Etude écologique et statut de conservation de trois espèces d’Adansonia

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MILIEU BIOTIQUE

Flore et végétation

Selon MOAT et SMITH (2007), la zone d’étude appartient à la forêt sèche de l’Ouest qui couvre une superficie de 31970 km 2. Les Aires Protégées sont représentées par 17,12% de cette forêt dont les Parcs Nationauxdont le Parc National de Bemaraha et celui d’Ankaranfantsika qui se trouvent dans la Région Boeny (Annexe IV).
La zone d’étude appartient au domaine de l’ouest, secteur nord-ouest (HUMBERT & COURS DARNE, 1965) et à la zone écofloristique occidentale de basse altitude (RAJERIARISON & FARAMALALA, 1999). La végétation climacique est une forêt dense sèche semi caducifoliée appartenant à la série à Dalbergia, Commiphora et Hildegardia (KOECHLIN, 1974).
Les conditions naturelles comme les variations pédologiques et topographiques de la région contribuent à la diversification des formations végétales (carte n°2). La forêt dans cette région est composée de plantes adaptéesà la sécheresse. Les différents niveaux d’adaptation se manifestent chez les espèces à savoir :
– la caducifolie : cas de Poupartia minor (ANACARDIACEAE), Strychnos decussata (LOGANIACEAE) et Adansonia spp,
– le géophytisme : rencontré chez Dioscorea sp (DIOSCREACEAE) et Tacca pinnatifida (TACCACEAE),
– la pachycaulie : cas de Pachypodium rutenbergianium (EUPHORBIACEAE),
 la crassulescence : Vanilla madagascariensis et Bulbophyllum sp. (ORCHIDACEAE).
La savane arbustive est composée d’espèces ligneuse dont Acridocarpus excelsius, Poupartia caffra, Bismarckia nobilis, Hyphaene coriacea et des herbacées telle que Aristida rufescens, Heteropogon contortus et Hypparhenia rufa (POACEAE).

Faune

Par rapport aux formations de l’Est, les formations de l’Ouest sont pauvres en espèces animales. Cependant, elles présentent un taux d’endémicité en espèces animales de 78% (GAUTIER, 1999).
Le Parc National d’Ankarafantsika abrite la majorité de la faune dans la Région Boeny. Il y existe des tortues rares en voie de disparition: Erymnochelys madagascariensis (Rere), Geochelone yniphora (Angonoka), endémique de la Région et Pyxis planicauda (Kapidolo). L’avifaune est bien représentée et plusieurs espèces appartenant à des familles endémiques sont spécifiques des forêts sèches malgaches. Des espèces comme Halietius vociferoides (Ankoay) et Ardea humbloti se rencontrent aussi dans la région.
De plus, environ huit (8) espèces de Lémuriens sont endémiques de la Région. De grands Mammifères à savoir Potamochoerus larvatus (Lambo), Cryptoprocta ferox (Fosa) se rencontrent également dans la région.

L’homme et ses activités

Population

La population est composée d’ethnies variées notamment les Sakalava, les Tsimihety et les migrants (Betsirebaka, Betsileo, Merina, Antandroy, Comoriens) installés depuis de longue date (RAKOTOMALALA, 2005). Le village d’Ampazony compte 1137 habitants. Quant à la commune de Tsaramandroso, le nombre de population est estimé à 10 000 habitants.

Activités économiques

La culture rizicole tient la première place dans l’économie régionale, souvent suivie de la culture de manioc et de maïs aussi bien dans le village d’Ampazony qu’à Tsaramandroso. Dans le village d’Ampazony, la production est essentiellement destinée à l’autoconsommation, tandis qu’à Tsaramandroso, une partie est écoulée sur lesmarchés régional et national.
L’élevage, à dominance bovine, occupe une place prépondérante dans l’économie locale. Dans la commune de Belobaka, en particulier dans le village d’Ampazony, la pêche maritime et/ou continentale constituent une des activités porteuse. L’aquaculture de crevettes, de poissons et de crabes est également une activité en pleine expansion dans la Région (RAKOTOMALALA, 2005).

Exploitation des ressources naturelles

L’action de conservation est étroitement liée au développement économique d’une région (KREMEN & LANCE., 1998). L’exploitation forestière constitue l’activité anthropique prépondérante au niveau des ressources naturelles.Les bois de Dalbergia trichocarpa et de Commiphora grandifolia sont les plus exploitées. Ces derniers servent essentiellement de bois d’énergie ou de charbon de bois ou pour la construction de cases d’habitations. Les feux sauvages de forêts ainsi que les défrichements desforêts persistent également autour du village de Tsaramandroso.
Les ressources en fibres végétales, principalementle raphia qui est utilisé à des fins artisanales et commerciales, occupent également une place importante dans les deux zones d’étude.
L’étude écologique et le statut de conservation dechaque espèce reposent sur l’analyse des informations recueillies sur le terrain. Pour les collectes d’informations, nous avons appliqué différentes méthodes.

MATERIELS D’ETUDE

Historique sur la systématique des baobabs

Originaire d’Afrique tropicale, le baobab, venant du terme arabe « bu hibab » ou « fruit aux nombreuses graines », a été cité pour la premiè fois en 1592 par Prospero Alpino, physicien et herboriste vénitien. Michel Adanson fut le premier botaniste à décrire la plante vers 1750. Après, sur des échantillons rapportés à Paris, Carl von Linné et Bernard de Jussieu proposèrent le nom scientifique définitif de l’arbre : Adansonia digitata (DIOP et al., 2005).
La systématique et la phylogénie du genreAdansonia ont été étudiées depuis 1890 (Aubreville, 1975) avec la participation de nombreux auteurs dont Baillon (1890a), Hochreutiner (1908), Jumelle et Perrier de la Bathie (1909), Perrier de la Bathie (1952a), Capuron (1960) et Baum (1991, 1995a, 1995b, 1996). Des rectifications ont été apportées aux premières descriptions de quelques espèces anciennement décrites et celles des espèces nouvellement découvertes.
Grâce aux outils moléculaires, une révision taxonomique a été donnée par Baum (1995a), Baum et al. (1998).

Position systématique du genreAdansonia

D’après les études phylogénétiques récentes utilisant des données morphologiques et moléculaires, le placement d’Adansonia dans la famille des BOMBACACEAE a été modifié par Judd & Manchester (1997), Alverson et al. (1998), Bayer et al. (1999). Actuellement, les STERCULIACEAE, BOMBACACEAE et TILIACEAE sont incluses dans la famille des MALVACEAE. Ainsi, la position systématique du genreAdansonia est la suivante :
Règne : VEGETAL
Embranchement : ANGIOSPERMES
Groupe : DICOTYLEDONES
Classe : ROSIDAE
Sous classe : EUROSIDS II
Ordre: MALVALES
Famille : MALVACEAE
Genre: Adansonia

Description du genre Adansonia L. d’après SCHATZ (2001)

Petits à grands arbres hermaphrodites, décidus au tronc renflé massif s’effilant du bas vers le haut ou en forme de bouteille, couronne souvent compacte et à sommet plat, écorce lisse ou foliacé brun- rougeâtre à grise, présentant souvent une cou che photosynthétique verdâtre juste sous la surface. Feuilles alternes, composées palmées avec5-11 folioles entières ou dentées penninerves, stipules petites, caduques. Fleurs axillaires, solitaires, régulières et vrilles à l’anthèse ; pétales5, libres blancs, jaunes ou rouges, insérés à la basedu tube staminal, étamines nombreuses, soudées en un tube cylindrique sur une partie de leur longueur, filets libres au-dessus, anthères uniloculaires, à déhiscence longitudinale, ovaire supère, stigmate erminal,t 5-lobes, ovules nombreux. Fruit une grande baie, indéhiscente, à multiples graines, baie sphérique à ovale, à surface pubescente, graines enfouies dans une pulpe spongieuse blanche, graine sans albumen.
D’après la révision taxonomique effectuée par BAUM(1995 a), le genre Adansonia comprend, dans le monde, huit espèces réparties dans trois sections:
– Brevitubae Hochreutiner qui comprend deux (2) espèces endémiques malgaches : Adansonia grandidieri Baillon et Adansonia suarezensis H.Perrier
– Adansonia Hochreutiner qui ne comprend qu’une seule espèce commune en Afrique, à Madagascar et aux îles Comores : Adansonia. digitata Linné.
– Longitubae Hochreutiner avec cinq (5) espèces dont quatre (4) espèces endémiques malgaches et une espèce endémique d’Australie :Adansonia. rubrostipa Jum. & H. Perrier, Adansonia za Baillon., Adansonia madagascariensis Baillon et Adansonia perrieri Capuron. Adansonia gibbosa Guymer est la seule espèce endémique représentantelgenre en Australie.

Choix des espèces cibles

Les espèces étudiées ont été choisies suivant leurdistribution et leur présence dans la région Boeny. Le statut UICN et le degré de menaceselon l’utilisation locale ont été considérés. De ce fait, les espèces suivantes ont été choisies:
– Adansonia za Baillon.
– Adansonia digitata Linné .
– Adansonia madagascariensis Baillon.

Description des espèces

Les informations contenues dans différents ouvrages tels que BAUM (1995a, 1996 et 2003) et SCHATZ (2001) ont permis d’identifier les espèces.
Par ailleurs, la description des espèces a été effectuée à partir des données bibliographiques et des observations faites sur le terrain. Avant la descente sur terrain, les visites des pépinières au CIRAD ont permis d’obtenir une description des plantules.

METHODOLOGIE

Choix des sites d’étude

La répartition des trois espèces étudiées dans larégion Nord-Ouest de Madagascar donnée par Baum (1995 a) a permis d’identifier tous les sites d’étude propices. Les prospections antérieures effectuées par l’équipe du CIRAD ont étégalement considérées afin de connaître l’accessibilité des lieux, la présence des espèceset le nombre éventuel des individus de baobabs présents dans chaque zone.
Après une prospection préliminaire, trois sites d’étude ont été retenus (carte n°3) :
– Beronono (7 km au nord -ouest de Tsaramandroso) pour Adansonia za;
– Amboazango (7 km au sud de Tsaramandroso) pour Adansonia madagascariensis;
– Ampazony (16 km au nord de Mahajanga) pour Adansonia digitata.

Montage des Parcelles Permanentes de Suivi (PPS)

Principe

Une Parcelle Permanente de Suivi se définit comme une portion délimitée d’une formation végétale à l’intérieur de laquelle tousles individus ayant un diamètre à 1,30 m du sol supérieur ou égal à 10 cm ont été suivis. C’est uneméthode universelle de relevé écologique (PHILLIPS & RAVEN, 1998).
Ainsi, une parcelle a été installée pour chaque espèce étudiée. Chaque individu dans la parcelle fait l’objet d’un suivi par un para-écologiste sur la phénologie, le mode de croissance et les éventuelles perturbations au niveau de l’habitat, tous les 15 jours pendant trois ans.

Choix des parcelles

Trois critères ont été préalablement établis pouréterminerd les parcelles à installer dans chaque site d’étude. Elles doivent:
– se trouver dans une formation végétale homogène ;
– contenir au moins 30 individus matures de baobabs ;
– avoir une superficie d’au moins 1ha.
Si ces critères ne sont pas remplis, la parcelle est repartie en petits plots ayant chacun ses conditions écologiques. Ces petits plots doivent avoir une superficie d’au moins 1 ha chacun.

Dispositifs et installation des PPS

Les surfaces de suivi sont matérialisées grâce à des rubans posés dans chaque coin. Ce dernier est repéré par des coordonnées géographiques. Une étiquettepré numérotée a été clouée sur chaque tronc d’individu vivant. Les numéros de chaque arbre ont été également peints afin d’assurer et faciliter leurs suivis dans le futur. L’étiquette clouée se trouve à 10 cm au-dessus du niveau du Diamètre à Hauteur de poitrine (Dhp) mesuré.
Toutes les données relatives à chaque individu de baobabs numéroté (photos 1, 2, 3) tels que la circonférence, la hauteur du fût, la hauteur maximale sont notées dans des fiches de relevé. (Annexes V et VI). Chaque individu a été égalementgéoréférencié à l’aide d’un Global Positioning System (GPS).

Méthodes de relevés écologiques

Dans chaque parcelle montée, ont été effectué deselevésr pour une étude descriptive des habitats des baobabs. Un habitat est défini comme étant un territoire dans lequel un organisme ou un groupe d’organismes vivent (BROWER et al. 1990).
La technique de PPS combine les relevés linéaires te les relevés de surface (BIRKINSHAW et al, 1998).

Etude du sol

Le sol est un milieu biologique, en équilibre avec les conditions actuelles du climat et de la végétation (DUCHAUFOUR, 1960). L’étude pédologique permet d’interpréter les variations des paramètres structuraux et fonctionnels de la végétation (MATHIEU & PIETAIN, 1998)
Pour cela, une fosse pédologique de 40cm x 40cm et 40cm de profondeur a été creusée dans chaque parcelle. Chaque fosse présente un profil pédologique constitué de plusieurs horizons. L’existence de ces derniers est due à la différenciation des strates successives dans le sol. Chaque profil pédologique est décrit de façon à mettre en évidence pour chaque horizon, les caractères suivants :
– Structure: le mode d’agencement des particules dans le sol. Une structure peut être :
– particulaire: les particules du sol sont chargées négativement ou positivement et forment un système colloïdal dispersé.
– fragmentaire: certaines particules du sol sont chargées et forment un système plus ou moins dispersé.
– massive: toutes les particules du sol sont neutres, le système est floculé.
– Couleur: observée à partir des empreintes sur papier effectué pour chaque horizon
– Epaisseur: mesurant la limite de chaque horizon
– Granulométrie: la proportion des fractions de sable fins (50-200), sables grossiers (200-2mm), de limon (2-50), et d’argile (>2), classées par catégorie de grosseur présentes dans le sol.
– Activités biologiques: les signes de vie dans le sol qui sont observés par la présence des racines des végétaux ou de la microfaune comme lesvers de terre.
– pH: la concentration en ion H+ dans le sol. Le sol est dit acide si le pH est inférieur à 7, par contre, celui-ci est basique si le pH est supérieu à 7.
Un échantillon de sol d’environ 250 grammes a été rélevép pour chaque horizon pour être analysé au laboratoire afin d’identifier certaines caractéristiques édaphiques observées sur terrain à savoir la couleur, la granulométrie et le pH.

Etude de la végétation et de la flore

Une étude quantitative de la végétation dans un milieu homogène a été effectuée en appliquant la méthode de Braun Blanquet. En effet, une surface de végétation est dite floristiquement homogène si elle n’offre pas d’écart de composition floristique appréciable entre ses différentes parties (GUINOCHET, 1973). Pour lesforêts tropicales, la surface de relevé ou placeau est égale à 0.1ha, subdivisée en 10 placettes contiguës (figure 5). Cette méthode a pour finalité de faire ressortir :
– la composition floristique ou la liste des espèces recensées dans la formation étudiée,
– la richesse floristique ou le nombre total des espèces présentes dans la formation végétale de chaque parcelle (ORSTOM, 1983),
– le spectre biologique qui est une représentation graphique de la répartition des espèces recensées suivant leurs types biologiques (ORSTOM,1983).
Les paramètres considérés sont :
– le diamètre à hauteur de poitrine (Dhp) à 1.30m du sol pour les espèces ligneuses, et /ou à 1/3 de la hauteur des individus pour les espèces arbustives. Pour les individus se ramifiant à 1.30 m du sol, le diamètre de l’individu a été pris comme la somme des diamètres des ramifications,
– l’état phénologique des plantes (végétatif, en fleur, et/ou en fruit),
– les types biologiques : basés sur la classificationde Raunkiaer (1905) adaptée par Lebrun (1947) dans la zone tropicale. Ce sont :
Phanérophytes (Ph): arbres et arbustes dont les bourgeons se situent à plus de 0,5m de la surface du sol. Trois subdivisions sont distinguées :
– Mesophanérophyte (mP) : 8m < hauteur < 30m,
– Microphanérophyte (µP): 2m <hauteur < 8 m,
– Nanophanérophyte (nP): 0,5m <hauteur < 2m.
Chaméphytes(Ch): plantes subligneuses dont les bourgeons se situent à moins de 0,5 m du sol. Thérophytes(Th): plantes annuelles ou saisonnières dont les bourgeons subsistent à l’état de graine.
Hémicryptophytes( Hc): plantes à bourgeons persistants situés au ras du sol.
Cryptophytes (Cr):
– Géophytes (Gp): plantes à bourgeons souterrains persistants (rhizomes, bulbes, tubercules)
– Hydrophytes (Hd): plantes dont l’appareil végétatif est immergé dans l’eau ou surnageant
Epiphytes (Ep): plantes vivantes fixées au niveau des troncs à différentes hauteurs suivant leurs exigences écologiques.
Parasites (P): plantes fixées sur ou dans des plantes hôtes, dont elles dépendent.
Lianes (L): plantes grimpantes ligneuses ou herbacées.

Etude de la structure de la végétation

Elle est définie comme la manière dont les plantesconstituantes sont réparties et agencées les unes par rapport aux autres (GUINOCHET, 1973). Cette étude permet d’avoir une image réelle ou représentative de l’ensemble de la végétation. Elle porte sur l’étude de la structure verticale et horizontale.
– La structure verticale
La méthode de GAUTIER a été utilisée pour définirastructurel verticale des formations végétales étudiées. Elle exprime la stratificationou l’agencement des végétaux suivant le plan vertical (GOUNOT, 1969). Sur un transect de 50 m, la hauteur de la végétation est définie à l’aide d’une gaule graduée ou d’un échenilloir déplacé tous les mètres. A chaque déplacement, les hauteurs de contact entre la partie vivante de la plante et l’échenilloir sont notées. Au-delà de 7 m de hauteur, les points de contact ont été estimés visuellement(figure 6).
Une présentation informatique des résultats en utilsant le tableur Excel permet de dresser le profil schématique de la stratification de la végétation (figure7). Le taux de recouvrement par classe de hauteur est donné sous forme d’histogramme (figure8). Le recouvrement est une expression en pourcentage de la continuité de la couverture végétale (GUINOCHET, 1973). Il permet d’apprécier le degré d’ouverture de la canopée et la stratification des espèces de la formation.

Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: MILIEU D’ETUDE
I.MILIEU PHYSIQUE
1. Localisation géographique
2. Géologie
3. Pédologie
4. Hydrographie
5. Climat
5.1 Température
5. 2. Pluviométrie
5. 3. Diagramme ombrothermique
5. 4 Vent, Cyclones et Insolation
II.MILIEU BIOTIQUE
1. Flore et végétation
2. Faune
3. L’homme et ses activités
3. 1 Population
3.2 Activités économiques
3. 3 Exploitation des ressources naturelles
DEUXIEME PARTIE : MATERIELS ET METHODES
I.MATERIELS D’ETUDE
I. 1 Historique sur la systématique des baobabs
I.2 Position systématique du genre Adansonia
I.3 Description du genre Adansonia L. d’après SCHATZ (2001)
I.4 Choix des espèces cibles
I.5 Description des espèces
II.METHODOLOGIE
II. 1 Choix des sites d’étude
II.2 Montage des Parcelles Permanentes de Suivi (PPS)
II. 2.1 Principe
II. 2. 2 Choix des parcelles
II. 2. 3 Dispositifs et installation des PPS
II.3 Méthodes de relevés écologiques
II. 3. 1. Etude du sol
II. 3.2. Etude de la végétation et de la flore
II. 3.3. Etude de la structure de la végétation
II.3.4. Etude de la flore associée
II.3. 5. Etude de la régénération naturelle
a. Phénologie
b. Pollinisation et dispersion de graines
c. Taux de régénération
II. 4. Etude de la distribution
II.4. 1 Elaboration de la carte de distribution
II.4. 2 Analyse de la carte de distribution
II. 5 Evaluation des risques d’extinction et Statuts UICN
II. 5. 1 Evaluation des menaces
a) Utilisations des espèces et menaces sur les habitats
b) Abondance numérique
c) Critères et catégories UICN pour la Liste Rouge
TROISIEME PARTIE : RESULTATS ET INTERPRETATIONS
I. DESCRIPTION DES ESPECES CIBLES
II.LOCALISATION DES SITES D’ETUDES,HABITATS DES TROIS ESPECES D’Adansonia
III.CARACTERISTIQUES EDAPHIQUES DES HABITATS DES TROIS ESPECES D’Adansonia
IV. CARACTERISTIQUES FLORISTIQUES ET PHYSIONOMIQUES DES HABITATS DES ESPECES ETUDIEES
1. Forêt d’Amboazango
1. 1 Richesse floristique
1. 2 Spectre biologique
1.3 Aspect physionomique
2. Forêt d’Analamavelona
2. 1 Richesse floristique
2. 2 Spectre biologique
2. 3 Aspect physionomique
3 Forêt de Kelisanga
3.1 Richesse floristique
3. 2 Spectre biologique
3. 3 Aspect physionomique
4 Forêt d’Analamarina
4. 1 Richesse floristique
4.2 Spectre biologique
4. 3 Aspect physionomique
5. Reliques forestières d’Ampazony
5. 1 Richesse floristique
5. 2 Spectre biologique
5.3 Aspect physionomique
CONCLUSION PARTIELLE
IV. FLORE ASSOCIEE AUX TROIS ESPECES ETUDIEES
V. REGENERATION NATURELLE DES TROIS ESPECES ETUDIEES
1. Phénologie
2 Pollinisation et dispersion des diaspores
2. 1. Pollinisation
2. 2. Dispersion des diaspores
3. Potentiel de régénération
VI. DISTRIBUTION DES TROIS ESPECES ETUDIEES
VII. RISQUES D’EXTINCTION DES ESPECES et STATUTS UICN
1. Utilisations et menaces
2. Abondance numérique de chaque espèce
3. Statuts UICN
QUATRIEME PARTIE: DISCUSSION ET RECOMMANDATIONS
I. DISCUSSION SUR LAMETHODOLOGIE ET LES RESULTATS
1. Choix des sites d’étude et des parcelles
2. Etude de la régénération naturelle
3. Description et identification des espèces
4. Distribution
II. RECOMMANDATIONS POUR LA CONSERVATION
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES
PLANCHE PHOTOGRAPHIQUE

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