Evaluation du greffage de manioc

Appareil végétatif

Il comprend : les tiges, les feuilles et les organes de reproduction.

Tiges

Le manioc est une plante ayant des tiges très cassantes. Ces tiges sont pourvues de latex dans le cas de l’espèce Manihot glaziovii. D’abord, les plants provenant des graines ne possèdent qu’une tige unique. Par contre, ceux provenant des boutures ont une ou plusieurs tiges. Dans ce cas, les boutures se développent simultanément pour donner une ou plusieurs tiges principales à partir des bourgeons. En général, les tiges ont une hauteur de 1 à 6 m avec de coloration variée (blanc verdâtre, grise, chocolatée, brun rouge) selon les variétés.
D’autre part, les tiges portent des nœuds disposés en spirale. La longueur des entre-nœuds est décroissante de la base au sommet de la tige principale. La ramification des tiges au sommet signifie l’entrée en phase de reproduction du méristème apical. Elle est souvent associée à la floraison.
Une tige principale donne trois tiges secondaires qui à leur tour, vont donner trois nouvelles ramifications : c’est la ramification trichotomique de manioc. Dans ce cas, la croissance de la tige principale donne trois rameaux au niveau de l’apex ; chaque rameau va donner trois nouveaux rameaux. Il existe aussi une production de rameaux au niveau de n’importe quelle partie de la tige principale à une certaine distance de l’apex. C‘est la ramification latérale.
La ramification des tiges est influencée par plusieurs facteurs. Le nombre des nœuds produits préalablement pendant la première ramification est fonction des variétés ou génotypes. La période de plantation influe également sur la hauteur des ramifications qui est aussi déterminée par la fertilité du sol. Le manque de fertilité peut entraîner un retard au niveau de la ramification des tiges. Ce retard est dû aussi par la baisse de température en cours de croissance ainsi que le manque d’eau. De plus, le niveau de matière élaborée joue un rôle déterminant dans la formation des rameaux latéraux.

Feuilles

Les feuilles de manioc sont caduques tombant chaque année pendant l’hiver. A ce moment, les plantes entrent en phase de repos. Ces feuilles sont soutenues par un long pétiole de 5 à 30 cm de couleur jaune claire ou blanc verdâtre. Elles sont disposées en spirale autour des tiges avec un ordre phyllotaxique de 2/5. Chaque feuille est sous-tendue par 3 à 5 stipules allongées de longueur 1 cm environ (16).
Les feuilles sont simples avec des bords lisses, palmatilobées. Le nombre de lobe varie de 3 à 9, en général un nombre impair. Ces feuilles jouent un rôle important dans la synthèse de matière élaborée.

Organes de reproduction : Inflorescence et fleurs

Le manioc est une plante monoïque. L’androcée (étamines) et le gynécée (ovaire) se trouvent sur des fleurs différentes portées par un même pied. La fécondation est croisée, d’où le manioc est une plante allogame (19).
L’inflorescence est apparue au point de ramification des tiges et branches. Elle se fait en grappe de 100 fleurs mâles et 7 fleurs femelles (19). Les fleurs sont unisexuées et monopérianthées (3). Ces fleurs ont 1 cm de diamètre et de couleur généralement jaunâtre.
Fleurs mâles: Elles se trouvent au sommet de l’inflorescence. Chaque fleur mâle comprend un calice de 5 sépales soudés à la base et 10 étamines disposées en 2 verticelles (Figure 3). Le filet est libre et l’anthère est petite.
Fleurs femelles : Elles se trouvent à la base de l’inflorescence. Chaque fleur femelle comprend un calice de 5 sépales libres et un ovaire divisé en 3 loges, surmonté d’un style portant un stigmate avec 3 parties (Figure 3). Le stigmate porte de nombreuses protubérances.

Fruit et graine de manioc

Après la fécondation, il y a transformation de l’ovaire en fruit et graine. Chaque fruit possède un diamètre de 1 à 1,5 cm avec 6 fines ailes longitudinales. A la base du fruit, il y a un renflement appelé caroncule(Figure 4).Les fruits de manioc sont tri-côtes avec des graines oléagineuses. Quand le fruit est sec, l’endocarpe s’éclate pour libérer les graines (13).

Choix des tiges à greffer et repiquage

La réussite du greffage de manioc dépend du choix des tiges à greffer. On prend des tiges de manioc à greffer saines ni trop jeunes, ni trop âgées (de préférence 1 an et demi). On coupe les tiges à une longueur de 15 à 20 cm ayant chacune 5 nœuds (ou 5 yeux) au minimum. On choisit les tiges à greffer de même dimension pour faciliter l’union. Sur la partie supérieure du porte-greffe et sur la partie inférieure du greffon, on enlève la moitié de la tige sur 4 cm environ. On unit les 2 parties manquantes des tiges à greffer. Les 2 tiges à greffer doivent être bien accolées. On attache l’union avec une ligature pour éviter l’entrée d’eau et d’air.
Après l’obtention des tiges greffées, on repique directement dans les pots ou gaines en plastiques. Lors du repiquage, 3 nœuds du porte-greffe doivent être enfoncés dans le substrat. De plus, le point d’union de la greffe doit se situer au moins à 2 cm au dessus du substrat. On place ensuite les plants greffés dans une pépinière bien protégée du vent et des animaux et à l’abri de la lumière. Les plants greffés doivent être arrosés régulièrement. On supprime les gourmands qui apparaissent sur les porte-greffes.

Préparation des trous

La préparation des trous doit avoir lieu une ou deux semaines avant la transplantation des plants greffés réussis. La dimension de chaque trou est variable selon la nature du sol : 1 m x 1 m x 1 m pour les sols rouges ou sols latéritiques et 80 cm x 80 cm x 80 cm pour lessols volcaniques. On remplit chaque trou en couches successives de matériaux compostable(pailles, débris végétaux) d’épaisseur 20 cm, suivie de fumier de 5cm et enfin de terred’épaisseur 10 cm. On recommence cette succession jusqu’à l’obtention d’une butte commedans le cas des arbres fruitiers. On arrose régulièrement les trous et on met un bois servantde repère au milieu de chaque trou.

Transplantation des plants greffés

Lorsque les plants présentent plus de 8 feuilles, on peut les transplanter dans les trous. Lors de la transplantation, on enlève d’abord les repères en bois dans les trous. Ensuite, on retire les pots plastiques à condition qu’on conserve les mottes de terre entourant les racines des plants. Enfin, on plante le manioc greffé dans le trou en conservant la zone du greffage au dessus du sol. On arrose les plants greffés. On élimine les gourmands qui poussent sur les porte-greffes.

Remarque

Le manioc à caoutchouc possède un important développement de la partie aérienne. D’où, la zone du greffage est très fragile et peut être cassée facilement par le vent. Il est donc préférable de soutenir le plant greffé à l’aide d’une béquille en bois ou de planter des haiesbrise vent autour du terrain de culture.
Au moment de la récolte, on n’arrache pas les plants de manioc greffés. Seuls les tubercules devront être déterrés.

Particularité et avantage

Dans la technique de manioc greffé, le greffon est utilisé pour produire beaucoup de feuilles et pour la résistance à la mosaïque. Les feuilles sont les sièges de la synthèse des substances organiques surtout l’amidon dans le cas de manioc. Le porte-greffe sert pour produire des tubercules géants.
Le système Mukibat est estimé à produire au bout d’un an une centaine de kilos de tubercules par pied. Par contre, la technique du greffage proposée par Agrisud est estimée à produire 30 à 50 kg de tubercules par pied par an pendant 5 ans.

CONCLUSION

D’une part, le manioc joue un rôle important dans la sécurité alimentaire de nombreuse population. Pour le cas de Madagascar, cette plante se place au 2 ème rang d’aliment énergétique de base derrière le riz. La culture de manioc se fait de façon végétative par bouture des tiges dans la plupart des cas. D’autre part, on peut aussi greffer le manioc d’après ce que nous avions vu auparavant. Dans ce cas, il faut connaître les conditionsexigées par la technique du greffage de manioc. Ces conditions ne sont autres que les conditions climatiques, les types de sol d’un milieu où on veut pratiquer cette technique.
Notre étude a été faite dans le village d’Antanetibe-Antsampandrano. Nous allons voir si les caractéristiques physiques et biologiques de cette région favorisent le greffage du manioc.

Milieu physique et emplacement géographique

Localisation

Le village d’Antanetibe-Antsampandrano se situe à 100 km à l’Ouest d’Antananarivo sur la RN 1 en allant vers Tsiroanomandidy (Figure 7). Ce village se trouve à 12 km à l’Ouest de Miarinarivo. Il appartient à l’ex-province d’ANTANANARIVO :
Région : ITASY
District: MIARINARIVO
Commune : MIARINARIVO II
Fokontany: AMPASAMANANTONGOTRA
Du point de vue géographique, Antanetibe-Antsampandrano se localise sur les coordonnées : longitude 46°47 E et latitude 18°57 S.

Relief et types de sol

Le village d’Antanetibe-Antsampandrano appartient à la partie centrale de la région Itasy. Il est caractérisé par un relief très accidenté à pente plus ou moins forte et dont les massifs sont de nature quartzique avec des pénéplaines latéritiques et plaines alluviales. Les vallées sont encaissées. L’altitude varie de 800 à 1 000 m en général (24). La grande partie de la région Itasy (districts de Miarinarivo et d’Arivonimamo) possède des sols de typeferralitique. On observe une évolution très diverse des sols en allant des argiles latéritiques relativement fertiles jusqu’aux cuirasses de Tampoketsa, imperméables et dépouillés en éléments fertiles et crevassés de lavaka (24). Les sols d’Antanetibe-Antsampandrano sont du type latéritique ou sols rouges. L’ensemble de ces sols est fragile, compact et difficile à travailler. Ces sols sont favorables pour la culture de maïs et de manioc s’ils sont convenablement amendés (24).

Climat

Antanetibe-Antsampandrano fait partie du district de Miarinarivo. Le type de climat de celuici constitue une transition entre l’humide frais de la partie Est de Madagascar et la subhumide chaud de l’Ouest. C’est un climat subhumide tempéré ou frais caractérisé par deux types de saisons bien distinctes :

Activités socio-économiques

Les habitants d’Antanetibe-Antsampandrano vivent au dépend de l’agriculture, de l’élevage et de l’artisanat.

Agriculture

Dans l’ensemble de la région Itasy, les paysans pratiquent presque toutes les cultures destinées à l’alimentation (24 et 26). De plus, l’agriculture et l’élevage sont les activités principales de la population de cette région. La principale activité de la population locale est la riziculture. Mais, il y a aussi la culture vivrière de manioc (Manihot utilissima), maïs (Zea mays), haricot (Phaseolus vulgare), tomate (Lycopersicum esculentum) (26).
Il en est de même à Antanetibe-Antsampandrano. On y trouve la riziculture, la culture de manioc, maïs, haricot et tomate. Les produits agricoles sont destinés d’une grande partie pour la consommation locale et le reste pour le marché local. L’agriculture joue un rôle important dans l’alimentation et le revenu des paysans.

Elevage

L’une des bases de l’économie rurale de la région Itasy est l’activité d’élevage. Comme tous les milieux ruraux, les habitants d’Antanetibe-Antsampandrano pratiquent l’élevage des bovins, des porcins et des oiseaux domestiques (canard, poule,…). Certains paysans pratiquent aussi la pisciculture. Les produits de l’élevage sont destinés pour le commerce local et le marché d’Analavory.

Artisanat

Certains habitants de ce village fabriquent et exportent des produits artisanaux comme les chaises, paniers, « tsihy » fabriqués par des végétaux appelés « hisatra ». Mais, il existe des problèmes au niveau de l’artisanat comme l’insuffisance de matières premières, le problème au niveau de débouché ainsi que le problème de prix. Remarque : Nous n’avions pas obtenu des valeurs concernant la production et l’élevage auprès du Fokontany et de la Commune. D’après le dirigeant du village, il n’y avait pas des mises à jour des données de l’agriculture et de l’élevage depuis un certain temps.

Infrastructures

Au niveau de l’infrastructure routière, le village d’Antanetibe-Antsampandrano est traversé par la RN1. A l’intérieur du village, il existe des pistes secondaires non goudronnées. De plus, au Nord Ouest existe un village appartenant à la section d’Antanetibe-Antsampandrano. Pour y aller, on traverse un pont en bois où l’accès est impossible pendant la saison de pluie.Au niveau de l’enseignement, on y trouve deux écoles : une EPP où enseignent 5 instituteurs(2 fonctionnaires et 3 maîtres FRAM) et une Ecole Privée Catholique Niveau II. Lors de notredescente sur lieu, les instituteurs de l’EPP affirment que par rapport au nombre d’élèves, le nombre de salles de classe est insuffisant ainsi que le nombre d’enseignants.

CONCLUSION PARTIELLE

Pour conclure, Antanetibe-Antsampandrano est un village possédant les caractéristiques convenables pour la culture de manioc greffé. L’agriculture, l’élevage et l’artisanat sont les principales activités de la population locale de ce village. Pourtant, il existe des problèmes au niveau de l’agriculture comme la baisse de production ; la difficulté du pouvoir d’achat desemence, fertilisant et produits phytosanitaires ; le problème de ravageurs et maladies ; l’insécurité (vol sur pied) ; le problème de débouché et l’instabilité de prix sur le marché.

METHODES

Dans ce chapitre, nous allons voir en premier lieu les raisons du choix du milieu d’étude, ensuite le déroulement de l’étude et enfin la limite d’étude.

Milieu d’étude et raison du choix

Le milieu d’étude se situe dans la commune Miarinarivo II, fokontany Ampasamanantongotra. Ce fokontany se divise en 5 sections ou sous-fokontany : Ampasamanantongotra, Morarano, Mahatsinjo, Kely apombo et Antanetibe. Notre étude a été faite dans la section d’Antanetibe pour les raisons suivantes :
Presque tous les villages dans la région Itasy cultivent de manioc.
Dans cette section se trouve le village d’Antsampandrano qui est un site de démonstration des pratiques agro-écologiques de l’Agrisud avec la fondation Good Planet dans le programme MAHAVOTRA (Figure 11).
Cette section possède une diversité écologique :
Climat : la température varie de 15,4 à 21,5°C. La période, située ente le mois d’octobre et mois d’avril, est caractérisée par l’abondance de pluie.
Sols : On a des sols rouges ferralitiques ou latéritiques meubles.
Ces caractéristiques sont semblables à celles de Miarinarivo. Ce district figure parmi les zones productrices de manioc sur les hauts plateaux malgaches (16).

Déroulement de l’étude

L’étude s’est déroulée en deux grandes phases : étude bibliographique et étude sur terrain.

Etude bibliographique

C’est la phase préparatoire de l’étude qui a commencé au mois de mai 2013 pour se terminer au mois de juillet 2013. On a consulté les ouvrages en rapport avec notre thème dans les bibliothèques suivantes : ENS, ESSA, PBZT, CIDST, IRD, Ministère de l’Agriculture. Des recherches sur internet ont été faites pour compléter les données de ce mémoire.

Etude sur terrain

Rappelons que notre objectif est d’évaluer la maîtrise de la technique du greffage de manioc dans le village d’Antanetibe-Antsampandrano. Dans le cas de notre étude, nous avions adopté la méthode par enquête auprès des paysans.

Echantillonnage

En général, l’enquête devra être faite auprès de tous les paysans du village. Mais, faute de temps et de moyens, 30 personnes ont été ciblées : 10 paysans à Antanetibe et 20 à Antsampandrano.

Types d’enquêtes

D’une part, nous avions préparé et élaboré des questionnaires préétablis sous-forme de fiches d’enquêtes. Les paysans, qui cultivent de manioc, ont été la population cible. La fiche d’enquête tient compte de la production de manioc dans le village et du nombre des plants de manioc greffé pour ceux qui ont déjà fait l’essai de la technique du greffage. Cette fiche se présente sous deux formes (ANNEXE) : l’une destinée aux paysans qui ont déjà pratiqué le greffage et l’autre pour ceux qui utilisent la technique traditionnelle.
D’autre part, pour avoir de plus amples informations, l’interview avec les habitants et les dirigeants du village d’Antanetibe-Antsampandrano a été utilisé durant notre descente. Nous avions aussi effectué cette technique auprès du service d’Agrisud International à Analavory pendant la fin du mois de mai 2013. L’entretien avec les personnels de cet ONG nous permet de connaître l’évolution de l’agriculture dans notre région. Cela était nécessaire pour évaluer la compétence des techniciens d’Agrisud pour la maîtrise du greffage de manioc.
En outre, c’est à partir de l’entretien auprès de l’Agrisud que nous avions choisi le village d’Antanetibe-Antsampandrano comme milieu d’étude. On est descendu dans ce village au début du mois de juin 2013.
A cette époque, se sont déroulés les entretiens avec les dirigeants, les habitants et les enseignants concernant l’agriculture, le domaine socio-économique et éducatif et l’échantillonnage des personnes à enquêter. Les enquêtes ont été faites à la fin du mois de juin 2013. Et c’est ainsi que nous avions obtenu les données de ce mémoire.

Observations des cultures de manioc

Après les enquêtes, nous étions descendus sur les champs de manioc pour observer les plantules cultivées de façon traditionnelle et celles cultivées selon le système Mukibat. Pendant cette occasion, nous avons comparé la qualité, le nombre et la surface des feuilles pour ces deux méthodes de culture. Nous avons également vérifié si les paysans prennent soin de leur culture, à savoir le respect de l’espacement des plantules et le désherbage. Enfin, il nous est arrivé d’évaluer leur connaissance en terme des diverses techniques culturales de manioc.

Exploitation des données et rédaction

L’exploitation des données se fait à partir du dépouillement des fiches d’enquêtes. On a commencé au début du mois de juillet 2013. Lors du traitement des données, on a utilisé le logiciel EXCEL. La rédaction a débuté au mois d’août 2013 à partir des sources bibliographiques et des données obtenues sur terrain.

Limite d’étude

Lors de la réalisation du travail, on a rencontré beaucoup de difficultés qui influent sur la collecte des données, l’interprétation et l’analyse des résultats. De plus, le manque du temps et de moyen à notre disposition constituent un obstacle non négligeable qui peut entraîner un impact sur la représentation des données de ce mémoire. Il y avait aussi les difficultés de communication avec les paysans lors de l’enquête car ils préfèrent éviter de nous rencontrer. Les paysans n’ont pas beaucoup de temps à consacrer pour notre discussion car ils ont des travaux à faire.

CONCLUSION PARTIELLE

Pour évaluer la maîtrise du greffage de manioc, nous avions adopté des méthodes : enquête, observation directe des champs de culture et analyse de la fiche technique d’Agrisud International. A part ces méthodes, nous avons effectué des recherches bibliographiques et webographiques .

Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE
Chapitre I. GENERALITES SUR LE MANIOC
I.1. Historique
I.2. Classification systématique
I.3. Classification variétale
I.4. Description botanique de manioc
I.4.1. Système radiculaire
I.4.2. Appareil végétatif
I.5. Physiologie
I.5.1. Cycle de développement
I.5.2.Besoins
I.6. Mode de culture par bouturage
I.6.1. Préparation des sols de culture
I.6.2. Choix des boutures et plantation
I.7. Technique du greffage de manioc
. I.7.1. Historique
I.7.2. Description : Cas du greffage de manioc proposé et vulgarisé par AGRISUD
I.7.3. Particularité et avantage
Chapitre II.PRESENTATION DU MILIEU D’ETUDE
II.1. Milieu physique et emplacement géographique
II.1.1. Localisation
II.1.2. Relief et types de sol
II.1.3. Climat
II.1.4. Hydrographie
II.2. Milieu biologique
II.2.1. Végétation
II.2.2. Faune
II.2.3. Problème environnemental
II .2.4. Population et activités socio-économiques
II.3. Infrastructures
Chapitre III. L’AGRISUD INTERNATIONAL
III.1. Historique
III.2. Projets et objectifs
III.3.Mission, domaine d’intervention et budget de l’Agrisud
III.4. Types d’activités
III.5. Démarche
III.6. Partenariat et cofinancement
DEUXIEME PARTIE
Chapitre I. MATERIELS D’ETUDE
I.1. Matériels d’enregistrement
I.1.1. Appareil photo
I.1.2. Ordinateur
I.2. Matériels d’étude du greffage de manioc
I.3. Fiche technique du greffage de manioc proposé par Agrisud
Chapitre II. METHODES
II.1. Milieu d’étude et raison du choix
II.2. Déroulement de l’étude
II.2.1. Etude bibliographique
II.2.2. Etude sur terrain
II.3. Exploitation des données et rédaction
II.4. Limite d’étude
TROISIEME PARTIE
Chapitre I. LA CULTURE DE MANIOC DANS LE VILLAGE D’ANTANETIBE- ANTSAMPANDRANO
I.1. Surface de culture et production
I.2. Variétés de manioc de type alimentaire cultivées dans le village
I.3. Techniques culturales
I.4. Description des diverses techniques de plantation de manioc
I.5. Comparaison des plantules issues de la culture traditionnelle avec celles provenant du système Mukibat à Antanetibe-Antsampandrano
I.5.1. Taille des plantules
I.5.2. Nombre des feuilles et surface foliaire
I.6. Utilisation de manioc dans le village d’Antanetibe-Antsampandrano
Chapitre II. LA TECHNIQUE DU GREFFAGE DE MANIOC
II.1. Résultats obtenus par les paysans
II.2. Problèmes rencontrés lors du greffage de manioc
II.2.1. Problèmes au niveau de la préparation et/ou l’opération du greffage
. II.2.2. Autres problèmes
II.3. Evaluation des causes de l’échec du greffage lors des essais
II.4. Avantages de la culture par greffage de manioc
II.4.1. Avantages au niveau du temps
II.4.2. Avantages au niveau de la production
II.4.3. Autres avantages
II.5. Estimation de la production de manioc greffé
Chapitre III. SUGGESTIONS ET INTERETS PEDAGOGIQUES
III.1. Suggestions pour Agrisud International
III.2. Suggestions pour les paysans
III.3. Intérêts pédagogiques
CONCLUSION GENERALE 

projet fin d'etude

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