PRESENTATION GENERALE DES CITES DE YOFF ET DE THIAROYE – SUR – MER ET YOFF

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Objectif principal

Dans toute entreprise d’étude et de recherche, il est toujours nécessaire de définir les objectifs fixés pour appréhender la question posée. La terre, nous l’avons dit, constitue un maillon essentiel de la vie en milieu lébou. Ainsi, notre principal objectif dans ce domaine sera d’appréhender, le mode de fonctionnement de la société lébou dans ses rapports avec la terre.

Objectifs spécifiques

En ce qui concerne notre réflexion sur la problématique de la terre dans l’agglomération dakaroise, nos objectifs tourneront autour des points suivants :
– étudier la structuration sociale du foncier dans ces deux villages lébou de Yoff et de Thiaroye-sur-mer
– comprendre les représentations et les pratiques culturelles de la terre dans ces milieux (représentations des jeunes et vieux)
– comprendre les types de problèmes qui se posent par rapport à la terre dans cette agglomération.
-étudier la spécificité du problème selon les milieux ciblés
– essayer de placer ces populations dans leur contexte socioculturel, d’analyser le degré d’effectivité de la loi sur le Domaine National dans leurs milieux
Nous précisons que nous avons l’intention ici de cerner tous les problèmes.

HYPOTHESES DE RECHERCHE

Hypothèse générale

Le problème de la terre en milieu lébou pourrait trouver son explication dans le mode d’occupation culturelle de l’espace et dans le manque d’efficacité de la loi sur le Domaine National.
En effet, nous avons remarqué, au niveau des zones enquêtées, à Yoff par exemple, un mode d’habitation historiquement et culturellement caractérisé par un agencement spécifique des habitations.
C’est ainsi qu’il y a une certaine réticence à la loi à cause des changements que celle-ci pourrait apporter à la façon habituelle d’habiter et aux rapports de la communauté à la terre.
Le manque d’appropriation de ladite loi est ainsi lié à sa non conformité aux réalités locales.

Hypothèses secondaires

Le mode d’occupation de l’espace constitue un enjeu économique, politique, social et culturel très important à Yoff et TSM. Traditionnellement, la communauté lébou a un mode d’occupation de l’espace spécifique. Cette dernière est très liée à leur culture locale. Ainsi donc, cette situation fera qu’il sera difficile de les faire accepter un quelconque changement.
En effet, le jeu des acteurs y est surtout lié au phénomène d’appropriation de la terre. Egalement, la mise en place de juridictions incompatibles avec les réalités locales et l’application partielle de ces dernières constituent des contraintes majeures à la gestion de la terre dans ces milieux.
Par conséquent, les problèmes qui y sont liés à la terre résultent non seulement de la mauvaise gestion par l’Etat des réserves foncières depuis qu’il les a récupérées et à sa mésentente avec cette communauté mais également et surtout de l’affection qu’accorde chaque individu de ces milieux à la possession de terrains.

Modèles théoriques

Notre objectif étant de comprendre le mode de fonctionnement de la société lébou dans ses rapports avec la terre, ainsi que les rapports de conflits droit coutumier droit moderne dans l’agglomération dakaroise. Il nous a semblé ainsi plus indiqué d’inscrire notre recherche dans la mouvance des recherches sociologiques tournant autour de la question foncière.
La société lébou est une communauté ethnique très composite. Elle fait apparaître une certaine originalité et une certaine particularité quant à son organisation sociale. Les lébou constituent un groupe bien déterminé et limité d’hommes et de femmes spécialisés dans les activités de pêche et replié sur lui- même.
Elle entretient comme toute communauté organique un rapport dynamique à la terre dont la pérennité a entraîné la naissance de certains types de valeurs relatives à cette dernière. Ainsi pour comprendre et élucider la nature de ces rapports nous faisons appel à la tendance structuro-fonctionnaliste de TALCOTT PARSONS.
Le système général de l’action, au sens large de conduite humaine, est le point de départ de l’analyse parsonienne. L’appropriation de cette théorie nous paraît plausible ici dans la mesure où la communauté lébou serait considérée comme une collectivité et donc comme une structure sociale.
Ainsi, dans le système social et culturel lébou qui garde, à bien des égards, des caractéristiques traditionnelles, les gens y exécutent certaines fonctions relatives à la terre. Ces fonctions émanent d’une certaine organisation sociale et peuvent être l’œuvre d’une société qui veut faire face aux problèmes les plus habituels. C’est ainsi que cette approche nous apparaît très importante dans l’appréhension du mode de fonctionnement de la collectivité lébou dont les rapports au foncier sont ancrés dans les valeurs culturelles et sociales traditionnelles.
Egalement l’approche strcturo fonctionnaliste peut être utilisée selon les conceptions de RADCLIFFE–BROWN, MEYER FORTES et EVAN PRITCHARD. Ainsi considérons la famille lébou sur laquelle dépend l’organisation sociale de la terre comme une structure sociale. On peut montrer « comment le système unit les individus par les convergences d’intérêts et les sentiments et comment il contrôle et limite les conflits »pour reprendre RADCLIFFE-BROWN. Cette structure doit être instable et dynamique comme le dirait M.FORTES et E.PRITCHARD deux disciples de RADCLIFFE-BROWN.
JACQUES LOMBARD, Dans son ouvrage 16 a présenté les conceptions de ces deux auteurs sur la notion de structure. Pour eux, la structure est entité dynamique pouvant subir des modifications sous l’influence du facteur temps. Dans le cas de la terre qui nous concerne ici, son mode de gestion a connu un certain changement relatif à la généralisation de l’autorité politique. Les populations y sont ainsi contraintes à se soumettre aux réglementations de l’Etat central même si elles en apportent une certaine résistance. Cette situation aboutit toujours à des conflits.
Cela nous amène à aborder les modèles sociologiques dits des conflits et du changement social. Ainsi, l’appréhension de l’aspect conflictuel du problème entre d’une part le pouvoir public et cette collectivité et d’autre part au son sein seulement de cette dernière elle-même dans l’acquisition des terres nous pousse à recourir à l’approche marxiste.
C’est bien souvent à Marx que l’on a tendance à attribuer l’importance prise par les conflits dans le changement social. K. Marx avait affirmé que les luttes de classes sont le moteur de l’histoire et donnait à ce facteur structurel le rôle déterminant dans l’explication du changement social.
Ainsi, par rapport à cela disons que ce qui importait plus à Marx était le rapport des classes, lequel définissait les contenus des parties en conflit De même, nous avons remarqué que R. Dahrendorf a utilisé cette thèse du conflit de classes développé par Marx comme source de changement social tout en substituant l’autorité à la propriété des moyens de production comme fondement du conflit de classes.
Précisons dans l’usage de ce modèle que nous ne pouvons pas être trop loin dans le développement de cette thèse dans la mesure où nus estimons qu’il n’existe pas cette notion de classes dans ces milieux car ces derniers n’ont pas connu de révolution industrielle. Nous soutenons que cette notion est liée à la révolution industrielle parce que nous supposons que si Marx parle de classe c’est à cause de ce phénomène. On doit plutôt parler de conflits structurels ou d’intérêts dans ces milieux.
Aussi, par la lecture de certains auteurs, on peut comprendre que le changement social ne dépend pas seulement des conflits sociaux, mais en partie liée avec des tensions ou des contradictions entre éléments du système social, comme tel pourrait être le cas dans ces villages lébou.
D’ailleurs par rapport à cela, A. Touraine met en avant les tensions et décalages de temporalités entre le champ d’historicité, le système politique et l’organisation sociale.
Par ailleurs, Marx soutient qu’il y a une contradiction entre le niveau de développement des forces productives, l’état des rapports de production et les changement sociaux.
Cette thèse, fondement de la théorie marxiste du changement social, a été largement critiquée. Ainsi, Michel Crozier, en rejetant le principe marxiste de la cohérence d’un système social se propose « d’échapper aux impasses et sous-entendus déterministes de nos discussions habituelles sur le changement, dans lesquelles celui-ci est peu ou prou réduit au déploiement d’une logique extérieure à l’homme et indépendante de son action » 17. Notons à cet effet que ce sont plutôt les facteurs exogènes qui jouent plus sur les changements sociaux. Parmi, les phénomènes qui ont contribué aux changements sociaux sur les modes de gestion de la terre dans ces milieux, on peut citer en exemple les arrivées de l’Islam et de la colonisation.
Depuis, les rapports de l’homme à la terre ont pris une nouvelle envergure. Toutefois, précisons que ces changements n’y sont pas faciles décelés dans la mesure où ces communautés continuent d’endosser le poids de la tradition.
Certes, il y a un certain changement dans l’organisation sociale de cette communauté mais ce dernier apparaît être presque non voulu car ses populations semblent être réfractaires à tout ce qui modifient ou changent leur manière traditionnelle de concevoir les choses. On peut même être tenter, vue cette situation, d’avancer la thèse à savoir que, contrairement à ce qu’estimaient ces théoriciens du changement, dans ces milieux ce sont plutôt les changements qui entraînent les conflits sociaux.
Notre objectif étant aussi de comprendre la communauté lébou dans ses rapports à la terre par l’intermédiaire de ces villages, nous avons pensé donc nécessaire l’usage de l’approche compréhensive de MAX WEBER pour étudier le particularisme lébou dans ce domaine. Nous allons ainsi s’interroger sur les motivations des individus dans leur refus de se conformer aux principes de la loi sur le Domaine National avant d’en rechercher des relations de causalité. Egalement, la collectivité nous apparaît très composite et complexe. Son origine a toujours été attribuée aux déplacements et rencontres interculturels. Selon certaines explications (un vieux non lébou), les lébou d’aujourd’hui sont le mélange de Serer, Toucouleur, Wolof et Socé (parmi les ethnies dominantes au Sénégal). C’est à cet effet, qu’on s’est intéressé à l’approche culturelle soulignée par FREIDBERG pour expliquer le facteur culturel du système organisationnel de la terre dans ces localités. Ainsi, Nous admettons avec FREIDBERG que les capacités culturelles relationnelles permettent de gérer la coopération. Par rapport à cette approche nous étudierons, la particularité culturelle des Lébous. En ce sens, FREIDBERG ajoute qu’il faut se garder de naturaliser les valeurs et la culture « d’en faire des facteurs explicatifs passe-partout (…) elles ne peuvent être séparées des structures d’actions collectives  (…) »18.
Outre ceci, nous pouvons dire que l’attachement du lébou à sa tradition peut montrer en partie son refus des nouveaux droits d’acquisition des terres. Ainsi, il apparaît très conservateur des valeurs léguées par ses ancêtres. C’est un capital culturel comme pour paraphraser PIERRE BOURDIEU transmis de génération en génération. Il fait plus référence au droit coutumier plutôt qu’à celui moderne dans ce domaine. C’est par rapport à cela qu’on a adjoint à ces approches le modèle dit de structuralisme génétique de BOURDIEU. Par ailleurs, l’œuvre de P.BOURDIEU s’inscrit dans les mouvances de la sociologie moderne des années soixante dix et quatre vingt. Il étudie les phénomènes sociaux dans un champ de reproduction des systèmes dans lesquels les individus sont engagés comme c’est le cas ici chez les lebou dans la gestion des terres (les lebou ne s’inspirent que de leurs ancêtres pour gérer les terres).
S’inscrivant dans le structuralisme, elle en constitue un dépassement en la régissant « contre l’orientation mécaniciste (…) du structuralisme » 19.
La reproduction sociale s’organise selon BOURDIEU, autour d’un ensemble de concepts d’habitus et de capital culturel. L’habitus, nous dit BOURDIEU, est non seulement un système de préférence mais également un système générateur de pratiques. Ainsi donc nous partirons de cette approche pour essayer d’analyser les pratiques culturelles de la terre de ces populations en se demandant si elles ne sont pas la reproduction de celles de leurs ancêtres. En définitive, ces concepts nous paraissent capitaux dans l’étude de l’attachement de ces gens à leurs valeurs coutumières constituant ainsi l’enjeu du problème.
Voilà, en somme les différents modèles théoriques sur lesquels nous nous baserons pour mener notre recherche.

Pertinence de l’étude

Il nous a tout d’abord semblé important d’avancer les raisons qui nous ont poussé à aborder un tel sujet, au début de notre analyse. L’intérêt manifesté à l’endroit d’un tel sujet découle d’un constat : dans beaucoup de zones de l’agglomération dakaroise en l’occurrence les villages lébous, la question de la terre constitue une grande équation pour les autorités administratives. Par rapport à cela le développement de ces localités est hypothéqué par l’existence de plusieurs contraintes. Ainsi notre choix porté sur les localités de Thiaroye-sur-mer et de Yoff se justifie par le fait qu’elles en détiennent une certaine particularité. En effet, le village traditionnel de Thiaroye-sur-mer constitue aux yeux de certains spécialistes une zone à problématiques. Les populations y restent toujours réticentes quant à l’application de la loi relative à la terre. L’espace y est occupé d’une manière désordonné. Egalement la connaissance la cohabitation des populations avec les unités industrielles nous anime aussi.
C’est le même constat qu’on pourrait remarquer dans le village de Yoff sinon avec un peu de différence. En effet, les gens dans ce milieu ont une manière spécifique d’occuper les terres et les concessions y sont réparties d’une manière spontanée. L’autre fait constaté est celui de la distribution illégale des terres. Aussi, le fait que l’Etat ou l’autorité administrative a des difficultés de contrôler et de réguler l’occupation de l’espace dans ces milieux montre combien la tradition est valorisée par ces populations. Par ailleurs, la problématique de la terre apparaît à notre égard comme un phénomène social au-devant de l’actualité sociale au Sénégal. Le problème de la terre est inépuisable dans ces milieux. Il s’actualise d’époque en époque d’autant plus que ces derniers continuent à se chercher économiquement. Ainsi, Le choix de ce sujet s’explique en définitive par le fait qu’on a constaté dans cette partie de la capitale, l’application de la loi sur le Domaine National accuse un profond retard rendant ainsi la mission des pouvoirs publics presque impossible.

Définition des termes du sujet

«Un élément indispensable à toute recherche c’est le concept. Le concept n’est pas seulement un aide à percevoir mais une façon de concevoir. Il organise la réalité en retenant les caractères distinctifs, significatifs des phénomènes ». 20 Ainsi dans notre travail de recherche, nous avons eu recours à quelques termes tels que Domaine National, foncier, agglomération, reproduction, tradition, modernité et celui de dualité spatiale dont il convient de définir de façon opérationnelle.

Domaine National

Ce concept désigne une considération politique de l’Etat sénégalais de la gestion du foncier qui vise à mettre à ses profits toutes les terres du territoire national. Sa naissance date de la période des indépendances.
En effet, en créant en 1959 un comité de réforme du régime foncier rural, le gouvernement a marqué son intention de considérer «la propriété foncière » comme l’un des moyens lui donnant la possibilité d’agir pour planifier et stimuler la production qui est son objectif principal. Ainsi, le 4 juin 1960, le président en comité de réforme exposait les résultats du travail devant le président, Mamadou Dia. Dix jours plutard, ce dernier demandait au ministre délégué chargé du développement et du plan de faire entreprendre la rédaction des textes législatifs et réglementaires pour la mise en œuvre de «la troisième formule» proposée par le comité.
Cette troisième formule, était toute entière fondée sur le principe de la maîtrise de la puissance d’Etat, mais dans une perspective évidemment différente de celle de l’ancienne puissance coloniale. Dans sa disposition essentielle le premier projet instaurait un « domaine d’Etat», devenu au moment du vote de la loi 64/46 du 16 juin 1964 le «domaine national ». En instaurant ce «domaine» qui englobait toutes les terres détenues jusque là selon les formes coutumières et celles vierges de toute prétention, la puissance d’Etat sénégalaise entendait promouvoir, à partir de ce «domaine» qui recouvrait plus de 95% de la surface du territoire national de nouvelles formes juridiques adaptées au pays. Ainsi, cette loi «relative au domaine national», le droit de propriété restait une émanation de la puissance d’Etat. 21

Foncier

Le mot «foncier» appartient originellement au vocabulaire juridique occidental et désigne en gros les rapports de droit réel entre les personnes et un fonds de terre ou de terrain.
Le « foncier » est resté un adjectif tant qu’il désigne le fonds de terre (fundus) et le type de pouvoir de statut ou de revenu qui pouvait en être tiré.
Selon, E. le Bris, E. le Roy et P. Mathieu, dans leur ouvrage déjà cité, le «foncier» représente l’ensemble particulier des rapports sociaux ayant pour support la terre ou l’espace territorial. Ces rapports sociaux sont particulièrement déterminés par les facteurs économiques (accumulation primitive de capital et extraction de rente), juridiques(normes d’appropriation et modalités de règlement de conflits) puis par les techniques d’aménagements pouvant matérialiser et caractériser ces rapports sociaux en autant de régimes distincts. Mais, plus substantiellement, pour ces auteurs, «c’est la politique qui influe sur la manière de poser et de traiter la problématique». 22

Agglomération

Nous désignons ici par «agglomération», l’ensemble des zones qui couvrent la ville de Dakar. Ainsi, l’étude du milieu urbain montre en quoi l’emprunt de ce concept est important. Ce dernier concerne l’ensemble d’une ville et de ses banlieues donc de Dakar et de ses quartiers périphériques dont Yoff et TSM qui font l’objet de notre étude.

Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : CADRE GENERAL ET METHOLOGIQUE
CHAPITRE I : CADRE GENERAL
I. Revue de la littérature
II. Problématique
III .Objectifs
IV. Hypothèses de recherche
V. Modèle théorique
VI. Pertinence de l’étude
VII. Cadre conceptuel
CHAPITRE II : CADRE METHODOLOGIQUE
I. Univers de l’étude
I.1. Le cadre de l’étude
I.2. Population cible
I.3. Echantillonnage
II. Les techniques d’investigation
II.1. La pré-enquête
II.2. La recherche documentaire
II.3. L’entretien semi-directif
II.4. Le questionnaire
II.5. L’observation participante
III. L’enquête proprement dite
III.1. Déroulement de l’enquête
III.2. Les difficultés rencontrées
DEUXIEME PARTIE : PRESENTATION GENERALE DES CITES DE YOFF ET DE THIAROYE – SUR – MER ET YOFF
CHAPITRE I : HISTORIQUE DES MILIEUX ETUDIES ET SITUATION GEOGRAPHIQUE
A. Historique
A.1. Historique de Yoff
A.2. Historique de TSM
B. Situation géographique de Yoff et de TSM
CHAPITRE II. PRESENTATION GENERALE DES CITES DE YOFF ET TSM *LA CITE DE YOFF
I. milieu physique
II. Le milieu humain
III. L’habitat social
IV. L’économie
V. Hydrologie
VI. L’éducation
VII. La santé
VIII. Les types d’équipements
IX. Organisation de l’administration municipale
X. Le découpage administrative
XI. Structuration sociale traditionnelle par rapport à la terre
I’. Le milieu physique
II’. Le milieu humain
III’. L’habitat social
IV’. L’économie
V’. Hydrologie
VI’. L’éducation
VII’. la santé
VIII’. Les types d’équipements
IX’. Organisation de l’administration municipale
X’. Découpage administratif
XI’. Structuration sociale traditionnelle par rapport à la terre
XII. Histoire du peuplement lébou de la Presqu’île du Cap-Vert
TROISIEME PARTIE : PRESENTATION, ANALYSE ET INTERPRETATION DES DONNEES
CHAPITRE I : PRESENTATION DES DONNEES
I.Identification des enquêtes
II. Motivation selon les enquêtes
III. Représentations de la terre selon les enquêtes
CHAPITRE II : ANALYSE ET INTERPRETATION DES DONNEES
A. Les raisons avancées justifiant leur résistance à la loi sur le Domaine National : les lébou veulent se faire valoir dans la société globale sénégalaise.
B. Le manque d’effectivité de loi sur le Domaine National dans ces milieux ..
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES

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