DESCRIPTION ET ANALYSE DE LA SITUATION FAMILIALE DES JEUNES AVANT LE MARIAGE

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CADRE METHODOLOGIQUE

le cadre d’étude

La Petite Côte est la station balnéaire de l’Afrique de l’Ouest. Elle est la destination de 70% des touristes qui arrivent au Sénégal. Elle est longue de 150 kilomètres, allant de Bargny à la pointe de Sangomar. Notre cadre d’étude s’inscrit dans le département de Mbour particulièrement dans la ville de Mbour et le village de Saly.
Le département de Mbour est limité au Nord par la région de Dakar, au Sud par la région de Fatick, à l’Est par le département de Thiès et la région de Fatick et à l’Ouest par l’Océan atlantique. Il compte quatre communes : Joal Fadiouth, Mbour, Nguékokh, Thiadiaye, et trois arrondissements, Fissel, Séssene, Sindia.
De par sa position géographique, il offre d’importantes ressources et potentialités touristiques. Son climat doux fait de lui un site prisé par les touristes. Il est la destination privilégiée de ceux qui ne viennent que pour une petite semaine au Sénégal. Les principales activités du département sont la pêche, l’agriculture, et le tourisme.
Sa démographie connaît une croissance considérable du fait de ses potentialités. En 2001 la population était estimée à 429.038 habitants. En 200234, elle a atteint 442.681 habitants.
La ville de Mbour et le village de Saly font partie des principaux sites touristiques de la petite côte.

La ville de Mbour

Elle s’est développée à la fin du XIXe siècle grâce au gouverneur PINET LAPRADE qui y édifia un camp militaire. Mbour devient rapidement un port de pêche très actif. La ville de Mbour est une des grandes communes (Mbour, Thiès, Tivaoune) et chef lieu de département de la région de thiès. Située sur la petite côte, Mbour est à 82 kilomètres de Dakar avant la réhabilitation de la nationale n ° 2.
Erigée en commune mixte par arrêté n° 152 G /G du 04 /12/1926, elle obtient ensuite le statut de commune de plein exercice le 25 JUIN 1958. De par ses ressources halieutiques, Mbour connaît une véritable explosion démographique. Sa population est estimée à 142191 habitants en 2001 et 153503 habitants en 200235.
Les différents quartiers de la commune de Mbour sont : Darou-Salam, Mbour sérère, Mbour Sérère Kaw, Mbour Sérère Suuf, Thiocé Est, Thiocé Ouest, Téfess, Onze novembre, Mbour Toucouleur, Oncad, Santh Oncad, Château d’Eau Nord, Château d’Eau Sud, Château d’Eau Sérère, Diamaguène, Diamaguène 1, Diamaguène 2, Bèy dekk, santh, Médine, Liberté, Gouye Mouride, Téfess, Escale, Zone Résidentielle, Grand Mbour, Santessou, Mbour Maure36.
Mbour, chef lieu de département fournit une grande partie de la main d’œuvre des hôtels et des bases de loisirs. La ville est devenue l’un des plus importants ports de pêche artisanale au Sénégal. Ce sont des centaines de pirogues qui, quotidiennement, assurent une grande partie du commerce en poissons de cette ville. Hôtels, bars, restaurants, auberges… se comptent par dizaines. Cela entraîne un nombre impressionnant de touristes venus des quatre coins du monde. La ville de Mbour est une zone attractive pour les touristes avec ses belles plages sablonneuses et ensoleillées toute l’année mais aussi son port de pêche, son bon climat et la diversité de sa population. Par ailleurs Mbour a également subi les effets pervers du tourisme qui ont pour nom prostitution, alcoolisme, drogue, pédophilie, agression. Elle est également secondée par le village de Saly pour sa promotion.

Le village de Saly

Il est à 4 kilomètres de Mbour. Saly portudal se situe dans la région de Thiès, département de Mbour, dans l’arrondissement de Sindia et plus précisément dans la communauté rurale de Malicounda Bambara. Il est limité au Nord par la ville de Mbour et à l’Ouest par Ngaparou, le village bénéficie d’un environnement climatique favorable au tourisme balnéaire. Avec sa belle plage et la permanence des alizés maritimes adoucissant les températures et maintenant une humidité relative à un bon niveau durant toute l’année.
Le tourisme a fait de Saly un village moderne avec son architecture, ses belles plages, sa diversité ethnique et le melting pot de sa population (blancs, jaunes, noirs). Après le tourisme, la pêche constitue la deuxième activité économique. Saly compte plusieurs hôtels et restaurants parmi lesquels il y a : Espadon club, l’Oasis de Saly, Auberge khady, les Filaos, Saly hôtel, Savana Saly, Club Baobab, Saly Princesse, Royam, Palm Beach Framotel, Hôtel Téranga, Savana Koumba, Novotel Saly, le Neptune, les Bougainvilliers. Il y a aussi les sites de loisirs comme La Licorne, le Golf de Saly, les Discothèques « le rolls », le King Karaoké, le Pub Disco, le Casino de Saly. Le village de Saly Portudal est composé de petits hameaux qui sont assimilés à des quartiers ; on note :Saly Tapé, Saly niakhniakhal, Saly bambara, Saly keur Joseph, Saly Vélingara , Saly Coulang, Saly Sérère, Saly Peulh. Sa population est estimée à 7556 habitants37.

La population cible

Pour donner des réponses à nos hypothèses, à notre problématique et à nos objectifs, il fallait nous appuyer sur une population cible. La population cible sur laquelle nous avons porté notre choix, concerne essentiellement les couples mixtes particulièrement les conjoints noirs et les conjointes noires, parce que notre question de départ a été les motivations du mariage mixte. Nous nous sommes entretenue avec des conjoints blancs et des conjointes blanches. Nous avons également rencontré des personnes ressources, des parents, des gens qui évoluent dans le milieu touristique, des chefs religieux Chrétiens comme Musulmans, à un officier d’état civil et toutes personnes susceptibles de nous donner des renseignements sur ledit phénomène.

Echantillonnage

L’échantillon est au coeur même de l’enquête quantitative. Questionnaire, traitements informatiques, récolte sur le terrain n’ont que peu de valeur si l’échantillon est mal conçu38. Pour échapper à cette éventualité, nous avons utilisé l’échantillon boule de neige pour avoir une meilleur représentativité possible. Une telle technique suppose que le chercheur demande à ses interlocuteurs de lui désigner d’autres individus à interroger qu’ils considèrent comme susceptibles d’être concernés par l’étude39. Vu le temps qui nous était imparti, il nous a été impossible de sillonner tous les quartiers qui abritaient les couples mixtes, donc, nous avons préféré aller au niveau des hôtels, villages artisanaux, centres commerciaux, bref tous les lieux fréquentés par les touristes. Ce choix s’explique par le fait que la plupart des rencontres se font au niveau de ces sites.
Avec cette technique, on s’est retrouvé avec un échantillon de 30 enquêtés (conjoints noirs et conjointes noires) dont 20 résident à Saly et 10 à Mbour. Ce déséquilibre est dû au fait que beaucoup de jeunes, provenant d’horizons divers, travaillent à Saly et y habitent.
Le déséquilibre au niveau du genre s’explique aussi par le fait que beaucoup de filles refusaient de prendre nos questionnaires. Ceux (garçons comme filles) qui ont accepté de prendre nos questionnaires nous ont parlé à cœur ouvert. Ainsi nous allons tenter de répartir les enquêtés selon la localité et le genre dans le tableau suivant
Sources : enquête personnelle, 2004
Nous noterons que l’enquête de terrain a été un pas idéal pour le recueil de l’information.

L’enquête de terrain

L’enquête de terrain a été faite en deux phases : la première phase consiste au pré-test et la deuxième phase à l’enquête proprement dite.

Le pré-test

Cette phase nous a permis de bien cerner notre sujet d’étude. Après la correction du projet d’étude, nous avons confectionné les questionnaires, les guides d’entretien qui ont été corrigés par notre directeur de mémoire. Cette correction nous a permis de supprimer quelques questions sensibles qui étaient susceptibles de poser problème au niveau des réponses. Cette phase a été décisive au niveau de la documentation, car nous empêchant de faire de la gloutonnerie livresque. C’est ainsi qu’on a sélectionné des ouvrages ayant trait à notre sujet d’étude.
Après le pré-test on a fait l’enquête proprement dite.

L’enquête proprement dite

L’enquête proprement dite a été élaborée sur plusieurs phases. Il faut préciser que nos recherches ont commencé au mois de Décembre 2003 et ne se sont terminées qu’à la fin de l’enquête (mi- Septembre). Après l’acceptation du sujet d’étude et l’élaboration du projet d’étude, nous avons entamé la recherche documentaire qui, il faut le dire, n’a pas été facile du tout. Elle demandait une dure sélection sur les ouvrages qui parlaient du mariage d’une manière générale, sur les identités culturelles, sur les problèmes de pauvreté, de chômage. La consultation de ces ouvrages nous a permis d’avoir un aperçu significatif sur l’orientation de notre travail.
De même, l’entretien avec les personnes ressources notamment celles qui évoluent dans le milieu touristique nous a davantage permis de mieux comprendre notre sujet. Ces personnes nous ont révélée beaucoup de choses que nous ignorions et qui nous ont été utiles durant l’élaboration du questionnaire.
Le questionnaire a été utilisé comme technique de recueil de données quantitatives. Cet outil était destiné uniquement aux conjoints noirs et conjointes noires.
Pour l’administration du questionnaire, on a utilisé l’échantillon boule de neige et rares sont ceux qui acceptaient de nous recevoir. Ceux qui hésitaient étaient mis en confiance par d’autres personnes qui avaient déjà répondu, car beaucoup de personnes ignoraient même le but de notre visite.
C’est ainsi qu’on a utilisé plusieurs techniques de recherche.

Les techniques de recherche

Dans cette rubrique méthodologique, nous avons pu aborder plusieurs phases :

La phase exploratoire

Dans cette phase, nous avons utilisé plusieurs méthodes, qualitatives comme quantitatives.

La recherche documentaire

Nous avons sillonné quelques bibliothèques notamment la bibliothèque universitaire, les bibliothèques des départements de sociologie, de géographie, et d’arabe.
Nous sommes allée également à l’ENS, à l’IFAN, au CODESRIA, à ENDA-TIERS-MONDE, à l’ENEA, à l’ENTSS, aux ARCHIVES NATIONALES mais aussi au centre de documentation IRD (ex ORSTOM), au CCF.
A cet effet, notre collaboration avec certains professeurs et chercheurs nous a permis de pouvoir bénéficier de ces derniers de prêts de documents qui nous ont été très utiles pour la réalisation de ce travail.
A noter également que la documentation (via Internet), nous, a été d’un apport considérable.

Les entretiens exploratoires

Les entretiens exploratoires ont comblé le déficit de la documentation. C’est ainsi qu’on a eu des entretiens avec des personnes ressources qui nous ont éclairci notre sujet d’étude. Pour ces personnes ressources nous avons utilisé les interviews documentaires qui sont des interviews au cours desquels l’enquêteur cherche à s’informer sur les connaissances des interviewés, par exemple sur ce que les sujets savent à propos de faits ou d’éléments qu’ils vivent ou dont ils ont été les témoins. Ce type d’interview est souvent utilisé en sciences sociales en complément d’une recherche sur document pour combler les lacunes que ceux-ci peuvent présenter40.

Les guides d’entretien

Nous avons utilisé des entretiens semi- directifs qui sont menés avec un guide d’entretien constitué de différents thèmes préalablement élaborés en fonction des hypothèses.
En effet, les guides d’entretien sont au nombre de six et sont destinés respectivement aux conjoints blancs et conjointes blanches, aux parents, aux « antiquaires », à l’officier de l’état civil, aux imams et aux prêtres.
Les guides d’entretien ont en commun des thèmes comme les mariages mixtes à Mbour, le mariage et ses finalités et le tourisme face à ce phénomène.

Le guide élaboré pour les Blancs (hes)

Il tourne autour des préjugés, des difficultés religieuses, culturelles et sociales, des incompréhensions, des rapports entre belle famille et conjoint.

Le guide élaboré pour les parents

Avec les parents, la valorisation du mariage mixte, la conversion, les avantages tirés de ce mariage ont été privilégiés.

Le guide élaboré pour les « antiquaires »

Les entretiens avec les « antiquaires » nous ont beaucoup renseignée sur la situation des jeunes qui s’activent dans le milieu touristique en perspective d’un quelconque mariage mixte. Ainsi les thèmes abordés ont été les raisons du métier, les tentatives de rencontres, les rapports entre touristes et « antiquaires » et les mutations physiques.

Le guide élaboré pour l’officier de l’état civil

Avec l’officier de l’état civil, les formalités du mariage mixte, les mariages mixtes célébrés clandestinement étaient au centre de la discussion

Le guide élaboré pour les Imams

Le guide destiné aux Imams a été la vision de la religion musulmane sur le phénomène, les formalités du mariage et la célébration du mariage.

Le guide élaboré pour les Prêtres

Ce guide nous a apporté des éclaircissements sur la vision de la religion chrétienne sur le phénomène, les formalités du mariage et la célébration du mariage
Après les entretiens semi-directifs, nous avons utilisé aussi l’entretien collectif et le récit de vie.

L’entretien collectif

L’entretien collectif présente l’avantage de susciter la réflexion, la discussion, la contradiction, l’échange d’idées. La situation de groupe crée une dynamique interne plus forte que dans les entretiens successifs individuels41.
Cet entretien nous a permis d’avoir des avis divergents sur le mariage mixte. Nos acteurs étaient composés de chauffeurs de taxi, d’ « antiquaires », de rabatteurs (ceux qui rabattent les touristes vers les vendeurs d’objet d’arts), qui se regroupent souvent dans des endroits à l’attente d’un client.
La discussion tournait d’abord sur le tourisme pour en arriver au mariage mixte.

Le récit de vie ou l’histoire de vie

Il s’agit d’auto- biographies suscitées ou dictées sous forme orale. Pour Blanchet et Gotman42, la méthode de récit de vie complète la technique de l’entretien telle que définie par l’Ecole de Chicago ; cette dernière mobilisait l’entretien pour saisir l’individu dans son environnement spatial et appréhender la mécanique de l’espace urbain, les récits de vie s’attachent à saisir l’individu dans son espace temporel, dans son histoire, dans sa trajectoire, pour atteindre à travers lui la dynamique du changement social. L’interviewé est appelé comme témoin de l’histoire, celle ci ne se faisant ni d’en haut, ni en dehors de lui, mais par lui et avec sa contribution.
Il faut préciser que les récits de vie ont été faits à l’endroit des conjoints et des conjointes.
Après le remplissage du questionnaire, certains conjoints avaient accepté de se confier à nous.
Avec leur consentement, nous avons pu enregistrer sur cassettes audio les entretiens pour éviter de simples notes écrites, ou de souvenirs mémorisés.

Le questionnaire

Le questionnaire constitue une phase essentielle de toute recherche quantitative ; il est en quelque sorte l’aboutissement de la réflexion qui précède à propos du champ de l’objectif spécifique, du cadre théorique et des hypothèses43.
Rappelons que le questionnaire était destiné uniquement aux conjoints noirs et conjointes noires. Il est composé de quatre parties. La première partie concerne l’identification, la deuxième partie concerne la situation familiale avant le mariage, la troisième partie parle des motivations et attentes dans le mariage, la quatrième partie est réservée aux obstacles rencontrés. Des questions ouvertes, fermées, semi- ouvertes, semi-fermées, directes et indirectes ont été utilisées.
Il faut dire que cela n’a pas été sans difficultés.

Les difficultés rencontrées

Nous avons été confrontée à un certain nombre de difficultés tenant au fait que les recherches sur la petite côte portent essentiellement sur la pêche et le tourisme qui y sont les principales activités. Pour ne pas tomber dans les chantiers battus et rebattus, nous avons pris l’initiative d’étudier un thème qui a fait l’objet de peu de recherche au Sénégal. Pour ouvrir de nouvelles perspectives (surtout au niveau du département de sociologie), nous avons porté notre choix sur les mariages mixtes. Il faut souligner que la « couverture scientifique »44, pour reprendre l’expression du Professeur Boubacar Ly, ayant trait au thème est presque inexistant. C’est ainsi qu’on a eu d’énormes difficultés au niveau de la documentation, rares sont les ouvrages (surtout sociologiques) qui traitent du mariage mixte, et cela a été un handicap important.
Les ouvrages sociologiques qui traitent du mariage tournent autour du divorce, des mariages précoces…les ouvrages qui parlaient du métissage ne consacraient que quelques lignes à la mixité matrimoniale, et le reste à la mixité culturelle.
Par ailleurs, il y a aussi les difficultés rencontrées durant l’administration du questionnaire. De ce fait, certains individus enquêtés, s’ils manient bien la langue de Molière, n’arrivaient pas à répondre eux-mêmes et ils nous proposaient de leur poser les questions et de les remplir nous mêmes. Nous étions aussi en présence d’individus qui refusaient catégoriquement de répondre à nos questions car jugeant que leur vie privée ne concernait qu’eux. D’autres en revanche nous prenaient pour des personnes appartenant à une O.N.G, ou au service de la police, ou à la presse.
Comme, nous l’avons déjà dit au niveau de la répartition des genres, on a eu peu de filles. Les filles qui nous étaient désignées et dont nous avons pu obtenir leur numéro de téléphone portable, nous donnaient des rendez- vous qu’elles n’arrivaient pas à respecter et ce après plusieurs déplacements. La plupart d’entre elles résidaient à Saly, ce qui nécessitait des dépenses coûteuses avec les aller et retour entre Saly et Mbour (on précisera que le village de Saly est une zone enclavée).
Vu l’accès difficile au niveau des résidences , nous étions obligée de passer toute une journée au niveau des plages pour attendre les couples qui y venaient pour prendre de l’air.
Le sondage boule de neige nous a beaucoup aidée pour distinguer les couples légaux de ceux qui vivent en unions libres.
Les obstacles temporels n’ont pas été en reste, avec l’arrêt des cours en mi- juin et les examens finaux en fin juin. Cette situation ne nous permettait pas de commencer très tôt nos enquêtes. Il nous était difficile de faire la navette entre Mbour et Dakar avec le mauvais état de la nationale n°2.
Malgré toutes ces difficultés, nous avons quand même pu recueillir quelques informations. Au départ, nous avions comme objectif d’interroger le maximum de conjoint (es), mais avec le refus de certain (es) nous nous sommes retrouvée avec 30, nous préciserons que les personnes qui ont répondu à nos questions, se sont confiées à nous et ont parlé à cœur ouvert.

Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE : CADRE THEORIQUE ET METHODOLOGIQUE
CHAPITRE I : CADRE THEORIQUE
1.1.1 Problématique
1.1.2 Objectifs de la recherche
1.1.3 Hypothèses
1.1.4 Pertinence du sujet
1.1.5 Le modèle théorique
1.1.6 La revue critique de la littérature
1.1.7 Définitions conceptuelles
CHAPITRE II : CADRE METHODOLGIQUE
1.2.1 le cadre d’étude
1.2.1.1. La ville de Mbour
1.2.1.2. Le village de Saly
1.2.2. La population cible
1.2.3. Echantillonnage
1.2.4. L’enquête de terrain
1.2.4.1. Le pré-test
1.2.4.2. L’enquête proprement dite
1.2.5 Les techniques de recherches
1.2.5.1 La phase exploratoire
1.2.5.1.1 La recherche documentaire
1.2.5.1.2 Les entretiens exploratoires
1.2.5.1.3 Les guides d’entretien
1.2.5.1.3.1 Le guide élaboré pour les blancs (hes)
1.2.5.1.3.2 Le guide élaboré pour les parents
1.2.5.1.3.3 Le guide élaboré pour les antiquaires
1.2.5.1.3.4 Le guide élaboré pour l’officier de l’état civil
1.2.5.1.3.5 Le guide élaboré pour les Imams
1.2.5.1.3.6 Le guide élaboré pour les Prêtres
1.2.5.1.4 L’entretien collectif
1.2.5.1.5 Le récit de vie ou l’histoire de vie
1.2.5.1.6 Le questionnaire
1.2.6 Les difficultés rencontrées
DEUXIEME PARTIE : LES MODALITES DU MARIAGE MIXTE
CHAPITRE I : HISTORIQUE DU PHENOMENE DU MARIAGE MIXTE
CHAPITRE II : DESCRIPTION ET ANALYSE DE LA SITUATION FAMILIALE DES JEUNES AVANT LE MARIAGE
2.2.1. La situation sociale
2.2.2 La situation économique
CHAPITRE III : CHOIX DU CONJOINT ET MOTIVATIONS DANS LE MARIAGE MIXTE
2.3.1 Les caractéristiques du choix du conjoint dans le couple mixte
2.3.1.1 l’homogamie est-elle possible dans un couple mixte ?
2.3.1.2 le poids de l’âge dans le choix du conjoint étranger
2.3.1.3 le poids de l’âge dans le choix du conjoint Sénégalais
2.3.1.4 Les circonstances de la rencontre
2.3.1.5 les pays d’origine des conjoint (es) étranger (ères)
2.3.2 Les motivations du conjoint Sénégalais dans le mariage mixte
2.3.2.1 la motivation de l’amour
2.3.2.2 La motivation de l’argent
2.3.2.3 la motivation du voyage
TROISIEME PARTIE : LES SOUS- FACTEURS DU MARIAGE MIXTE
CHAPITRE I : L’IMPACT DU TOURISME SUR LE PHENOMENE : LE CAS DES ANTIQUAIRES
CHAPITRE II : LA REACTION DES PARENTS ET LA VISION DES RELIGIONS SUR LE PHENOMENE
3.2.1 La réaction des parents
3.2.2 La vision des religions
3.2.2.1 la vision de la religion chrétienne
3.2.2.2 la vision de la religion musulmane
CHAPITRE III : DIFFICULTES ET FINALITES DANS LE MARIAGE MIXTE
3.3.1 Les difficultés
3.3.2 Les finalités
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
QUESTIONNAIRES
GUIDE D’ENTRETIEN
GLOSSAIRE * : ce signe renvoi au glossaire

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