Analyse des activités de Propithecus diadema (activités budgétaires)

Faune

La forêt d’Ambatovy-Analamay regorge une grande variété de faune avec une endémicité locale et régionale importante. Certaines espèces sont très rares et d’autres sont interdites au commerce sous la convention de CITES.
La communauté primatologique est très riche avec pas moins de 13 espèces de lémuriens (Goodman et Mass, 2010). Deux espèces diurnes : Indri indri (INDRIDAE) et Propithecus diadema (INDRIDAE), trois espèces crépusculaires : Eulemur fulvus (LEMURIDAE), Eulemur rubriventer (LEMURIDAE), Hapalemur griseus (LEMURIDAE) et six nocturnes : Avahi laniger (INDRIDAE), Allocebus trichotis (CHEIROGALEIDAE), Cheirogaleus major (CHEIROGALEIDAE), Cheirogaleus crossleyi (CHEIROGALEIDAE), Microcebus rufus (CHEIROGALEIDAE), Microcebus lehilahytsara (CHEIROGALEIDAE) coexistent dans le milieu. Ces espèces sont toutes endémiques de Madagascar et la majorité est inscrite sur la liste de l’IUCN. Outre les lémuriens, il y existe également d’autres espèces de Mammifères. Parmi eux, les petits mammifères appartenant aux ordres des AFROSOROCIDA, SORICOMORPHA, et RODENTIA répartis en 25 espèces dont une vingtaine est endémique (Goodman et Mass, 2010), six espèces de chauve-souris dont une sur la liste de l’IUCN (Goodman et Mass, 2010). De même, le fameux prédateur malgache : Cryptoprocta ferox ainsi que d’autres carnivores appartenant à la famille des EUPLERIDAE et des VIVERRIDAE se rencontrent dans le site minier.

La faune herpétologique y est fortement représentée avec 112 espèces dont 68 amphibiens et 44 reptiles. Certaines de ces espèces sont figurées dans la liste rouge de l’IUCN (Goodman et Mass, 2010). Parmi elles, Mantella aurantiaca est une des espèces endémiques classée « Gravement menacée ».
La faune aviaire est représentée par 81 espèces réparties dans 38 familles dont 70 sont endémiques avec 49 endémiques de Madagascar et 21 endémiques de la région (Goodman et Mass, 2010). Quinze de ces espèces se trouvent sur la liste rouge de l’IUCN et 16 sur la liste CITES (Projet Ambatovy, 2006). Les différents statuts selon l’IUCN sont représentés dans l’Annexe IV.

Description

D’un poids de 6-8,5 kg et d’une taille totale allant de 94 à 105 cm (Powzyk, 1997), Propithecus diadema est le plus grand représentant des Sifakas et compte parmi les plus grands des lémuriens actuels. Elle est aussi grande que Indri indri. En effet, les deux espèces sont presque identiques, toutefois le poids d’Indri indri excède celui des Sifakas d’un kilogramme ou moins (Mittermeier et al., 2010).
Le Sifaka à diadème est également considéré comme l’un des lémuriens les plus colorés. Il a un pelage soyeux et modérément long. Le museau et la tête sont noirs et les yeux sont marrons. Le front, les joues et la gorge ont une couleur blanche et la couronne une couleur noire allant de la nuque jusqu’au bas du dos. La couleur des membres supérieurs et inférieurs va de l’orange au jaune doré tandis que les mains et les pieds sont noirs. Le ventre et la poitrine ont une couleur variant entre le blanc cassé et le gris pâle. Le dos, quant à lui, est généralement plus foncé chez le mâle par rapport à la femelle. La queue peut prendre une teinte gris pâle à blanche, avec souvent un anneau jaune d’or à la base. Il peut se déplacer dans les arbres à la vitesse de 30 km/h.

Biologie et écologie

Habitat

Propithecus diadema se rencontre dans des forêts tropicales humides de l’Est de Madagascar, de moyenne altitude, généralement au dessus de 800 mètres. Les groupes défendent généralement un territoire de 20 à 50 ha, un territoire principalement balisé aux moyens de secrétions glandulaires et de marquages olfactifs (Mittermeier et al., 2010).

Distribution géographique

L’espèce se répartit dans la partie orientale de Madagascar à partir de la rivière Mangoro (19°53’00’’S – 48°48’00’’E) au Nord à la rivière Mananara (24°49’30’’S -46°42’00’’E) au Sud (Mittermeier et al., 2010). A la limite Sud de leur domaine, une hybridation entre P. diadema et P. edwardsi s’est manifestée (Andriaholinirina et Rabarivola, 2004). Propithecus diadema peut aussi être rencontré dans les forêts de Tsinjoarivo. La cartographie de la distribution géographique de l’espèce est représentée dans l’Annexe VI.

Régime alimentaire

Son régime alimentaire est essentiellement constitué de jeunes feuilles, de fruits, de graines et de fleurs dont la proportion varie selon la saison. Propithecus diadema est particulièrement folivore. Un individu peut consommer jusqu’à 25 espèces de plantes par jour ou plus (Mittermeier et al., 2010). Les Propithèques à diadème ont une préférence pour les espèces de plantes à fruits et les plantes dont les graines contiennent une certaine quantité d’alcaloïdes (Mittermeier et al., 2010). Comparés à Indri indri, les Propithèques à diadème consomment de la nourriture plutôt riche en énergie. Comme tous les lémuriens, il n’a pas besoin de boire car il obtient toute l’eau dont il a besoin dans sa nourriture (Jolly, 1996). Les lémuriens folivores mangent rarement de la terre pour la digestion des fibres apportées par les aliments.

Comportement

Propithecus. diadema est une espèce diurne vivant en groupes pouvant comporter jusqu’à six individus (incluant les petits) : dont un mâle et un femelle adultes et plusieurs juvéniles. La taille des groupe et la composition est similaire à celles de P. edwardsi à Ranomafana (Pochron et Wright, 2003) et P. diadema à Mantadia (Powzyk, 1997). Comme tous ses pairs de la famille des Indridae, ils se déplacent par bonds d’arbre en arbre ou plutôt de tronc en tronc. Ce lémurien sauteur peut faire un grand bond de 10 m en utilisant uniquement ses pattes arrières. Ils dépensent plus de temps à surveiller et à défendre leur territoire (Mittermeier et al., 2010).

Reproduction

Le comportement de reproduction s’effectue entre décembre et janvier. Les naissances ont lieu en hiver, c’est-à-dire entre les mois de mai et de juillet. Généralement, la femelle de P. diadema donne naissance à un unique petit par portée ou rarement à des jumeaux (Wright, 1995).

Menaces

Comme tous les autres lémuriens, les Propithèques sont menacés par la réduction dramatique de leur habitat due à la déforestation. La destruction continue de l’habitat naturel dans la partie Est de Madagascar, du fait des pratiques agricoles sur-brûlis et l’extraction des bois, risque principalement de mettre en péril la survie des sifakas. En outre, la chasse présente aussi des impacts inquiétants sur la population, même dans les aires protégées (Mittermeier et al., 2008). Par ailleurs, il faut aussi se méfier des prédateurs les plus redoutés comme Cryptoprocta ferox (Fosa), le plus dangereux, et les rapaces.

Equipements de travail

Les matériels utilisés pour réaliser cette étude sont les suivants :
– Carnet de notes (imperméable) : pour inscrire les données sur terrain.
– Stylos (à encre indélébile) : pour noter les données.
– GPS (Global Positioning System) (Type Garmin, Modèle eTrex): pour connaître le positionnement géographique (coordonnées géographiques UTM 39S) de chaque activité entreprise par les individus focaux.
– Chronomètre : afin de mesurer la durée de l’activité.
– Flags : des morceaux de ruban fluorescents pour marquer les plantes difficiles à déterminer.
– Radio avec antenne permettant de localiser les groupes par leur fréquence.
– Sécateur : pour sectionner les parties des plantes difficiles à déterminer.
Les logiciels informatiques d’analyse et de mise en forme des données sont: Microsoft Word (Version 2007), Microsoft Excel (Version 2003 et 2007), ArcView (Version 3.2), SPSS (Version 10.0), SYSTAT (Version 10.2).

Méthode d’étude

La méthode utilisée s’articule autour de deux approches : l’une éthologique et l’autre écologique.

Approche éthologique

Localisation des groupes et des individus

La pose de radio collier par individu focal permet l’identification des individus et la localisation du groupe grâce au suivi par radio-télémétrie radio-tracking (Figure n°4). En d’autres termes, une radio-réceptrice ATS (Advanced Telemetry Systems, Modèle R 410, fréquences : 148-151,99 Mhz) dotée d’une antenne yagi à trois éléments (ATS Inc.) est utilisée pour détecter les individus (Association GERP, 2009).
Les différents membres du groupe sont classés en trois catégories: adulte, juvénile et bébé.
Adulte : l’individu a l’âge de se reproduire (4 ans pour la femelle et 5 ans pour le mâle). Juvénile : individu immature, donc incapable de se reproduire (2 à 4 ans)
Bébé : si le petit dépend encore de sa mère (0 à 2 ans)
La reconnaissance des mâles et des femelles est assez évidente car les différences de coloration sont plus ou moins marquées. Les femelles arborent des teintes beaucoup plus homogènes et plus claires que celles des mâles. Les mâles sont facilement reconnaissables grâce à leur glande de couleur foncée située en bas du cou. La période d’étude coïncidait avec la post-reproduction. Les femelles sont alors identifiées avec leur petit accroché au ventre.

Méthode d’observation

La méthode adoptée était l’échantillonnage instantané par animal ou « Instantaneous focal – animal sampling » qui consiste à enregistrer l’activité de l’animal focal à chaque période de cinq minutes pendant les jours (Altmann, 1974). Cette méthode a l’avantage de n’observer qu’un seul individu mais qui reflète l’ensemble d’un groupe structuré. Elle a été choisie du fait qu’elle permet d’obtenir des informations sur les stratégies de recherche de nourriture, le comportement alimentaire ainsi que les différents types d’activités outre l’alimentation (déplacements, repos et autres) et l’organisation sociale. Chaque jour, le mâle et la femelle focaux de chaque groupe ont été observés pour des comparaisons de leurs comportements. La considération des deux sexes permet aussi d’élaborer une comparaison des comportements alimentaires en fonction des deux types d’habitat. Propithecus diadema présente un rythme d’activités bien structuré: alimentation, locomotion, alimentation (Day et al., 2009). L’espèce présente une longue durée de repos vers midi. Pendant la saison froide, les activités commencent tard (vers 8h) et pendant la saison chaude débutent tôt (vers 07h) (Rasolonjatovo, 2005). De ce fait, l’observation débute le matin vers 7h quand les animaux se réveillent jusqu’à 12h et l’après-midi vers 13h jusqu’à 17h où ils sont supposés effectuer moins d’activités et commencent à rejoindre leur dortoir.

Recueil des activités et des comportements

Les paramètres considérés pour l’étude des comportements sont multiples: les catégories de comportement de l’animal entre autres le repos, l’alimentation, le déplacement, les activités sociales tels que les jeux, le toilettage, le marquage de territoire, etc. Ces données permettent de déterminer les proportions de temps dépensées pour chaque activité et de voir leur variation en fonction du sexe et du type d’habitat. la détermination des parties consommées de la plante (FLY : jeune feuille, FB : bourgeon, FF : fruit, FFL : fleur) et du nombre de parties consommées par unité de temps (toutes les cinq minutes). Ces données aident à évaluer l’utilisation de ces parties tant dans les zones impactées que dans les zones non impactées. l’identification du nom de l’espèce de plante consommée et utilisée par Propithecus diadema afin de pouvoir identifier le genre de support utilisé par l’animal. la hauteur de l’animal pendant la prise de nourriture et les caractéristiques des arbres fréquentés par l’espèce (hauteur, DBH, forme de la couronne, etc.) pour une analyse comportementale. les coordonnées géographiques utilisées pour la cartographie et l’estimation de la superficie des domaines vitaux. toutes autres informations susceptibles d’aider à l’interprétation des résultats.
En ce qui concerne la prise alimentaire, elle figure dans la catégorie de comportement d’alimentation. En effet, une prise alimentaire est considérée lorsque l’animal dépense plus de 10 secondes à manger ou lorsqu’il change de site d’alimentation (plante individuelle) à un autre ou aussi lorsqu’il continue à manger sur la même plante mais consomme un organe différent (Irwin, 2008).

Approche écologique

Inventaire botanique

Pour mieux comprendre le comportement des animaux, se focaliser sur leur étude biologique est insuffisant. Il faut penser au milieu dans lequel ils vivent. L’inventaire botanique est alors indispensable pour la caractérisation de l’habitat de P. diadema ainsi que l’évaluation de la disponibilité alimentaire du milieu où vivent les groupes de Propithèques. De ce fait, les paramètres botaniques à considérer sont d’ordre taxonomique et quantitatif sur les arbres à DBH supérieur ou égal à 5 cm pour qualifier le profil de la végétation.

Les espèces végétales des territoires des quatre groupes de lémuriens étudiés ont été recensées selon la méthode de plots botaniques. Toutes les plantes recensées dans chaque plot sont individuellement comptées, mesurées et identifiées. L’identification des individus a été réalisée avec l’aide des agents du Biocentre, par contre si l’espèce n’est pas reconnue de suite, des échantillons de feuilles ou de fruits ont été récoltés et déterminés par les techniciens du Biocentre.
Chaque plot de 20 m x 20 m (400 m2 ) a été délimité au sein des domaines vitaux de l’espèce à l’aide de « flags ». Les plots ont été établis au niveau de la crête, du haut-versant et du bas-versant. Pour faciliter le recensement des pieds d’arbre et leur identification taxonomique, le plot est subdivisé en 16 carreaux de 5 m x 5 m (25 m2 ) (Annexe IV). A partir des données, la diversité floristique respective des domaines vitaux a été calculée avec l’indice de diversité de Shannon (Shannon, 1948) et la similarité de leur communauté végétale avec l’indice de similarité de Sorensen (Sorensen, 1948).

Délimitation des domaines vitaux

L’impact de la fragmentation peut aussi être évalué par la taille des domaines vitaux. Il est aussi important de voir leur localisation par rapport aux zones de défrichement. La question est de savoir si la taille de ces domaines vitaux influe sur le comportement alimentaire de P. diadema. Si la superficie est faible, il est supposé que les impacts sont notables, et si elle est grande, les impacts sont négligeables. Afin de déterminer la taille du domaine vital de chacun des groupes de Propithèques, les coordonnées géographiques ont été enregistrées avec un GPS, chaque fois que le groupe se déplaçait d’au moins 5 m (la précision du GPS étant de plus ou moins 5 m). Chaque territoire visité par le groupe était considéré comme faisant partie du domaine vital. Les données ont ensuite été traitées à l’aide du logiciel ArcView 3.2 afin de réaliser une cartographie et estimer la superficie des domaines vitaux.

Les points les plus extérieures ont été joints de façon à tracer un polygone et la valeur de la surface du polygone peut être obtenue. Cette estimation de l’aire des domaines vitaux permet de faire une comparaison de la surface des domaines vitaux occupés par les différents groupes de P. diadema.

Analyse et traitement des données

Les analyses statistiques réalisées dans ce cadre de travail font appel à la statistique descriptive et à la statistique analytique dont plusieurs tests statistiques paramétriques et non paramétriques. Ces tests ont été sélectionnés en fonction de la qualité des échantillonnages et des échelles des variables.
a. Comparaison de l’habitat et de la diversité spécifiques des plantes consommées par les groupes de P. diadema Pour comparer le niveau de diversité floristique de l’habitat l’indice de diversité de Shannon (Shannon, 1948) a été utilisé. La comparaison a été faite entre les groupes des zones impactées par les défrichements et ceux des zones de conservation. Cet indice a l’avantage de présenter d’un chiffre la structure spécifique de chaque type d’habitat et il n’a en théorie pas de limite supérieure. Par conséquent, son interprétation est relative.

L’indice de similarité de Sorensen (Sorensen, 1948) a été utilisé pour comparer la ressemblance floristique des domaines vitaux de chacun des groupes de Propithèques. C’est une mesure très simple variant de 0 quand il n’y a pas d’espèces communes entre les deux communautés, à la valeur 1 lorsque les mêmes espèces existent dans les deux communautés.
La régularité de la distribution des espèces est un élément important dans la structure des populations. Ainsi pour évaluer l’homogénéité de la répartition des individus entre les espèces de plantes, l’indice d’équitabilité est le paramètre choisi. En d’autres termes, il permet de savoir s’il y a des espèces dominantes et des espèces rares parmi les communautés floristiques. Plus cet indice tend vers 1 plus le peuplement est homogène et plus il tend vers zéro, plus ce peuplement est contrasté (représentation quantitative des espèces très variée dansl’échantillon). L’équitabilité est aussi utilisée pour comparer les diversités.
La composition spécifique du régime alimentaire a été évaluée par la richesse spécifique. L’indice de Pianka (Pianka, 1973) a été utilisé pour déterminer le degré d’identité du régime alimentaire des groupes des zones impactées et des zones de conservation. Tenant compte des proportions respectives des différents items, c’est un indice solide permettant de calculer le taux de recouvrement des régimes alimentaires de P. diadema dans les deux types d’habitat. L’indice de Pianka est défini par la relation.

Table des matières

Liste des Tableaux 
Liste des Figures 
Listes des abréviations 
Introduction
I. Milieu d’étude 
1. Localisation géographique
2. Milieu abiotique
2.1. Climat
2.2. Sol
2.3. Relief
3. Milieu biotique : diversité biologique
3.1. Végétation
3.2. Faune
II. Matériels et méthodologie 
1. Matériels
1.1. Matériel biologique
a. Classification
b. Description
c. Biologie et écologie
d. Menaces
1.2. Equipements de travail
2. Méthode d’étude
2.1. Approche éthologique
a. Localisation des groupes et des individus
b. Organisation du travail sur terrain
b.1. Echantillonnage
b.2. Méthode d’observation
b.3. Recueil des activités et des comportements
2.2. Approche écologique
a. Inventaire botanique
b. Délimitation des domaines vitaux
2.3. Analyse et traitement des données
a. Comparaison de l’habitat et de la diversité spécifiques des plantes consommées par les groupes de P. diadema
b. Analyse des données éthologiques
III. Résultats et interprétations 
1. Effort d’échantillonnage
2. Caractérisation du domaine vital
2.1. Estimation des superficies et cartographie
2.2. Habitat des groupes de P. diadema suivis
3. Analyse des activités de Propithecus diadema : activités budgétaires
3.1. Répartition générale des activités dans tous les types d’habitat
3.2. Comparaison des pourcentages de temps alloués à chaque activité entre les zones impactées et les zones non impactées
3.3. Comparaison du pourcentage de temps alloué à l’alimentation entre le mâle et la femelle dans les deux types d’habitat
4. Analyses du comportement alimentaire
4.1. Plantes consommées : composition et préférence alimentaire
4.2. Parties consom mées des plantes
a. Variations mensuelles
b. Fréquence d’alimentation
4.3. Mode d’exploitation de l’habitat au cours de l’alimentation
IV. Discussion 
1. Domaine vital
2. Répartition des activités
3. Comportement alimentaire
3.1. Régime alimentaire
3.2. Parties consommées des plantes
3.3. Comparaison des caractéristiques des supports utilisés par P. diadema au cours de l’alimentation entre zones impactées et non impactées
Conclusion 
Références bibliographiques

Propithecus diadema

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *