Contribution à l’étude de la Flore et de la Végétation en Mauritanie

Contribution à l’étude de la Flore et de la Végétation en Mauritanie

Exploration botanique 

Lebrun (1998) estime que les premières palmeraies furent installées en Mauritanie avant le VIIIème siècle et que la première plante mauritanienne (que Théodore Monod, en 1978, identifia comme étant Anastatica hierochuntica) fût récoltée par Gil Eanes sur la côte près du Cap Bojador (actuel Cap Juby ?) en 1434. Lebrun (1998) donne une chronologie détaillée de l’exploration botanique de la Mauritanie en précisant les noms des explorateurs, ainsi que la nature des plantes collectées. Parmi les étapes essentielles de cette exploration botanique, l’auteur relate l’intérêt particulier porté, à partir de 1640, par les Européens aux acacias producteurs de gomme, notamment celle d’Acacia senegal. Lebrun (1998) considère également que c’est surtout à partir de 1938 que débuta réellement l’exploration botanique de la Mauritanie septentrionale, grâce à la randonnée du lieutenant-interprète Luthereau des troupes de Mauritanie. Cet auteur rapporte que Georges Adam a résumé en 1962 l’exploration botanique de la Mauritanie et du Sahara occidental comme suit : « En Mauritanie, la région de l’Adrar est floristiquement bien connue, grâce, principalement aux travaux du professeur Monod qui a établi la liste presque complète des plantes de ce secteur et à ceux en cours de M. Naegelé. Le Zemmour l’est également à la suite des publications du professeur Sauvage et la phytogéographie du Sahara occidental a été étudiée par M. Murat (1944) ». Cependant, peu d’études « renseignent Chapitre I : Synthèse bibliographique 5 sur le sahel mauritanien si étendu, si important et si varié du point de vue pâturages (Trarza, Tagant, Brakna, etc.) et aussi sur « la végétation de l’Affolé, de l’Aouker et du Djouf. Les pâturages temporaires à chameaux au Nord-Est de l’Adrar n’ont jamais été décrits ». Les « fiches de lecture » de Carrière (http://www.les-snats.com/bibliorim, 2000), comportant des commentaires relatifs à Adam (1960, 1962, 1966, 1967), peuvent être résumées comme suit : – 1960 : Adam donne une liste des 195 espèces (300 numéros d’herbier), collectées par Sadio Kane, agent technique de l’IFAN, dans une région jusqu’alors peu prospectée. – 1962 : Carrière estime que, jusqu’à une époque très récente, les « itinéraires botaniques » d’Adam sont restés une des références fondamentales pour la flore de Mauritanie. L’analyse critique de cet ouvrage, faite par Lebrun (1998), a révélé quelques inexactitudes, quant à la présence effective de certaines plantes sur le territoire mauritanien. Le travail d’Adam garde cependant, selon Carrière, un intérêt historique, vis-à-vis de la connaissance floristique de la Mauritanie, et reste surtout une référence encore fort utile actuellement. La description des itinéraires botaniques est relativement précise (localisation des observations); ce travail peut donc servir de base pour évaluer les modifications subies par la végétation depuis les années 60. – 1966 : D’après Carrière, cet article est consacré à la végétation de l’Aftout es saheli, lagune côtière qui s’étend en une mince bande littorale entre Nouakchott et Saint-Louis. Une description physique des différents types de milieu est d’abord présentée, puis les résultats d’un transect, effectué perpendiculairement au cordon littoral, sont exposés en détail (relevés de végétation). Une liste récapitulative des espèces observées, avec indications de leurs stations préférentielles, est annexée à l’article. – 1967 : Carrière note que cet article donne les résultats d’un suivi de la végétation, effectué sur une période de plus de 10 ans, sur sept parcelles mises en défens dans la région d’Atar. Dans son commentaire, Carrière note que l’objectif de cette expérimentation était, à l’origine, d’étudier l’évolution de la végétation en zone saharienne lorsqu’elle est à l’abri des déprédations humaines et des animaux domestiques. Carrière (2000) résume également le travail de Barry et al. (1987) sur l’Adrar : « la situation géographique de l’Adrar mauritanien (19-20 degrés de latitude nord, 12-13 degrés de longitude ouest), nettement au sud du Tropique du Cancer et relativement proche de l’Océan Atlantique (300-350 km), crée des conditions de milieu tout à fait remarquables. Chapitre I : Synthèse bibliographique 6 En effet, à la même latitude que le Tanezrouft, ce massif abrite des éléments floristiques méditerranéens, saharo-sindiens et sahéliens. Par ailleurs, comme très peu de publications le concernent, il est indispensable de mieux le connaître afin de parfaire la connaissance du pays saharien. La répartition des principales formations végétales et leur composition floristique fait apparaître deux faits : la dépendance du climat et l’importance secondaire du relief et des conditions édaphiques locales. Ainsi se côtoient des représentants des Anvilleo-Zillion de la bordure septentrionale du Sahara, des Acacio-Panicion et Aervo-Fagonion du Sahara central et méridional, des Acacio-Aristidion et Boerhavio-Tephrosietea de la bordure méridionale et du Sahel, analysés dans huit tableaux phytosociologiques. Dans un passé récent et encore actuellement, ce massif a joué et joue le rôle de passerelle entre toutes les flores, ce qui souligne, une fois de plus, que le poids du passé (facteur chorologique) et du climat (facteur abiotique) est essentiel; le reste n’influe aucunement sur la compréhension tant géomorphologique que botanique de ce massif ». Commentant les travaux de Boudet et Duverger (1961), Carrière juge qu’il s’agit d’une étude très originale à l’époque, car faisant appel à une approche phytosociologique des pâturages, dans la lignée de l’école zuricho-monpelliéraine, méthode jusqu’alors très peu employée en domaine sahélien (Boudet a été élève de Braun-Blanquet). Ce document, note Carrière (1989), garde cependant un intérêt historique certain (florule complète, liste de noms vernaculaires maures, nombreuses photographies permettant d’apprécier l’aspect des paysages de l’époque…). Il a marqué le début d’une grande phase exploratoire sur les pâturages sahéliens : celle de la cartographie des ressources fourragères. A déplorer, toutefois, l’absence d’indications sur la localisation des 240 relevés de végétation effectués. Pour son propre travail de thèse, Carrière (1989) résume son travail comme suit : « la présente étude concerne la composition et la structure des communautés végétales d’un secteur nord-sahélien de Mauritanie (région de Kaédi), et tente d’analyser les mécanismes du renouvellement annuel du couvert herbacé. Les résultats obtenus mettent à jour une relative stabilité des faciès étudiés, en raison de la forte spécificité des réserves semencières et de l’aptitude différentielle à la germination et à la compétition des plantes caractéristiques de chaque type de station. Ils révèlent cependant la  fragilité de ces milieux, les seuils critiques de régénération pouvant être facilement atteints en année très sèche ou en cas de surexploitation précoce des pâturages ». Les commentaires de Carrière sur le catalogue de Lebrun (1998) relatif à la « flore vasculaire du Sahara occidental et de la Mauritanie » illustrent l’importance de ce travail synthétique. En effet, Carrière considère qu’à « l’image des autres catalogues publiés par J.-P. Lebrun (Tchad, Sénégal, Niger, Mali, Burkina Faso, Djibouti), cet ouvrage comprend, entre autres parties, un « aperçu sur l’exploration botanique de la Mauritanie et du Sahara occidental des origines à 1962 » : ce chapitre retrace, à grands traits, les principales étapes de la connaissance floristique du territoire mauritanien et du Sahara occidental, au travers de quelques grands noms (René Caillé, René Chudeau, Marc Murat, Odette du Puigaudeau, Théodore Monod, JacquesGeorges Adam…), dont beaucoup furent des militaires (adjudant Marcel Charles, LieutenantColonel Fourré, Lieutenant Gilbert, Lieutenant Lecoutey, Lieutenant Schmitt…). S’en suit la liste des 99 personnes ayant effectivement collecté en Mauritanie, ainsi qu’une bibliographie botanique très complète, forte de plus de 200 références ». En commentant cet ouvrage fondamental pour tous ceux qui s’intéressent à la flore de Mauritanie, Carrière juge que l’intérêt du catalogue de Lebrun est qu’il est très critique par rapport aux travaux antérieurs, notamment les « Itinéraires botaniques », publiés par Adam (1962), qui signalait 1013 espèces en Mauritanie, mais aussi par rapport à la récente flore de Barry et Celles (1991). Cette dernière publication, basée en grande partie sur l’inventaire d’Adam, laisse quelques doutes sur la présence réelle de certains taxons sur le territoire mauritanien, car l’origine des données n’y est pas explicitement indiquée. L’intérêt, mais aussi les limites de l’ouvrage de Lebrun, est qu’il constitue, d’après Carrière, une synthèse des données (bibliographiques et récoltes), toutes périodes confondues. Parmi les échantillons d’herbiers cités en référence, la grande majorité se rapporte à des collectes effectuées au cours de la première moitié du XXème siècle, lors des grandes vagues exploratoires du Sahara et de ses confins sahéliens. Connaissant les changements radicaux qui ont affecté les paysages subtropicaux au cours de ces dernières décennies, il est probable que de nombreux taxons cités par Lebrun aient aujourd’hui complètement disparu de Mauritanie. En ce sens, la distinction entre « données anciennes » et « données récentes » aurait sans doute permis de mettre en évidence les modifications les plus spectaculaires, au niveau des aires de répartition spécifiques. Quelques cartes de répartition (45 au total) illustrent le catalogue de Lebrun, et suggèrent l’étape logique qui devrait, idéalement, suivre la publication de ce catalogue : celle de la réalisation Chapitre I : Synthèse bibliographique 8 d’un Atlas de la flore de Mauritanie. Les données compilées par Lebrun s’y prêtent, comme l’indiquent les quelques 45 cartes de répartition données à titre d’exemple. En première approche, un carroyage de l’ordre du degré carré (environ 100 km x 100 km) suffirait à fournir une image de la répartition des différents taxons, à visualiser les modifications d’aires de répartition, en distinguant les données anciennes des données récentes, et à identifier les « vides » sur les cartes, où cibler les futures prospections. Car, comme le rappelle J.-P. Lebrun (citant Théodore Monod), à propos du territoire couvert par le catalogue : « l’exploration scientifique est à peine commencée » ». Selon Carrière (2000), l’étude de Mosnier (1961) a été réalisée dans la lignée de celle de Boudet et Duverger (1961) sur le Hodh, privilégiant une approche phytosociologique des pâturages, et donc relativement novatrice pour l’époque. L’analyse de la végétation s’appuie sur une étude des sols, réalisée par M. Maignien (1965) avec une typologie des pâturages présentée par grandes entités géomorphologiques. Carrière (2000) note que l’ouvrage de Naegelé (1977) a été réalisé à l’issue d’un projet de trois ans sur l’amélioration des pâturages et de la production animale en Mauritanie. Il considère donc qu’il s’agit d’un ouvrage à vocation didactique, qui présente une synthèse sur la famille des Poacées, pour la Mauritanie, sous la forme d’un catalogue commenté, et largement illustré (84 planches). Carrière (2000) rapporte la note de Sauvage (1946) qui est le résultat botanique d’une mission d’étude de la biologie des acridiens confiée en octobre 1942 à M. Ch. Rungs, auquel se joignirent MM. J. Dubieff, météorologiste, et Ch. Sauvage, botaniste. « Le Zemmour oriental est la moitié sud-est d’un grand quadrilatère situé à cheval sur la frontière politique du Sahara espagnol entre les 25° et 27° de latitude nord. Son unité géologique et géographique est très nette. En particulier, la falaise du Zemmour le sépare nettement de la moitié occidentale constituée principalement par le massif de la Guelta. Les données climatiques encore très incomplètes sur cette région la montrent comme très chaude (température moyenne : 25°C) et soumise à une forte évaporation. Mais ce climat presque aussi dur que celui du Sahara central est atténué par une nébulosité importante et des bouillards hivernaux fréquents. La moyenne des précipitations est de 30 à 40 mm tombant en grande partie pendant la saison chaude (septembre) : le rythme climatique est plus soudanais que méditerranéen. Quelques observations rapides ont pu montrer combien l’eau qui tombe est inégalement répartie. La végétation comporte trois aspects essentiels : rassemblée dans les lits d’oueds et encore plus contractée dans les ravins des montagnes, elle évoque alors la végétation du Sahara central; mais sur le reg, elle est diffuse et montre bien son caractère essentiellement occidental. La flore phanérogamique actuellement connue comprend 150 espèces dont le catalogue est donné et qui se répartissent en 9 plurirégionales, 11 méditerranéennes, 79 saharo-sindiennes, 1 soudano-deccanienne, 14 endémiques; en outre, la liaison méditerranéenne saharo-sindienne est représentée par 11 espèces, la liaison saharo-sindienne soudano-deccanienne par 25 autres espèces. La flore est donc essentiellement saharienne et son atténuation est marquée principalement par un petit contingent de méditerranéennes; par contre, malgré le climat, l’élément purement soudano-deccanien est pratiquement nul et l’influence soudanaise n’est représentée que par des espèces banales de liaison saharo-sindienne soudano-deccanienne; enfin, l’endémisme est beaucoup moins important qu’au Sahara espagnol. Mais si ce district est nettement séparé au Nord et à l’Ouest des districts voisins par la falaise du Zemmour, où l’on observe une véritable rupture climatique et floristique, il est bordé à l’Est et au Sud-Est par le secteur méridional de Murat [Murat, 1944] le long d’une limite qu’il n’est pas encore possible de tracer ». 

Biogéographie et floristique 

Au niveau de la floristique et de la phytogéographie, Lebrun (1998) indique (pour le Sahara occidental et la Mauritanie) l’existence de plusieurs catégories d’espèces végétales : – Véritables saharo-sindiennes : Anastatica hierochuntica, Cornulaca monacantha (le meilleur pâturage des camelins), Monsonia nivea, Notoceras bicorne, Schouwia thebaica. – Quelques saharo-sindiennes occidentales : Barleria schmittii, Crotalaria saharae, Lotus roudairei, Marrubium deserti, Nucularia perrinii (pâturage très recherché), Reseda villosa. – Quelques sub-saharo-sindiennes : Lasiurus scindicus, Launaea nudicaulis, Moltkiopsis ciliata, Panicum turgidum, Phoenix dactylifera, Psoralea plicata. – Quelques espèces typiquement sahéliennes : Boscia senegalensis, Brachiaria orthostachys, Centaurea senegalensis, Combretum glutinosum, Guiera senegalensis, Indigofera senegalensis, Requienia obcordata, Trichoneura mollis.  Pour la Mauritanie, le même auteur signale le cortège des espèces de zones sèches d’Afrique qui présentent une aire disjointe de part et d’autre de l’Equateur et dont : Aristida rhiniochloa, Barleria lancifolia, Cienfuegosia digitata, Geigeria alata, Gossypium anomalum, Indigofera disjuncta, Triraphis pumilio. Lebrun (1998) indique aussi qu’au Sahara occidental et en Mauritanie, l’endémisme remarquable constitue la portion océanique du cadre plus vaste des espèces saharo-sindiennes : Echiochilon chazaliei, Hedysarum argyreum, Limoniastrum ifniense, Limoniastrum weygandiorum, Limonium chazaliei (pénétrant plus à l’intérieur des terres), Limonium chrysopotamicum, Lotus assakensis, Lotus pseudocreticus, Penzia hesperidum. Pour la Mauritanie, l’auteur signale quelques endémiques de l’intérieur : Anethum theurkauffii, Astragalus akkensis, Barleria lancifolia subsp. charlesii, Barleria schmittii, Caralluma mouretii, Centaurea monodii, Echinochilon simonneaui. Lebrun note aussi le cas de Sporobolus tourneuxii, espèce périsaharienne très particulière, rare et propre aux sols gypseux, qui existe en Tunisie, Mauritanie, Somalie, Arabie et Pakistan. Le même auteur indique comme espèces endémiques caractérisant les relations floristiques entre le Maroc, les Canaries, le Sahara occidental et la Mauritanie : Helianthemum canariense, Nauplius schultzii, Ononis tournefortii, Pulicaria burchardii, Zygophyllum fontanesii (connu en plus au Sénégal, aux Îles du Cap Vert et aux Salvages). S’agissant des espèces méditerranéennes, Lebrun(1998) en cite plusieurs catégories : – Celles qui pénètrent parfois assez profondément au Sahara occidental et en Mauritanie. Ce sont : Centaurium mairei, Cynomorium coccineum, Eritrichum sventenii, Nolletia chrysocomoides, Ononis serrata, Trigonella polycerata. – Celles qui longent essentiellement le littoral. Il s’agit de plantes n’apparaissant qu’après des précipitations suffisantes (sauf Lygeum spartum). C’est le cas de : Anacyclus homogamos, Anaegallis arvensis, Convolvulus supinus, Erodium malacoides, Erodium touchyanum, Lygeum spartum, Ononis sicula, Plantago lagopus, Plantago ovata, Trichodesma calcaratum. – Celles qui peuvent difficilement être départagées entre les spontanées et les adventices. Ce sont : Bromus rubens, Phalaris canariensis, Tragopogon hibridus. – Celles littorales qui sont favorisées par une bonne pénétration des vents océaniques : Helianthemum canariense, Limonium sinuatum, Polycarpaea nivea.

Table des matières

Dédicaces
Remerciements
Citation
Avant-propos
Liste des figures et tableaux
Liste des acronymes
Résumé
Abstract
Introduction
1. Chapitre I : Synthèse bibliographique
1.1. Exploration botanique
1.2. Biogéographie et floristique
1.3. Place de la flore mauritanienne au sein de la zone saharienne
2. Chapitre II : Présentation des milieux
2.1. Généralités sur la Mauritanie
2.2. Géomorphologie- Géologie
2.3. Hydrographie-Hydrologie
2.4. Climat
2.4.1. Précipitations
2.4.2. Températures
2.4.3. Diagrammes ombrothermiques de la zone saharo-sahélienne
2.4.4. Diagrammes ombrothermiques de la zone sahélo-soudanienne
2.4.4. Vents
2.4.5. Humidité
2.4.6. Insolation
3. Chapitre III : Matériel et méthodes
3.1. Echantillonnage
3.2. Etude de la flore
3.3. Etude de la végétation
3.4. Traitement des données
4. Chapitre IV : Résultats
4.1. Etude de la flore
4.1.1. Flore globale herbacée et ligneuse en Mauritanie
4.1.1.1. Spectre taxonomique global de la flore vasculaire de Mauritanie
4.1.1.1.1. Spectre taxonomique global des Familles
4.1.1.1.2. Spectre taxonomique global des Genres
4.1.1.1.3. Spectre taxonomique global des Espèces
4.1.1.2. Spectre biologique global de la flore vasculaire de Mauritanie
4.1.1.3. Spectre chorologique global de la flore vasculaire de Mauritanie
4.1.2. Flore relevée
4.1.2.1. Flore herbacée et ligneuse
4.1.2.1.1. Spectre taxonomique des espèces herbacées et ligneuses relevées
4.1.2.1.1.1. Spectre taxonomique des Familles
4.1.2.1.1.2. Spectre taxonomique des Genres
4.1.2.1.1.3. Spectre taxonomique des Espèces
4.1.2.1.2. Spectre biologique des espèces herbacées et ligneuses relevées
4.1.2.1.3. Spectre chorologique des espèces herbacées et ligneuses relevées
4.1.2.2. Flore herbacée relevée
4.1.2.2.1. Spectre taxonomique des herbacées relevées
4.1.2.2.1.1. Spectre taxonomique des Familles
4.1.2.2.1.2. Spectre taxonomique des Genres
4.1.2.2.1.3. Spectre taxonomique des Espèces
4.1.2.2.2. Spectre biologique des herbacées relevées
4.1.2.2.3. Spectre chorologique des herbacées relevées
4.1.2.3. Flore ligneuse relevée
4.1.2.3.1. Spectre taxonomique
4.1.2.3.1.1. Spectre des Familles
4.1.2.3.1.2. Spectre des Genres
4.1.2.3.1.3. Spectre des Espèces
4.1.2.3.2. Spectre biologique des espèces ligneuses relevées
4.1.2.3.3. Spectre chorologique des espèces ligneuses relevées
4.1.3. Zone saharo-sahélienne
4.1.3.1. Flore herbacée et ligneuse en zone saharo-sahélienne
4.1.3.1.1. Spectre taxonomique en zone saharo-sahélienne (herbacées et ligneux).
4.1.3.1.1.1. Spectre des Familles
4.1.3.1.1.2. Spectre des Genres
4.1.3.1.1.3. Spectre des Espèces
4.1.3.1.2. Spectre biologique en zone saharo-sahélienne (herbacées et ligneux).
4.1.3.1.3. Spectre chorologiqueen zone saharo-sahélienne (herbacées et ligneux)
4.1.3.1.1. Flore herbacée en zone saharo-sahélienne
4.1.3.1.1.1. Spectre taxonomique
4.1.3.1.1.1.1. Spectre des Familles
4.1.3.1.1.1.2. Spectre des Genres
4.1.3.1.1.1.3. Spectre des Espèces
4.1.3.1.1.2. Spectre biologique en zone saharo-sahélienne (herbacées)
4.1.3.1.1.3. Spectre chorologique en zone saharo-sahélienne (herbacées)
4.1.3.1.2. Flore ligneuse en zone saharo-sahélienne
4.1.3.1.2.1. Spectre taxonomique
4.1.3.1.2.1.1. Spectre des Familles
4.1.3.1.2.1.2. Spectre des Genres
4.1.3.1.2.1.3. Spectre des Espèces
4.1.3.1.2.2. Spectre biologique en zone saharo-sahélienne (ligneux)
4.1.3.1.2.3. Spectre chorologique en zone saharo-sahélienne (ligneux)
4.1.4. Zone sahélo-soudanienne
4.1.4.1. Flore herbacée et ligneuse en zone sahélo-soudanienne
4.1.4.1.1. Spectre taxonomique
4.1.4.1.1.1. Spectre des Familles
4.1.4.1.1.2. Spectre des Genres
4.1.4.1.1.3. Spectre des Espèces
4.1.4.1.2. Spectre biologique en zone sahélo-soudanienne (herbacées et ligneux)
4.1.4.1.3. Spectre chorologique en zone sahélo-soudanienne (herbacées et ligneux)
4.1.4.2. Flore herbacée en zone sahélo-soudanienne
4.1.4.2.1. Spectre taxonomique
4.1.4.2.1.1. Spectre des Familles
4.1.4.2.1.2. Spectre des Genres
4.1.4.2.1.3. Spectre des Espèces
4.1.4.2.2. Spectre biologique en zone sahélo-soudanienne (herbacées)
4.1.4.2.3. Spectre chorologique en zone sahélo-soudanienne (herbacées)
4.1.4.3. Flore ligneuse en zone sahélo-soudanienne
4.1.5. Zone littorale (flore herbacée)
4.1.5.1. Spectre taxonomique
4.1.5.1.1. Spectre des Familles
4.1.5.1.2. Spectre des Genres
4.1.5.1.3. Spectre des Espèces
4.1.5.2. Spectre biologique en zone littorale (herbacées)
4.1.5.3. Spectre chorologique en zone littorale (herbacées)
4.1.5.4. Littoral Nord
4.1.5.4.1. Spectre taxonomique
4.1.5.4.1.1. Spectre des Familles
4.1.5.4.1.2. Spectre des Genres
4.1.5.4.1.3. Spectre des Espèces
4.1.5.4.2. Spectre biologique en zone littorale Nord (herbacées)
4.1.5.4.3. Spectre chorologique en zone littorale Nord (herbacées)
4.1.5.5. Littoral Sud
4.1.5.5.1. Spectre taxonomique
4.1.5.5.1.1. Spectre des Familles
4.1.5.5.1.2. Spectre des Genres
4.1.5.5.1.3. Spectre des Espèces
4.1.5.5.2. Spectre biologique en zone littorale Sud (herbacées)
4.1.5.5.3. Spectre chorologique en zone littorale Sud (herbacées)
4.2. Etude de la végétation
4.2.1. Caractéristiques du peuplement
4.2.1.1. Composition floristique
4.2.1.1.1. Végétation herbacée
4.2.1.1.2. Végétation ligneuse
4.2.1.1.3. Diversité floristique
4.2.1.2. Caractéristiques de la végétation ligneuse
4.2.1.2.1. Densité
4.2.1.2.2. Surface terrière
4.2.1.2.3. Recouvrement
4.2.1.2.4. Indice de Valeur d’Importance (IVI)
4.2.1.2.5. Valeur d’Importance des Familles (VIF)
4.2.1.3. Structure du peuplement
4.2.1.3.1. Distribution spatiale
4.2.1.3.1.1. Herbacées relevées
4.2.1.3.1.2. Ligneux relevés
4.2.1.3.2. Distribution des ligneux selon la taille
4.2.1.3.2.1. Distribution selon la grosseur des arbres
4.2.1.3.2.1.1. Distribution du peuplement global
4.2.1.3.2.1.2. Distribution en zone saharo-sahélienne
4.2.1.3.2.1.3. Distribution en zone sahélo-soudanienne
4.2.1.3.2.2. Distribution selon la hauteur des arbres
4.2.1.3.2.2.1. Distribution pour le peuplement global
4.2.1.3.2.2.2. Distribution en zone saharo-sahélienne
4.2.1.3.2.2.3. Distribution en zone sahélo-soudanienne
5. Chapitre V : Discussions générales et conclusions
5.1. Sur la flore
5.2. Sur la végétation
Conclusion générale et perspectives.
Références bibliographiques

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