Crédits d’investissement
Les crédits d’investissement à moyen ou long terme sont octroyés pour acquérir ou construire une immobilisation d’exploitation et de terrain sur lequel un immeuble doit être construit, pour acquérir des matériaux de production ; des véhicules pouvant servir à l’activité de l’entreprise et tout matériel de transport, pour acquérir des matériels de bureau etc. Tout opérateur de tout secteur peut en bénéficier. Son montant peut dépendre du cash-flow ou du compte du client mais la somme offerte est en générale 70% du montant de l’investissement et 30% venant de l’apport personnel ou l’autofinancement. Ce sont des crédits amortissables c’est-à-dire dont le remboursement en capital s’effectue de façon fractionnée sur la durée du crédit. L’immobilisation achetée ou autres immobilisations ou blocage d’un compte d’associés ou encore l’aval d’un tiers peuvent constituer la garantie pour ce type de prêt.
Crédits par signature
Le banquier rend service à son client en garantissant par écrit les opérations que ce dernier aura à effectuer. En prêtant leur signature (en se portant caution), la banque fait des crédits à ses clients. Ce prêt de signature de la banque équivaut à une promesse de paiement à la place du client. Cet engagement n’implique pas de décaissement mais renforce la crédibilité du client. En cas de défaillance de son client, c’est à la banque de payer les obligations financières que comporte son engagement.
Les différents prêts de signature ou cautionnements bancaires que la banque accorde sont :
– les cautions douanières : il s’agit des crédits d’enlèvement, de droit, des crédits à l’entrepôt fictif et des cautions d’admission temporaire.
– les cautions fiscales : ce sont des cautions pour imposition contestée.
– les cautions sur marché : ce sont des cautions d’adjudication ou de soumission ou de bonne fin ou de restitution d’acompte ou des cautions de retenu de garantie.
– les cautions diverses concernant les garanties financières des agences de voyage et celles pour absence de document.
Découvert
C’est une avance en compte courant pouvant atteindre quelques semaines ou mois et destinée à contribuer au financement du cycle d’exploitation de l’entreprise.
Escompte papier commercial
: « Par définition, c’est un crédit de fonctionnement à court terme par mise à disposition sur le compte courant du cédant, du montant d’une remise d’effets qui deviennent la propriété du banquier, déduction faite des agios décomptés de la date d’escompte jusqu’à l’échéance des traites, ou lorsque celle-ci tombe un jour non ouvré, jusqu’au premier jour qui suit, plus un jour de banque. Le banquier crédite donc le compte courant du tireur avant la date d’échéance de la traite et c’est ce dernier qui supporte tous les frais liés à l’opération.
L’objet de l’escompte papier commercialest la mobilisation du poste clients locaux (effet à recevoir) de l’entreprise pour couvrir totalement ou partiellement les besoins de trésorerie exprimés. Le montant de ligne à accorder se calcule comme-suit si l’activité a un caractèrerégulier tout au long de l’année:
Formes d’intervention
Ce sont des activités de microfinance, toutes les agences de la BOA-MADAGASCAR offrent les services de microfinance. Elle occupe plus de 70% des activités des plusieurs agences. Les activités de microfinance de la BOA-MADAGASCAR sont essentiellement tournées vers le monde rural mais elle s’adresse également aux autres secteurs de l’économie. La stratégie actuelle de la BOA Madagascar tend à renforcer les services de Micro Finance basés sur un système de partenariat avec les autres intervenants dans le domaine. L’objectif est de satisfaire les besoins en services micro-financiers, en complémentarité de ceux offerts par les autres systèmes financiers décentralisés et ce avec un maximum de sécurité de façon à garantir leur pérennisation. Les bénéficiaires du microcrédit sont les paysans regroupés en association de crédit à caution solidaire ou ACCS ; les paysans regroupés en association encadrée par des entreprises agro-industrielles ; les exploitants agricoles ou bénéficiaires individuels et enfin les institutions de microfinances. La BOA possède trois(3) formes de micro-crédit :
-Le crédit de faisance-valoir destiné à financer les frais de culture, c’est donc un financement d’exploitation et il est remboursable par les recettes d’exploitation. Sa duréeest à court terme c’est-à-dire de 3 à 12 mois suivant le cycle de production.
-Le crédit de stockage de la production permet aux paysans de stocker leur production en attendant un meilleur prix sur le marché. Cette forme de crédit a une durée à court terme (3 mois à 6 mois entre la récolte et la saison des pluies), le bénéficiaire remboursera au moment du déstockage.
-Le crédit d’investissement destiné pour l’acquisition, la construction ou l’aménagement des moyens de production. C’est un crédit à moyen terme de 2 à 5 ans suivant les capacités de remboursement des emprunteurs, son mode de remboursement est à partir des cash-flowsdégagés par l’affaire.
Mobilisation de créances nées sur l’étranger ou MCNE
C’est une des techniques offertes aux exportateurs pour disposer de leurs créances sur des acheteurs étrangers avant le paiement effectif par ces derniers. La créance se rapporte à une vente ferme et prend naissance lors de l’expédition des marchandises. Le montant escomptable est 80% du montant des documents d’exportation car il faut faire face à la participation du client aux risques et à la fluctuation des changes.
Ouverture de crédit documentaire (Cf. annexe III)
Le crédit documentaire ou lettre de crédit ou ouverture de crédit documentaire est un acte par lequel la banque s’engage, pour le compte de son mandant qui est le donneur d’ordre, à payer au bénéficiaire un montant déterminé en une monnaie convenue contre remise dans le délaifixé, des documents relatifs à la marchandise.
Préfinancement de collecte de produits
C’est un crédit qui est destinée pour financer les activités de collecte de produits c’est-à-dire pour permettre au client de démarrer son activité. Il est complémentaire de l’autofinancement que le collecteur doit apporter au début de la campagne. Le client doit exercer une activité de collecte de produits agricoles ou une activité saisonnière et être titulaire d’une autorisation valide pour pouvoir bénéficier de ce type de crédit. La durée maximum est limitée au temps de la campagne de collecte d’un produit agricole et son remboursement peut se faire partiellement ou en totalité.
MATERIELS ET METHODES
Afin de mener à bien notre étude qui est focalisée sur la gestion d’octroi de crédits professionnels, nous devrions savoir davantage sur l’entreprise auprès de laquelle nous avons entrepris notre recherche et sur les différentes étapes contribuant à la réalisation de ce mémoire. Cette première partie qui présente deux (2) chapitres s’intéresse donc à la partie descriptive concernant les matériels et la méthodologie de la collecte des données pour la vérification empirique.
Le premier chapitre concerne les matériels utilisés. Il s’agit de la description de la zone d’étude,de la justification du choix de la zone d’étude et de la description du cadre théorique.
Le deuxième chapitre parle des méthodes adoptées lors de la vérification des deux hypothèses formulées, où nous allons fournir tous les détails qui ont permis la recherche. Pour commencer, nous allons tout d’abord parler des matériels utilisés.
MATERIELS
Le présent chapitre va nous permettre de savoir plus sur les matériels utilisés le long de notre recherche, c’est-à-dire la zone d’étude. Il s’agit ici de la BOA-MADAGASCAR qui, par sa part de marché dans la grande Ile intensifiée par son évolution face à la rude concurrence, figure parmi les plus grandes banques existant à Madagascar depuis un certain temps. Nous allons décrire dans ce chapitre la justification et description de la zone d’étude et le cadrethéorique relatif à notre sujet de mémoire.
Justification et description de la zone d’étude
Depuis sa création à nos jours, le développement du groupe BOA se poursuit à travers le monde, quatre (4) sous-titres seront détaillés, à savoir la description brève de l’entreprise, l’organigramme et description des fonctions, les activités et prestations offertes par la BOAMADAGASCAR et enfin la justification du choix de la zone d’étude.
Description brève de l’entreprise
Cette description brève concerne l’historique du groupe BOA, l’historique de la BOAMADAGASCAR, son implantation et enfin la présentation générale de la BOAMADAGASCAR agence Anosizato.
Historique du groupe BOA
Le commencement de l’histoire de la BOA était en 1982 au Mali où le projet semblait être irréaliste car c’était une banque africaine et indépendante des grands groupes internationaux ; la constitution du groupe peut être schématisée en trois grandes étapes. La phase de lancement de 1982 à 1990 qui a été marqué.par la création de la BANK OF AFRICA-MALI en 1982 et de la BANK OF AFRICA – BENIN créée en 1989. Durant la deuxième phase qui est la phase d’expansion de 1991 à 1998, le concept » BANK OF
AFRICA « , basé sur l’équilibre d’un actionnariat diversifié et sur une stratégie unitaire, est alors précisé, développé et consolidé. À la fin de cette seconde étape, trois nouvelles BANK OF AFRICA sont nées, au Niger en 1994, en Côte d’Ivoire en 1996, au Burkina Faso en 1998 et les actions d’harmonisation se développent fortement. La troisième phase qui est la phase de diversification, portée par des objectifs de croissance, s’exprime à trois niveaux distincts et complémentaires : d’une part, passer d’un ensemble de banques à une véritable structuration de groupe ; d’autre part, faire évoluer des activités de banque commerciale pure vers celles liées au crédit-bail, à la bourse ou l’assurance, pour créer un pôle financier multiforme, capable de proposer une gamme complète de produits et de services financiers ; enfin, sortir de l’UEMEOA et s’étendre à d’autres régions d’Afrique subsaharienne, y compris anglophones.
Historique de la BOA-MADAGASCAR
Le 18 Novembre 1999, la Banque Nationale Bankin’ny Tantsaha Mpamokatra ou BTM a été repris par la BANK OF AFRICA dans le cadre de sa privatisation et cette dernière inclut la participation d’actionnaires privés malgaches et l’International Finance Corporation et c’est ainsi que la BANK OF AFRICA MADAGASCAR a été créée. La condition de cette privatisation était le maintien d’un département du Micro Finance qui pourrait continuer à financer des associations paysannes et organisations du secteur rural. Le développement du secteur de la Micro Finance a été assuré par l’ex-BTM grâce au refinancement des réseaux des Institutions de Micro Finance ou IMFs et au protocole de collaboration et partenariat avec le Projet d’Appui à la Micro Finance ou PAMF du PNUD/FENU. L’utilisation d’une ligne de refinancement et un fonds de garantie mise à sa disposition par ce dernier était la base de ce partenariat mais un nouveau protocole a été signé en Novembre 2000. Cette collaboration a pour objectif de favoriser l’accès des Institutions de Micro Finance à des ressources definancement de la banque par le biais de l’apport d’un fonds de garantie du FENU. Legroupe BANK OF AFRICA accède, aujourd’hui, à un quatrième stade et renforce sa structurecapitalistique et financière, se modernise et s’institualise.
Activité et prestations offertes
Cette sous-section traitera les activités bancaires et les prestations ou services offert(e)s par la BOA-MADAGASCAR.
Activité
Une activité est un critère qui permet de classifier les entreprises. C’est donc l’activité professionnelle principale de l’entreprise. Elle est choisie lors du démarrage de l’entreprise et elle est indépendante de sa taille.
Les opérations de transaction monétaire s’effectuent surtout dans les banques. Une banque est une entreprise dont la matière première est constituée par l’argent.Par définition, les établissements de crédits sont des personnes morales qui effectuent à titre de profession habituelle des opérations de banques. Ces opérations de banques consistent, en général, à recevoir des dépôts, à accorder des crédits à tout type de clientèle et pour toute durée, à mettre en place et gérer des moyens de paiement, et effectuer également des opérations connexes à leur activité principale. Nous pouvons citer parmi ces activités connexes : changes, conseils et gestion en matière de placement, conseils et gestion de patrimoine des particuliers, conseils et gestion au service des entreprises.
Les activités bancaires à Madagascar sont régies par la CSBF ou Commission de Supervision Bancaire et Financière, elle est chargée de : veiller au bon fonctionnement des établissements de crédit, vérifier le respect par ces établissements des dispositions qui leur sont applicables, sanctionner les manquements constatés. En particulier, la CSBF examine les conditions d’exploitation des établissements de crédit, s’assure de la qualité de leur situation financière et contrôle le respect des règles de bonne conduite de la profession.
Justification du choix de la zone d’étude et du thème
Dans cette sous-titre, nous donnerons les détails sur le motif du choix de l’entreprise ce qui se traduit par les raisons qui nous ont poussé à choisir la BOA ensuite le motif du choix du thème.
Motif du choix du secteur d’activité
La politique de financement renforce la politique de l’Etat malgache pour le développement économique de notre pays en considérant la réduction de la pauvreté. Le financement de la banque est essentiel au maintien et à la croissance de l’activité des entreprises. De ce fait la banque est un partenaire inévitable dans la vie d’une entreprise. C’est pour cette raison que nous avons choisi le secteur financier comme zone d’étude pour réalisernotre mémoire.
Motif du choix de l’entreprise
Comme nous avons mentionné dans la sous-section précédente que la banque est un facteur de développement économique, la BOA-MADAGASCAR trouve également la même optique et propose différentes sortes de financement à ses fidèles clients. Lors de notre stage dans cet établissement bancaire, nous avons eu l’opportunité d’approfondir les pratiques du crédit. On a pu constater comment fonctionne-t-il le financement bancaire d’une entreprise quelconque. En d’autres termes, lors de notre séjour auprès de la banque, nous avons pu enrichir les connaissances acquises et développer notre expérience et relations professionnelles ce qui nous a fortement incité à y postuler.
Motif du choix du thème
L’intérêt de ce thème est de nous avoir permis d’approfondir et notamment de mettre en pratique les acquis théoriques durant les quatre années d’études au sein de l’Université d’Antananarivo. Nous n’avons pas perdu de vue l’intérêt de la banque par les recherches entreprises pour améliorer la gestion d’octroi de crédits, intitulé de notre thème. Le thème choisi n’a pas seulement pour objet de finaliser les recherches effectuées, mais aussi, d’une part, de constituer une sorte de synthèse pouvant être exploitée par les gestionnaires de crédit,et d’autre part, de faire connaître notamment une notion indispensable et nécessaire à l’activité professionnelle des entreprises qui jouent un grand rôle dans le développement d’un pays.
Apports théoriques
Dans cette section, nous allons parler des notions sur la gestion de crédit, ensuite la définition d’un crédit professionnel et enfin les notions sur les banques commerciales à Madagascar.
Notions sur la gestion de crédit
La gestion du crédit clients (appelé en anglais le « crédit management») consiste à gérer les créances commerciales de l’entreprise, depuis la négociation des conditions de paiements (délais de règlement, moyens de paiement, montant maximum de l’encours de chaque compte client, etc.) jusqu’au recouvrement des factures de vente . Avant d’octroyer n’importe quel crédit à une entreprise quelconque, la banque doit soigneusement analyser la situation financière de celle-ci pour pouvoir apprécier le risque de crédit qui en découle.
Définition de l’analyse financière
L’analyse financière consiste en un ensemble d’outils et de méthodes permettant de porter une appréciation sur la situation financière et les performances d’une entreprise. Tiré de cette définition, le recours à la gestion financière s’avère indispensable, pour l’entreprise, pourqu’elle puisse prendre des décisions de gestion cohérentes à la stratégie définie par elle même.
METHODES
Pour vérifier les hypothèses, diverses méthodes peuvent être utilisées, ce que nous allons décrire dans la première section. Il est aussi nécessaire d’expliquer la démarche de vérification des hypothèses dans ce second chapitre.
Méthodologie de recherche
C’est la description des différentes méthodes mises en œuvre pour la réalisation de ce mémoire. Ces méthodes sont : le déroulement de la recherche, la saisie et le traitement des données recueillies. Mais l’étude a connu aussi des limites.
Le déroulement de la recherche
C’est un ensemble d’informations qui ont été collectées, analysées ou traitées, représentées. Comme toute production technologique, la réalisation d’une recherche doit obéir à une démarche cohérente et logique. Donc dans notre cas, nous avons fait une observation directe participante, c’est-à-dire que nous avons effectué un stage pratique d’une durée de un (1) mois pour la réalisation de notre recherche.
Déroulement du stage
Pour l’application des acquis en cours théorique et la préparation de notre mémoire, un stage pratique est vraiment nécessaire, notre stage a duré environ un mois. Le long de notre stage, nous avons pu constater qu’il y a une forte cohésion entre les matières apprises en salle et les activités de la banque. Nous avons suivi les mêmes conditions de travail que les employés de la BOA : le respect de l’heure de travail, le silence absolu pendant l’heure de travail, le port des tenues appropriées, le respect d’autrui. Ce stage nous a beaucoup aidé à connaître le monde professionnel.
Activités effectuées dans l’entreprise
Les activités effectuées dans l’entreprise correspondent aux différentes tâches que la banque nous a confiées durant le stage pratique. Pendant notre passage à l’agence Anosizato, nous avons pu effectuées toutes les activités de la banque telles que l’ouverture de compte, le classement des dossiers, la visite clientèle, le montage des dossiers de demande de prêts, les opérations de caisse, les opérations de virement et de prélèvement et tant d’autres. Nous avons aussi pu consulter les documents liés aux opérations internationales.
Entretien
Afin d’avoir détenu des informations plus lumineuses à propos de notre thème de mémoire, nous avons eu un entretien auprès du chargé de clientèle de l’agence. L’entretien a pour but d’extraire des informations à travers la stratégie orale. Pour ce faire, l’élaboration d’un guide d’entretien est indispensable afin de ne rien oublier ce qui est nécessaire à collecter. C’est pour cette raison qu’elle est utilisée durant l’observation participative.
Ensuite, le guide à remplir, adressé à l’employé est basé sur le thème « Gestion d’octroide crédit professionnel d’une banque commerciale ». L’entretien est constitué d’un entretien libre où nous avons seulement indiqué le thème et laissé le sujet s’exprimer librement puis d’un entretien semi-dirigé où nous avons orienté la pensée du sujet vers ce qu’il vient d’exposer et enfin d’un entretien dirigé où nous posons des questions à chaque fois et l’interviewé répond afin d’obtenir aussi bien des informations quantitatives que qualitatives.
Pour vérifier des hypothèses, l’entretien dirigé est indispensable.
Table des matières
REMERCIEMENTS
RESUME
LISTE DES ABREVIATIONS
LISTE DES FIGURES
LISTE DES TABLEAUX
GLOSSAIRE
INTRODUCTION
PARTIE 1. MATERIELS ET METHODES
Chapitre 1. Matériels
Section 1. Justification et description de la zone d’étude
Section 2. Apports théoriques
Chapitre 2. Méthodes
Section 1. Méthodologie de recherche
Section 2. Démarche de vérification des hypothèses
PARTIE 2. RESULTATS
Chapitre 1.Résultats obtenus sur les lignes de crédit
Section 1. Les différents types de crédit professionnel
Section 2. Comportement des clients
Section 3. Les modes de répartition des crédits professionnels
Chapitre 2. Résultats obtenus sur les dossiers de demande de crédit
Section 1. Circuit de cheminement d’analyse de dossier de crédit
Section 2. Eléments constitutifs du dossier de demande de prêt
Section 3. Mode d’évaluation du dossier de demande de crédit
Section 4. Dossiers non-conformes rencontrés au moment de l’analyse et les chartes clients
PARTIE 3. DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
Chapitre 1. Discussions relatives aux hypothèses
Section 1. Discussions relatives à la première hypothèse
Section 2. Discussions relatives à la deuxième hypothèse
Section 3. Opportunités et menaces
Chapitre 2. Recommandations relatives aux hypothèses
Section 1. Recommandations relatives à la première hypothèse
Section 2. Recommandations relatives à la deuxième hypothèse
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
TABLE DES MATIERES