Les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) dans l’enseignement secondaire

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Cadre méthodologique

Univers de l’étude

Cette étude rentre dans la sphère problématique de l’introduction dans la société sénégalaise et de son impact dans le développement social du pays. Cela va s’en dire qu’elle s’intéresse à la manière dont les populations s’en approprient et l’usage qu’elles en font. Il faut dire que par divers mécanismes, le Sénégal a essayé d’entrer dans l’ère des nouvelles technologies de l’information et de la communication avec notamment son secteur économique qui par le biais d’entreprises et sociétés nationales se crée une place importante dans le marché des NTIC dans la sous région. Ainsi, c’est l’ensemble du pays qui est ainsi affecté par l’émergence des machines informatiques et de l’Internet qui constituent ainsi cadre dans lequel il est nécessaire de réfléchir. Mais une délimitation de ce cadre serait opportun pour se concentrer dans ce qui nous intéresse directement.

Champ d’étude et population cible

Nous délimitons notre étude dans le secteur de l’éducation plus précisément au niveau du cycle secondaire de l’enseignement. Ainsi, en ce qui concerne les NTIC, l’accent sera mis sur deux aspect à savoir l’informatique et l’Internet qui seront dernier lieu appréhendés à l’intérieur du système éducatif, plus particulièrement par rapport aux élèves. En plus bref, nous dirons que notre étude portera sur la question de l’informatique et du comportement des élèves par rapport à l’Internet. Elle concerne directement que deux établissements scolaires secondaires de Dakar à savoir le Lycée Blaise Diagne (LBD) et le cours privé des Parcelles Assainies (CSPA) dont les effectifs au niveau secondaire constitueront notre population cible.
Ainsi, seuls seront pris en compte les élèves des classes de seconde à aux classes de terminale en passant par celles de première. Nous ciblerons l’ensemble des élèves régulièrement inscrits au lycée Blaise DIAGNE et au CSPA pour le cycle secondaire. Cet ensemble compte 3442 élèves pour le LBD et 523 pour le CSPA.
Par ailleurs, il ne serait pas sérieux et sûrement pas tolérable de faire une quelconque étude dans le système éducatif en négligeant la catégorie d’acteurs que constituent les professeurs. C’est pourquoi, nous nous intéresserons à quelques professeurs et surtout aux différents professeurs d’informatique des deux établissements.
Une présentation des établissements ciblés nous permettra d’avoir une idée de leurs spécificités.

Le Lycée Blaise DIAGNE (L.B.D.)

Entouré par des quartiers populaires (Fass, Colobane, Grand Dakar), aussi par des quartiers résidentiels comme Point E et aussi par des quartiers relativement résidentiel comme Zone A et Zone B, le lycée Blaise Diagne est présenté comme un établissement pour les élèves de la banlieue.
En effet, une bonne partie des élèves issus des banlieues de Dakar et surtout des villages traditionnels lébou sont orientés après le BFEM dans ce Lycée pour y poursuivre leurs études secondaires. Dès lors l’établissement est perçu comme prévu pour la classe moyenne pour ne pas dire basse.
Le LBD a été créé en 1958 sous l’appellation de Collège d’orientation et fonctionnait comme internat tel la plupart des établissements secondaires d’alors. Au début de la décennie 60, le collège va prendre le nom Blaise Diagne en hommage au premier député noir à l’assemblée française.
Nous convenons de dire que c’est un lycée qui a joué un rôle de pionnier dans l’introduction des NTIC dans l’enseignement. En effet, sous l’impulsion du proviseur et d’un professeur M. NDAW (diplômé en informatique), le lycée disposait déjà en 1992 d’un ordinateur. A cette époque, quelques élèves pouvaient bénéficier d’une initiation en informatique. Aujourd’hui, cette salle ne compte qu’une dizaine d’ordinateurs dont la moitié est en panne.
Toutefois, il y a la salle <<world links>>, financé par la banque mondiale qui, avec 20 ordinateurs connectés à l’Internet, sert de salle d’initiation. Il est presque inutile de signaler, compte tenu du nombre d’élèves, que l’informatique n’est pas intégrée dans le programme d’enseignement d’autant plus que c’est un établissement scolaire public qui essaie par ces propres moyens et démarches de s’approprier les NTIC.

Le Cours Privés des Parcelles Assainies (C.S.P.A)

Cet établissement scolaire, sis en pleine banlieue c’est-à-dire à l’entrée des Parcelles Assainies et entouré par des quartiers comme HLM grand Yoff et Patte d’oie, a été créé en 1986 par M. BAGUIDI, professeur de mathématiques à l’école supérieur polytechnique (ex ENSUT) de l’UCAD. A cette année, les cours ne concernaient que le cycle secondaire. En 1987, le programme va être étendu pour toucher tous les autres cycles à savoir le cycle moyen et primaire.
Cependant, ce n’est qu’en 2000 que les NTIC vont faire leur entrée dans l’établissement avec l’installation de deux salles informatiques comptant chacune 12 ordinateurs.
Ce qu’il faut retenir c’est que même si l’informatique est intégrée dans le programme d’enseignement de cet établissement, donc accessible et obligatoire, il n’en est pas de même pour l’Internet puisque la connexion fait toujours défaut ou n’est pas accessible pour les élèves. Ce qui veut dire que l’installation de salles informatiques est une chose, mais la connexion à l’Internet ou l’ouverture d’un cyber est une autre chose. C’est d’ailleurs la prise de connaissance de cette situation qui nous a poussé à porter notre choix sur cet établissement en guise d’élément de comparaison. .

Méthode et technique d’échantillonnage

Se trouvant, comme la plupart des chercheurs, dans l’impossibilité d’interroger ou d’enquêter directement tous les membres de la population mère, nous sommes obligés de procéder à un échantillonnage afin de réduire la population. L’échantillon apparaît ainsi, selon Félicité des NETUMIERES comme <<un ensemble restreint d’individus provenant d’une population, qui servent de support à l’étude que l’on réalise>>23. Il doit donc être représentatif de la population initiale. Dans cette étude, nous utiliserons une méthode dite non probabiliste qui ne laisse donc aucune place au hasard. Ainsi, du fait de la nature de la population à observer et de l’absence de base de données sur cette population concernant certaines variables, nous avons choisi la technique d’échantillonnage par quota. Elle consiste selon GHIGLIONE et MATALON << à obtenir une représentativité suffisante en cherchant à reproduire, dans l’échantillon, les distributions de certaines variables importantes, telles que ces distributions existent dans la population à étudier>>24. Il est donc nécessaire, pour réaliser cette opération, de fixer quelques caractéristiques ou variables observables et surtout accessibles.
Nous retiendrons à ce propos les variables sexe, niveau d’étude et série suivie dans les études. Par ailleurs, s’il y a une variable qui nous serait d’une grande utilité et dont nous ne pouvons tenir compte dans l’échantillonnage, c’est bien le lieu de résidence. En effet, ne disposant pas de bases de données fiables sur cette variable, nous avons décidé de nous en tenir aux variables accessibles.
Compte tenu de la nature de l’étude et de la population cible, deux échantillonnages s’imposent : un pour le LBD et un autre pour le CSPA. Mais, toujours est-il que la méthode et la technique resteront invariables pour les deux populations et l’analyse portera globalement sur l’ensemble de ces deux échantillons.
Pour le LBD, un sondage à 1/30 nous a permis d’avoir un échantillon de 115 individus puisque la population compte 3442 individus. Suivant cette logique, nous aurons : N= population mère ou base de sondage
E= échantillon
-1550 élèves en seconde représentant 45,03% de N soit 52 individus dans E
-854 élèves en première représentant 24,81% de N soit 28 individus dans E -1038 élèves en terminale représentant 30,16% de N soit 35 individus dans E
En vue d’éviter certaines distorsions ou la sous représentation de certaines variables qui aboutirait à un échantillon biaisé, nous allons croiser les variables (sexe, niveau d’étude et série suivie). Il s’agit de déterminer, afin de le faire apparaître dans l’échantillon, le nombre de filles et de garçons selon la série suivie à chaque niveau d’étude. Nous avons ainsi :
*En seconde 60,90% des élèves qui suivent la série scientifique (série S) contre 39,10% en série littéraire (série L). Ce qui donne respectivement 32 élèves et 20 élèves. En seconde S les garçons représentent 49,78% contre 50,22% de filles soit respectivement 15 et 17 individus dans E. Alors en série L ils ont pourcentage de 56,27%(11garçons) contre 43,23% pour les filles (9 filles).
*En première 50,94% des élèves en série S soit 15 individus dans E dont 79,54% sont des garçons contre 20,46% de filles soit respectivement 10 g et 4f. Les 49,06% restant soit 13 individus sont en série L et dont 62,53% de garçons contre 37,47% de filles. Ce qui donne respectivement 9 garçons et 5filles.
*En terminale, 42,48% des élèves sont en série S soit 15 individus dont 75,74% sont des garçons (11garçons) contre 24,26% de filles (4filles). Les 57,51% restant soit 20 individus sont en série L et on y observe 56,95% qui sont des garçons contre 43,05% qui sont des filles soit respectivement 11 garçons et 9 filles.
Notre échantillon pour le LBD se présente comme suit :
*15G et 17 F en seconde S
11G et 9 F en seconde L
*10G et 4F en première S
9G et 5F en première L
*11G et 4F en terminale S
11G et 9F en terminale L
Pour le CSPA, nous avons suivi la même démarche avec quelques modifications concernant surtout le taux de sondage. En effet, le taux de sondage appliqué à la population du LBD, nous donnerait un échantillon trop petit. Etant donné que nous avons fixé ce taux pour avoir au minimum 100 individus dans l’échantillon, nous avons trouvé logique de changer de taux afin de maintenir cet objectif.
Dans cette perspective, nous avons retenu pour le CSPA un taux de sondage de 1/5 qui donne, avec une population mère de 523 individus un échantillon de 105 individus répartis comme suit :
*8G et 12F en seconde L
6G et 3F en seconde S
*9G et 8f en première L
6G et 4F en première S
*15G et 18F en terminale L
10G et 6F en terminale S
Tout compte fait, l’enquête portera sur un échantillon global de 220 individus.
N.B : Ces données concernant les effectifs des deux établissements ont été recueillies auprès des services administratifs desdits établissements. Après comme le lecteur pourra le constater, nous avons effectué des calculs en tenant en compte les pourcentages de chaque catégorie et selon les critères retenus. Il faut aussi signaler que nous avons dû arrondir la plupart des chiffres d’autant plus que l’unité est ici l’individu ; la présence de nombres décimaux, comportant des virgules serait un peu encombrant surtout pour la lecture.

Méthodes et techniques d’investigation

Après l’échantillonnage, il est important de savoir quelle méthode et quels moyens utilisés pour collecter des informations nécessaires à la recherche. Plusieurs techniques d’investigations existent. Deux auront suffi à la réalisation de ce travail.
Nous avons d’abord de documentation qui consiste en une consultation de l’ensemble des documents écrits, parlés ou audiovisuels concernant le thème de recherche. C’est ainsi que nous avons consulté une dizaine d’ouvrages, des revues, et autres articles de journaux et qui nous servi par ailleurs à la conception d’une revue critique de la littérature et aussi à avoir une idée assez claire du phénomène sous examen.
Mais à côté de la documentation livresque, nous avons effectué une enquête de terrain avec comme principaux instruments le guide d’entretien et le questionnaire.
Dans un premier temps, il a été question, de discuter avec des professeurs en tant que personnes ressources afin de recueillir leurs opinions par rapport aux NTIC et aux comportements des élèves face celles-ci. Ainsi, nous nous sommes entretenus au Lycée Blaise Diagne avec M. NDAW, M. TIAM, M. ARIBOT, et M. MBODJ et au CSPA avec M. BOUSSO et M. BAGUIDI A cet effet, seule une technique qualitative comme l’entretien peut nous permettre de collecter le maximum d’informations. C’est pourquoi l’entretien semi-directif a été utilisé dans cette opération. Autrement dit muni d’un guide d’entretien bien structuré et composé essentiellement de questions ouvertes, nous avons essayé de n’intervenir que pour poser une question et orienter l’interviewé dans certains sous thèmes.
Ainsi, au moyen d’un Dictaphone nous avons enregistré tous les entretiens qui seront exploités puis analysés ultérieurement. Ce guide d’entretien a été conçu conformément à nos préoccupations méthodologiques c’est-à-dire que nous avons fait en sorte que les différentes variables nécessaires à l’analyse apparaissent dans la grille des questions de l’entretien (voir annexes). Les entretiens ont surtout servi à appuyer les données recueillies par questionnaire.
C’est le point de vue des élèves qui, dans un second temps, a été recueilli grâce à une technique quantitative à savoir le questionnaire (voir annexes pour la structure). C’est une série de questions qui, fermées ou ouvertes, peuvent nous permettre de <<vérifier des hypothèses : sous la forme de relations entre deux ou plusieurs variables>>25. Nous avons, dans cette étude, privilégié les questions fermées dont le principe est de proposer à côté de chaque question des possibilités de réponses. Ce choix est motivé par le fait que les élèves semblent paresseux ou simplement ils n’ont pas assez de temps surtout en cette période de fin d’année pour répondre aux questions ouvertes.
Ces questionnaires et guide d’entretien seront administrés auprès des populations ciblées afin de récolter les informations requises pour vérifier les hypothèses de travail. Rappelons par ailleurs que si nous avons privilégié les questions fermées dans le questionnaire c’est pour minorer les risques de non-réponses pendant l’enquête de terrain qui est vraisemblablement l’étape prochaine.

L’enquête de terrain

Elle se réalise généralement en trois étapes. Il est une exigence de prendre connaissance non seulement de la manifestation du phénomène étudié, mais aussi de terrain en question. C’est là, l’importance du travail d’exploration.

Phase exploratoire

Avant de se lancer dans l’enquête à proprement parler, il faut aller sur le terrain et être en contact avec le phénomène qu’on veut étudier. Il s’agit là, d’explorer le terrain et de prendre connaissance de la réalité. C’est ce qui semble nous permettre de nous départir de nos préjugés.
C’est en vue d’éviter ce que P. BOURDIEU appelle la sociologie spontanée que nous avons visité la salle informatique et la salle Internet du LBD le 06 MAI 2004. Le même jour, nous avons discuté non seulement avec des élèves, mais surtout avec les professeurs d’informatique dont M. NDAW. Une visite du même type a été effectuée le lendemain au CSPA avec à l’appui un entretien avec M. Saer BOUSSO, l’un des professeurs chargés de l’enseignement de l’informatique.
Ce travail d’exploration nous a permis de voir, contrairement à ce que nous croyons, que les élèves issus de familles défavorisées ne sont pas disqualifiés dès le départ en matière d’usage des NTIC.

La pré- enquête ou pré- test

Dans le souci de veiller à ce que les questions à poser aux élèves soient compréhensibles et perçues de la même manière par tous, nous avons testé le questionnaire en le soumettant à une dizaine d’entre eux choisis par hasard. C’est d’ailleurs après cette opération que nous avons décidé de privilégier les questions fermées et aussi de reformuler d’autres.

L’enquête proprement dite

Il faut signaler, dès le départ, que l’enquête a été menée avec la combinaison d’une technique aléatoire en ce sens que nous n’avons pas procédé classe par classe. Mais, nous avons choisi les heures de pointe telles les pauses ou descentes pour administrer les questionnaires en prenant le soin de demander à chaque élève son niveau et sa série pour voir s’il entre dans l’échantillon.
Pour le LBD, l’enquête s’est déroulée en 3 jours plus précisément du 08 au 10 juin 2004. Et pour le CSPA, une seule journée a suffi pour l’administration du questionnaire aux principaux concernés. C’était le 14 juin 2004.
En ce qui concerne les entretiens, nous les avons réalisés avec un certain décalage puisque les rendez-vous sont toujours fixés par ces personnes ressources qui sont d’ailleurs à l’origine de l’une des difficultés sur le terrain.

L’étude et ses réalités

L’évocation de ce que nous appelons les réalités d’une étude et que d’autres nomment les difficultés rencontrées, ne consiste pas en une quelconque plainte pour montrer toute notre « souffrance » dans la réalisation de ce travail. Il s’agit plutôt d’un moyen d’inscrire cette étude dans la voie de la science qui n’est jamais aisée. C’est ce que Karl MARX a essayé de faire comprendre à Maurice Le CHATRE lorsqu’il écrit : <<il n’y a pas de route royale pour la science et ceux-là seulement ont chance d’arriver à ses sommets lumineux qui ne craignent pas de se fatiguer à gravir les sentiers escarpés>>26. Il n’est pas non plus question de penser que l’existence de ces difficultés garantit la scientificité de l’étude.
Ainsi, la première chose à noter est le fait que les NTIC dans le système éducatif soient peu ou prou un thème nouveau en sociologie, un champ que les sociologues n’ont pas directement investi. Dès lors, il n’est pas aisé de trouver un cadre théorique typique à ce sujet. Nous avons dû réadapter certaines théories, avec tous les risques d’erreurs ; ce qui n’est jamais chose facile. De même, nous avons eu d’énormes difficultés à élaborer un modèle d’analyse dans la mesure où les deux modèles de références de la sociologie de l’éducation celui de BOURDIEU et celui de BOUDON semblent être opposés sur toute la ligne. Il est presque impossible d’utiliser dans une même étude deux modèles qui sont justement antagonistes depuis leurs soubassements.
Par ailleurs, l’enquête de terrain a été effectuée en période de composition et surtout de fin d’année. Recueillir des informations en cette période dans la mesure où les élèves sont trop concentrés sur leurs compositions ou encore pressés d’aller en vacances, n’est pas chose aisée. C’est là un problème d’autant plus qu’il fallait qu’on fît le terrain avant que les élèves ne prennent congés de l’école.
Le fait marquant de cette situation est arrivé au LBD où une bonne partie des élèves à qui nous avions administré des questionnaires avait disparu sans nous les remettre. Ce qui nous a obligés à en reproduire afin de les administrer à nouveau.
Une autre réalité du terrain est la difficulté à obtenir un entretien avec les personnes ressources. Certaines parmi elles demandent d’appeler 3à 5 fois dans la semaine pour un seul rendez-vous. Cependant ces difficultés n’ont en rien altéré notre ambition des recueillir des données que nous analyserons plus tard. Avant cela, il est de coutume de présenter les données. C’est d’ailleurs, la raison d’être de la deuxième partie.

Table des matières

INTRODUCTION
1. Cadre Théorique et Méthodologique
1.1. Cadre Théorique
1.1.1 Problématique
1.1.2. Les objectifs poursuivis
1.1.3. Les hypothèses de travail
1.1.4. Quelques concepts fondamentaux
1.1.5. Modèle d’analyse
1.1.6. Revue critique de la littérature
1.1.7. Quelques éléments de pertinence du sujet
1.2. Cadre méthodologique
1.2.1. Univers de l’étude
1.2.2. Champs de l’étude
1.2.3. Méthodes et techniques d’échantillonnage
1.2.4. Méthodes et techniques d’investigation
1.2.5. L’enquête de terrain
1.2.6. Le terrain et ses réalités
2. Présentation générale des données
2.1. Vue d’ensemble sur les NTIC
2.1.1. Quelques repères sur l’évolution des NTIC
2.1.2. Sur les NTIC dans la société sénégalaise : état des lieux
2.1.3. Quelques tentatives d’introduction des NTIC dans le système éducatif
2.1.4. Les NTIC ou l’outil à maîtriser
2.1.5. De la culture informatique
2.2. Quelques aspects de la population cible
2.2.1. Une population sexuée et jeune
2.2.2. Selon la stratification
2.2.3 La structuration scolaire
2.2.4. Sur l’origine sociale
3. Analyse et interprétation des données
3.1. Sur l’usage véritable des NTIC par les lycéens
3.2. Une utilisations du Net dans les études encore modérée
3.3. Les NTIC : comme reflets des Inégalités sociales ?
3.4. Les NTIC : accès problématique
3.5. L’effet établissement
3.6. Les NTIC et leurs travers
3.7. Le rôle du corps professoral et l’avenir des NTIC dans le système éducatif
CONCLUSION GENERALE
ANNEXES

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