. Comparaison avec d’autres travaux du Craton Ouest Africain (COA)
V-4-2. Comparaison avec les séries ultramafiques
V-4-2-1. Roches ultramafiques de Mako
V-4-2-2. Comparaison entre les roches UM de Mako et de Loraboué
V-4-2-3. Comparaison des roches UM de Mako et de Loraboué avec celles du COA
V-4-3. Comparaison avec la série calco-alcaline
V-4-3-1. Comparaison avec les séries calco-alcalines de la BKK
V-4-3-2. Comparaison avec les autres séries calco-alcalines du COA
QUATRIEME PARTIE: DISCUSSION ET CONCLUSION GENEGALE
CHAPITRE VI : SYNTHESE ET DISCUSSION DES RESULTATS
VI-1. Pétrographie et minéralogie
VI-1-1. Roches mafiques
VI-1-2. Roches ultramafiques (UM)
VI-2. Caractères géochimiques et isotopiques
VI-3. Contexte géodynamique
VI-4. Perspectives
BIBLIOGRAPHIE

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