Analyse synthétique et prospective de la détermination de taux de change 

Analyse temporelle du taux de change

Cette sous-section propose une étude du taux de change par rapport au temps. Généralement,nous distinguons le taux de change courant ou le taux de change immédiat et le taux de change à terme ou le taux de change qui prévaut après une certaine période. Souvent, le taux de change courant est le taux de change qui s’applique principalement dans le cadre des échanges immédiats entre les acteurs économiques. Ce taux de change utilisé dans le champ d’une opération instantanée est appelé également taux de change au comptant. Evidemment, la transaction se fait directement au comptant. Néanmoins, il peut y avoir un laps de temps de quelques jours avant que la transaction se réalise effectivement.
Ainsi, le terme au comptant est un peu fallacieux. La principale cause de ce décalage est le fait que les ordres de paiements nécessitent un délai assez large avant d’être compensés à travers le système bancaire.
A la différence du taux de change courant, le taux de change à terme est le taux de change qui sera utilisé dans le cadre d’une transaction future. Les opérations en monnaies étrangères spécifient une date de validation de plusieurs jours, mois ou années. Il faudrait remarquer que ce taux de change peut être inférieur ou supérieur au taux de change courant au moment de l’arrivée de la date d’échéance. L’établissement de ce taux nécessite un calcul très approfondie de l’évolution quotidienne du taux de change courant. Différents facteurs économiques, politiques, psychologiques, devraient être également intégrés dans l’anticipation de ce taux. Par rapport à ces différentes distinctions, nous pouvons retenir l’intérêt d’une étude temporelle du taux de change.
Notons également qu’à part ces différentes distinctions entre les taux de change, la plupart des économistes ont établis d’autres catégorisations des taux de change dont nous allons apporter de plus amples explications dans la suite de cette recherche.

Analyse du taux change par rapport à un panier de devises

L’étude du concept de taux de change s’apparente principalement à la relation qui existe entre deux monnaies différentes. Toutefois, un pays effectue des transactions avec plusieurs nations. Ainsi, une analyse simultanée des devises de ces différents partenaires L’ampleur de la volatilité des taux de change surtout depuis les années 1970 nécessite une analyse approfondie de la distinction entre ces deux types de taux de change. Obstfeld et Rogoff (2000) parle de l’énigme de la déconnexion des taux de change. s’avère raisonnable. Cette section abordera une analyse bilatérale et multilatérale du taux de change. Le taux de change bilatéral constitue une liaison entre la monnaie nationale et une monnaie étrangère. Cette relation peut être étudiéesous deux angles : La première porte sur la valeur de la monnaie proprement dite. La seconde porte sur les quantités de biens et services que la monnaie obtienne. Lorsque nous parlons de taux de change, nous pensons automatiquement au taux de change qui s’affiche au niveau des institutions financières et de crédits. Ces taux sont bien évidemment résumés par le taux de change nominal.
En effet, le taux de change nominal désigne la quantité de monnaie nationale nécessaire pour obtenir une unité de devise ou de monnaie étrangère. Si la monnaie nationale est l’Ariary et la devise est le dollar et que le taux de change nominal est s = 2000, cela signifie que les vendeurs de devises peuvent obtenir en échange de son unité de dollar, deux mille unitésd’Ariary.
Il faudrait remarquer que les banques et les sociétés de change affichent deux catégories de taux de change nominal. Le premier indique le taux auquel les banques achètent des devises venant des agents économiques et plus particulièrement des ménages. En effet, lorsque des touristes étrangers arrivent dans un pays comme Madagascar, ils auront besoin de monnaie nationale durant leur séjour dans le pays. Ils doivent convertir leurs devises auprès des banques ou d’autres institutions financières. Le taux de change nominal qui s’applique concorde avec le taux d’achat par la banque. Le second par contre indique le taux de change à la vente. Ce dernier indique le taux auquel les banques sont prêtes à vendre des devises contre une certaines unités de monnaies nationales correspondantes. Il en est le cas par exemple lorsque des touristes malgaches veulent séjourner àl’étranger. Ils devraient acheter auprès des banques le montant de devises qu’ils ont besoin au cours de leur voyage en échange de l’Ariary correspondante.
Il faudrait signaler que pour certains pays comme les Etats-Unis, le taux de change désigne le nombre d’unité de monnaie étrangère pour obtenir une unité de monnaie nationale. La monnaie étrangère est alors côté au certain. En terme mathématique, le taux de change côté au certain est l’inverse du taux de change côté à l’incertain et vice versa.
L’avantage de la cotation à l’incertain est que celle-ci permet de détecter directement la variation des prix des biens et services au niveau international par rapport au prix de la nation.
Par contre la cotation au certain nous informe quant à la proportion de dépréciation ou d’appréciation de la devise étrangère par rapport à la monnaie nationale.

Concept de taux de change d’équilibre

Toutes les études que nous avons menées précédemment mettent en évidence les différentes sortes de taux de change et les différentes manières de les calculer. Nous avons pu mettre en accords plusieurs économistes en même temps. Certains auteurs proposent des taux de change se référant à la différence entre biens échangeables et biens non échangeables.
D’autres, s’efforcent d’utiliser des relations entre les prix de tous les biens et services sur le territoire national et à l’étranger. Enfin, les analyses peuvent être effectuées bilatéralement ou multilatéralement. Toutefois, il était possible de constituer un consensus en prenant comme référence l’évolution du taux de change effectif réel.
Après avoir déterminé les différentes manières d’obtenir la valeur du taux de change, il s’avère également important de voir si le niveau de ce taux se situe à l’équilibre ou non. Cette question revête une importance particulière dans la mesure où la stabilité de l’économie nationale requiert la réalisation de ce taux de change d’équilibre.
Si nous nous référons à Williamson (1994),le taux de change réel d’équilibre que ce soit bilatéral ou multilatéral, est le rapport entre les prix des biens échangeables et les prix des biens non échangeables qui, pour des niveaux données des impôts, des termes de l’échange, de la politique commerciale, des mouvements de capitaux et de la technologie, assuresimultanément l’équilibre interne et externe.
Par rapport à ces différentes notions, il s’avère essentiel et indispensable de pouvoir distinguer les variables fondamentales et les facteurs de court terme qui assure l’équilibre interne et externe de la nation. La théorie économique propose deux catégories d’équilibre macroéconomique que le pays devrait atteindre. Le concept regroupe : l’équilibre externe et l’équilibre interne.
L’équilibre externe est reflété à travers l’évolution de la balance courante. L’équilibre externe est défini par Edwards (1989) comme étant la balance courante liée avec un flux de capitaux de long terme soutenable.
Le solde de la balance commerciale dépend du taux de change effectif réel, du terme de l’échange, du déficit public, du crédit intérieur, de la croissance économique, du contrôle des capitaux, du contrôle de changes. L’appréciation dutaux de change effectif réel entraîne une augmentation des coûts de production intérieure desbiens non échangeables par rapport aux biens échangeables. Dans ce cadre, la balance courante se détériore. Une amélioration du terme de l’échange accroît l’exportation plus vite que l’importation et le compte courants’améliore.
La balance courante est influencée par le déficit public à travers l’épargne, l’investissement et la croissance. La consommation du gouvernement aggrave le déficit du compte courant si les biens consommés sont surtout des biens importés. Lorsque le crédit intérieur s’accroit, les dépenses des agents économiques deviennent plus importantes, le compte courant se détériore.
Le PIB affecte également le solde de la balance courante soit positivement soit négativement.
L’effet dépend de l’importance du choc de la demande ou du choc de l’offre. Si la production augmente plus vite que la demande, le compte courant s’améliore. L’accroissement des contrôles des échanges entraine une augmentation de la demande de biens non échangeables conduisant à une amélioration du solde de la balance courante. Un accroissement du contrôle de capitaux entraine une diminution de la demande des biens importés et des biens non échangeables et favorise le solde de la balance courante.

L’indicateur de sentiment

Les études portant sur les sentiments des agents économiques sont difficiles à élaborer. Toutefois, elles constituent une meilleure prévision sur l’évolution des cours de change. En effet, les études montrent que si les opérateurs économiques sont favorables à l’achat de devises, le prix de ces dernières va monter considérablement. Dans le cas contraire, si les études des sentiments des individus montrent une attitude à la vente de devises, le prix de ces dernières va probablement diminuer.
Des études ont été élaborées pour vérifier la validité des théories reposant sur le sentiment. Les résultats sont largement significatifs sur le court terme. Toutefois si l’on considère le long terme, la prédiction apportée par ces indicateurs de sentiment n’est plus viable. En effet, l’anticipation de la valeur des taux de change apportée par les études relatifs au sentiment n’est pas statistiquement significative lorsque l’on considère le long terme. Seule une partie de la réalité est prédite par l’étude des sentiments des acteurs sur le marché.
Par la suite, la combinaison de la théorie relativeaux études des sentiments et de l’analyse technique constitue un outil prévisionnel plus efficace que chaque instrument utilisé indépendamment.
A part les variables fondamentales proprement dites, les taux d’intérêt constituent des indicateurs utilisés par les investisseurs pour prédire l’évolution des taux de change. En effet, la banque centrale utilise le taux d’intérêt pour contrôler la quantité de monnaie en circulation au sein de l’économie. Dans le cadre d’un système de change fixe et surtout flexible, il existe une relation étroite entre le taux de change et la masse monétaire en circulation. Donc, le taux de change est lié effectivement avec le taux d’intérêt. Une des méthodes utilisées par les investisseurs pour anticiper l’évolution des taux de change est la prédiction à travers les taux d’intérêt. Ces études sont liées relativement aux variables fondamentales. La prévision du taux de change future à travers la courbe de taux constitue un outil assez favorable. Il faudrait noter que toutes ces études reposent sur la notion de probabilité, et la réalisation de ces éventualités repose sur un certain intervalle de confiance.
En conclusion, l’analyse de l’indicateur de sentiment reste favorable sur le court terme. Toutefois, la variation systématique de l’offre et de la demande sur le marché à travers ces indicateurs permet d’obtenir plusieurs valeurs du taux de change nominal. Ces taux sont difficilement prévisibles en raison du mouvement perpétuel et des réactions hétérogènes des individus. Dans cette perspective, une analyse agrégée du mouvement s’avère plus adaptée.

Les flux d’informations

Les informations détenues par les agents économiques constituent des indicateurs significatifs quant à l’évolution des taux de change. Une des disciplines actuellement en vogue dans le cadre de la science économique est l’économie de l’information. Les déséquilibres sur la détention de l’information entre les agents perturbent également les équilibres sur le marché des changes. Généralement, nous pensons que les informations circulent parfaitement sur le marché financier. Toutes les informations sont rendues publiques à tout moment. Le mouvement des flux financiers est lié à la tendance de la situation économique et financière internationale. Il faudrait quand même noter que la fluidité des informations ne signifie guère une absence de crisetant économique que financière. C’est le comportement des agents économiques en réaction avec les informations traitées qui dicte la tendance de l’environnement international.
Pour ce qui est du marché des changes, la situations’avère plus ou moins délicate. En effet, les informations ne sont pas considérées comme parfaite et complète. La problématique d’asymétrie informationnelle désavantage ou avantage certains agents économiques. En effet, le comportement qui connaît à priori la tendance dumarché oriente dans le sens l’évolution des taux de change. De plus, il existe certaine situation pouvant influencer l’offre et la demande et donc le taux de change telle qu’une évolution des besoins de liquidité des entreprises, la tendance des demandes de couverture qui ne sont pas accessibles à tous instantanément.
En effet, il apparaît que les volatilités de courtepériode dépendent des stratégies des agents. Le traitement des informations diffusées dans les différentes chaines ou journaux délimite également la prédiction des agents économiques. Enfin, le traitement de ces informations est lié à la rationalité des agents, l’efficience du marché.
Le flux d’ordre est un des composantes indispensables pour connaître le taux de change sur le court terme. Il faudrait dans un premier temps différencier le volume de transaction et le flux. Le flux d’ordre correspond à la somme des signes des ordres d’achats et des ventes. Lyons (2000) préconise que le processus de formation de prix passe par les clients disposants d’informations privilégiées, ensuite il passe par l’interprétation des flux d’ordres observés. La variation du taux de change au niveau microéconomique est déterminée en grande partie par le volume et le sens de la transaction. Ces opérations sont qualifiées de flux d’ordre. Lorsque le flux d’ordre est négatif, alors les ventes de devises sont importantes. Dans le cas contraire, un flux d’ordre positif favorise la pression à l’achat de devises.
Les flux d’ordres expliquent mieux le taux de change lorsqu’elles résultent de plusieurs informations liées aux variables macroéconomiques. Il s’avère dans ce cadre possible de lier les fondamentaux de l’économie avec le taux de change.

LES DETERMINANTS DES TAUX DE CHANGE A MOYEN TERME

Nous avons vu précédemment que le mouvement de tauxde change peut être analysé dans un horizon de court terme. Les différentes approches microstructurelles mettent en évidence le rôle de la psychologie, des sentiments et de l’information dans l’identification du mouvement du taux de change. La forte volatilité systématique du taux de change en courte période constitue une faiblesse de cette analyse dans l’identification de la direction du taux de change. En effet, il s’avère essentiel d’effectuer une analyse s’étalant sur une période beaucoup plus longue. Cette section aura pour objet de traiter les déterminants du taux de change de moyen terme. Cette approche du taux de change révèle la première possibilité de prédiction de la tendance d’évolution du taux. Néanmoins, lorsqu’on considère la moyenne période, le taux de change va également connaître des variations courantes avant de rejoindre sa valeur de long terme.

Modèle de change d’équilibre fondamental : FEER

Les notions de taux de change d’équilibre étaient déjà développées par des économistes comme Nurkse (1945). Pourtant, la notion de taux de change d’équilibre fondamental a vu le jour avec les travaux de Williamson (en 1983). Le FEER est défini comme étant le taux de change réel qui assure à moyen terme la réalisation simultanée de l’équilibre interne et de l’équilibre externe. L’équilibre interne caractérise une économie qui se trouve sur son sentier de croissance potentielleet soutenable. Tandis que l’équilibre externe fait allusion à la soutenabilité à long terme du compte courant.
En effet, le FEER est la valeur du taux de change issue de la relation d’équilibre du compte courant.
A partir de cette équation, trois élasticités peuvent être identifiées. L’élasticité de la balance courante par rapport à l’activité économique nationale. Une seconde élasticité résume la relation entre le compte courant et l’activité économique de l’étranger. Enfin, une dernière élasticité lie le compte courant avec le taux de change réel.
Les élasticités sont calculées à partir de l’équation du commerce international et des modèles macroéconomiques. Elles peuvent être également déterminées à partir de la recherche de la variation du taux de change réel nécessaire pour obtenir l’équilibre.

Le taux de change et l’investissement

L’incertitude relative au taux de change constitue une des grandes difficultés de la réalisation de l’investissement. La décision d’investissement dépend du taux de rentabilité interne. Cette rentabilité est généralement comparée au taux d’intérêt. Toutefois, si l’entreprise en question opère sur le marché international, la question relative au taux de change s’avère pertinente. Cette incertitude du taux de change se révèle fortement défavorable pour les investisseurs.
Les théories de l’’investissement sous incertitude dégagent une idée largement répandue selon laquelle les investisseurs décident d’investir ou de ne pas investir selon les revenus futurs anticipés. Néanmoins, l’attitude de renonciation à l’investissement n’est pas irrévocable. Les entreprises essaient d’attendre le bon signal avant de s’engager dans une décision.
En effet, plus l’économie traverse une grande volatilité du taux de change, plus les investissements sont transférés d’une période une autre. Néanmoins, une volatilité systématique peut favoriser des réactions de renonciation totale à tout investissement.
Cette attitude des investisseurs relève principalement de ceux qui sont averses au risque.
Aussi, un pays composé d’un grand nombre d’investisseurs qui ont un dégoût du risque va voir une baisse de l’investissement en cas de volatilité prononcée du taux de change.

Table des matières
REMERCIEMENTS
• LISTE DES FIGURES 
• LISTE DES TABLEAUX 
• LISTE DES ABREVIATIONS ET SIGLES
• LES DETERMINANTS DES TAUX DE CHANGE DANS LES PAYS EN DEVELOPPEMENT:APPLICATION AU CAS MALGACHE 
• INTRODUCTION 
CHAPITRE 1: REVUE DE LA LITTERATURE SUR LE TAUX DE CHANGE ET SA DETERMINATION 
SECTION 1 : APPROCHES ET CONCEPTS DE TAUX DE CHANGE
SOUS SECTION 1 : Analyse temporelle du taux de change
SOUS SECTION 2 : Analyse du taux change par rapport à un panier de devises
SOUS SECTION 3 : Concept de taux de change d’équilibre
SECTION 2 : LA DETERMINATION DES TAUX DE CHANGE DANS UN HORIZON DE COURT TERME
SOUS SECTION 1 : L’analyse technique
SOUS SECTION 2 : L’indicateur de sentiment
SOUS SECTION 3 : Les flux d’informations
SECTION 3 : LES DETERMINANTS DES TAUX DE CHANGE A MOYEN TERME
SOUS SECTION 1 : Modèle de change d’équilibre fondamental : FEER
SOUS SECTION 2 : Le modèle Boucle prix salaire
SOUS SECTION 3 : Les relations de parités internationales
SOUS SECTION 4 : Le modèle de Mundell
SOUS SECTION 5 : L’approche Monétariste à prix flexible
SOUS SECTION 6 : Le modèle de Dornbush
SECTION 4 : LES DETERMINANTS DES TAUX DE CHANGE A LONG TERME
SOUS SECTION 1 : La parité du pouvoir d’achat
SOUS SECTION 2 : La balance commerciale
SOUS SECTION 3 : Le Modèle BEER
SOUS SECTION 4 : Le modèle NATREX
CHAPITRE 2: MODELISATIONDU TAUX DE CHANGE 
SECTION 1 : CONTEXTE POUR L’ELABORATION DU MODELE STRUCTUREL
SECTION 2 : L’équilibre interne
SOUS SECTION 1 : La demande
A. La consommation
B. L’Investissement
C. Les dépenses publiques
D. La balance commerciale
SOUS SECTION 2 : L’offre globale
A. Les prix des biens de consommations
B. Le marché du travail
SOUS SECTION 3 : L’équilibre interne proprement dite
SECTION 3 : L’équilibre externe
SOUS SECTION 1 : Le solde du compte courant
SOUS SECTION 2 : Le compte courant soutenable et l’endettement
SOUS SECTION 3 : Le flux de capitaux
SOUS SECTION 4 : L’équilibre externe proprement dit
SECTION 4 : Equilibre interne et externe en simultanée
CHAPITRE 3: ANALYSE ECONOMETRIQUE
SECTION 1 : ANALYSE DE LA SITUATION MALGACHE
SOUS SECTION 1 : La production du pays
1 : Le secteur primaire
2 : Le Secteur secondaire
3 : Le Secteur tertiaire
SOUS SECTION 2 : Taux de change et compétitivité
SOUS SECTION 3 : Le commerce extérieur du pays
1 : Les Exportations
2 : Les Importations
SOUS SECTION 4 : LA BALANCE DES PAIEMENTS
SECTION 2 : TECHNIQUES ECONOMETRIQUES
SOUS SECTION 1 : Quelques notions sur la stationnarité
SOUS SECTION 2 : Analyse de la Cointégration
SOUS SECTION 3 : La cointégration multivariée
SOUS SECTION 4 : Fonction de réponse et décomposition de la variance
SECTION 3 : ETUDE ECONOMETRIQUE DU CAS MALGACHE
SOUS SECTION 1 : Analyse des graphiques
SOUS SECTION 2 : Test de stationnarité des variables
1 : Etude de la série LTCER (Cf.Annexe 1)
2 : Etude de la série LPAS (Cf.Annexe 2)
3 : Etude de la série LPAI (Cf.Annexe 3)
4 : Etude de la série LGDP (Cf. Annexe 4)
5 : Etude de la série TI (Cf.Annexe 5)
6 : Etude de la série TID (Cf. Annexe 6)
7 : Etude de la série LIDE (Cf. Annexe 7)
SOUS SECTION 3 : Etude de la Cointégration
1 : Identification des variables
2 : Test de cointégration
3 : Le VECM
4 : Analyse de long terme
5 : Analyse de court terme
6 : Analyse des résidus
SOUS SECTION 4 : Analyse des fonctions de réponses impulsionnelles
SOUS SECTION 5 : Analyse de la décomposition de la variance
CHAPITRE 4: ANALYSE SYNTHETIQUE ET PROSPECTIVE DE LA DETERMINATION DE TAUX DE CHANGE 
SECTION 1 : IDENTIFICATION EMPIRIQUE DES DETERMINANTS DES TAUX DE CHANGE SOUS SECTION 1 : Littérature empirique des pays développés
SOUS SECTION 2 : Littérature empirique pour les pays en développement
SECTION 2 : Analyse de la Corrélation
SOUS SECTION 1 : Le Progrès technique
SOUS SECTION 2 : La politique commerciale
SOUS SECTION 3 : Le réserves en devises
SOUS SECTION 4 : La politique monétaire
SOUS SECTION 5 : Les dépenses publiques
SECTION 3 : Performance économique et taux de change
SOUS SECTION 1 : Préalable à la réussite d’une politique de change
SOUS SECTION 2 : Le marché parallèle des devises
SOUS SECTION 3 : Taux de change et l’échange extérieur
SOUS SECTION 4 : Le taux de change et l’investissement
SOUS SECTION 5 : Le taux de change et la croissance économique
SOUS SECTION 6 : Taux de change et développement
SOUS SECTION 7 : Impact de la variation du taux de change sur la balance commerciale : cas malgache
• CONCLUSION
• SYNTHESE 
• BIBLIOGRAPHIE 
• ANNEXES 
• TABLE DES MATIERES 

projet fin d'etude

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