Conduite des enquêtes ethnobotaniques
Les enquêtes ethnobotaniques étaient menées après discussion avec une autorité administrativelocale (le Président du Fokontany ou le Maire de la Commune) et obtention de son accord.
Les personnes ressources étaient constituées de personnalités influentes dans la communauté telles les autorités locales traditionnelles (Tangalamena, doyens des villages, notables, guérisseurs, guide), d’agents des services des Eaux et Forêts et de l’Agriculture et enfin d’agents de proximité comme les personnels des ONG et de projets.
Les enquêtes portaient essentiellement sur les utilisations des plantes toxiques, en particulier celles utilisées empiriquement contre les organismes nuisibles et celles employées pour soigner des maladies infectieuses ou parasitaires. Parmi les informations collectées figuraient les noms vernaculaires des plantes, les organismes cibles, les organes de plante utilisés, le mode de préparation des extraits ou des appâts, le mode d’utilisation et la fréquence d’application pour le traitement des infections.
Collecte des échantillons
Pour chacune des espèces indiquées par nos informateurs, 4 échantillons étaient collectés dont 3 pour la détermination systématique du matériel végétal (herbiers) et le quatrième destiné aux travaux de laboratoire. Les figures 1 et 2 montrent les missions de collecte à Morondava et Miandrivazo
ALCALOÏDES TOTAUX
Les alcaloïdes totaux de divers organes (graine, feuille, cosse de fruit, écorce de tige etécorce de racine) d’A. boivinii, A. odorata et A. polyphylla ont été extraits par 3 méthodes (milieu acide, milieu basique et acétate d’éthyle). Leur homogénéité a été appréciée par CCM suivie d’une révélation au réactif de Dragendorff. Vingt-trois alcaloïdes totaux ont été obtenus dont 3 d’Albizia boivinii, 5 d’A. odorata et 15 d’A. polyphylla (tableau 2)
Effets des EM sur trois grandes fonctions physiologiques
Les effets des EM sur les fonctions cardiaque, rénale et hépatique ont été évalués avec les EM d’A. masikororum, A. viridis et A. bernieri.
Effets sur la contraction cardiaque du cobaye
Les 3 extraits testés ont montré un effet significatif sur l’inotropisme d’oreillettes isolées de cobaye. L’effet de l’EM d’A. masikororum est inotrope positif à 5 – 20 µg/ml, suivi d’un affaiblissement de l’amplitude de la contraction après 3 min de contact à 20 μg/ml. Les mêmes effets ont été obtenus avec A. viridis, mais avec une concentration élevée (40 μg/ml).
Par contre, l’EM d’A. bernieri n’a eu aucun effet significatif jusqu’à 160 μg/ml.
Effets sur les fonctions rénale et hépatique chez les souris
Aucune différence significative n’a été observée sur les teneurs en créatininémie et en γGT des souris traitées par rapport à ceux des souris témoins. Par contre, la concentration plasmatique d’ALAT chez les souris traitées avec les EM d’A. viridis et d’A. bernieri était nettement supérieure à celui des animaux témoins.
Effets des EM sur les animaux à sang froid
Les EM des 9 espèces d’Albizia étaient toxiques pour les têtards de grenouille (Ptychadena mascareniensis) et les alevins de carpe (Cyprinus carpio). A. aurisparsa était le moins toxique avec des CL50 respectivement de 60 et 15 μg/ml. A. androyensis était le plus toxique sur les têtards avec une CL50 de 3,56 μg/ml et A. tulearensis sur les alevins avec une CL50 de 2,28 μg/ml
Référence
Rakoto D.A.D., Rajemiarimoelisoa C., Randrianarivo R., Ramamonjison D., Raheriniaina C., Raharisoa N., Jeannoda V. Antimicrobial activity of some endemic species of Albizia (Fabaceae) from Madagascar. Asian Biotechnology and Development Review 13 (3) (2011) 53-60.
Les extraits purifiés d’A. sp, A. bernieri, A. boivinii, A. arenicola et les produits purs albodorine d’A. odorata et arenicoline V d’A. arenicola ont été testés sur des germes pathogènes dont des bactéries GRAM et GRAM + et la levure Candida albicans. Les effets sur la croissance des microorganismes, exprimés en diamètre de zone d’inhibition (en mm) sont montrés dans le tableau 4. Pour les germes les plus sensibles, les CMI (concentration minimale inhibitrice), les CMB (concentration minimale bactéricide) et le rapport CMB/CMI ont été déterminées (tableau 5).
EFFETS DES ALCALOÏDES TOTAUX D’A. boivinii, A. odorata et A. polyphylla
Les alcaloïdes d’organes d’A. boivinii, d’A. odorata et d’A. polyphylla ont été testés sur la croissance de 8 microorganismes dont 3 bactéries GRAM + , 3 bactéries GRAM et 2 champignons (levures). Les résultats relatifs aux effets des extraits d’A. boivinii et d’A. odorata sont présentés dans le tableau 6 et ceux des extraits d’A. polyphylla dans le tableau 7.
Les alcaloïdes des fruits (cosse et graine) d’Albizia odorata n’avaient aucun effet sur la croissance des microorganismes en milieu solide. Ceux des graines d’A. boivinii étaient actifs avec une inhibition maximale de 10 mm contre Streptococcus pneumoniae, Bacillus cereus et Candida membranifaciens. Les alcaloïdes les plus actifs étaient ceux d’A. polyphylla : les zones d’inhibition atteignaient 18 mm chez les bactéries et 21 mm chez les levures. De tous les alcaloïdes d’organes d’A. polyphylla, ceux des fruits et des feuilles avaient la plus forte activité antibactérienne sur Streptococcus pneumoniae, Bacillus cereus, Klebsiella oxytoca. Les alcaloïdes de tous les organes d’A. polyphylla étaient très actifs contre Candida albicans et Candida membranifaciens (diamètres des zones d’inhibition variant de 13 à 19 mmpour Candida albicans et de 11 à 21 mm pour Candida membranifaciens).
EFFETS DES EM SUR LA GERMINATION DE GRAINES POTAGERES
Les effets des EM de 6 espèces d’Albizia (A. androyensis, A. masikororum, A. viridis, A. bernieri, A. divaricata, A. greveana) ont été éprouvés sur des graines de haricot (Phaseolus vulgaris), de petit pois (Pisum sativum), de maïs (Zea maÿs), de riz (Oryza sativa), de persil (Petroselinum crispum), de tissam blanc (Brassica sp), d’oignon (Allium cepa) et de concombre (Cucumis sp.).
La plupart des EM d’Albizia exerçait un effet inhibiteur sur la germination des graines de plantes potagères (tableau 9). A l’exception des graines de petit pois et de tissam blanc qui pouvaient germer normalement en présence de l’EM d’A. androyensis et d’A. masikororum à 1 mg/ml, toutes les autres graines végétales traitées étaient sensibles aux EM d’Albizia, mais avec des réponses variables. Dans plusieurs cas, l’effet inhibiteur allait jusqu’à 100 %. Les graines de tissam blanc et d’oignon montraient la plus basse et la plus haute sensibilité où le taux d’inhibition variait respectivement entre 0 et 30 % et entre 80 et 100 %. En outre, la réponse des plantes tests à un même EM était différente. L’EM d’A. viridis, par exemple, inhibait la germination des graines de persil, de concombre et d’oi gnon à 100 % mais celle du maïs et du riz à 5 et 10 % respectivement.
EFFETS DES EM SUR LA GERMINATION DES GRAINES DE MAUVAISES HERBES ET DE PLANTES ENVAHISSANTES
Nous avons également évalué les effets des EM sur la germination des graines de 3 plantes herbacées considérées comme mauvaises herbes (Eragrostis pilosa, Panicum subalbidum et Cassia rotundifolia) et de 2 arbres envahissants à Madagascar (Acacia dealbata et Pinus kesyia).
Toutes les graines étaient sensibles aux EM (tableau 10). Eragrostis pilosa était la plus sensible avec un taux d’inhibition entre 96,67 % avec l’EM d’A. bernieri et 100 % avec celui d’A. greveana. Pinus kesyia était le moins sensible avec un taux d’inhibition qui variait de 12,50 % avec l’EM d’A. viridis à 37,50 % avec celui d’A. masikororum. Comme dans le cas des graines de plantes potagères, l’effet d’un même EM variait selon les plantes tests. C’est le cas par exemple de l’EM d’A. viridis qui inhibait la germination de Cassia rotundifolia à 100% et celle Pinus kesyia à 12,50 % seulement.
DISCUSSION DES RESULTATS OBTENUS
SUR LA PHYTOCHIMIE
La nature chimique des principes toxiques impliqués doit être déterminée avant de connaître leur distribution dans les différents organes de chaque plante et leur spécificité. Toutefois, compte tenu de l’endémicité des espèces d’Albizia malgache, il est permis de penser que la structure des métabolites secondaires trouvés dans les graines puisse être spécifique. D’après les résultats du criblage phytochimique, plusieurs familles chimiques ont été trouvées dans les EM des graines des 10 espèces d’Albizia malgaches étudiées. Les saponines, les stéroïdes et les cardénolides étaient présents dans toutes ces espèces. Comme mentionné plus haut (page 8), les saponines ont été trouvées dans plusieurs espèces étrangères et supposées être impliquées dans la toxicité de ces plantes (RUKUNGA et WATERMAN, 2001 ; KOKILA et coll., 2013). Les alcaloïdes étaient présents dans 6 des plantes étudiées, par contre, ils étaient absents dans les espèces les plus toxiques A. tulearensis et A. greveana. Cependant, RUKUNGA et WATERMAN (1996) ont signalé la rareté des alcaloïdes chez legenre Albizia.
Concernant les saponosides
Les propriétés physico-chimiques et biologiques de l’albodorine étaient caractéristiques des saponosides (BRUNETON et coll., 2009). La molécule comprenait des sucres communément rencontrés dans les saponines. La structure de la génine (aglycone) plaidait en faveur de sa nature stéroïdique. Ces données suggéraient que l’albodorine était une saponine stéroïdique. La plupart des extraits de graines d’Albizia de Madagascar que nous avions étudiés jusqu’à présent réagissaient positivement au test des stéroïdes mais pas à celui des triterpènes.(RANDRIANARIVO et coll., 2014). Cela était surprenant car selon la littérature, lessaponines isolées du genre Albizia sont des saponines triterpénoïdes (BARBOSA et coll.,
DISCUSSION DES RESULTATS OBTENUS
Bien que les saponines triterpenoïdes soient fréquemment retrouvées dans les espèces dicotylédones (GEYTER et coll., 2003) des saponines stéroidiques ont été isolées de quelques Angiospermes dicotylédones comme Tribulus pentandrus (Zygophyllaceae) (AHMED et coll., 2004), Lysimachia paridiformis (Primulaceae) (XU et coll., 2007), Solanum chrysotrichum (ZAMILPA 2002), Solanum melongena, Solanum lycopersicum (FRANCIS et coll., 2002 ; KOHARA et coll., 2007), Capsicum frutescens (RAKOTO et coll., 2012) (Solanaceae) et Paullinia pinata (Sapindaceae) (LUNGA et coll., 2014). Selon DEORE et coll., (2009), la complexité structurale des saponines résulte de leurs nombreuses propriétés physiques, chimiques et biologiques dont certaines d’entre elles seulement sont communes à tous les membres. Ainsi, compte tenu de l’endémicité d’ A. odorata, il est permis de penser que l’albodorine était une nouvelle saponine.
SUR LES EFFETS ENVERS LES MICROORGANISMES
Les activités antimicrobiennes des extraits de graines d’A. sp, A. bernieri, A. boivinii, A. arenicola et A. odorata étaient dues à des triterpènes ou à des saponosides (Cf § 3.2) et non à des groupes chimiques connus pour leurs propriétés antimicrobiennes tels les polyphénols, les flavonoïdes et les alcaloïdes. Il serait intéressant d’évaluer les activités antimicrobiennes des extraits des autres organes de ces plantes et de déterminer les groupes chimiques qu’ils contiennent.
Les alcaloïdes de graines d’A. boivinii étaient actifs contre 2 souches bactériennes Gram + (Bacillus cereus, Streptococcus pneumoniae), 1 souche bactériennes Gram -(Klebsiella oxytoca) et le champignon Candida membranifaciens. Leur action contre Bacillus cereus étaitplus forte que celle de la Gentamycine (antibiotique de référence). L’utilisation de ces alcaloïdes contre des infections dues à ces germes sensibles telles que les pneumopathies, les gastroentérites et néphrites/cystites pourrait être envisagée.
Toutes les souches bactériennes et fongiques testées étaient insensibles aux alcaloïdes des fruits d’A. odorata. A moins qu’il n’existe d’autres souches sensibles mais non testées, ces alcaloïdes n’ont pas d’activité antimicrobienne. Il est bien connu que les alcaloïdes sont des composés dotés de diverses propriétés pharmacologiques, il serait donc intéressant de prospecter celles des alcaloïdes d’A. odorata. Il faudrait également tester les activités desautres organes de la plante.
Les alcaloïdes d’A. polyphylla ont montré un large spectre d’activité contre les microorganismes incluant des souches bactériennes Gram + et Gramet des souches fongiques.
Cependant, les germes sensibles n’étaient pas toujours les mêmes et les taux d’inhibition étaient différents. Certaines souches bactériennes Gram + (Staphylococcus aureus) et Gram -(Escherichia coli, Salmonella enteritidis) étaient résistantes aux alcaloïdes totaux des parties aériennes (cosse, feuilles et écorces de tige). Cela pourrait être imputé à la non pénétration des produits au niveau de la paroi. Tous les extraits actifs étaient bactéricides et fongicides. Les futurs tests sur les molécules déjà isolées de la plante (paragraphe 7) apporteront, au moins en partie, des informations sur le nombre de molécules actives impliquées.
Toutes les espèces d’Albizia testées étaient actives contre des germes pathogènes. Les principes actifs étaient des saponosides et des alcaloïdes. Cependant, à part les cas de l’albodorine d’A. odorata et l’arenicoline V d’A. arenicola, les activités antimicrobiennes évaluées étaient celles d’extraits hétérogènes (saponosides et alcaloïdes totaux). Aussi, il n’estpas encore possible de connaitre le nombre de métabolites secondaires impliqués. Par ailleurs,pour la plupart des espèces étudiées, les investigations ne couvraient pas les extraits des différentes parties de la plante et de ce fait, ne permettaient pas de connaître la distribution des molécules actives et partant la spécificité de chaque organe.
GENERALITES SUR LES DEUX PLANTES ETUDIEES
DODONAEA. MADAGASCARIENSIS RADLK (SAPINDACEAE)
Dodonaea est l’un des 140 genres appartenant à la famille Sapindaceae. Il est composé de 60 espèces d’arbres à feuilles persistantes et d’arbustes. Les plantes de ce genre poussent à l’état sauvage dans les régions tropicales et subtropicales.
A Madagascar, le genre Dodonaea est représenté par deux espèces, D. madagascariensis et D. viscosa (CHOUX, 1927 ; CAPURON, 1969). La première, endémique à Madagascar, a une zone de distribution limitée tandis que la dernière est très répandue dans les régions tropicales et subtropicales.
D. madagascariensis est un arbuste ou un arbre de 2-8 m (figure 10) poussant dans les brousses, les montagnes, les sols rocheux ou pauvres et sur les bords des forêts. La plante se rencontre sur les hautes terres (1500–2500 m) à Antananarivo (Analamanga, Vakinankaratra et dans les régions de Toliary (Anosy) et dans les aires protégées (Ambohitantely, Isalo, Kalambatritra). Elle est cultivée dans les villages de la région d’Analamanga (SCHATZ, 2001).
Table des matières
REMERCIEMENTS
GLOSSAIRE
PRESENTATION DES TRAVAUX
PREMIERE PARTIE : ETUDE DE LA TOXICITE DES ALBIZIA MALGACHES
1 – Introduction
2- Récolte et préparation des matériels végétaux
2.1 – Activités sur le terrain
2.2 – Préparation du matériel végétal récolté
3 – Préparation des différents extraits utilisés
3.1 – Extraits méthanoliques (EM) des graines d’Albizia
3.2 –Extraits purifiés (EP) de graines
3.3 – Alcaloïdes totaux
3.4 – Produit pur
4 – Effets des extraits d’Albizia sur les animaux
4.1 – Effets des EM
4.1.1 – Effets sur la souris
4.1.2 –Effets des EM sur trois grandes fonctions physiologiques
4.1.3 – Effets des EM sur les animaux à sang froid
4.2 – Effets de l’albodorine chez les animaux
4.2.1 – Symptômes et DL50 chez la souris
4.2.2 – Lésions histopathologiquesoccasionnées chez la souris
4.2.3 – Effets sur des oreillettes isolées de rat
4.2.4 – Effets sur les hématies de mouton
4.2.5 – Effets sur d’autres animaux à sang chaud et des animaux à sang froid
5 – Etude des effets des extraits sur les microorganismes
5.1 – Effets des extraits purifiés et produits purs de graines de 5 espèces d’Albizia
5.2 – Effets des alcaloïdes totauxd’A. boivini, A. odorata et A. polyphylla
6 – Etude des effets sur les végétaux
6.1 – Etude des EM sur la germination de graines potagères
6.2 – Etude des EM sur la germination des graines de mauvaises herbes et des plantes envahissantes
6.3 – Effets des EM sur la croissance des jeunes plantules
6.3.1 – Effets stimulateurs
6.3.2 – Effets inhibiteurs
7 – Etude chimique approfondie
8 – Discussion des résultats obtenus
8.1 – Sur la phytochimie
8.2 – Sur les effets envers les animaux
8.3 – Sur les effets envers les microorganismes
8.4 –Sur les effets envers les végétaux
9 – Conclusion et perspectives
DEUXIEME PARTIE : ETUDE DE LA TOXICITE DE DEUX PLANTES MEDICINALES MALGACHES
1- Introduction
2 – Généralités sur les deux plantes médicinales
2.1 – DodoneamadagascariensisRadlk (Sapindaceae)
2.2 -PittosporumochrosiaefoliumBojer (Pittosporaceae)
3 – Etude toxicologique sur D. madagascariensisRadlk
3.1 – Effets de l’EMG sur la souris
3.2 – Effets de l’EMG sur d’autres animaux
4 – Etude toxicologique sur P.ochrosiaefoliumBojer
4.1 – Effets de l’EMF sur la souris
4.2 – Effets de l’EMF sur d’autres animaux
4.3 – Effets des saponosi des totaux sur la souris
5 – Discussion des résultats
5.1 –Dodonaeamadagascariensis
5.2 – Pittosporumochrosiaefolium
6 – Conclusion et perspectives
TROISIEME PARTIE : ETUDE ANATOMO-PATHOLOGIQUE DE CAS CLINIQUES INFLAMMATOIRES ET TUMORAUX
1 – Introduction
2 – Généralités sur l’anatomie pathologique
3 – Résultats
3.1 – Cas cliniques inflammatoires
3.1.1 – Tuberculose pulmonaire
3.1.2 – Angiodysplasie et diverticule du duodénum
3.2 – Cas cliniques tumoraux
3.2.1 – Tumeur germinale mixte de l’ovaire
3.2.2 – Cancers du sein
3.2.3 – Cancers de la vessie
4 – Discussion des résultats
4.1 – Tuberculose pulmonaire
4.2 – Angiodysplasie et diverticule du duodénum
4.3 – Tumeur germinale mixte de l’ovaire
4.4 – Cancers du sein
4.5 – Cancers de la vessie
5 – Conclusion
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES