Analyse de la philosophie idéaliste faite par KARL MARX

LA QUESTION FONDAMENTALE DE L’HISTOIRE DE LA PHILOSOPHIE PRÉMARXISTE

Réflexion sur l’ontologie

La réflexion sur l’existence humaine est l’un des problèmes majeurs de l’histoire de la philosophie prémarxiste. Elle apris pour point de départ la réflexion philosophique appliquée aux problèmes de toutes les connaissances, à savoir, la connaissance philosophique, théologique, scientifique, métaphysique, etc. La philosophie, en tant que science de la vérité, incarne la volonté humaine de chercher continuellement à découvrir « les raisons d’être et les causes de tout ce qui existe », car l’homme ne peut que se contenter d’en élucider les mystères. Ce qui fait alors qu’elles sont un champ de bataille pour les philosophes pour exprimer leur opinion. En conséquence, elles engendrent une discussion incessante au niveau de la conception du monde et des interprétations divergentes du monde.
Il faut noter que depuis la philosophie de l’Antiquité, datant de la fin du Ve siècle avant Jésus-Christ (les présocratiques) jusqu’à arrivée dumarxisme, la réflexion sur l’existence du rapport entre l’« idée » et la « matière » occupe une place de choix dans l’interprétation du monde. Disons autrement : il s’agit de la question de savoir le rapport réciproque de l’existence de l’esprit et de la matière, la conscience et l’être, ou précisément, qu’est-ce qui est premier l’esprit ou la matière, si l’esprit et la conscience peuvent exister indépendamment du cerveau humain ou non, si la matière peut apparaître ou exister sans l’intervention d’une force spirituelle. Ce n’est qu’après avoir éclairé ces questions majeures que nous pourrions comprendre le rapport entre l’homme et lemonde environnant.
En bref, la formulation de la question majeure de la philosophie et la mise en évidence de son rôle dans la structure des doctrines philosophiques appartiennent aux fondateurs du marxisme-léninisme,à Friedrich Engels, en particulier. Dans son ouvrage, Ludwig Feuerbach et la fin de la philosophie classique allemande , il affirme : « La grande question fondamentale de toute philosophie, et spécialement de la philosophie moderne, est celle du rapport de la pensée à l’être ».

Les deux courants philosophiques fondamentaux

Comme nous l’avons déjà dit, la question de savoir ce qui est l’élément primordial entre l’idée et la matière est l’une des sources qui opposent le matérialisme aux autres doctrines, entre autres, la métaphysique et l’idéalisme. Car, comme le disait Friedrich Engels : « La grande question fondamentale de toute philosophie, et spécialement de la philosophie moderne, est celle du rapport de la pensée à l’être, de l’esprit à la nature, la question de savoir quel est l’élément primordial, l’esprit ou la nature… Selon qu’ils répondaient de telle ou telle façon à cette question, les philosophes se divisaient en deux grands camps. Ceux qui affirmaient le caractère primordial de l’esprit par rapport à la nature et qui admettaient par conséquent, en dernière instance, une  création du monde de quelque espèce que ce soit fut… formaient le camp de l’idéalisme. Les autres qui considéraient la nature comme l’élément primordial, appartenaient au camp du matérialisme. ».
En somme, il est donc clair que l’idéalisme et le matérialisme sont deux courants philosophiques fondamentaux. Le premier soutient l’esprit pour facteur primordial et la nature facteur second. Le matérialisme adopte une position contraire.
La différente manière de voir la question fondamentale sur les problèmes des rapports entre la pensée et l’existence, entre l’esprit et la nature détermine la place respective des philosophes dans ces deux tendances philosophiques. Autrement dit, la philosophie se partage en deux camps contradictoires, opposés comme le nord et le sud, en fonction de la solution donnée aux questions posées plus haut.

La position de Karl Marx

De tous temps, les philosophes ont été préoccupés par la question de la source des changements dans le monde et de la causede la diversité existant dans les choses, des phénomènes et des événements. Ainsi, faute de connaissance scientifique, les philosophes et les théologiens considéraient pendant longtemps que l’apparition de l’homme sur terre résultait d’un acte divin de création, que l’homme était le summum de ce qu’avait créé Dieu et que la terre sur laquelle il vivait se trouvait au centre de l’univers.
Mais la découverte de l’astronome polonais Nicolas Copernic met en évidence le fait que la terre n’était qu’une particule du système solaire et que ce système solaire lui-même, comme on devait le démontrer plus tard, n’était également qu’une partie de la concentration d’étoiles nommée la voie lactée.
Cela mettait en doute le caractère unique et parfait de l’homme, son origine divine.
A ce propos, comme Copernic, Karl Marx par sa pensée et par sa philosophie, critique vivement toute doctrine philosophique qui prône la domination de l’être suprême et de la raison absolue, dans l’interprétation du monde comme facteur primordial et surtout l’origine de toute créature vivante. Dans ce cas, il critique beaucoup le principe de la philosophie idéaliste qui accorde la primauté à l’esprit par rapport à la nature. Selon les idéalistes, la matière n’existe pas réellement et elle est illusoire, en ce sens que la mort nous dit et nous fait comprendre que tout est un rêve.
Copernic (Nicolas), astronome polonais (1473-1543). Il démontra que la terre n’occupe pas le centre de l’univers, mais qu’avec les autres planètes elle tourne sur elle-même et autour du soleil (1507-1514).
En effet, d’après les idéalistes, il n’y a qu’un seul être, immobile, unique et éternel. C’est Dieu. Ce genre de positionporte le nom d’idéalisme religieux (affirmation de l’existence d’un Dieu révélé). A ce sujet, Karl Marx, en tant que partisan du matérialisme philosophique, condamne une telle conception, car d’après lui, il n’existe réellementque la matière mouvante et multiple. Dieu, l’âme et les esprits n’existent pas. Ils sont les produits de notre imagination.
Ainsi, Karl Marx affirme le contraire et l’opposé de ce qu’affirme l’idéalisme, selon lequel le monde environnant et la matière n’ont pas été créés par un Dieu suprême. En d’autres termes, le monde environnant et la matière sont incréés. Ce qui implique qu’ils se sont formés eux-mêmes de toute éternité. En fait, pour Karl Marx, la matière est donc première par rapport à la pensée et par rapport à l’idée. Cette conception engendre la noncroyance aux Dieux, aux esprits et aux forces surnaturelles.
En bref, cette attitude témoigne que Karl Marx est désormais un philosophe grand défenseur du matérialisme. Dans cette perspective, à l’opposé de l’idéalisme, le matérialisme philosophique affirme que les choses qu’on voit, qu’on touche, qu’on palpe, sont plus importantes, par rapport aux choses qu’on ne peut pas toucher et mesurer, que l’on nomme raison, idée, pensée, etc. En plus, le monde existe éternellement, objectivement. Il est incréé, infini, dans le temps et dans l’espace.
Considérant la conscience comme le produit de la matière, le matérialiste y voit le reflet du monde extérieur. En fait, la conception matérialiste marxiste du monde a été généralement celle des classes et des couches sociales progressistes dont l’intérêt est de comprendre correctement le monde, afin que l’homme soit le maître de la nature.

KARL MARX ET LA CRITIQUE DE L’IDÉALISME

OBJECTIF ET DE L’IDÉALISME SUBJECTIF

La conception des idéalistes du monde marque le point de départ de la conception marxiste du monde. Karl Marx, en tant que partisan du matérialisme a une vision contraire à la conception ancienne du monde et de la philosophie. D’après lui, avec cette nouvelle conception du monde, la philosophie perd son sens si elle se trouve détachée de sa base matérielle. Il développe une nouvelle conception plus réaliste du monde. Ses ouvrages sont des livres de combat contre toute tentative philosophique qui oubliait le monde des phénomènes et la nature comme base réelle de toute connaissance.
Pour mieux comprendre le dépassement de la philosophie idéaliste par la philosophie marxiste, il nous semble très important de voir un à un comment les idéalistes expliquent le monde, car d’après l’analyse de Karl Marx, les systèmes philosophiques avant lui sont erronés dans l’interprétation de la nature et de l’homme.

L’idéalisme objectif

L’idéalisme objectif considère que l’esprit, la conscience, est la source du monde. Mais la conscience de l’homme est imparfaite. Sa raison est parfois impuissante à dénoncer les mystères du monde. Il flanche facilement devant les difficultés. Ses passions offusquent souvent son bon sens, se soumettant à la force des autorités. De plus, l’homme ne peut pas exploiter sa raison pendant très longtemps puisque sa vie est éphémère. C’est ainsi que raisonne l’idéaliste objectif. Mais il est une autre raison : la raison absolue, non humaine, qui existait à l’époque où l’homme n’était pas de ce monde et qui existera éternellement. Cette raison-là, parfaite, connaît tous les secrets de la nature, tous les destins humains. La raison humaine n’est qu’une infime partie, le pâle reflet de la raison divine.

L’idéalisme subjectif

Pour l’idéalisme subjectif, la conscience et la raison sont également à la base de toute l’existence. Mais il ne s’agit plus là de la raison divine, absolue, non humaine. L’idéalisme subjectif considère que tout le monde environnant est le produit de la conscience de l’homme, le résultat de son imagination, c’est-à-dire que ce monde existe subjectivement. L’idéaliste subjectif est persuadé que toute la réalité environnante apparaît à nouveau quand il se réveille le matin et disparaît quand ils’endort. L’un des partisans de cette philosophie est le philosophe anglais du XVIII e siècle George Berkeley. Il disait à ce propos : « Exister, c’est être perçu ».
Un subjectivisme aussi extrême est caractéristique,par exemple, de la philosophie d’Arthur Schopenhauer, philosophe idéaliste allemand du XIXe siècle. Il écrit : « Le monde est ma pensée. Voici une vérité qui est valable pour toute créature vivante et consciente… Il ne connaît aucun soleil, aucune terre, juste l’œil qui voit lesoleil et la main qui palpe la terre…»
Tout en critiquant cette vision, un philosophe matérialiste français disait que la logique de l’idéalisme subjectif était la logique du piano devenu fou, parce qu’ayant décidé qu’il pouvait jouer toutseul, même si personne ne venait marteler son clavier. De la même façon, l’idéaliste subjectif est persuadé que l’homme pense, sent et ressent, sans aucune raison apparente.
Une telle philosophie est contraire au bon sens, à la logique humaine élémentaire. De plus, il s’agit d’une philosophie extrêmement dangereuse. En effet, à quoi bon étudier, travailler, à quoi bon lutter, si la vie entière n’est que le produit de notre imagination ? Tout est rêve et toute lutte est un combat livré contre des moulins à vent. La logique de l’idéalisme objectif n’est pas moins saugrenue. Si l’on reprend la métaphore de l’instrument de musique, l’esprit objectif est le musicien qui joue, alors que le piano proprement dit (la nature, les animaux, l’homme) n’existe pas encore ! Nous savons maintenant quelles vues étranges viennent à défendre le philosophe ayant choisi le camp idéaliste. Qu’en est-il de la possibilité de connaître le monde, du point de vue de l’idéalisme ?
L’idéaliste objectif dira : certes, le monde est cognoscible. Mais examinons plus attentivement l’interprétation qu’ildonne de la connaissance.
Platon considérait que l’homme pouvait connaître le monde, non le monde de la matière, qui lui a insufflé mouvement et vie. L’âme humaine elle-même a, naguère, vécu dans ce royaume des idées, de sorte qu’il lui est aisé de « se remémorer » ce monde qui fut le sien. Ainsi donc, le « monde » pour l’idéaliste objectif n’est pas la réalité vraie, mais un monde idéal et particulier. Le processus de la connaissance est le processus de la remémoration, dans la mesure où la conscience humaine est une partie de cemonde. Idéal.
Dans la recherche de la vérité, il ne faut pas faire appel à l’étude de la réalité vraie, ni se documenter minutieusement sur les faits, ni comparer, analyser, généraliser, douter. Il suffit de réfléchir un petit peu et toutes les clés sont entre les mains, pour accéder aux secrets de l’univers.
Pour l’idéaliste subjectif, c’est encore plus simple. Si le monde entier n’est que le produit des sensations, de la raison, de la fantaisie humaine, nous sommes naturellement en mesure de connaître ce « monde », le monde des images créées par notre conscience. Il en découle que la connaissance du monde se limite de fait à la connaissance de soi. La réalité vraie, la nature et la diversité des phénomènes sociaux n’intéressent pas non plus l’idéaliste subjectif. Tout cela n’existe pas simplement pour lui.

Dans le domaine de la connaissance

Le rapport entre le sensible et l’intelligible est donc un rapport de clarté et d’obscurité. Ceci est nettement exprimé dans l’analyse de la ligne au livre VI de la République . Autrement dit, le monde sensible et le monde intelligible ont des caractères contradictoires, opposés. Le sensible, selon Platon, caractérise l’opinion du plus bas degré de la connaissance. Le degré de connaissance qui correspond à ce degré ne peut être que l’opinion fausse laquelle ne peut être jamais exacte. L’opinion se caractérise par la clarté et l’obscurité. Cela ne veut dire donc pas que toute opinion est source de fausseté. L’opinion fausse n’est pas claire, elle est ambiguë et mensongère.
Néanmoins, au niveau de la connaissance, le monde sensible ne peut pas être l’objet de science véritable, en raison de son caractère toujours changeant, source première d’erreurs multiples qui ne nous permettent pas d’accéder à la connaissance vraie. En fait, on ne peut y former que des opinions fausses qui sont incapables de se justifier elles-mêmes, puisqu’elles sont sans cesse en contradiction. Or, pour Platon, la véritable science est immobile, sûre, fixe, éternelle et permanente. De même « Qu’il n’est pas possible de saisir un objet qui change ».
Tout cela nous permet de dire que selon la conception platonicienne, on ne peut pas avoir de connaissance vraie qu’à l’extérieur du monde sensible, plus exactement, dans le monde intelligible. Bref, la connaissancediscursive est un chemin qui conduit à la véritableconnaissance.
A cette occasion, une théorie a constaté la vision platonicienne de la connaissance. Le philosophe naturaliste anglais John Locke a persuadé que l’unique source du savoir est les sens, les expériences et la répétition de ces expériences. Ainsi, pour John Locke, la science, laconnaissance, ne se trouve qu’au niveau du monde sensible, et elle est indiscutablement acquise par l’expérience et saisie par les sens. Disons autrement, notre connaissance ne vient plus de la raison ou de l’esprit, mais c’est plutôt par l’impression sensible. La thèse fondamentale de l’empirisme fut formulée par John Locke qui considérait qu’il n’y avait rien de nouveau dans l’intellectuel qui ne fut d’abord par les sens.
Le rôle de la pensée (raison) dans la connaissance n’était pas nié, mais on considérait que la raison ne pouvait rien apporter de foncièrement nouveau à la connaissance.
La position de John Locke est à cet égard révélatrice. Il assimilait l’âme humaine à une « page blanche ». Celle-ci, à la naissance, ne contient aucune idée. Elle se remplit au fur et à mesure que les objets extérieurs agissent sur les organes des sens. Des idées simples se dessinent d’abord (l’impression sensorielle de la chaleur, du froid, de la lumière, de l’obscurité, des contours, du mouvement, de l’immobilité) cédant ensuite la place aux idées complexes. Mais les idées complexes ne sont rien d’autre que des combinaisons effectuées par la raison sur l’expérience sensorielle et ne contiennent, en somme, rien de neuf.
En effet, par opposition à la conception métaphysique, et il en est de même des idéalistes, les matérialistes croient fermement que la connaissance doit commencer par les impressions sensibles, c’est-à-dire par le biais du monde sensible. Ainsi, pour eux, les sens sont comme une fenêtre sur lemonde.

Table des matières

LE RENVERSEMENT DE LA PHILOSOPHIE IDÉALISTE PAR LA PHILOSOPHIE MATÉRIALISTE MARXISTE
DÉDICACE
REMERCIEMENTS
BIOGRAPHIE DE KARL MARX
INTRODUCTION
PREMIÈRE PARTIE : ANALYSE DE LA PHILOSOPHIE IDÉALISTE FAITE PAR KARL MARX
CHAPITRE I : LA QUESTION FONDAMENTALE DE L’HISTOIRE DE LA PHILOSOPHIE PRÉMARXISTE
I.- Réflexion sur l’ontologie
II.- Les deux courants philosophiques fondamentaux
III.- La position de Karl Marx
CHAPITRE II : KARL MARX ET LA CRITIQUE DE L’IDÉALISME
OBJECTIF ET DE L’IDÉALISME SUBJECTIF
I.- L’idéalisme objectif
II.- L’idéalisme subjectif
CHAPITRE III : LA CRITIQUE MARXISTE DE LA DOCTRINE MONISTE
CHAPITRE IV : LA CRITIQUE MARXISTE DE LA MÉTAPHYSIQUE
I.- Qu’est-ce que la métaphysique
II.- Dans le domaine de l’être sensible
III.- Dans le domaine de la connaissance
IV.- Les sens : une fenêtre sur le monde
CHAPITRE V : KARL MARX ET LA CRITIQUE DE L’IDÉOLOGIE RELIGIEUSE
DEUXIÈME PARTIE : LE MONDE VU PAR LE MATÉRIALISTE
CHAPITRE I : L’OPINION MATÉRIALISTE DU MONDE
I.- L’existence objective du monde
II.- L’idée matérialiste du mouvement de la matière
III.- Les lois du mouvement de la matière
CHAPITRE II : LA CONCEPTION MATÉRIALISTE DE LA NATURE
I.- Qu’est-ce qu’on entend par la nature ?
II.- L’origine de la nature selon les matérialistesprémarxistes
1.- Thalès
2.- Héraclite d’Ephèse
3.- Anaximène de Milet
4.- Démocrite
5.- Épicure
– Les traits caractéristiques de la philosophie d’Épicure
CHAPITRE III : L’OPINION MATERIALISTE DE L’HOMME
I.- Selon l’évolutionnisme
CHAPITRE IV : LE PILIER DE L’OPTIMISME
CHAPITRE V : L’INTERPRÉTATION MATÉRIALISTE SUR LE RAPPORT ENTRE L’ESPRIT ET LA MATIÈRE
I.- Le matérialisme de Feuerbach
II.- Selon Karl Marx
III.- Selon Friedrich Engels
CHAPITRE VI : COMMENT L’HOMME APPREND-IL A CONNAÎTRE LE MONDE SELON KARL MARX ?
I.- Qu’est-ce que la connaissance ?
II.- La conception sceptique de la connaissance
III.- La conception des philosophes agnostiques de la connaissance du monde
IV.- « Connaître, c’est agir » dit Karl Marx
CHAPITRE VII : LA CONCEPTION GÉNÉRALE DE KARL MARX DE LA VÉRITÉ ?
I.- Introduction
II.- Les problèmes de la vérité entre l’idéalisme, le matérialisme, la science et la religion
III.- Le critère de la vérité selon le marxisme
TROISIÈME PARTIE: EN QUOI CONSISTE LE RENVERSEMENT DE LA PHILOSOPHIE IDÉALISTE PAR LA PHILOSOPHIE MATÉRIALISTE MARXISTE ?
CHAPITRE I : LE MATÉRIALISME DIALECTIQUE
I.- Qu’est-ce que la dialectique ?
1.- Histoire de la dialectique idéaliste
2.- La dialectique hégélienne et la critique marxiste
CHAPITRE II : LES LOIS DE LA DIALECTIQUE MATÉRIALISTE
I.- La loi de l’unité et de la lutte des contraires
1.- L’idée matérialiste prémarxiste des sources descontraires
2.- L’opinion marxiste de la loi de l’unité et de la lutte des contraires
II.- La négation de la négation ou la négation dialectique
1.- Le développement dialectique, graduel, progressif, d’après Engels
CHAPITRE III : LA MÉTHODE DE COGNITION MARXISTE
CHAPITRE IV : LA PRAXIS OU L’ACTION
I.- Qu’est-ce que la praxis ?
CONTEMPLATION ET ACTION
II.- Les traits caractéristiques de la praxis
1.- Le travail comme praxis sociale2.- La pratique politique
3.- La pratique idéologique
CHAPITRE V : LE PRINCIPE DU COMMUNISME
I.- Aspect de la doctrine du prolétariat
1.- La dictature du prolétariat
2.- L’idée d’égalité en société égalitaire
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
I.- OUVRAGES DE L’AUTEUR
II.- OUVRAGES RELATIFS À KARL MARX ET AU KARL
MARXISME
III.- OUVRAGES GÉNÉRAUX
IV.- SITES INTERNET
TABLE DES MATIÈRES

projet fin d'etude

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *