L’impact de la pleine conscience/mindfulness pratiquée par l’infirmier sur le burnout engendré par le stress

De nos jours, le stress est présent au quotidien. Il n’est pas toujours possible de concilier le temps à disposition et les tâches à effectuer dans cette société qui avance à grande vitesse (Robbe-Kernen & Kehtari, 2014). Le stress peut provenir aussi bien du travail que des activités extra-professionnelles. De plus, il est reconnu par L’Organisation Internationale du Travail (OIT) comme un problème majeur pour la santé (Leka, Griffiths, & Cox, 2004). Il y a souvent un écart entre les exigences et les pressions liées à la profession et les connaissances et les capacités insuffisantes des personnes pour leurs postes, ce qui provoque du stress. Celui-ci est souvent aggravé lorsqu’il y a un manque de soutien et un manque de contrôle au travail (Leka et al., 2004). L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) définit la santé comme un état de complet bien-être physique, mental et social […] (Organisation Mondiale de la Santé, 1946). Pour y arriver, il faudrait éliminer les facteurs nuisibles à la santé et les remplacer par des facteurs favorisants. Par ailleurs, « les valeurs et besoins humains au maintien de l’équilibre psychosomatique sont de plus en plus sacrifiés dans cette course effrénée au rendement » (Robbe-Kernen & Kehtari, 2014, p. 1787). Le stress est à long terme une menace pour l’employé et aucune profession n’est épargnée actuellement par le phénomène. En devenant chronique, il entraîne des modifications biologiques et a, également, des impacts psychologiques, comme dans le burnout dont le facteur principal est le stress. Selon Lupien (2016), « le stress explique 100% des cas de burnout » (p. 2). De plus, le coût pour l’employeur est important car il doit procéder au remplacement de la personne qui ne travaille plus, et cela souvent pendant plusieurs semaines. Aux USA, il y a une augmentation des cas de stress liés au surmenage qui arrivent devant la justice et 9/10 des actions en justice tentées par l’employé sont victorieuses (Lupien, 2016). Par conséquent, une diminution du stress pourrait être bénéfique pour tous. Pour cela, des moyens existent comme la sensibilisation, la prévention et l’éducation de la population. Plusieurs procédés ont été mis en place : ils peuvent être du domaine de l’entreprise (organisation ou structure) ou de l’individuel (Brühlmann, 2012).

Ce travail de Bachelor portera sur l’efficacité de la réduction du stress et de sa conséquence professionnelle qu’est le burnout par la méthode de la pleine conscience, appelé également mindfulness  , effectuée par l’infirmière chez les travailleurs. La première partie exposera la problématique aux travers des aspects épidémiologiques du stress et du burnout et de leur complexité ainsi qu’un cadre de référence infirmier qui sera explicité en fin de première partie. Ensuite, sera exposée la question de recherche et la méthodologie employée pour répondre à la question. La présentation des articles sera résumée et les résultats des articles sélectionnés seront exposés par la suite. Pour finir, ce travail se terminera par une discussion puis une conclusion.

On trouve le terme « stress » depuis des années dans la littérature. Il est apparu au 17e siècle en Angleterre, mais seulement au 20e en France (Quintard, 2001, p. 46). Depuis, il a été étudié sous différents aspects, aussi bien conceptuels que statistiques. Les études épidémiologiques sont souvent très espacées dans le temps. Plusieurs études recensées par l’Agence européenne pour la sécurité et la santé au travail (2014) montrent que, dans les années 2000, de nombreux pays ont réalisé des études sur le sujet. Elles ont principalement étudié le coût engendré. En consultant les études outreAtlantique, on peut voir que le stress coûterait selon une étude de 2008, entre 2,75 milliards et 8,25 milliards de dollars canadiens. Ces frais couvrent le stress au travail et les maladies liées à celui-ci (Agence européenne pour la sécurité et la santé au travail, 2014). 22,3% des personnes de 15 ans et plus signalent que leurs journées sont assez ou extrêmement stressantes (Gouvernement du Canada, 2009). Selon la dernière étude datant de 2014, 23% des travailleurs canadiens déclarent être assez, ou énormément, stressés au travail. Cela représente 6,7 millions de personnes (Gouvernement du Canada, 2015). Aux Etats-Unis, la somme des coûts engendrés est très importante, pour atteindre jusqu’à 300 milliards de dollars américains selon une estimation (Rosch, 2001). En Europe, la Commission européenne a calculé en 2002 que le coût annuel du stress lié au travail est de l’ordre de 15 à 20 milliards d’euros par an. Nos voisins ne sont pas en reste avec un coût estimé en 2010 entre 1,9 et 3 milliards pour la France et de 29,2 milliards pour l’Allemagne selon Bodeker et Friedrichs en 2011 (Agence européenne pour la sécurité et la santé au travail, 2014). Concernant la Suisse, Ramaciotti et Perriard ont en 2003 utilisé une approche inductive pour calculer le coût lié au stress. Le coût moyen est de 4,2 milliards de francs suisses après extrapolation à l’ensemble des habitants. Ils se sont basés sur le stress en général mais sur le fait qu’un faible pourcentage (4,6%) déclare que leurs stress est lié uniquement à des facteurs externes au travail (Agence européenne pour la sécurité et la santé au travail, 2014). Le Secrétariat d’Etat à l’économie (SECO) a réalisé deux études sur le stress, à 10 ans d’intervalle. La première étude, datant de 2000, avait démontré que 26,6% des personnes interrogées se sentaient « souvent », voire « très souvent », stressées. En 2010 ce chiffre a augmenté pour atteindre plus d’une personne sur trois (34,4%) présentes dans ces deux catégories. L’étude montre également que ceux qui sont « peu » ou « jamais » stressés ont diminué de 5%. Par ailleurs, seules 20% des personnes stressées peuvent gérer pleinement ce problème, et le nombre de jeunes travailleurs (15–34 ans) stressés est supérieur à la moyenne (Secrétariat d’Etat à l’économie, 2011). Par ailleurs, il a été révélé qu’aucune différence entre les branches économiques ou le sexe n’existe (Vasey, 2013).

De nos jours, le terme stress est utilisé indistinctement et constamment (Lupien, 2016 ; Quintard, 2001). En effet, la croyance populaire limite la définition du stress à la pression du temps sur la vie, lorsque la personne n’arrive pas à accomplir une tâche dans le temps imparti. Cette définition est erronée (Lupien, 2016). La première définition date de 1903, année à laquelle Canon a étudié le comportement du chat face au chien. Mais c’est bien Hans Selye (1936) qui est considéré comme le concepteur de la théorie du stress. Il le définit comme une réponse non spécifique et appelée Syndrome Général d’Adaptation, qui, selon lui, se déroule en 3 temps. Lorsqu’il y a une agression, l’organisme réagit et tente de réagir, puis entre en résistance. En cas de prolongement de cette phase survient la phase d’épuisement. Par conséquent, Selye définit le stress, comme « l’état réactionnel d’un organisme soumis à l’action d’un excitant quelconque qu’il nomme le « stresseur » et dont la nature peut-être physique, chimique aussi bien que psychologique » (Quintard, 2001, p. 48). Cette définition reste employée notamment par Betty Neuman, qui a pris cette interprétation pour son modèle de soins infirmiers (Freese & Lawson, 2010 ; Geib, 2010) et qui expliquera la résistance au stress qui sera présentée ultérieurement. Par ailleurs l’Institut américain contre le stress utilise également cette définition malgré le fait qu’elle indique qu’il est difficile de le définir (The American Institute of Stress, 2016). De plus, le DSM 5 (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) définit le stress comme « le modèle de réponses spécifiques et non spécifiques d’une personne pour faire face aux événements de stimulus qui dérangent son équilibre et excèdent sa capacité de faire face [traduction libre].

Néanmoins, depuis les années 70, les neurophysiologistes remarquent que le stress dépend de l’état émotionnel induit par le stresseur. Pour Dantzer, la réaction du stress est d’autant plus intense que l’émotion engendrée par l’événement est forte (Quintard, 2001). Pour finir, d’autres approches sont apparues mais, depuis quelques années, la définition de Lazarus et Folkman est retenue. Ils définissent le stress comme une « transaction entre la personne et l’environnement, dans laquelle la situation est évaluée par l’individu comme débordant ses ressources et pouvant mettre en danger son bien-être » (Quintard, 2001, p. 50). En résumé, le stress est une expérience individuelle mais qui interagit avec son environnement (Lupien, 2016). Il faut le comprendre comme une conception dynamique.

Comme présenté dans la théorie de Selye (1936), à force de résister, le corps entre dans une phase d’épuisement. Ce stress chronique peut amener à un état grave s’il n’est pas reconnu, qu’on ne veut pas l’affronter ou qu’il est mal pris en charge. Arrive alors le burnout, aussi appelé « épuisement professionnel ». La pression extérieure ajoutée à une attente de soi exagérée conduit à un surmenage et produit la fragilité qu’on observe dans le burnout (Brühlmann, 2012). Il est par ailleurs difficile de se fier à des statistiques connues, reconnues comme officielles, concernant ce trouble de la santé mentale (Robbe-Kernen & Kehtari, 2014). Les raisons peuvent être les suivantes. Premièrement, il est lié au stress, et ses symptômes se rapprochent grandement de la dépression. Il est dès lors difficile de vraiment bien distinguer stress et dépression, et de poser le bon diagnostic (Lupien, 2016). Deuxièmement, le burnout n’a pas toujours été reconnu comme maladie à proprement dit. En effet, jusqu’à récemment, il ne se trouvait pas dans le DSM, outil de référence pour les diagnostics de troubles mentaux. Troisièmement, le burnout n’est pas bien délimité et son concept théorique n’a pas le consensus de tous (Brühlmann, 2012).

Néanmoins le SECO a présenté des statistiques sur l’épuisement professionnel lors de son étude de 2010 sur le stress. Il montre que 4% des 34,4% qui se sentent épuisés émotionnellement le sont au travail et, par conséquent, souffriraient de burnout (Secrétariat d’Etat à l’Economie, 2011). Comme révèle Catherine Vasey (2013), « nous n’avons aucun chiffre valable et représentatif qui nous permettrait de connaître le détail des victimes du burnout en Suisse ».

Le terme burnout n’est pas ancien mais il est déjà bien connu dans le monde actuel. En effet, il a souvent été entendu ces dernières années comme par exemple lors des suicides de France Télécom, ou dans les journaux comme « L’Illustré » du 2 septembre 2015, sans oublier les innombrables livres qui sont sortis sur le sujet, ni les très nombreux articles. Cela démontre son importance dans notre société (Brühlmann, 2012). Il touche toutes les professions. Dès lors, il serait possible de penser qu’il est compris et intégré de tous dans la société. Selon le Docteur Philippe Corten ce n’est pas le cas (Delbrouck, Goulet, Ladouceur, & Vénara, 2011). Selon lui, au fil des ans, il a été vulgarisé et s’est adouci pour faire ressortir aujourd’hui un ras-le-bol au travail. Ce sentiment peut être accentué par les propos de Richard Sennett qui a « décrit l’érosion et la destruction du caractère humain sous l’effet de l’évolution socio-économique » (Brühlmann, 2010, p. 148). Et aussi qu’à la place de « prendre racine dans la loyauté et la confiance, les rapports ne durent que le temps de leur utilité » (Brühlmann, 2010, p. 148). Dans cette société où l’économie est reine, elle influence chaque personne pour s’infiltrer dans sa vie privée. Il est facile ainsi de comprendre que le burnout ne se rencontre pas seulement au travail (Brühlmann, 2010). Malgré cela, c’est bien dans ce lieu qu’on remarque le plus le manque d’efficacité, ce qui est caractéristique du burnout. Les causes peuvent être multiples, comme une distorsion entre la raison de l’engagement de la personne, ce qu’elle doit faire, l’intervention de personnes qui imposent des choses sans en avoir les compétences, ou encore le fait qu’on lui met les bâtons dans les roues (Cotta, 2016). Ce ne sont que des exemples pouvant amener au burnout. Le concept du burnout va maintenant être précisé.

Le terme burnout a été décrit pour la première fois par Herbert J. Freudenberger (1980) avec son travail sur les professionnels et les bénévoles chez les toxicomanes. Il explique l’épuisement professionnel ainsi : En tant que psychanalyste et praticien, je me suis rendu compte que les gens sont parfois victimes d’incendie, tout comme les immeubles. Sous la tension produite par la vie dans notre monde complexe les ressources internes en viennent à se consommer comme sous l’action des flammes, ne laissant qu’un vide immense à l’intérieur, même si l’enveloppe externe semble plus ou moins intacte (Robbe-Kernen & Kehtari, 2014, pp. 1787 1788).

De nos jours, aucune définition spécifique n’a été élaborée. Freudenberger l’avait défini comme « un problème qui prend naissance de la bonne intention d’atteindre des buts élevés, voire irréalistes, et qui aboutit à épuiser ses énergies, se détacher de soi-même et perdre le contact avec les autres » (RobbeKernen & Kehtari, 2014, p. 1788). Pour Catherine Vasey (2013), le burnout est « un syndrome d’épuisement consécutif à un stress chronique ». Dans la dernière version du DSM, le burnout n’a été ajouté que sous « Problème éducatif et professionnel » (V62.29) et plus particulièrement sous « Autre problème lié à la profession ». Ils le définissent ainsi : « Cette catégorie doit être utilisée lorsqu’un problème professionnel constitue le motif d’examen clinique ou a un impact sur le diagnostic, le traitement ou le pronostic de la personne » (American Psychiatric Association, 2016, p. 853). Ces définitions ne sont certes pas spécifiques et peu claires.

Toutefois, on s’accorde sur la définition de Christina Maslach et Susan Jackson qui ont affiné le concept du burnout (Reynaert et al., 2008). Pour elles, le burnout est un syndrome tridimensionnel qui va être décrit ci-dessous. Elles ont également développé une échelle du burnout.

L’épuisement professionnel : Il est de tout ordre, aussi bien physique que mental. La personne va ressentir une fatigue généralisée et une difficulté à être en relation avec les émotions. Ceci devient de plus en plus difficile au fil du temps. Le repos n’améliore que très peu la fatigue, voire pas du tout. Il arrive que la personne ait des crises d’énervement ou de colère, mais aussi des difficultés à se concentrer avec des oublis. Les émotions risquent d’être déniées et déviées en essayant de les contrôler. La personne stressée peut alors prendre une apparence de froideur avec de la distance, et nier tous les problèmes (Reynaert et al., 2008).

La déshumanisation de la relation à l’autre : Elle se caractérise par une mise de côté des sentiments avec un détachement, une sécheresse relationnelle qui ressemble à du cynisme, de l’humour noir. Une personne peut devenir juste un objet, une chose, un cas ou un numéro. Le changement de comportement est un point clé pour le diagnostic, mais ce n’est pas toujours évident de l’identifier. En effet, ces symptômes apparaissent de manière insidieuse et sournoise à l’insu de la personne (Reynaert et al., 2008).

Le sentiment d’échec professionnel : Il s’agit de la conséquence de l’épuisement et de la déshumanisation. La diminution de l’accomplissement personnel est vécue péniblement. Ainsi, la personne va avoir un sentiment d’inefficacité, va mal travailler et aura des frustrations accompagnées d’une perte du sens qu’elle donnait à son métier. Cela va entraîner un sentiment de doute qui amènera une baisse de l’estime de soi, de la culpabilité et une démotivation. Il y aura deux réactions possibles à ce niveau. Soit la personne va fuir le travail, son absentéisme augmentera, elle envisagera un projet de changement de métier. L’autre possibilité est l’hyperactivité (Reynaert et al., 2008).

D’autres facteurs peuvent entrer en ligne de compte, qu’ils soient internes ou externes. Il y a par exemple l’anxiété, l’ « esprit d’entreprise », une attente ou des sollicitations trop grandes (Delbrouck, 2008). A cela s’ajoute les symptôme physiques, maux de dos et hypertension peuvent apparaître, mais pas uniquement dans le burnout (Robbe-Kernen & Kehtari, 2014). Comme il est possible de le voir, le burnout est un concept mal défini et difficile à cerner. Le fait qu’il se compose des trois composantes qui répondent au stress chronique et répétitif ne remplace pas un diagnostic psychiatrique.

Heureusement, des traitements existent. Il y a les traitements médicamenteux, mais ce n’est pas le sujet de ce travail. Pour agir contre le burnout, la « gestion du stress » est devenue un terme à la mode, et « équilibre vital » a acquis la réputation d’un mot magique. La régénération passe par l’acquisition de méthodes qui visent à diminuer la sensibilité au stress (Brühlmann, 2010). Il y a par exemple la pratique de la méditation. En effet, le patient en burnout néglige son corps et n’a plus conscience de son physique. Les thérapies centrées sur le corps comme la méditation sont notamment indiquées, soit en complément d’une psychothérapie ou au début de la prise en charge. L’avantage de la méditation comme le mindfulness est qu’elle intègre le corps et l’esprit. Ainsi l’esprit est calmé et reconduit vers une perception du corps sans jugement de valeur (Brühlmann, 2012).

Le méthode du mindfulness ou « pleine conscience » en français, a été créée par Jon Kabat-Zinn (1979), docteur en biologie moléculaire. Ce procédé est connu depuis plus de 2500 ans (Wolever et al., 2012). Le mindfulnesss, s’inspirant de techniques de méditation de la philosophie bouddhiste, est totalement laïc et emprunte des éléments à d’autres formes de méditation comme le yoga (Logean, 2013 ; Staub, n.d.). Jon Kabat-Zinn définit le mindfulness comme porter son attention, intentionnellement, au moment présent, sans jugement, sur l’expérience qui se déploie, moment après moment [traduction libre] (Horner, Piercy, Eure, & Woodard, 2014). Comme le mentionne Barbara Guidetti, l’objectif est de porter son attention sur le présent avec un principe de non-jugement, d’acceptation, de confiance et de lâcher-prise notamment (Logean, 2013). Cela va aider à modifier la relation avec les problèmes de la vie, en favorisant l’acceptation et la reconnaissance des émotions que la personne ressent.

Kabat-Zinn a ouvert un centre médical sur le mindfulness à l’Université du Massachusetts en 1979. Il voulait avec cette méthode prendre soin de patients souffrant de douleurs chroniques et de stress. Au vu du succès rencontré, les indications pour employer le mindfulness n’ont pas tardé à s’élargir, notamment le MBSR (mindfulness-based stress reduction), qui sera étudié dans ce travail. Le MBSR est dispensé en groupe ou en individuel. Il s’agit, selon le protocole strict de Kabat-Zinn, de sessions de 2h à 2h30 sur 8 semaines. En plus, des exercices doivent être entraînés à la maison avec un support audio, entre 15 et 45 minutes selon le temps à disposition. Durant les exercices de méditation, la personne est amenée à porter son attention sur un élément précis et à essayer de ramener son attention sur cet élément si son esprit va ailleurs. La pratique quotidienne est nécessaire pour casser le mode de fonctionnement en « pensée automatique » et s’en écarter.

Table des matières

1. Introduction
2. Problématique
2.1. Cadre de référence
2.2. Question de recherche
3. Méthodologie
4. Résultats
4.1. Présentation des articles
4.2. Synthèse des résultats
5. Discussion
5.1. Limites du travail
5.2. Implication pour la pratique et la recherche
6. Conclusion

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