RÉSISTANCE DES PARASITES AUX ANTHELMINTHIQUES

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Phase libre

Déroulement de la phase libre

Chaque œuf est prédestiné à donner vie à une larve de stade L1, puis à subir une mue en larve L2 avant de se transformer en larve L3 (forme infestante). Après l’éclosion de l’œuf, la L1 qui en sort ingère des particules organiques et de microorganismes. Après sa première mue, elle continue de se nourrir. Mais une fois au stade L3, elle vit uniquement sur des réserves de glycogènes stockées dans ses cellules intestinales. Afin de rencontrer un hôte, L3 sort des bouses où elle s’est formée et rejoint l’herbage le plus proche. Elle se déplace sur les brins d’herbe ou s’enfonce dans le sol suivant un hygrotropisme positif et un phototropisme négatif[35,36].

Facteurs de variation de la phase libre

● Présence d’un facteur extérieur pour fragmenter les bouses
L’oxygène est indispensable dans les réactions métaboliques à la base du développement des formes libres. Naturellement, l’oxygénation est enclenchée suite au piétinement de troupeau ou des impacts de pluie sur les bouses[35].
● Humidité du milieu
Les larves de stade L1 et L2 doivent toujours se réfugier dans un milieu contenant du film d’eau. Dans un milieu asséché, les pores de leur cuticule laissent évaporer le fluide dans leur corps. Dans un milieu immergé d’eau, elles meurent par asphyxie[37].
● Température environnante
Entre 22 et 26 °C, les œufs peuvent éclore au bout de 12 heures suite à leur excrétion, et l’ensemble de la phase libre peut s’accomplir en 4 à 10 jours (durée minimale pour cette phase). Plus la température s’écarte de ces valeurs, plus le développement des formes libres ralentit. En dessous de 5 °C, tout développement s’arrête, et au-delà des 30 °C, de plus en plus de larves meurent[34,37].

Phase parasitaire

Déroulement de la phase parasitaire

Habituellement, le cycle se poursuit suite à une ingestion de L3 par un hôte. Mais pour le genre Bunostomum, les larves L3 peuvent entrer chez un hôte par pénétration cutanée, passent dans la circulation sanguine et remontent la voie respiratoire avant de se faire déglutir par l’hôte. Sous l’effet de la composition du rumen ou de la caillette, les L3 produisent par la suite un fluide de désenkystement pour se débarrasser de leur enveloppe, puis rejoignent la caillette, l’intestin grêle ou le gros intestin. Elles s’enfoncent dans la muqueuse digestive pour y muer en L4, retournent dans la lumière digestive pour devenir des préadultes et acquérir leur maturité sexuelle. Après accouplement avec les mâles, les femelles pondent des œufs qui vont tout de suite se développer jusqu’au stade de morula avant d’être excrétés dans le milieu extérieur avec les matièresfécales de l’hôte. La période prépatente est, dans ce cas, de 3 à 4 semaines, et la période patente peut aller jusqu’à 8 mois[37].

Facteur de variation de la phase parasitaire

Le développement peut s’arrêter momentanément aussitôt après la mue de L3 en L4 pour Ostertagia, Cooperia, Nematodirus etOesophagostomumsi les conditions environnementales ne sont plus favorables au développement des formes libres ou si l’immunité de l’hôte est trop active. Les L4 restent en inactivité totale et s’enkystent dans la muqueuse digestive. Ce phénomène est appelé hypobiose ou inhibition larvaire.
Il prend fin après 3à 5 mois ou en cas de baisse de l’immunité de l’hôte[35,38].

Pouvoirs pathogènes

Actions mécaniques et traumatiques

Le passage des larves à travers les parois digestives démolit une partie des cellules fundiques et des cellules pariétales de la caillette ainsi que des villosités intestinales. De l’hémorragie internese produit au niveau des organes où se situent les parasites. Par ailleurs, le pH gastrique passe de 2,8 à 5,7. La conversion du pepsinogène en pepsine diminue et finalement la digestion des protéines diminue. Aussi, la motricité intestinale est perturbée, et conséquemment l’absorption des minéraux diminue[39].

Actions spoliatrices

Pour se développer, les larves et les strongles adultes doivent se nourrir chez leur hôte. Les genresHaemonchus, Ostertagiaet Trichostrongylus spolient du sang. Les autres strongles se nourrissent du contenu intestinal. Ceci entraine chez l’hôte de l’anémie, une diminution du métabolisme protéique et à la fin, une réduction de la masse musculaire[35].

Actions allergisantes

À part le fluide de désenkystement ci-mentionné, les larves et les vers adultes produisent des protéases pour lyser les protéines de l’hôte, des molécules à activité anticoagulante et des molécules qui les aident à inhiber la motilité intestinale. Ces substances causent des réactions immunologiques au niveau des organes concernés. Il peut arriver cependant que l’intensité du phénomènedépasse l’effet bénéfique pour l’hôte et conduise alors à une gastrite œdémateuse[35].

Actionsinhibitrices de la productivité

Pour tenter d’assurer l’homéostasie sanguine et maintenir l’intégrité du tractus digestif, l’organisme parasité synthétise plus de protéines dans le foie et les épithéliums digestifs. Mais en contrepartie, cette compensation se fait au détriment de la croissance, de l’état corporel et de la production laitière[35].

Diagnostic

Les strongles digestifs sont des parasites ubiquistes. La strongylose digestive qu’ils provoquent est l’helminthose la plus fréquente chez les bovins dans le monde entier. Dans les pays tempérés, elle a une caractéristique saisonnière tandis que dans les pays tropicaux, elle sévit pendant toute l’année[21].
La pâture constitue la principale source de contamination des animaux. Cependant, les ruissèlements d’eau peuvent disséminer les formes libres dans les flaques d’eau et les marécages. À côté de ces sources environnementales, les animaux parasités forment des réservoirs[35].
Tous les bovins sont réceptifs aux strongles digestifs. Toutefois, les zébus sont reconnus d’être plus résilients au parasitisme que les taurins. Mais à part les bovins, les strongles digestifs des bovins, et particulièrement le genre Trichostrongylus, peuvent aussi se développer chez d’autres herbivores. Par ailleurs, l’immunité de l’hôte joue un rôle principal sur sa réceptivité. Les animaux en première et en deuxième saison de pâture ainsi que les animaux ayant un déficit ou une modification de leurs défenses immunitaires sont les plus réceptifs et les moins résistants[32,35]. La strongylose digestive n’a pas de signe clinique spécifique. Elle peut être incluse dans le diagnostic différentiel en cas de tendance à la maigreur de l’animal, de poils piqués, de diarrhée (surtout chez les jeunes animaux), de diminution de la production laitière de l’ordre de 6 à 20 %, de perte d’appétit ou d’anémie. Elle se développe à bas bruit et est parfois mortelle. Elle est à différencier de la fasciolose, de la coccidiose, des diarrhées d’origine infectieuse ou alimentaire etde la sous-alimentation. Son diagnostic de confirmation se fait en routine par coproscopie avec ou sans coproculture[40].

Stratégies de lutte

Traitement préventif

Les animaux sont vermifugés à des moments ponctuels au cours de l’élevage ou de façon régulière. Les moments de vermifugation peuventêtre au moment du sevrage, pendant le tarissement ou à la fin de la saison de pâture, et l’intervalle entre deux vermifugations successives peut être d’un, deux, ou trois mois, voire plus[37].

Traitement curatif

Cette stratégie consiste à vermifuger uniquement les animaux qui sont vraiment infestés par des parasites. Elle exige le recours à des examens de laboratoire[26].

Moyens de luttedisponibles

Anthelminthiques de synthèse

Trois groupes d’anthelminthiques à large spectre, facile d’emploi et de bonnesinnocuités sont disponibles. Il s’agit du groupe des benzimidazoles, du groupe des imidazothiazolés et du groupe des lactones macrocycliques[41].

Plantes à propriétés anthelminthiques

À l’instar des graines de papaye utilisées par certains éleveurs de Manandriana pour vermifuger les bovins[23], beaucoup de plantes sont citées dans la littérature comme ayant des propriétés anthelminthiques. Elles peuvent être exploitées sous forme
de fourrage ou de remèdes de phytothérapie et s’avèrent être bien efficaces[42].

Champignons nématophages

Duddingtonia flagrans est un prédateur naturel des larves infestantes des nématodes. Il est efficace sur les larves infestantes dans les bouseset peut être administré chez les bovins par voie orale. Il est produit et est commercialiséen Australie sous forme de complément alimentaire dénommé BioWorma®[43].

Gestion de pâturage

● Méthodes de « dilution » : il s’agit de faire pâturer simultanément (pâturage mixte) ou successivement (pâturage alterné) des animaux d’espèces différentes pendant 5 à 7 jours sur une même pâture laissée en pause depuis au moins deux mois. En faisant pâturer les bovins simultanément ou alternativement avec d’autres animaux sur les mêmes parcelles, le risque d’infestation diminue sauf avec Trichostrongylus axei[44].
● Méthode « treat and move » : les animaux sont vermifugés puis placés sur des pâtures non contaminées. Cette approche réduit le risque deréinfestation. Toutefois, elle est à proscrire en cas de résistance pour ne pas favoriser davantage la dispersion de parasites chimiorésistants sur des pâturages indemnes[45].

ANTHELMINTHIQUES

Albendazole

Propriétés physico-chimiques

Le N (propylthio-5, benzimidazolyl) 2, carbamate de méthyle, ou le méthyl [5-(propylthio)-1H-benzimidazol-2-yl] carbamate est un dérivé du thiabendazole. Il appartient au groupe des benzimidazoles[30]. Il s’agit d’une base de force moyenne dont aucun sel stable n’est connu. Il est lipophile et est très peu soluble dans l’eau. Il possède un noyau doublement aromatique ;son point de fusion est de 208 à 210 °C. Mais pour garder sa stabilité, il doit être stocké entre 15 et 20 °C[46,47].

Pharmacocinétique

Absorption

Après administration orale, l’albendazole est mis en solution puis absorbé principalement au niveau du rumen pour les ruminants et au niveau du duodénum pour les monogastriques. Chez le bovin, il faut 10 à 20 heures pour atteindre son pic de concentration sanguine (Cmax) qui est limité à 50 % de la dose administrée[48,49].

Distribution

Les molécules d’albendazole absorbées sont distribuées largement dans l’organisme. Elles passent dans le foie, les reins, les poumons, les muscles, le tissu mammaire et chez le fœtus avec un volume de distribution supérieur à 1 L/kg[48].

Métabolisation

Le principe actif d’origine reste peu de temps dans le sang. La part absorbée est rapidement oxydée en sulfoxyde d’albendazole et en sulfone d’albendazole au niveau du foie. Ces métabolites sont les formes actives de l’albendazole sur les parasites[46].

Élimination

Les molécules d’albendazole non absorbées passent directement dans les fèces sous forme de composé parental. Après métabolisation, l’élimination se fait en grande partie par l’urine, une partie passe par voie biliaire, et environ 1 % passe dans le lait. La demi-vie biologique de l’albendazole chez un bovin est de 9 à 14 heures[48].

Pharmacodynamie

Les sites d’action de l’albendazole sont les β tubulines qui composent les microtubules des cellules intestinales et cuticulaires des parasites. La liaison des molécules d’albendazole avec ces β tubulines entraine l’arrêt de synthèse de nouveaux microtubules. En même temps, les microtubules déjà formés se dissocient (Figure 4). Les réactions intracellulaires qui dépendent des microtubules s’arrêtent dont le transport du glucose. Pendant 2 à 3 jours, les cellules parasitaires peuvent fonctionner sur leurs réserves de glycogène. Mais, au-delà de ce délai, les vers sont condamnés à mourir par manque d’énergie[48].

Limites d’utilisation

L’albendazole a un index thérapeutique élevé. La dose maximale d’albendazole tolérée par les bovins est de 75 mg/kg. Ses principaux dangers sont son effet tératogène et son embryotoxicité[48].
L’albendazole est contre-indiqué chez les femelles gestantes pendant le premier tiers de la gestation. L’albendazole est également contre indiqué chez les vaches en lactation dont le lait est destiné à la consommation humaine[47].
La limite maximale de résidu (LMR) d’albendazole reconnu comme admissible dans un aliment destiné à la consommation humaine est de 0 à 0,05 mg/kg/jour. Si l’albendazole est administré selon les bonnes pratiques d’utilisation, un délai d’attente de 6 jours est suffisant pour les produits carnés[47].
L’albendazole interagit avec le dexamethasone et le praziquantel. En cas d’administration simultanée avec l’un de ces médicaments, la concentration sérique de l’albendazole augmente[46].

Ivermectine

Propriétés physicochimiques

La 22, 23-dihydro-avermectine B1 est une dérivée des bactéries filamenteuses Streptomyces avermitilis. Elle appartient à la classe des lactones macrocycliques. Il s’agit d’une molécule lipophile, très peu hydrophile et de pH neutre. Son point de fusion est de 155 °C. Après six heures d’exposition au soleil, le rayonnement ultraviolet dégrade complètement sa structure[50]. Il est indiqué aussi de la stocker entre 15 et 20 °C pour conserver sa stabilité[46].

Pharmacocinétique

Absorption

Suite à une injection sous-cutanée, les molécules d’ivermectine se précipitent dans les tissus cutanés. Le Cmax n’est atteint qu’en 54 heures, mais la biodisponibilité atteint 60 % de la dose administrée[51Ŕ53].
Suite à une administration par voie orale, 97 à 99 % des molécules d’ivermectine se lient fortement aux particules organiques dans le rumen. Le Cmax est atteint en 24 heures, mais la biodisponibilité est limitée à 30 % de la dose administrée[41,54].
Après application cutanée, l’ivermectine se stocke rapidement au niveau du tissu sous-cutané où elle se lie à la graisse avant d’être relarguée progressivement dans la circulation sanguine. Son Cmax n’est atteint qu’après 107 heures et sa biodisponibilité est seulement de 19 ± 5 % de la dose administrée[53,55].

Distribution

Du fait de son caractère très lipophile, l’ivermectine se distribue depuis le courant sanguin à tous les tissus de l’organisme avec un volume de distribution de 1,9 L/kg. Elle se stocke rapidement au niveau des tissus graisseux avant d’être relarguée progressivement dans le flux sanguin[56,57].

Métabolisation

Une part non importante est métabolisée au niveau du foie. Le métabolite qui en résulte est le 24-hydroxy-methyl-dihydroavermectine B1[51].

Élimination

La demi-vie biologique de l’ivermectine chez le bovin est de 2 à 3 jours[46]. Elle s’élimine principalement dans les fèces. Près de 3 % de la dose absorbée s’éliminent dans l’urine, et environ 4 % passent dans le lait[41,54].

Pharmacodynamie

Les récepteurs de l’ivermectine chez les nématodes se trouvent au niveau du muscle pharyngé, des neurones moteurs et de l’utérus. Ils s’agissent des sous unités α des canaux chlorure glutamate dépendant. L’interaction de l’ivermectine avec ces récepteurs provoque l’ouverture irréversible des canaux à ions chlorures ce qui entraine l’entrée massive d’ions chlorures dans les cellules nerveuses et musculaires (Figure 5). La transmission de l’influx nerveux et les contractions musculaires sont alors bloquées. Les parasites sont incapables de s’alimenter, leur taux de ponte diminue et finalement ils meurent paralysés[58,59].

Limites d’utilisation

L’ivermectine a un index thérapeutique élevé. Les canaux chlorure glutamate-dépendants sont spécifiques des nématodes et des arthropodes. Chez les mammifères, l’ivermectine peut provoquer l’ouverture des canaux chlorure GABA dépendants, mais uniquement si sa concentration est très élevée dans le système nerveux central de l’animal traité. Elle n’est toxique pour un bovin que si la dose administrée est d’au moins quarante fois la dose indiquée, soit 8 mg/kg[60].
Les LMR de l’ivermectine sont de 100 µg/kg pour le foie et le tissu adipeux, tissus les plus riches en ivermectine, et de 30 µg/kg pour les reins[51]. De ces LMR ont découlé des temps d’attente de 49 jours pour la viande bovine après injection, 66 jours en cas d’association au clorsulon, 16 à 31 jours après application cutanée, 28 à 35 jours après administration orale, et 2 mois pour le lait[61]. L’ivermectine peut interagir avec le triclabendazole, le praziquantel, l’érythromycine, l’itraconazole, le kétoconazole, le spironolactone et les benzodiazépines. Son effet est potentialisé ou élargi en cas d’administration avec ces médicaments[46,51,62].
L’ivermectine excrétée dans les bouses est toxique pour les insectes, les poissons et les organismes aquatiques. Il est indiqué de traiter les bovins à l’étable pour éviter de contaminer leurs milieux de vie par les résidus issus d’animaux traités[59].

RÉSISTANCE DES PARASITES AUX ANTHELMINTHIQUES

Définition

La chimiorésistance ou résistance vraie est la perte de sensibilité d’une population de parasites à l’action mortelle d’un médicament[63]. Il s’agit d’une capacité de survie acquise génétiquement par les parasites. Elle se manifeste sur le plan clinique par la diminution de l’efficacité, voire l’inefficacité totale, du ou des principes actifs concernés. Cependant, elle doit être différenciée de la pseudorésistance qui englobe tous les cas d’échec thérapeutique liés à l’anthelminthique utilisé, les animaux traités et l’emploi de l’anthelminthique. Selon le nombre de principes actifs concernés, la résistance est qualifiée de simple (un seul principe actif), de famille (plus de deux principes actifs de même famille), ou de multiple (plus de deux principes actifs de familles différentes). Mais généralement, elle est de famille[26].

Importance

Le développement de la résistance est irréversible. Une fois présents dans une population parasite, les allèles de résistance sont transmis à toute la descendance des vers chimiorésistants. En outre, les parasites chimiorésistants sont plus pathogènes que les parasites chimiosensibles[10].

Mécanisme de développement

Le mécanisme de développement de la résistance n’est pas encore vraiment élucidé. L’hypothèse qui met en accord les auteurs est que la résistance est un phénomène préexistant dans une population parasite[64]. Des individus possédant les allèles de résistance à un anthelminthique donné existent dans la population parasite hébergée par un animal d’élevage bien avant la première vermifugation de cet animal. Dans un premier temps, ces individus chimiorésistants sont présents dans la population parasite avec une fréquence de 10-6. Mais au fur et à mesure que l’animal qui les héberge est vermifugé avec l’anthelminthique concerné, leur nombre augmente progressivement. La pression de sélection induite permet leur émergence au sein de la population parasite[65].

Table des matières

INTRODUCTION
PREMIÈRE PARTIE : RAPPELS
I STRONGLES DIGESTIFS
I.1 Généralités
I.2 Morphologie
I.3 Cycle évolutif
I.4 Pouvoirs pathogènes
I.5 Diagnostic
I.6 Stratégies de lutte
I.7 Moyens de lutte disponibles
II ANTHELMINTHIQUES
II.1 Albendazole
II.2 Ivermectine
III RÉSISTANCE DES PARASITES AUX ANTHELMINTHIQUES
III.1 Définition
III.2 Importance
III.3 Mécanisme de développement
III.4 Facteurs favorisant le développement de la résistance
III.5 Méthodes de détection de la résistance des strongles aux anthelminthiques
IV PRÉSENTATION DU MILIEU D’ÉTUDE
IV.1 Délimitation géographique et subdivision territoriale
IV.2 Climat
IV.3 Hydrographie
IV.4 Bovins élevés
IV.5 Conduites d’élevage bovin
IV.6 Vermifugation des bovins
DEUXIÈME PARTIE : MÉTHODES ET RÉSULTATS
V MÉTHODES
V.1 Cadre d’étude
V.2 Objectifs de l’étude
V.3 Type d’étude
V.4 Période étudiée et durée de l’étude
V.5 Population d’étude
V.6 Mode d’échantillonnage et taille de l’échantillon
V.7 Variables étudiées
V.8 Critères de positivité
V.9 Collecte des données
V.10 Saisie des données
V.11 Analyses des données
V.12 Considérations éthiques
VI RÉSULTATS
VI.1 Résultats généraux
VI.2 Descriptions de l’échantillon
VI.3 Résultats par rapport au premier objectif de recherche
VI.4 Résultats par rapport au deuxième objectif de recherche
TROISIÈME PARTIE : DISCUSSION
I.1 Discussion sur les résultats généraux
I.2 Points forts et limites de la méthodologie
I.3 Intérêt du résultat principal
I.4 Discussion sur les résultats concernant le premier objectif de recherche
I.5 Discussion sur les résultats concernant le deuxième objectif de recherche
I.6 Vérification de l’hypothèse annoncée
I.7 Portée des résultats
I.8 Limites et validités des résultats
I.9 Suggestions
I.10 Perspectives de travail
CONCLUSION
RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES

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