ARCHITECTURE CLIENT-SERVEUR, LES APPLICATIONS DE DIFFUSION CARTOGRAPHIQUE ET LE WEBMAPPING

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Les objectifs de gestion de l’information

Accès à l’information
Les SGBD constituent une interface entre les données et l’utilisateur ou l’application qui les utilise. Les données sont ainsi accessibles san se préoccuper de leur localisation physique. Les SGBD ont, de plus, des fonctionnalités d’interrogation qui facilitent la recherche de l’information.
Cohérence
La diminution de la redondance facilite le maintien d’une base de données cohérente. Elle ne doit pas contenir des informations contradictoires. La gestion des données par un SGBD facilite le contrôle de cette cohérence.
Maintenance
Les fonctions d’interrogation, la diminution des redondances, ainsi que le maintien de la cohérence facilitent la maintenance de la base de données. Les fonctionnalités d’interrogation permettent de sélectionner les données qui doiventêtre mises à jour, les contraintes d’intégrités vérifient que les mises à jour réalisées n’introduisent pas d’incohérence et la diminution des redondances aide à la complétude de ces opérations.De plus les SGBD assurent aussi la sécurité des données et les reprises après une panne lors des transactions.

Rôle de l’information géographique

Actuellement, la connaissance du territoire, de son occupation, les paramètres d’environnement liés aux différents phénomènes sontdevenus essentiels. L’information géographique est un élément crucial dans l’élaboration des décisions. Cette information est également considérée comme un instrument de gestionde l’espace en utilisant des outils d’assemblage et d’analyse de la connaissance sur leterritoire. L’information géographique sert de support au débat public. Elle permet de visualiser l’impact des choix d’aménagement sur l’espace et sur les hommes qui l’occupent.

Impact de la technologie sur l’information géographique

De nombreux instruments facilitent la collecte de l’information géographique en occurrence : le positionnement spatial (GPS), satellites haute résolution, images aériennes, outils matériels et logiciels (PDA, réseau).
Ces évolutions ont un grand impact sur la production de données notamment la réduction des coûts initiaux de saisie. D’autre part, le développement des nouvelles technologies de communication (Internet, Web…) conduit à des boul eversements plus profonds dans la mesure où les mécanismes d’échange de l’information géographique ont totalement changé.
Le développement de l’information géographique estune des conséquences de ces évolutions notamment le développement des outils matériels et logiciels. La réduction des coûts (logiciels et matériels), l’amélioration de leurs erformancesp et le progrès dans le domaine de communication contribuent à élargir l’utilisation de l’information géographique dans différents domaines.

L’information géographique sur Internet

Le rôle de l’information dans la prise de décision est sans cesse grandissant. L’informatique a permis l’accumulation massive de données et ceci est particulièrement vrai dans le domaine de l’information géographique. Par ailleurs, Internet offre un moyen de mettre ces données directement à disposition (avec une sécurisation d’accès) soit au sein d’une entreprise, soit à l’ensemble des internautes. Généralement, la manipulation de données géographiques implique l’usage et la maîtrise de logiciels SIG. Ces derniers proposent des capacités d’analyse spatiale et de restitution cartographique puissantes, mais au prix élevé. Les évolutions technologiques permettent de proposer à travers un simple navigate ur Internet des outils de consultation et de diffusion de données spatial.

Besoin en information géographique

Le marché de l’information géographique est en croissance continue ces dernières années. La demande a fortement augmenté par les établissements étatiques et les collectivités locales qui représentent un pourcentage élevé de la demande actuelle. Les contraintes du marché sont le prix des données et l’inadaptation des produits offertspar rapport aux besoins. Le développement du marché de l’information géographique a contribué laà création d’entreprises spécialisées dans la production de logiciels et de données. Également, il a poussé la communauté scientifique à développer des outils et logiciels mis gratuitementà la disposition du grand public.

SYSTEMES D’INFORMATION GEOGRAPHIQUE (SIG)

Définitions [5] [8] [16]

Actuellement, il existe plusieurs définitions du ermet SIG dont on a retenu les suivantes :
Un SIG est un ensemble organisé de matériels informatiques, de logiciels, de données géographiques et de personnel capable de saisir, stocker, mettre à jour, manipuler, analyser et présenter toutes formes d’informations géographiquement référencées.
C’est un ensemble de processus s’appliquant à des données brutes afin de produire une information pertinente en vue d’une prise de décision. Il utilise indifféremment des données avec ou sans référence spatiale et comprend des modulesd’analyse spatiale. Il est conçu afin de permettre la manipulation, l’analyse, la modélisation, la gestion et la représentation de données à référence spatiale en vue de résoudre des problèmescomplexes de gestion et de planification.
Les systèmes d’informations géographiques sont considérés comme des outils d’aide à la décision dédiés aux différents opérateurs œuvranturs le territoire. Ces opérateurs peuvent être des techniciens, gestionnaires, planificateurs ou bien des décideurs. Chacun de ces opérateurs a un niveau d’activité sur les SIG bien spécifique qui eutp varier de la simple gestion de données jusqu’à la planification stratégique.
Pour simplifier, un SIG est un ensemble composé dematériel, de logiciel, des utilisateurs, de données et de méthodes. Il regroupe les fonctionalités d’abstraction, d’acquisition, d’archivage, d’analyse et d’affichage.
Tout système d’information géographique (SIG) réalisé doit assurer, tout d’abord, l’acquisition des données. Ces dernières seront stockées, gérées, analysées, puis traitées et redistribuées aux utilisateurs et autres acteurs (Figure 2).

Historique des SIG [21]

Les SIG existaient avant l’apparition de l’informatique. En effet, la combinaison entre l’information spatiale et textuelle n’implique pas forcément l’utilisation de l’outil informatique.
Les premiers SIG sont apparus au début des années70. Cependant, ce n’est que vers la fin des années 80 qu’une vraie demande de ce genre d’information est réellement apparue, ce qui a donné naissance à un marché de logiciels, de données et de services.
L’évolution et la diffusion des SIG sont fortement liées aux développements de la technologie informatique. On distingue trois périodes principales :
Fin des années 1950 – milieu des années 1970 : début de l’informatique, premières applications de cartographie automatique.
Milieu des années 1970 – début des années 1980 : iffusiond des outils de cartographie automatique/SIG dans les organismes d’Etat (armée,cadastre, services topographiques…).
Depuis les années 80 : croissance du marché des logiciels, développements des applications sur PC, utilisation des réseaux informatiques à grande échelle (bases de données distribuées, applications sur Internet, lesSIG-Web).

Modélisation de l’information géographique

Une entité spatiale est une entité que l’on veut ouvoirp représenter dans l’espace en définissant sa forme (point, ligne ou polygone) et sa localisation. La relation spatiale est un type d’association liant au moins deux types d’entités patiales et éventuellement des types d’entités non spatiales. Un attribut spatial est une propriété qui varie dans l’espace. (Ex : altitude, profondeur, Z…).
Entités spatiales
On distingue trois types différents d’entités spatiales (SIG 2D) : les points, les lignes et les polygones.
Attributs spatiaux et non spatiaux
Une entité est décrite par des attributs spatiaux (ex : altitude, hauteur…) et non spatiaux (ex : Non, Désignation…).
Relations spatiales
Les relations spatiales sont générées par les SIGCes. systèmes offrent en particulier des opérateurs spatiaux permettant à l’utilisateur d’efectuer des requêtes qui intègrent les relations spatiales. On distingue deux types d’opérateurs spatiaux : les opérateurs métriques pour effectuer les mesures et les opérateurs topologiques pour traiter les relations entre les entités.
Cinq opérateurs topologiques de base sont définis «disjoint », « touche », « croise », « contient » et « égale ».

Représentation et Modèle de données

On distingue généralement deux aspects pour les donées des SIG :
l’aspect sémantique qui donne une description dansdifférents champs, attributs ou valeur, comme dans un SGBD classique ;
l’aspectgraphique qui est la représentatio graphique de l’objet localisé géographiquement.
Les systèmes d’information géographique exploitent deux types différents de modèles géographiques :

Modèle Vecteur

Utilise des entités géométriques (point, ligne etpolygone) pour représenter les entités spatiales. Chaque entité est représentée par un objet localisé dans un système de coordonnées. Cet objet est associé à un enregistrement dans une table d’attributs qui contient les valeurs thématiques décrivant l’entité représentée. Il est particulièrem nt utilisé pour représenter des données discrètes.

Modèle Raster

Divise l’espace avec une grille régulière de cellules (pixels) ordonnées sous forme d’une matrice. Cette dernière produit un espace continu où chaque pixel contient une seule valeur. Donc une couche d’information est représentée par une image (matrice). Il s’adapte parfaitement à la représentation de données continues dans l’espace.
Ces objets sont géoréférencées, dans un système decoordonnées. Cela permet la localisation adéquate des objets les uns par rapport aux autres.
Chaque objet (mode vecteur) est lié avec des données attributaires. Ces dernières peuvent être de types différents : numériques, alphanumériques, logiques…Elles sont stockées dans des enregistrements dans une base de données.

SIG et la représentation de la réalité géographique

La grande force des SIG est donc de pouvoir rassembler, dans un outil unique, des données de natures très diverses, mais localisées éographiquement.
Les SIG acceptent les cartes numérisées ou les ressources provenant de la télédétection comme les photographies aériennes et les images satellites.
Les SIG possèdent tous des modalités d’acquisitiondes données, soit par importation de fichiers, soit par numérisation de documents propres. Ils doivent permettre également l’archivage de données, la garantie de leur sécurité et assurent leur actualisation. Ils doivent offrir également des outils d’analyse spatiale et d’interrogation atributaires des bases de données associées. Ils doivent offrir des outils d’affichage et de visualisation ainsi que la possibilité d’exporter des documents élaborés.

Principaux domaines d’utilisation

Beaucoup d’organismes ou d’entreprises disposent déjà de données informatiques comportant des références géographiques : adresses,localisation, etc. Les outils de gestion de données classiques comme les bases de données et les logiciels de comptabilité gèrent ce type de renseignements passivement et ne permettent d’effectuer que quelques requêtes simples. Les SIG ont de très nombreuses applications pour :
Localisation :
Cartographie numérique ;
Evaluation et localisation des risques naturels et technologiques.
Gestion :
Gestion des ressources naturelles ;
Gestion des réseaux (énergie, réseaux routiers) ; Gestion des interventions des services d’urgence;
Gestion de l’espace naturel (déforestation, foret,parcs) ; Aménagement de territoire ;
Plans d’urbanisme ;
Etudes et projets routiers ;
Calcul et optimisation des itinéraires ; Études d’impacts, avant-projets.
Communication :
Cartographie statistique ; Cartes thématiques ;
Illustration de rapports & documents ; Partage de l’information.

Les produits importants [15]

Actuellement, le marché des logiciels SIG est dominé par des produits d’origine américaine. En l’occurrence ESRI avec ses produits: ArcInfo, ArcEditor et ArcView…qui occupe la position de leader. Intergraph (GeoMedia) et Maplnfo suivent derrière. De grands logiciels progressent en matière d’interfaces, d’affichages ne 3D et des outils les accompagnent. Récemment on voit l’apparition de nouvelle génération de produits en l’occurrence, les serveurs cartographiques à distance. Cependant, la question majeure reste celle des droits sur les données, leur propriété, leurs droits d’accès, leur diffusion et leurs coûts.
Il faut dire enfin que l’introduction d’un SIG opérationnel dans une entreprise ou une collectivité doit s’accompagner d’une réflexion surl’organisation du travail. Les SIG ne fournissent qu’une aide à la décision, le pouvoir final étant bien celui du décideur économique, administratif ou politique.
Une des difficultés de la mise en place d’un SIG ésider dans le choix du bon outil notamment lorsqu’on a une grande panoplie de choix. Mais les difficultés de la gestion et de l’utilisation des données sont plus importantes quecelles de l’outil SIG proprement dit. En effet l’acquisition et la gestion des données représenten 70 à 80 % du coût global d’un SIG. L’intégration des données existantes, l’enrichissement et la restructuration des données ou leur échange sont des opérations souvent complexes et coûteuses.

SIG sous le Web [4] [18]

Le Web offre à ce jour de nombreuses et diverses t echniques permettant de diffuser l’information géographique (carte et données) surelWeb.
Dans sa conception la plus classique, un SIG comporte un ensemble de données structurées au sein d’une base de données et un ensemble de données géographiques organisées en couches. L’ouverture sur le Web se réalise par le biais d’une application spécifique mettant en format adéquat les données issues du SIG à des finsde consultation, de diffusion ou autres. Il permet non seulement de visualiser les informations géographiques au travers d’une interface Web mais également l’acquisition, la manipulation et lagestion des données géographiques de type point, ligne, surface et de type raster.
L’intégration des modules SIG à travers une interface Web est une innovation actuelle. Elle offre un accès aux fonctionnalités d’un SIG sans la complexité de mise en œuvre des systèmes de serveurs SIG connus. A partir d’un fondcartographique, l’outil permet de saisir via une interface, des données spatiales, de créer et ed mettre à jour ces données. L’interface de saisie est conviviale. Elle suit le processus naturel de collecte de l’information:
Identifiant de l’auteur (lien vers la base de contacts du site) ; Choix de la nature de la donnée saisie;
Choix entre nouvelle saisie ou mise à jour ;
Définition du périmètre de saisie à partir d’une carte ou d’une liste de valeur ;
Affichage de la liste des entités géographiques dupérimètre sous forme d’un tableau ; Contrôle de la saisie ;
Validation des données et enregistrement dans la base de données centralisée.

Internet et SIG

Internet est un réseau mondial où des ordinateurs reliés parlent la même langue pour communiquer et proposer des services en utilisant le protocole TCP/IP. Le protocole TCP/IP (Transfer Control Protocol/Internet Protocol) est une convention déterminant la façon dont les ordinateurs s’échangent de l’information. Cette convention implique que chaque ordinateur est identifié par une seule adresse (IP) et donc que ladonnée peut être envoyée d’une adresse vers une autre (ordinateur) sans ambiguïté. Cette information est divisée en petits paquets et est rassemblée à son arrivée.
Parmi les objets qu’Internet permettra d’échanger,ceux qui relèvent du champ de l’information géographique, c’est à dire qui est référencés par leur position géographique et qui peuvent faire l’objet d’une représentation cartographique.
Outre les progrès en matière de systèmes de positionnement (GPS) et d’observation satellitaire à haute résolution, les solutions de traitement et de communication utilisant les nouvelles technologies de communication modifient considérablement notre vue du domaine.
La publication de données spatiales sur Internet est devenue un moyen de communication indispensable. Il permet d’élargir et généraliser’accèsl à l’information géographique. Toutes les données géographiques (Raster ou vecteur) pourrontêtre publiées. En effet, au sein d’un SIG-Web deux modes prédominants de représentation cartographique peuvent cohabiter : le mode Raster et le mode vecteur, selon lesquels la transmission d’une carte peut se faire.
En mode Raster les formats les plus connus sont : GIF, JPEG, PNG, TIF…. ; Pour les formats vectoriels on peut distinguer deux types : le SVG et le SWF dit aussi Flash et ne sont lus par un navigateur Web qu’avec l’adjonction d’un « plug-in » (Plug-in : Élément logiciel que l’on adjoint à une application pour en étendre ses fonctions).
Le format SVG (Scalar Vector Graphic) [26]
Le format SVG est un format texte, recommandé par W3C (World Wide Web Corporation).Il est apparu en fin 1999 et publié sous forme de recommandation par W3C le 4 septembre 2001 sous sa version 1.0. Il a émergé comme un standard de fait parmi les moyens d’intégrer du graphisme vectoriel sur un site Web.Il est défini comme un langage de type XML décrivant des dessins vectoriels en deux dimensions.
En matière de diffusion de données cartographique el format SVG permet :
L’affichage dynamique par couches : zonage thématique et intégration des images (images satellitaires, aériennes …) ;
Système de coordonnées relatives pour positionner esl objets ;
Les transformations géographiques élémentaires (translation, changement d’échelle, rotation) grâce à des opérations matricielles appli cables à chaque objet ou groupe d’objets ;
Des fonctionnalités de recherche d’éléments textuels et de localisation relative d’objets au sein d’une carte ;
L’indexation des données textuelles des cartes, (légendes, étiquettes) par les moteurs de recherche.
Une large interactivité (coté client) à travers lagestion des événements utilisateur classique (onclick, onmousemove …) :
Une qualité esthétique de la représentation : Fading, filtre, gestion de transparence accès aux feuilles de style du document ;
Une grande ouverture : c’est une partie intégrantedu standard XML donc normalisé et qui a fait l’objet d’une recommandation W3C depuis le 04/09/2003.
Cependant, à coté de ces avantages, le format comporte également un certain nombre de contraintes :
Nécessité d’un plug-in qui se charge dans le navigateur lors de la première utilisation ; Absence de géoréférencement : les objets sont positionnés en coordonnées relatives ; Taille de fichiers dépendant du nombre d’objets à représenter.
Le format Flash SWF (ShockWave Flash Format) :
Le format Flash SWF est un format binaire et propriétaire de la firme Macro-média.

Sites cartographiques statique et dynamique

Initialement les sites étaient statiques et proposaient des pages figées à l’avance. Les cartes présentées des images statiques, éventuellement cliquables, insérées dans le code HTML. Puis, sont apparus des sites dynamiques dans lesquelles les pages ont été générées à la volée en réponse à une requête de l’utilisateur. Enfin, on assiste depuis peu à l’émergence de sites interactifs dans lesquels les données géographiques présentées peuvent être interrogées et manipulées (échelle, sélection, mise à jour …). Cette évolution technologique permet d’aller jusqu’à proposer des vraies fonctionnalités SIG. Les sites cartographiques peuvent se définir comme dynamiques ou statiques et ainsi on peut différencier entre une carte statique et une carte dynamique. En effet, le contenu
généré par le serveur peut être fait à partir desonnéesd géographiques ou attributaires ou les deux. Une carte peut être statique mais les données attributaires peuvent être extraites d’une base de données à la demande. La carte et les données attributaires sont générées selon la demande de l’utilisateur.

Interactivité dans les applications SIG-Web

Un site cartographique est caractérisé par les fonctionnalités qu’il offre à l’utilisateur pour agir sur une carte, par la notion d’interactivité où plusieurs degrés sont différenciés :
Le premier niveau est la visualisation d’une carte avec comme interaction les possibilités qu’offre le HTML. Les fonctions de déplacement sur une carte, pan et zoom, ainsi que les fonctions de présentation (affichage de couche, changement d’échelle, vue globale) constituent le deuxième niveau.
Enfin, des fonctions se rapprochant de celles d’un SIG de bureau telles que l’acquisition, la manipulation, la gestion et le traitement des données géographiques ou attributaires sont aussi réalisables.

SIG mobiles [13]

Les applications mobiles des SIG permettent à des utilisateurs en déplacement la collecte et la numérisation des données directement sur le erraint à partir de micro-ordinateurs portables, de tablettes PC ou des PDA (Personal Digital Assistant). Ainsi, les organisations peuvent intégrer à leurs bases de données et leurs applications des informations en temps réel, ce qui permet d’accélérer l’analyse, le traitement, l’affichaget lae prise de décision.

Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
Chapitre.1. L’INFORMATION GEOGRAPHIQUE ET LE SIG SOUS WEB
1.1. INFORMATION GEOGRAPHIQUE
1.1.1. Caractéristiques des données géographiques
1.1.1.1. La sémantique
a. Les couches d’informations
b. L’identifiant
c. La localisation
1.1.1.2. Qualité des données dans les Bases de données géographiques
1.1.1.3. La sémiologie
1.1.2. Gestion des données
1.1.3. Les objectifs de gestion de l’information
1.1.4. Rôle de l’information géographique
1.1.5. Impact de la technologie sur l’information géographique
1.1.6. L’information géographique sur Internet
1.1.7. Besoin en information géographique
1.2. SYSTEMES D’INFORMATION GEOGRAPHIQUE (SIG)
1.2.1. Définitions
1.2.2. Historique des SIG
1.2.3. Modélisation de l’information géographique
1.2.4. Représentation et Modèle de données
1.2.4.1. Modèle Vecteur
1.2.4.2. Modèle Raster
1.2.5. SIG et la représentation de la réalité géographique
1.2.6. Principaux domaines d’utilisation
1.2.7. Les produits importants
1.2.8. SIG sous le Web
1.2.8.1. Internet et SIG
1.2.8.2. Sites cartographiques statique et dynamique
1.2.8.3. Interactivité dans les applications SIG-Web
1.2.9. SIG mobiles
1.3. LOGICIEL LIBRE ET LES SIG
1.3.1. Avantages de modèle de logiciel libre
1.3.2. Logiciels libres disponibles pour les SIG
1.3.3. Logiciels libres pour les SIG sous Web
Chapitre.2. ARCHITECTURE CLIENT-SERVEUR, LES APPLICATIONS DE DIFFUSION CARTOGRAPHIQUE ET LE WEBMAPPING
2.1. ARCHITECTURE CLIENT-SERVEUR
2.1.1. Introduction
2.1.2. Le modèle Client serveur
2.1.3. Le modèle client-serveur à deux niveaux
2.1.3.1. L’approche centrée sur le client
2.1.3.2. L’approche centrée sur le serveur
2.1.4. L’approche client-serveur à trois niveaux ou architecture 3-tiers
2.1.5. Les applications Web
2.1.5.1. Les applications Web classique
2.1.5.2. Les applications Web de nouvelle génération
2.1.5.3. Le Web à trois niveaux
2.1.6. Les applications SIG-Web
2.1.7. Serveur Web
2.1.8. Les applications CGI
2.2. LE WEBMAPPING
2.2.1. Introduction
2.2.2. Principes de cartographie sur Internet
2.2.3. Serveur cartographique
2.2.3.1. Serveur des cartes
2.2.3.2. Serveur de fichiers
2.2.4. Principe général de fonctionnement d’un serveur cartographique
2.2.5. Fonctionnalités des serveurs cartographiques
2.2.6. Les avantages et les inconvénients des serveurs cartographiques
2.2.6.1. Avantages
2.2.6.2. Inconvénients
2.2.7. Les serveurs cartographiques existants
2.2.7.1. Les éditeurs classiques
a. Avantage
b. Inconvénients
2.2.7.2. Les solutions Open Source
a. Avantages
b. Inconvénients
2.2.8. Les infrastructures et les logiciels utilisés
2.2.8.1. Côté serveur
2.2.8.2. Côté client
2.2.9. Les outils de développement Web
2.2.10. Mise en place d’une application Web
Chapitre.3. : DEVELOPPEMENT DU SYSTEME
3.1. Introduction
3.2. Définitions
3.3. Pourquoi modéliser ?
3.4. Les éléments d’UML
3.5. Les diagrammes d’UML
3.6. Les étapes du cycle de vie d’une application
3.7. Développement du système
3.7.1. L’expression des besoins
3.7.2. Spécification des besoins
3.7.2.1. Principe de fonctionnement du système
3.7.2.2. Fonctionnalité du système
3.7.3. L’analyse
3.7.3.1. Cas d’utilisation du système
3.7.3.2. Le modèle statique
3.7.3.3. Le modèle dynamique
3.7.4. La conception
3.7.4.1. Conception du système
3.7.4.2. La décomposition du système en sous systèmes
Chapitre.4. : IMPLEMENTATION
4.1. Implémentation : choix des composants logiciels
4.1.1. Les serveurs cartographiques
4.1.2. Les éléments d’une application MapServer
4.1.3. Serveur web
4.1.4. Serveur d’application
4.1.5. Modèle de l’interface
4.1.6. Présentation du CartoWeb
4.1.6.1. Architecture et fonctionnement général de CartoWeb
4.1.6.2. Fonctionnalités de CartoWeb
4.1.6.3. Structure générale de CartoWeb
4.1.6.4. Protocole SOAP
4.1.6.5. Principe de Fonctionnement du CartoWeb
4.1.6.6. Fonctionnement de CartoWeb
4.1.7. SGBDR (Système de Gestion de Base de Données Relationnelles)
4.1.7.1. PostgreSQL
4.1.7.2. PostGIS, principes et utilisation
4.1.7.3. QUANTUM GIS
4.2. Implémentation : Installation et Configuration des composants
4.2.1. Présentation de l’interface et de son développement
4.2.2. Interface de navigation
4.2.3. La liste déroulante d’échelles
4.2.4. Gestion des couches (Onglet Thèmes)
4.2.5. Recherche (Onglet Recherche)
4.2.6. Les outils dessin (Onglet Dessin)
4.2.7. Outils de mesure
4.2.8. Interrogation des objets (Onglet Requête)
4.2.9. Les outils de mise à jour (Onglet Edition) :
4.2.10. Impression (Onglet Imprimer)
4.3. Test et validation
CONCLUSION ET PERSPECTIVES
BIBLIOGRAPHIE
WEBOGRAPHIE
ANNEXE
ANNEXE 1 : Le Fichier « faliarivo.map »
ANNEXE 2 : La projection pour Madagascar

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