SENSIBILITE DES DIFFERENTES FORMULATIONS DU MAÏS

SENSIBILITE DES DIFFERENTES FORMULATIONS DU MAÏS

 LE MAÏS 

Le maïs (Zea mays L.) est une plante annuelle monoïque de grande taille (figure 1). Zea est un genre appartenant à la famille des graminées (Poacées), et leurs cellules ont 2n chromosomes. En 2011, selon les statistiques de la Direction de l’Analyse de la Prévention et des Statistiques (DAPS), la superficie de la culture du maïs au Sénégal est de 121,235 hectares avec une production annuelle d’environ 186,511 tonnes.

 Origine et Taxonomie 

Le maïs serait originaire d’Amérique centrale (Mexique) et du Sud (FAO, 1993). Il fut importé par les espagnols et les portugais dès leur conquête de ce nouveau continent en 1492. Ainsi, c’est après la seconde guerre mondiale que le maïs a conquis la France entière. Les variétés à grains très farineuses ont été introduites en Afrique Occidentale par les Portugais au début du XVI siècle (Devautour et Nago, 1989). Aujourd’hui, le maïs est très cultivé dans tous les continents et constitue l’alimentation de base d’une importante proportion de l’humanité. Chapitre I 7 Selon Saint-Clair (1989), le maïs répond à la position systématique suivante : Famille : Gramineae Sous-famille : Panicoidae Genre : Zea Espèce : Zea mays L. 

Morphologie et Biologie 

Le maïs est une céréale herbacée annuelle, à tallage généralement faible ou même nulle. Il présente une large diversité morphologique selon les variétés. La plante possède des racines définitives ou coronaires et des racines séminales, fonctionnelles jusqu’au stade cinq ou six feuilles. La tige, constituée de l’écorce et de la moelle, mesure de 0,6 à 6 mètre. C’est un empilement de nœuds et d’entre-nœuds. Au niveau de chaque nœud, on trouve une feuille (le nombre varie de huit à quarante-huit) et un bourgeon axillaire. Les bourgeons de la base de la tige peuvent donner des talles, ceux du milieu un ou plusieurs épis et le bourgeon terminal la panicule. Le maïs est donc une plante monoïque à inflorescences séparées. L’épi est une tige miniature avec des spathes et une inflorescence terminale (l’épi proprement dit) formée d’un axe central, la rafle qui porte les grains. Le grain est un caryopse de couleur blanche ou jaune, mais on en trouve également de noir, de rouge et de mélangé. Le péricarpe, l’embryon et l’albumen sont riches en amidon (Kling, 1991 ; Chanterau et al., 2002). Le maïs est mûr quand le grain est à environ 30 – 32% d’humidité.

 Distribution et Variétés

 Le maïs (Zea mays L.) est cultivé au Sénégal, principalement pour son grain, dans quatre zones : le Sénégal-Oriental, le Sine-Saloum, la Casamance et la vallée du fleuve Sénégal. Le développement de sa culture dans chacune de ces régions est lié soit au fait que le maïs y est une culture ancienne dont le produit figure traditionnellement dans l’alimentation, soit au fait que le maïs permet de traverser les périodes de soudure (ISRA, ITA et CIRAD, 2005). En 2011, les statistiques du ministère de l’agriculture montraient que les superficies et la production se répartissaient assez équitablement entre les trois principales régions de culture pluviale : Sénégal- Oriental (24,874 ha / 32,637 t), Sine-Saloum (20,358 ha / 38,788 t) et Casamance (18,988 ha / 31,627 t). La région du fleuve, qui est une zone de culture irriguée, ne dépasse pas 10 % du total national. La production a évolué en dents de scie ces dernières années avec toutefois une augmentation en 2009/2010 (328,644 t) et une baisse considérable en 2010/2011 (186,511 t). Les nombreuses variétés de maïs cultivées présentent des caractéristiques très diverses. Certaines mûrissent en deux mois, et d’autres onze mois pour arriver à maturation. Ainsi, six grands groupes de variétés sont différenciés par les caractéristiques du grain.  Le maïs denté (indentata) est le principal type de maïs cultivé aux États-Unis.  Il y a le maïs vitreux (semoules).  Les variétés de maïs cornés sont préférées dans les climats frais en raison de leur résistance aux attaques des charançons.  Le maïs à éclater (pop-corn) est une variante du maïs corné ayant des grains de petite taille très durs, l’humidité des grains le fait gonfler lorsqu’on les fait chauffer, ce qui provoque leur éclatement.  Le maïs farineux contient surtout de l’amidon peu dense et il est facilement moulu en farine. Ce maïs ne représente que 12 à 13 % de la production mondiale. Il est très cultivé surtout dans les pays africains et dans les régions andines d’Amérique du Sud.  Le maïs doux ou maïs sucré (saccharata) est le type de maïs couramment cultivé aux États-Unis pour la consommation humaine (ENCARTA, 2009).

 Importance économique

 La production mondiale de maïs en 2003, s’était élevée à 600 millions de tonnes ; en 2010 le niveau de production était arrivé à 812 millions de tonnes (INFOCOMM, 2012). Il semble qu’il y ait une tendance à la hausse pour les prochaines années en raison principalement de la croissance démographique (INRA, 2003). Toutefois, l’augmentation de la productivité due à l’utilisation de variétés améliorées et des pratiques agronomiques a eu un grand impact dans la réduction des prix du maïs (FAO, 2003). Actuellement, la production mondiale de maïs est d’environ 943 millions de tonnes. Bien qu’il soit originaire de la Méso-Amérique, le maïs est très adaptable à différentes intempéries et aujourd’hui, sa consommation est devenue mondiale. Dans les pays en voie de développement tels que les pays latino-américains et ceux Chapitre I 9 de l’Afrique, le maïs occupe le premier rang et il vient en troisième place en Asie après le riz et le blé. Les États-Unis sont les premiers producteurs de maïs (60% du total mondial). Les autres grands pays producteurs de maïs sont la Chine (20% du total mondial), le Brésil, le Mexique et la France (FAO, 2003). En 2013, l’Afrique du Sud était le premier pays producteur de maïs en Afrique avec une production de 12,4 millions de tonnes sur une superficie de 3,3 millions d’hectares. Le maïs est une denrée de base pour beaucoup de pays africains. En Afrique occidentale, le maïs est aujourd’hui classé filière agricole majeure et bénéficie de ce fait d’un important soutien politique. Sa valeur ajoutée est estimée à plus de 2 milliards d’euros, elle profite principalement aux populations rurales et assure plus de 10 millions d’emplois permanents (Baris et Demay, 2009). La production de grains de maïs au Sahel et en Afrique de l’Ouest, devance légèrement celle du riz et du blé, elle est d’environ 19 millions de tonnes (FAO, 2014). D’importantes surfaces sont également consacrées à la production de maïs-fourrage destiné à l’alimentation du bétail, soit en vert soit sous forme d’ensilage. 

Pratiques culturales et utilisation du maïs 

Le maïs peut être cultivé en premier cycle c’est-à-dire en cycle unique d’Août à Octobre, ou en deuxième Cycle entre Juin et Août (Koné, 1991). Le cycle unique permet de mieux caler la culture du maïs par rapport aux pluies. Le maïs peut aussi être cultivé en semis purs ou en association avec d’autres cultures (sorgho, igname, ananas…). L’igname, l’arachide et le haricot sont de bons précédents culturaux du maïs. Une production à échelle commerciale suppose une préparation mécanisée des sols en termes de labours et de contrôle de l’humidité. Le maïs pousse sur divers types de sols mais il a une préférence à un limon bien drainé, humide, avec un pH compris entre 5,8 et 6,5. Veiller à conserver un pH adapté au maïs améliore la capacité de la plante à tirer parti des nutriments du sol. Dans un sol trop acide, la plante est incapable d’utiliser pleinement les nutriments essentiels que sont l’azote, le potassium et le phosphore. Les besoins en fertilisation, ramenés à l’hectare tendent à être plus élevés pour le maïs que pour les autres cultures (INFOCOMM, 2012). Le semis est la partie la plus importante du cycle de production du maïs. De façon générale, il doit se faire dans un lit de semences tiède, humide et ferme. Le labour en culture du maïs se Chapitre I 10 justifie pour plusieurs raisons, telles que l’amélioration de l’uniformité du lit de semences, une meilleure cohérence de la performance du semoir, et une levée du maïs plus rapide et plus uniforme. Pour maximiser le rendement, les semences sont plantées mécaniquement par des semoirs en ligne. En phase végétative, le maïs a besoin d’environ 46 à 56 cm d’humidité dans le sol pour exprimer pleinement son rendement potentiel, cependant, durant les 40 jours environ qui séparent la levée de l’apparition des panicules, le maïs est relativement résistant à la sécheresse. La récolte se fait lorsque les spathes de l’épi ont jauni et que les feuilles sont en voie de dessèchement, les grains de maïs ne doivent plus pouvoir se rayer aux ongles. Ainsi, pour une efficacité optimale de la récolte, le maïs doit être récolté plus humide qu’il ne doit l’être pour l’entreposage. La synchronisation de ces opérations minimise les pertes à la récolte et les dégâts subis par les grains, et élimine les incertitudes liées aux aléas climatiques. Il existe de nombreuses méthodes acceptées pour sécher le maïs, chacune avec ses avantages et ses limites (INFOCOMM, 2012). Au Sénégal, quoique secondaire en termes d’importance de la production, le maïs est quand même bien ancré dans certaines localités du pays. Sa culture est aujourd’hui sujette à la quantité de pluies que reçoivent les différentes zones agro-écologiques. Il en résulte que la culture du maïs est confinée principalement dans les régions de Fatick, Kaolack, Kolda, Tambacounda et Ziguinchor. Elle se pratique aussi en zones plus sèches, en l’occurrence la Vallée du fleuve Sénégal, essentiellement lors des décrues (Guèye et al., 2012). Toutefois, en 2003, le maïs fut choisi comme « spéculation test » dans un vaste programme gouvernemental dont l’objet est à court terme la réalisation de la sécurité alimentaire du pays. C’est ainsi que la production atteint un niveau jamais égalé, soit près de 510,236 t, d’après les Services Agricoles et les Services de la Prévision et des Statistiques (Fall et al., 2004). Le maïs mis sur le marché est souvent séché en vue de sa transformation, et vendu sous différentes formes telles qu’épis entiers, grains séparés, et farines (INFOCOMM, 2012). Le maïs a trois utilisations possibles: aliment pour les humains, aliment pour les animaux et matière première pour l’industrie. En alimentation humaine, le maïs est consommé frais, grillé ou bouilli et sous forme de grains cuits avec une légumineuse. Le maïs est réduit en semoule ou en farine, pour la fabrication de la pâte, des bouillies, des biscuits et des colles. Le maïs sert également de matière première à l’industrie pour la fabrication d’amidon, d’huile, de protéines, de boissons alcoolisées, d’édulcorants alimentaires et plus récemment, de carburant. A l’état vert, l’ensilage de maïs-fourrage est utilisé avec beaucoup de succès dans l’industrie laitière et pour l’embouche. Après la récolte du grain, les fanes et les sommités, y compris les inflorescences, fournissent un fourrage d’assez bonne qualité pour les ruminants. Les germes de maïs donnent de l’huile qui sert à la fabrication de margarines, de savons, de vernis et de textiles artificiels. Quant aux tiges érigées qui dans certaines variétés, sont rigides, elles entrent dans la fabrication de clôtures et de parois très résistantes (FAO, 1993 ; Nyabyenda, 1995). 

 Contraintes liées à la culture du maïs

 Un certain nombre de facteurs limitent la production de maïs à savoir la sécheresse, soit à la levée soit en fin de cycle chez la culture de deuxième cycle. Par ailleurs, les pluies abondantes de Septembre peuvent causer des excès d’eau qui provoquent la lixiviation des éléments minéraux par drainage, le défaut d’ensoleillement qui limite le potentiel radiatif pour la photosynthèse. Mais les problèmes majeurs de production du maïs auxquels la recherche et les producteurs ont à faire face sont les maladies et les ravageurs qui causent le plus de dégâts à la culture. L’helminthosporiose, le charbon, la striure du maïs et la rouille constituent les principales maladies tandis que les principaux ravageurs sont les foreurs de tiges et des épis ainsi que les vecteurs des maladies (Cicadulina sp) (Nyabyenda, 1995). Le ver de l’épi de maïs, Helicoverpa armigera, est un papillon de nuit omniprésent dont la larve se nourrit aux dépens de l’épi de maïs. Les chenilles de la Pyrale du maïs, Ostrinia nubilalis, endommagent les épis et causent la rupture des tiges, entraînant la chute de la plante. Les charançons du sol (Protostrophus spp.) rongent les feuilles des jeunes plants de maïs et, quand ils sont nombreux, peuvent causer des dégâts considérables (INFOCOMM, 2012). Les grandes maladies du maïs peuvent être regroupées en quatre catégories : flétrissures de la feuille, pourritures de la tige, pourritures de l’épi, et affections virales. Le maïs est touché par de nombreuses maladies de flétrissure foliaire. Les plus répandues sont la maladie des tâches grises de la feuille (Cercospora zeae-maydis), la flétrissure bactérienne de Stewart (Pantoea stewartii) qui infecte la plante à travers les blessures causées par l’insecte vecteur en se nourrissant, l’altise du maïs (Chaetocnema pulicaria), et la tache septentrionale du maïs (Exserohilum turcicum). Les maladies les plus importantes et les plus répandues affectant le maïs sont les pourritures de la tige ; les pertes estimées sont entre 5 et 10%. Il existe de nombreuses pourritures de la tige, mais la fusariose de la tige (Gibberella zeae) et l’anthracnose du maïs (Colletotrichum graminicola) sont les plus répandues. La principale pourriture de l’épi est la fusariose de l’épi (Gibberella zeae), d’autres encore sont causées par des Fusarium (Fusarium moniliforme) et Diplodia (Stenocarpella maydis). La mosaïque nanisante chlorotique du maïs est une maladie virale à fort potentiel de destruction, surtout en présence de plantes hôtes alternatives telles que le sorgho d’Alep (Sorghum halepense). Les deux virus à l’origine de cette maladie sont capables de survivre en colonisant cette herbe adventice pérenne. Les pucerons et sauterelles qui s’alimentent sur le sorgho d’Alep sont les vecteurs des virus (INFOCOMM, 2012). Le maïs arrivé à maturité est sérieusement endommagé par les oiseaux. La culture se heurte aussi, dans plusieurs zones, au problème de faible fertilité des sols et de mauvaises herbes, le striga en particulier (Nyabyenda, 1995). Il y a aussi le manque de variétés adaptées aux conditions pédoclimatiques, la vétusté du matériel et l’absence de maîtrise des paysans aux techniques culturales appropriées (Koné, 1991). En plus, nous avons des contraintes majeures dues aux insectes avec certains comme les cantharides qui dévorent les organes floraux entrainant ainsi l’avortement des épis de maïs

 Les méthodes de stockages 

Le stockage des céréales peut revêtir des formes très différentes dans une même région. Deux modes de stockage sont rencontrés : en épis et en grains. Leur fréquence est quasiment la même avec environ 40 % d’adoption. Par contre, 17 % des producteurs pratiquent à la fois les deux modes de stockage. La durée du stockage est de 6 mois en moyenne, compte non tenu du mode adopté (Gueye et al., 2012). En zone de savane, le maïs est fréquemment stocké à l’air libre en guirlandes, les épis étant attachés deux à deux par leurs spathes et fixés à une corde directement accrochée dans un arbre ou suspendue à une traverse reposant sur des pieux verticaux (Ratnadass et Sauphanor, 1989 ; Gueye et al., 2012) (figure 2). 

Table des matières

TITRE N° DE PAGE
DEDICACES
REMERCIEMENTS
RESUME
ABSTRACT
LISTE DES ABREVIATIONS
LISTE DES ACRONYMES
LISTE DES SIGLES
LISTE DES FIGURES
LISTE DES TABLEAU
INTRODUCTION GENERALE
Chapitre I : Présentation des deux plantes hôtes, le Maϊs (Zea mays L.), le Mil (Pennisetum glaucum Leek), et des ravageurs Sitophilus oryzae L. (Coleoptera, Curculionidae), Sitophilus zeamais M. (Coleoptera, Curculionidae) et Tribolium castaneum H. (Coleoptera, Tenebrionidae)
I.1 LE MAÏS
I.1.1 Origine et Taxonomie
I.1.2 Morphologie et Biologie
I.1.3 Distribution et Variétés
I.1.4 Importance économique
I.1.5 Pratiques culturales et utilisation du maïs
I.1.6 Contraintes liées à la culture du maïs
I.1.7 Les méthodes de stockage
I.1.8 Les pertes causées par les insectes
I.2 LE MIL
I.2.1 Origine et taxonomie
I.2.2 Morphologie et Biologie
1.2.3 Distribution et Variétés
I.2.4 Importance économique
I.2.5 Pratiques culturales et utilisation du mil
I.2.7 Méthodes de stockage
I.2.8 Contraintes liées à la culture du mil
I.3 LE RAVAGEUR SITOPHILUS ORYZAE
I.3.1 Position systématique
I.3.2 Description morphologique
I.3.3 Ecologie et Distribution géographique
I.3.4 Biologie de la reproduction
I.3.5 Importance économique et Dégâts
I.4 LE RAVAGEUR SITOPHILUS ZEAMAIS
I.4.1 Position systématique
I.3.2 Description morphologique
I.3.3 Ecologie et Distribution géographique
I.3.5 Importance économique et Dégâts
I.5 LE RAVAGEUR TRIBOLIUM CASTANEUM
I.4.1 Position systématique
I.5.2 Description morphologique
I.5.3 Origine et distribution géographique
I.4.4 Biologie de la reproduction
I.5.5 Dégâts et importance économique
Chapitre II : Etude des paramètres biodémographiques de Sitophilus oryzae L. (Coleoptera Curculionidae) issus du Mil d’une part et de Sitophilus zeamais M. (Coleoptera Curculionidae) provenant du Maïs d’autre part, sur les différentes formulations du maïs
INTRODUCTION
II.1 MATERIEL ET METHODES
II.1.1 Elevage de masse et choix des couples
II.1.2 Préparation des substrats
II.1.3 Développement de Sitophilus sur les quatre substrats du maïs
II.1.4 Analyses statistiques
II.2 RESULTATS ET DISCUSSION
II.2.1 Résultats
II.2.1.1 Paramètres biodémographiques de S. zeamais sur les quatre substrats
II.2.1.1.1 Cinétique d’émergence des adultes
II.2.1.1.2 Durée moyenne de développement
II.2.1.1.3 Nombre d’adultes
II.2.1.1.4 Poids moyen des adultes
II.2.1.1.5 Sex-ratio
II.2.1.2 Paramètres biodémographiques de S. oryzae sur les quatre substrats du maïs
II.2.1.2.1 Cinétique d’émergence des adultes
II.2.1.2.2 Durée moyenne de développement
II.2.1.2.3 Nombre d’adultes
II.2.1.2.4 Poids moyen des adultes
II.2.1.2.5 Sex-ratio
II.2.1.3 Comparaison des paramètres biodémographiques selon l’origine de Sitophilus
II.2.1.3.1 Durée moyenne de développement
II.2.1.3.2 Nombre d’adultes
II.2.1.3.3 Poids moyen des adultes
II.2.1.3.4 Sex-ratio
II.2.2 Discussion
CONCLUSION
Chapitre III : Chapitre III : Evolution des paramètres biodémographiques de Tribolium castaneum H.Coleoptera, Tenebrionidae) provenant du mil (Pennisetum glaucum Leek) et du maϊs (Zea mays L.) sur les différentes
formulations du mil
INTRODUCTION
III.1 MATERIEL ET METHODES
III.1.1 Préparation des substrats
III.1.2 Elevage de masse et choix des couples
III.1.3 Développement de T. castaneum sur les quatre substrats
III.1.4 Analyses statistiques
III.2 RESULTATS ET DISCUSSION
III.2.1 Résultats
III.2.1.1 Paramètres biodémographiques de T. castaneum provenant du mil sur les quatre substrats
III.2.1.1.1 Cinétique d’apparition des larves
III.2.1.1.2 Durée moyenne ponte-nymphe
III.2.1.1.3 Durée moyenne nymphe-Adulte
III.2.1.1.4 Durée moyenne de développemen
III.2.1.1.5 Nombre de larves, d’adultes et taux de fertilité biaisé
III.2.1.1.6 Poids moyen des adultes
III.2.1.1.6 Sex-ratio
III.2.1.2 Paramètres biodémographiques de T. castaneum provenant du maïs sur les quatre substrats
III.2.1.2.1 Cinétique d’apparition des larves
III.2.1.2.2 Durée moyenne ponte-nymphe
III.2.1.2.3 Durée moyenne nymphe-adulte
III.2.1.2.4 Durée moyenne de développement
III.2.1.2.5 Nombre de larves, d’adultes et taux de fertilité biaisé
III.2.1.2.6 Poids moyen des adultes
III.2.1.2.7 Sex-ratio
III.2.1.3 Comparaison des paramètres biodémographiques selon les substrats et l’origine de T. castaneum
III.2.1.3.1 Durée moyenne ponte-nymphe
III.2.1.3.2 Durée moyenne nymphe-adulte
III.2.1.3.3 Durée moyenne de développement
III.2.1.3.4 Nombre de larves, d’adultes et taux de fertilité biaisé
III.2.1.3.5 Poids moyen des adultes
III.2.1.3.6 Sex-ratio
III.2.2 Discussion
CONCLUSION
CONCLUSION GENERALE ET RECOMMANDATIONS
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
Annexe I. Fiche de Collecte des insectes.A
Annexe II. Fiche de Comptage et de Pesage des insectes .B
Annexe III. Sitophilus zeamais provenant du maïs et élevé sur le maïs entier C
Annexe IV. Sitophilus zeamais provenant du maïs et élevé sur le maïs décortiqué D
Annexe V. Sitophilus zeamais provenant du maïs et élevé sur le maïs brisé .E
Annexe VI. Sitophilus zeamais provenant du maïs et élevé sur la farine de maïs .F
Annexe VII. Sitophilus oryzae provenant du mil et élevé sur du maïs entier .G
Annexe VIII. Sitophilus oryzae provenant du mil et élevé sur du maïs décortiqué.H
Annexe IX. Sitophilus oryzae provenant du mil et élevé sur du maïs brisé
Annexe X. Sitophilus oryzae provenant du mil et élevé sur de la farine de maï
Annexe XI. Tableaux récapitulatifs
Annexe XII. Tribolium castaneum provenant du mil sur mil entier
Annexe XIII. Tribolium castaneum provenant du mil sur mil décortiqu
Annene XIV. Tribolium castaneum provenant du mil sur mil bris
Annexe XV. Tribolium castaneum provenant du mil sur la farine de mil
Annexe XVI. Tribolium castaneum provenant du maïs sur mil entier
Annexe XVII. Tribolium castaneum provenant du maïs sur mil décortiqué
Annexe XVIII. Tribolium castaneum provenant du maïs sur mil brisé
Annexe XIX. Tribolium castaneum provenant du maïs sur la farine de mil
Annexe XX. Tableaux récapitulatifs
Annexe XXI. PUBLICATION
Annexe XXII. PUBLICATION
Annexe XXIII. PUBLICATION

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