Les théories de la croissance économique en conjonction avec les mouvements d’IDE

Les IDE à stratégie complexe

Les IDE complexes ou hybrides caractérisent les situations où les firmes décident simultanément d’investir dans un pays dans le cadre d’une stratégie d’accès au marché et dans un autre pays dans le cadre d’une stratégie de réduction des coûts. Selon Yeaple (2003) , les stratégies d’intégration complexe dominent les autres formes d’investissement lorsque les coûts de transport se situent à un niveau intermédiaire. En effet, si le niveau des coûts de transport est faible, les IDE prennent une forme verticale. Par contre, s’ils sont élevés, les IDE prennent une forme horizontale. Toutefois, en présence d’un niveau de coûts intermédiaires, les IDE prennent une forme hybride afin de bénéficier des avantages résultant de la complémentarité des investissements entre les pays du Nord d’une part et ceux Nord-Sud d’autre part. Il est possible de concevoir les mutations probables en fonction du type d’IDE que les pays hôtes en développement peuvent attirer. Dans une première phase où les niveaux de rémunération sont relativement bas, ils attirent des IDE motivés par des gains d’efficacité. Et dans la seconde phase où les revenus commencent à croître, la profitabilité de l’IDE est le développement du marché.
Il est possible de catégoriser les investissements étrangers suivant la forme qu’ils prennent dans le pays d’accueil. Ainsi, l’OCDE retient les formes ci-après : investissements d’acquisition
à savoir l’achat ou la cession de participations existantes, dans le cadre d’opérations de fusion acquisition; investissement de création ou nouveau investissement ; investissement d’extension c’est-à-dire de nouveaux investissements supplémentaires visant à développer une activité existante ; investissement de restructuration financière qui sont des investissements réalisé en vue de soutenir l’activité d’une filiale qui connait des difficultés financières en y injectant des fonds nouveaux afin de compenser les pertes résultant de l’exploitation. Après avoir établi une clarification conceptuelle des IDE ainsi qu’une typologie permettant de les distinguer, il importe d’en examiner les critères d’attractivités.

L’attractivité des IDE

La globalisation économique et financière a conduit les FMNs à développer des stratégies directement mondiales à arbitrer entre les localisations de plusieurs territoires d’accueil potentiellement attractifs. Il en est de même des autorités en charge de la politique économique qui considèrent les capitaux étrangers comme une composante majeure de leurs stratégies de développement en raison des effets d’entraînement qui résultent de l’implantation des firmes transnationales. Ainsi, l’analyse de l’attractivité nécessite la prise en compte des interactions entre les composantes du triptyque IDE-FMNs-territoire d’accueil.

L’attractivité territoriale et la stratégie globale des FMNs

Dans le contexte de la globalisation, l’attractivité territoriale (côté demande d’IDE) reposant sur une série d’avantages de localisation revêt une importance d’autant plus fondamentale en ce sens que les firmes retiennent comme territoire d’accueil de leurs investissements, uniquement ceux qui renforcent leur compétitivité.
Au début des années 1980, la vague des PAS a profondément remodelé l’attitude des Etats à l’égard des investissements étrangers. Ainsi, une logique d’attraction des IDE s’est largement substituée aux politiques publiques de restriction. De ce fait, les choix stratégiques des FMNs préfigurent désormais à la réalisation des « spillovers » macroéconomiques inhérents aux investissements étrangers dans les territoires d’accueil. Ainsi, les FMNs, soucieuses d’acquérir une compétitivité ou d’en renforcer, sont amenées à convaincre, les pays d’accueil des retombées macroéconomiques de leurs activités sur les économies locales afin d’exploiter les avantages spécifiques des territoires en termes de ressources naturelles, taille des marchés, faible coût de main d’œuvre, etc. Ce faisant, elles sont de moins en moins exigeantes dans la négociation des STORAÏ C., Attractivité territoriale et stratégies de localisation des firmes : le territoire Corse peut-il devenir un nouvel éden ? , 2003 conditions d’implantation, et entreprennent de bonnes pratiques en termes de protection de l’environnement mais aussi d’internalisation des externalités négatives qui résultent de leurs exploitations.

Interaction IDE-FMNs-attractivité territoriale

Dans la logique de la globalisation, la dialectique de l’attractivité repose inévitablement sur une interaction entre les intérêts microéconomiques des firmes et les intérêts macroéconomiques des Etats. Cette forme d’attractivité se traduit par la combinaison de l’attractivité territoriale à celle des firmes. L’approche transversale de l’attractivité consiste également à examiner les liens entre les spécificités sectorielles (structure, intensités compétitives/technologiques), stratégies d’implantation des FMNs et des IDE. La première tentative d’intégration de ces trois approches (firmes-territoires-secteurs) s’est traduite dans le paradigme OLI de Dunning (1988).
La globalisation économique a réhabilité un concept typiquement smithien en matière d’échange international : celui de l’avantage absolu. Il existe deux types d’avantages : l’avantage absolu des territoires et l’avantage compétitif des firmes. Les avantages compétitifs des firmes peuvent provenir de deux sources : celles qui réduisent les coûts de production tels que l’innovation technologique et les coûts des inputs, et celles qui permettent la différenciation des produits telles que les marques de fabrique, la publicité et la concurrence monopolistique. Du point de vue holistique, la compétitivité des firmes peut s’analyser comme la prédisposition de ces dernières à conquérir de nouveaux marchés dans un contexte de concurrence oligopolistique.
Cela se traduit par une interdépendance globale entre les acteurs d’un même secteur d’activité.
Les avantages absolus de localisation génèrent l’attractivité des territoires susceptibles de répondre aux besoins et aux attentes des investisseurs potentiels. Tout espace géographique désireux d’attirer des IDE doit mettre en place une politique économique multidimensionnelle à même de susciter ces avantages absolus de territorialisation. Ce faisant, la dynamique de l’attractivité doit être conçue progressivement selon un archétype organisationnel permettant au préalable, de lisser un cadre macroéconomique et institutionnel favorable à la qualité de l’environnement des entreprises.

Les théories de la croissance économique en conjonction avec les mouvements d’IDE

Différentes théories se sont intéressées aux IDE sans avoir fourni un cadre théorique unifié permettant aussi bien de déterminer les déterminants que de quantifier les impacts de ceuxci sur les économies d’accueil. Les éléments de réponse de ces théories diffèrent selon les écoles de pensée, l’évolution des IDE et les approches adoptées.

La théorie éclectique de Dunning : paradigme OLI

La théorie développée par Dunning constitue une première contribution majeure de l’analyse des flux d’investissements internationaux dans les années 1970, bien que la première firme internationale s’est développée au milieu du 17è siècle sous le nom de « East India Company ». La théorie éclectique est conçue comme une synthèse des théories de l’internationalisation et de la théorie des coûts de transaction qui n’apportent chacune que des explications partielles de la localisation des firmes. Dans cette approche, Dunning s’est inspiré des travaux de Hirsch (1976) relatifs à un arbitrage qu’effectue une firme entre les trois modalités d’exploration du marché étranger : soit l’IDE, soit l’exportation ou la vente de licence. En distinguant les différents coûts relatifs à chaque modalité, la simple comparaison entre ces coûts détermine le choix de la modalité la plus rentable pour la firme. L’approche de Hirsch suppose ainsi une information parfaite sur tous les coûts, ce qui ne peut être le cas à l’échelle mondiale compte tenu de la grande asymétrie des coûts et des avantages. En outre, cette approche qui fait partie des modèles statique ne considère que le choix d’une firme isolée et pour qui seul le coût importe dans la décision de localisation.
C’est dans ce cadre d’arbitrage que Dunning construit un modèle simple à deux pays dans lequel les firmes font le choix entre les trois modalités de pénétration du marché étranger (IDE, Licence ou Exportations). Ce choix s’effectue sur la base de trois types d’avantages qu’une firme doit posséder pour s’internationaliser et résumé par le paradigme OLI. Ownership advantage (O) qui se traduit par la possession d’un actif spécifique ou avantage spécifique de la firme. C’est unproduit ou une technologie dont les autres firmes ou sociétés ne disposent pas ou n’y ont pasaccès (brevet, marques, secrets commerciaux, etc.). Location advantage (L) qui signifie que l’actif doit être durable pour l’entreprise de l’exploiter à l’étranger plutôt que dans le pays d’origine. C’est un avantage de la localisation à l’étranger. Il s’agit ici de rechercher les débouchés qui minimisent les coûts de production, de commercialisation, etc. Internalization advantage (I) qui s’explique par le fait qu’il y a moins d’avantage à sous-traiter qu’à exploiter soi-même cet actif spécifique. C’est un avantage à l’internalisation, en vue de contourner ou d’éviter le risque lié à la vente de technologie aux autres firmes pour ne pas s’exposer à la concurrence. En effet, une implantation à l’étranger par le biais des IDE n’est possible que si les trois avantages spécifiques (O, L et I) sont réunis. En revanche, si l’avantage des coûts à la localisation L n’existe pas en présence des deux autres avantages O et I, la firme préfère exporter vers les marchés étrangers. La vente de licence sera le choix le plus favorable si elle ne détient qu’un avantage au niveau de l’industrie O.
Cependant, cette théorie reste marquée par son approche purement microéconomique de la question de la localisation et de l’absence d’une analyse macroéconomique en termes d’avantages comparatifs des pays. Cette théorie est aussi critiquée par l’absence d’interactions stratégiques entre les firmes dans les choix isolés qu’effectuent ces firmes, sans prise en compte des actions et choix des firmes concurrentes locales et étrangères. Toutefois, Dunning (1993) luimême a tenté de dépasser le cadre statique de son modèle pour une approche dynamique de la théorie éclectique, en considérant l’évolution dans le temps des trois types d’avantages O, L et I.

Les modèles de gravité

Les modèles de gravité en économie sont inspirés des principes de gravité en économie spatiale appliqués pour l’étude des aires d’influence des économies modernes. En économie internationale, les modèles de gravité ont été introduits pour analyser les flux d’échange bilatéraux entre pays. On considère que les flux d’échanges sont une fonction linéaire de la puissance économique des pays, de la richesse et de la proximité géographique. Les fondements théoriques du modèle gravitationnel depuis les travaux précurseurs réalisés simultanément par Tinbergen (1962) et Pöyhönen (1963) et prolongés par Linnemann (1966), se sont progressivement développés dans le cadre des travaux d’Anderson (1979), Bergstrand (1985 et 1989), Deardorff (1995), et Evenett et Keller (1998). Ces modèles se situent dans le cadre de la concurrence imparfaite et suggèrent que les échanges commerciaux et les IDE sont substituables. Anderson (1979) a donné une généralisation de l’équation de gravité en s’appuyant sur la théorie du commerce international d’Hecksher-Ohlin. Il postule que chaque pays se spécialise dans la production d’un seul bien pour lequel il est mieux doté par rapport aux autres pays et que les préférences des consommateurs sont identiques entre les pays.
Récemment, Josselin et Nico (2003) fournissent une équation généralisée du modèle gravitaire intégrant les IDE. L’introduction des IDE dans le modèle gravitaire répond à un double objectif : premièrement, comme variable explicative des flux commerciaux, deuxièmement, identifier les secteurs industriels de concentration de ces IDE et analyser leurs impacts sur les deux économies. Pour Eaton et Tarnura (1994), et Kumar (200), les fondements des modèles de gravité dans l’explication du flux d’IDE se traduisent de la façon suivante. Pour le pays d’origine, plus sa taille économique est grande, plus il a la capacité d’investir à l’étranger. Quant au pays d’accueil, plus sa taille économique est grande, plus il est susceptible de recevoir un montant plus important d’IDE. Par ailleurs, la distance devrait avoir un impact négatif sur les flux d’IDE, car la distance engendre des coûts et des barrières à l’IDE comme le coût de déplacement de personnel et de biens. Ce facteur est particulièrement important pour les IDE de type vertical. La proximité facilite l’obtention des informations, tandis que l’éloignement implique souvent une barrière culturelle et un coût psychologique pour les investisseurs étrangers.
Bien que les progrès récents dans le domaine de transports et des télécommunications aient contribué à réduire sensiblement les coûts de transports, force est de reconnaître qu’ils ont un impact non négligeable dans certains domaines.

La théorie néoclassique

Les premières théories de la croissance économique (Adam Smith; Thomas Robert Malthus, David Ricardo) ont mis l’accent sur l’importance de l’expansion quantitative des facteurs de production à savoir : le capital, le travail et la terre, le rôle de la croissance des marchés dans l’amélioration de l’efficience et de la productivité d’une économie, et le rôle de la demande et des effets multiplicateurs de l’augmentation de l’investissement et des exportations. , a constitué un changement de paradigme, en accordant une grande importance au progrès technique et au rôle de l’amélioration de la production dans la croissance économique. Le modèle de Solow, avec l’hypothèse des rendements d’échelle décroissants du capital, stipule que les économies qui ont un niveau initial du stock de capital par tête plus faible, tendent à avoir des rendements d’échelle et des taux de croissance plus élevés. Ce qui va leur permettre de converger à long terme vers les pays riches. Pour les néoclassiques, les capitaux devraient donc aller des pays où ils sont les plus abondants vers les pays où ils sont relativement rares ; car dans ces derniers, les rendements des nouveaux investissements devraient être plus élevés. Cette réaffectation des capitaux améliorerait l’allocation des ressources, permettrait de valoriser les avantages comparatifs et devraient présenter des gains importants dans les pays d’accueil notamment la hausse du revenu national, des exportations, l’amélioration de la productivité et la hausse des rémunérations des travailleurs.
Cependant, Lucas (1990) estime que, les capitaux ne se dirigent pas forcément vers les zones où ils sont le plus rares, car les rendements des investissements sont plus importants là où la main d’œuvre est la mieux formée et les infrastructures plus développées.
Dans le cadre des modèles de croissance néoclassique de type Solow, l’effet des IDE sur la croissance est limité, vu l’hypothèse des rendements décroissants. Les IDE influencent seulement le niveau de revenu, laissant le taux de croissance à long terme inchangé. Autrement dit, la principale insuffisance des modèles néoclassiques, est que, la croissance à long terme ne peut résulter que du progrès technologique ou de la croissance de la population, de la force du travail, qui est considérée comme exogène. L’IDE affectera la croissance uniquement à court terme, tandis qu’à long terme, et en raison de la loi des rendements décroissants par rapport au capital, l’économie convergera vers un état stationnaire, comme si l’IDE n’avait jamais pris place dans celle-ci, n’affectant en aucune manière le taux de croissance à long terme. Dans ce modèle, le capital physique, en tant qu’input, a des rendements décroissants, ce qui limite le processus d’accumulation, donc conduit inexorablement à l’arrêt de la croissance. En effet, les divers systèmes productifs nationaux évoluent dans des situations contrastées et cette diversité ne peut être expliquée sur la base d’une approche de type Solow.

Les nouvelles théories de la croissance

Les nouvelles théories de la croissance ou « théories de la croissance endogène » sont de nouvelles approches de la croissance qui connaissent un important développement depuis la décennie 1980. Elles sont nées des travaux d’économistes tels que Romer (1986), Lucas (1988), Barro (1991), Barro et Salai-Martin (1995) et Grossman et Helpman (1991), qui se nourrissent des avancées de la nouvelle économie industrielle, laquelle intègre la concurrence imparfaite, les stratégies d’innovation, la recherche-développement, la différenciation des produits, le non constance des rendements d’échelle, etc. Cette nouvelle approche de la croissance se focalise sur le rôle central de l’accumulation et la diffusion de la technologie dans la croissance économique.
L’existence des externalités technologiques et connaissances viennent contrebalancer les effets des rendements décroissants de l’accumulation du capital du modèle de Solow et donc, maintiennent l’économie sur un sentier de croissance soutenue de long terme.
L’avènement de la théorie de la croissance endogène a encouragé la recherche sur les canaux, par lesquels, l’IDE peut promouvoir la croissance à long terme. En effet, l’IDE peut contribuer significativement à l’accroissement du stock des connaissances dans le pays d’accueil, en fournissant non seulement de nouveaux biens d’équipement, mais aussi de nouveaux procédés de production. L’amélioration des qualifications peut avoir lieu soit par une formation formelle des travailleurs, soit par le « learning by doing » au sein des filiales étrangères. L’IDE en améliorant le stock des connaissances du pays hôte, aura aussi bien un effet à court terme qu’à long terme sur l’économie d’accueil, et permet de soutenir le taux de croissance de long terme. Romer (1993), stipule que les firmes multinationales en fournissant de nouvelles connaissances aux PED, réduisent les écarts technologiques entre ces pays et les pays avancés, ce qui peut constituer un facteur important de croissance et de convergence économique.
Plusieurs facteurs (capital humain, l’accumulation du capital, le commerce international et la politique gouvernementale), qui selon la théorie de la croissance endogène expliquent la croissance, à long terme, peuvent être véhiculés par l’IDE. Ceci est supposé stimuler la croissance par la création d’avantages comparatifs dynamiques conduisant au transfert de technologie, l’accumulation du capital humain et l’intensification du commerce international
Ces avantages dynamiques, souvent connus sous le nom des « spillovers », sont liés les uns aux autres, complémentaires, et ne doivent pas être étudiés séparément. En effet, le gain engendré par l’IDE sur un facteur de la croissance est susceptible de stimuler le développement des autres facteurs, une sorte de synergie.

La théorie du commerce international

La théorie du commerce international est une théorie explicative des échanges internationaux qui tente d’expliquer les différents flux d’échange entre les pays, la spécialisation dans certains types des produits ainsi que les avantages qui résultent de cette spécialisation. La théorie classique considère les échanges commerciaux et les IDE comme des stratégies alternatives. En effet, la causalité entre commerce international et IDE peut s’analyser aussi bien du point de vue du pays investisseur que du pays d’accueil.
Du point de vue pays investisseur, l’IDE peut être considéré comme un substitut des échanges, dans la mesure où les exportations sont remplacées par des ventes locales sur les marchés étrangers, spécifiquement sous forme de produits finis. Toutefois, il peut exister une relation de complémentarité entre IDE et échanges commerciaux en ce sens que les investissements à l’étranger renforcent la compétitivité sur les marchés étrangers, et accroissent les échanges de facteurs de production et de produits finis. En revanche, pour le pays d’accueil la causalité peut être considérée comme symétrique de celle observée dans le pays investisseur. Les ventes locales et les achats locaux effectués par les filiales étrangères remplacent les importations en provenance du pays investisseur et améliorent de ce fait la situation de la balance courante, la production intérieure et le niveau d’emploi.

Table des matières

AVANT PROPOS 
REMERCIEMENTS 
SOMMAIRE 
LISTE DES TABLEAUX 
LISTE DES FIGURES
LISTE DES ANNEXES 
LISTE DES ABREVIATIONS, SIGLES ET ACCRONYMES
INTRODUCTION GENERALE
PARTIE I : Fondements théoriques des IDE
Chapitre I- Définitions des concepts clés
Chapitre II- Débat théorique sur les IDE
Chapitre III- Les théories de la croissance économique en conjonction avec les mouvements d’IDE
CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
PARTIE II : CAS PRATIQUE : Cas de l’extraction minière à Madagascar 
Chapitre I- Historique de l’industrie minière malagasy
Chapitre II- La contribution de l’exploitation minière dans l’économie malagasy
Chapitre III- Limite de l’analyse
CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE 
CONCLUSION GENERALE
ANNEXES
REFERENCE DOCUMENTAIRE
TABLE DES MATIERES

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