GENERALITESSUR L’EAU

GENERALITESSUR L’EAU

L’eau sur la Terre est une matière première exceptionnelle. Mobile, indestructible et renouvelable, elle se prête à de multiples utilisations, parfois antagonistes. Les ressources en eau douce sont réparties de manière très contrastée autour du globe. L’eau est un milieu de vie, mais peut aussi constituer une menace : inondations, contaminations.

Répartition de l’eau dans la planète terre

L’eau est apparue il y a 3 à 4 milliards d’années sur notre planète. C’est cette même eau que nous utilisons aujourd’hui. Son volume est resté globalement stable et elle circule en permanence dans le cycle de l’eau. L’eau recouvre environ 70 % de la surface du globe.Le volume d’eau sur la Terre est d’environ 1 400 millions de kilomètres cubes. Ils se répartissent de la manière suivante : • 97,20 % : eaux salées. • 2,15 % : glaces polaires. • 0,63 % : eaux souterraines. • 0,019 % : eaux de surface (lacs, fleuves, et rivières). • 0,001 % : eau dans l’atmosphère [4] Au niveau mondial, les ressources en eau font l’objet de pressions croissantes tant au niveau qualitatif que quantitatif. Ceci est d’autant plus préoccupant que les ressources en eau potable sont limitées, inégalement réparties et que la population mondiale ne cesse de croître. Pour une part importante de la population mondiale, l’accès à l’eau est loin d’être garanti. Le choix de l’eau à traiter avant distribution dépend de la quantité d’eau disponible, de sa qualité tenant compte des variations possibles, des coûts d’investissement et de fonctionnement des procédés à mettre en œuvre pour assurer sa potabilisation. Dans certaines régions du monde, la rareté de l’eau douce rend indispensable la mise en œuvre de traitements permettant de minimiser sa consommation. De la conception de filières de traitement conventionnelles sophistiquées, intégrant des installations du village de quelques centaines d’habitants aux agglomérations les plus étendues, techniques qui répondent aux exigences de 2. Cycle de l’eau La quantité d’eau sur Terre est inchangée depuis plus de 3,5 milliards d’années. Elle ne se perd pas, ne se crée pas, elle se transforme juste. Le moteur est l’ entraîne les changements d’état de l’eau (condensation, évaporation, …). On va parler de cycle de l’eau; il se déroule à la fois sur L’eau s’évapore sous l’effet du soleil et rejoint l’a L’action du froid en altitude, provoque la condens nuages. Dans certaines conditions clima neige. Une partie de ces précipit d’eau ou s’infiltre dans les sols et alimente les nappes filières de traitement conventionnelles à des filières de traitement sophistiquées, intégrant des installations membranaires, nous proposons aux collectivités locales, du village de quelques centaines d’habitants aux agglomérations les plus étendues, techniques qui répondent aux exigences de qualité sanitaire. La quantité d’eau sur Terre est inchangée depuis plus de 3,5 milliards d’années. Elle ne se crée pas, elle se transforme juste. Le moteur est l’énergie solaire : c’est elle qui d’état de l’eau (condensation, évaporation, …). On va parler de ; il se déroule à la fois sur Terre et dans l’atmosphère. L’eau s’évapore sous l’effet du soleil et rejoint l’atmosphère sous forme de vapeur L’action du froid en altitude, provoque la condensation de la vapeur d’eau et la nuages. Dans certaines conditions climatiques, ils se dispersent sous forme de pluie et de neige. Une partie de ces précipitations s‘évapore à nouveau, le reste ruisselle vers les cours es sols et alimente les nappes souterraines filières de traitement plus , nous proposons aux collectivités locales, du village de quelques centaines d’habitants aux agglomérations les plus étendues, des solutions La quantité d’eau sur Terre est inchangée depuis plus de 3,5 milliards d’années. Elle ne se énergie solaire : c’est elle qui d’état de l’eau (condensation, évaporation, …). On va parler de sous forme de vapeur d’eau. ation de la vapeur d’eau et la formation de forme de pluie et de reste ruisselle vers les cours

Cycle domestique de l’eau

L’eau que nous consommons provient d’un milieu naturel (nappe souterraine ou rivière). Elle est prélevée dans ce milieu par pompage, elle est traitée dans une usine pour devenir « eau potable ».Elle part dans des lieux de stockage comme les châteaux d’eau et ensuite elle est acheminée par des canalisations souterraines dans nos habitations. Elle est en permanence surveillée et sa qualité est contrôlée. Après utilisation dans la maison, on l’appelle « eau usée». Elle est acheminée par d’autres conduites soit vers le réseau de collecte des eaux usées puis la station d’épuration, soit vers le système d’assainissement individuel de l’habitation. Ces assainissements dépolluent les eaux sales afin qu’elles rejoignent le milieu naturel sans dommage pour celui-ci. 

Principales ressources en eaux

L’eau totalement pure n’existe pas ou bien elle est très rare et coûteuse. Cette eau ci est pas pour autant plus saisie étant donné que son élaboration incite l’introduction d’élément indésirable et de plus elle est dépourvue de sous différentes formes dont l’eau du robinet, l’eau de source, l’eau minérale et les boissons à base d’eau. Ainsi les principales ressources en eaux sont au nombre de trois (03) : – L’eau de pluie, qui est une eau douce de pH = 6 et de température ambiante. Ce qui est idéal pour les plantes. Elle n’est pas exempte de pollution, en traversant l’atmosphère, l’eau se charge d’élément indésirable. Ce qui participe également à la pollution des sols au moment de l’arrosage. – Les eaux de surface, qui sont les eaux de rivière, des ruisseaux, des Lacs, et des mares. Elle se trouve à la bonne température. Leur pollution varie énormément. – Les eaux souterraines, qui sont les eaux de sources, c’est-à-dire une sortie de nappe phréatique ou une résurgence de rivière souterraine ou alors un puits. Sa nature est très variable (elle peut être claire ou très douce). Les sources sont plus ou moins polluées selon les régions ou l’agriculture. 

Qualité de l’eau

Chaque usage de l’eau : industriel, agricole ou domestique impose une qualité particulière, définie par des paramètres physiques, chimiques et bactériologiques, c’est-à-dire la teneur en sels minéraux, gaz dissous et micro-organismes. La turbidité d’une eau caractérise sa teneur en matières en suspension, le degré hydrotimétrique, sa dureté. Une eau est dure lorsqu’elle est trop riche en sels de calcium et de magnésium. Une eau saumâtre contient de 1 à 10 g de sulfates et de chlorures par litre (pour l’eau de mer en contient en moyenne 35 g/l). Parmi les gaz dissous dans l’eau, le gaz carbonique lui confère, suivant sa concentration, un caractère agressif ou acide. Trop agressive, l’eau peut devenir corrosive et attaquer les canalisations métalliques. La présence d’hydrogène sulfuré qui est normale dans certaines sources thermales peut être responsable de la corrosion des ouvrages en béton. 6. Importance de l’eau L’eau est le premier constituant de l’organisme. Le corps d’in adulte en contient 66 %, soit pour un homme de 75 kg, le poids de 50 kg d’eau. La proportion varie même de 75 % pour un nouveau-né à 60 % pour un vieillard. Certains tissus en contient jusqu’à 85 % (matière grise du cerveau) et d’autre seulement 25 % (tissus adipeux). L’eau a un rôle fondamental pour préserver la santé. C’est elle, en effet, qui permet de réaliser toutes les fonctions de l’organisme : digestion des aliments, circulation du sang, élimination des déchets, régulation de la température…etc.…. Mais chaque jour, notre corps perte environ 2,5 L d’eau dont :  0,3 L par la respiration ;  0,2 L par les matières ;  0,5 L par la transpiration  Et de 1,5 L par l’urine. Les pertes dépendent aussi de l’activité musculaire et de la température ambiante. Elles peuvent atteindre de 4 à 5 L lorsque la sudation est très intense par suite de gros effort musculaire ou de température extérieure très élevée. Pour éviter la déshydratation, il est nécessaire de boire en moyenne 1,5 à 2 L par jour, mis beaucoup s’imaginent répondre aux 19 besoins de leur corps en buvant n’importe quelles boissons. A notre avis, du point de vue de la santé, c’est une erreur. 7. Eau potable Par définition, l’eau potable doit être dépourvue de tout élément minéral ou organique nuisible à la santé ; elle doit répondre à certaines normes fixées par des textes législatifs et à certains critères qualitatifs : être incolore, fraîche, sans odeur ni goût (ou avoir éventuellement une légère saveur due à des sels minéraux). L’eau potable ne doit contenir ni microorganismes pathogènes ni substances toxiques (cuivre, plomb, fluorures, cyanure, arsenic, composés phénoliques, etc.). Sa concentration en certaines substances chimiques (sels minéraux, ammoniaque, nitrites, nitrates, chlorures, matières organiques) doit être limitée. Par ruissellement ou percolation, l’eau se charge de matériaux dissous ou en suspension qui diffèrent eux-mêmes selon les sols traversés. Plus les eaux souterraines sont profondes, plus elles sont pures ; elles sont généralement exemptes de germes, mais leur concentration en éléments minéraux peut être élevée et imposer un traitement. Les eaux de surface sont, en revanche, presque toujours contaminées ; elles contiennent des bactéries, des germes pathogènes ou des virus ; elles peuvent être polluées par des composés toxiques provenant de rejets industriels ou domestiques.

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