Cordonnées des sommets de deux cheminements encadrés

Cordonnées des sommets de deux cheminements encadrés

Le gisement constitue un élément de base pour le calcul de coordonnée. En cheminement, l’orientation du premier côté du cheminement est calculée à partir de visée d’orientation sur de point connu. La transmission de cette orientation s’effectue à l’aide de l’angle observé à chaque sommet. Les tableaux suivants nous montrent les valeurs de gisements des deux cheminements.

Traitement de données sur logiciel Autocade-Covadis

Lorsqu’on connait les coordonnées des stations, on peut choisir facilement les points de bases d’implantation en utilisant le logiciel Autocade-Covadis. C’est un logiciel de dessin qui permet de traiter des données topographiques et peut fournir le listing d’implantation en cordonnées polaires ou triangulaires. Selon l’échelle de lever 10 000e, voici un exemple de carte (Carte 6) qui montre le cheminement entre P5 et P61.En topographie, plusieurs sont les méthodes adaptés pour implanter des points dans un plan selon la situation du terrain et les instruments à utiliser. Ici, nous avons choisis l’intersection de deux visés par station totale entre deux points de base PX1 et PX2 à chaque point Px à l’aide de cordonnées polaires. Le visé issu de la station PX1 est considéré comme visé de matérialisation et l’autre visé issu de PX2 pris comme contrôle. Après avoir injecté dans Covadis les coordonnées Laborde des sommets de deux cheminements, les cordonnées de point I obtenu par relèvement et intersection, les coordonnées des de canevas de base et points d’appuis et les coordonnées des sommets des carrées N° 38 362, on peut choisir facilement les points de base Px1 et Px2 à chaque point à implanter Px. Puis on peut procéder couramment l’implantation à l’aide de station en utilisant les cordonnées polaires obtenus à l’aide du listing d’implantation.

Menons nos visions, à travers le présent tableau, sur l’explication discursive entre les deux résultats du test qui sont : les moyennes et les écarts-types. Face à ces propos, nous n’observons que peu d’écart qui s’est produit entre ces deux résultats. Mais un grand écart entre la variable sexe y afférent le masculin et le féminin est envisagé. Nous observons que les écarts-types de ces variables sont importants et ce qui signifie que les variables sont pondérées. D’une optique sociologique du terme, il est approuvé que seule la minorité des hommes qui sont victimes de « l’anjarinintsy » et outre la majorité de ces victimes ne sont que des jeunes filles et femmes entre l’âge de 10 à 30 ans, soient au niveau scolaire et au niveau domestique. Par exemple, selon Fahranarison, tiré de l’Expresse de Madagascar : « à Andasibe, deux collégiennes possédées par un esprit « démoniaque », incroyable. Elles sont deux adolescentes sont tombées dans l’inconscience totale pendant les heures de cours, dans le collège d’enseignement générald’Andasibe, elles sont de la classe de 5ème et de 3ème… »47Nous excitons nos lecteurs à
trouver les photos (en annexe XIV), comme preuve de la recherche. En effet, les valeurs des écarts-types sont supérieures à ceux des moyennes alors nous pouvons en déduire que les variables qui contribuent lors de ce test sont très dispersées. Au bout du test des variables qualitatives, avec Stat-Box version 6.5, suivant lequel l’Analyse factorielle en composantes principales, du 09/04/2018 à 02:47:47, nous a montré que le choix des professions de l’Individus par rapport aux autres variables nous donne lesreprésentations suivantes: Masculin, Féminin, Ensemble, Effectif, total en % des effectifs.

Ensuite, la Pondération approuvée durant les tests est fortement uniforme (par défaut). Ainsi, aucune donnée manquante détectée. Nous pouvons aussi en déduire que seul le Coefficient de corrélation de Pearson est significativement normé (ACP normée). Dans ce cas, il ne s’agit pas de rotation des axes et que le nombre de facteurs retenus pour l’analyse est égale à 03. En bref, l’homme actuel n’est plus le maître de son instinct ou de son choix. Nous ne dominons pas en outre l’apparence mais elle nous met dans un cas contradictoire à la normale. C’est l’apparence qui nous domine. Il est suffisamment intentionné que les hypothèses numéro un et deux qui sont: de sa nature, les charmes traditionnels ou « ody » seraient avant tout utilisés comme à titre de balise sociale et les « fanafody » ou remèdes pour se soigner les malades et après l’usage vernaculaire des mauvais charmes seraient de bloquer et de nuire le devenir et l’avenir d’un individu. Et la sorcellerie accomplie par certains gens et qui est provoquée par la plupart des comportements traditionnels favorise aussi ces derniers. Les bons charmes et les mauvais charmes sont considérés comme un stade arbitraire sur le contexte de la vie sociale et familiale. Mais attention! En ce précepte, la plupart des sorciers sont attirés par le regard à travers les sages, les connus du village et par les écoliers ou écolières les plus intelligents de l’ère. Ils aiment, à vrai dire, ensorceler les élèves qui réussissent toujours aux épreuves scolaires. En somme, les hypothèses anticipées semblent valides. La crise de «l’anjarinintsy» se manifeste non seulement au niveau des écoliers mais aussi aux jeunes du village. Et ce délire est marqué par la douleur psychique et motrice en même temps.

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