Les causes et les conséquences de l’inondation sur le secteur EHA

Monographie de la zone d’étude

Ce chapitre est consacré à la description de la zone d’étude. Cette description est nécessaire et non négligeable dans notre  mémoire. Nous allons aborder successivement dans ce chapitre la situation géographique, la situation démographique et enfin la situation socio-économique de lazone d’étude.

Situation géographique

Antananarivo est la capitale de la grande île Madagascar. La ville d’Antananarivo se trouve sur les hauts plateaux. Elle est érigée sur une colline dès le début. Et pendant la période royale, elles’étend petit à petit sur les collines voisines comme Faravohitra jusqu’à l’aménagement des rizières dans les zones basses sous le règne de Radama I . Suite à une croissance rapide de la population d’Antananarivo, la ville se densifie et s’étale pour accueillir toujours plus d’habitants. Le nombre d’habitants est passé de 3.173.077 en 2011 à 3.439.589 habitants en 2014.La population est mixte avec une situation socio-économique de différents niveaux : riche, moyen et pauvre. Du fait de la saturation des collines et l’augmentation de la population, « la ville s’est étendue pour occuper d’abord les pentes moyennes av ant de s’installer dans la partie basse ». Son expansion donne lieu à une occupation non maîtrisée de la plaine de Betsimitatatra. Avec une altitude de 1250 mètres, la plaine de Betsimitatatra est qualifiée de zone inondable. Elle est vulnérable aux inondations à cause de l’altitude inférieure à celle de l’Ikopa et celle du Canal Andriantany. « Les bas quartiers de l’Ouest se sont installés au niveau de la plaine avec une population pauvre qui s’est établie d’une manière spontanée sans organisation à l’Ouest du Canal Andriantany». Cette installation des pauvres qui n’ont pas de maisons dignes dece nom forme les bidonvilles qui sont caractérisés par le manquement de l’un des éléments suivants : un logement durable qui offre une protection contre les conditions climatiques extrêmes ; un espace de vie suffisant ; un accès à l’eau potable en quantité suffisante, abordable et eau qui peut être obtenue sans efforts extrêmes ; un accès aux équipements pour un assainissement amélioré (toilettes privées ou publiques partagées avec un nombre raisonnable de personnes)et une sécurité d’occupation . Notre zone d’étude est située à l’Ouest du Canal Andriantany. Elle fait partie du premier Arrondissement de la Commune Urbaine d’Antananarivo dont le siège est Soarano.
La zone d’étude s’étend sur une superficie de 21 hectares. Elle représente 47% de la superficie totale des quatre Fokontany et 0,5% de celle de la Capitale Antananarivo. Le tableau suivant montre la répartition de la zone selon la superficie.

Situation socio-économique

Il a été constaté que la femme s’occupe des diverses tâches ménagères. La responsabilité de la femme s’étend également aux activités familiales comme l’éducation des enfants, l’achat et la préparation de la nourriture. Quant aux activités génératrices de revenus, elles sont exercées par les hommes ainsi que les femmes du fait du développement du secteur informel dans la zone d’étude. Ces activités permettent aux hommes et aux femmes de gagner et de rapporter à peu près la même somme d’argent. Les tableaux suivants présentent respectivement le nombre de personnes par ménage ayant des revenus et les montants des revenus mensuels gagnés par les ménages.

Le secteur eau, hygiène et assainissement de la zone d’étude

L’eau, l’hygiène et l’assainissement sont trois concepts liés, complémentaires et indispensables pour avoir un bon mode de vie. Il est utile de connaître l’état du secteur EHA et les infrastructures existantes liées à l’EHA de la zone d’étude. Le présent chapitre va traiter ainsi le secteur EHA. Il est subdivisé en deux sections du fait que l’hygiène et l’assainissement sont indissociables, la première section est ainsi consacrée à l’eau et la deuxième à l’hygiène et l’assainissement.

L’eau

Par définition, l’eau est une substance liquide et naturelle. L’eau potable est une eau que l’on peut boire sans risque pour la santé mais aussi est utilisée  pour faire à manger et se lave.
Le fait qu’une eau soit potable ne signifie pas qu’elle soit exempte d’agents pathogènes (bactéries, virus) mais que la teneur a été jugée insuffisante pour déclencher une maladie. Ainsi, dans les paragraphes suivants, nous allons aborder les sources d’approvisionnement en eau, ensuite la consommation d’eau journalière, puis le montant de la dépense en eau et enfin la distance et le temps dépensé pour s’approvisionner en eau aux bornes fontaines.

Les sources d’approvisionnement en eau potable

Le présent paragraphe va aborder les différentes sources d’approvisionnement en eau potable qui existent dans la zone d’étude. Ces sources sont de deux ordres : les bornes fontaines et les autres modes d’approvisionnement en eau potable.

Les bornes fontaines

« En matière d’accès et d’utilisation de l’eau potable, 54% des ménages dans la ville d’Antananarivo ont accès à l’eau potable. La majorité des ménages résidant en ville s’approvisionnent aux bornes fontaines selon une en quête menée par l’INSTAT sur les attitudes. Pour le cas de notre zone d’étude, 81,44% soit 407 sur 500 ménages utilisent les bornes fontaines d’après les enquêtes. L’eau collectée au niveau des bornes fontaines est utilisée soit pour la cuisine (85,6% des 407 ménages), soit pour la lessive (77,2%
des 407 ménages).Le tableau suivant montre la répartition des bornes fontaines par Fokontany.

La dépense financière en eau

En ce qui concerne les infrastructures publiques, le tarif est de 1 Ariary le litre au niveau des bornes fontaines ; au niveau des lavoirs publics, la participation est de 200 Ariary le gabari  pour Andavamamba Anatihazo I. Pour les ménages qui ont recours au branchement domestique, individuel ou collectif, le tableau suivant montre que la dépense mensuelle en eau varie de moins de 10.000 Ariary à plus de 50.000 Ariary. La majorité des ménages dépensent moins de 10.000 Ariary par mois, surtout au niveau du Fokontany Manarintsoa Centre où le pourcentage des ménages dépensant moins de 10.000 Ariary est très élevé (21%).

L’hygiène et l’assainissement

Il est utile d’apporter les significations des mots « hygiène » et « assainissement » avant d’exposer les différents paragraphes. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, l’assainissement est la mise à disposition d’installations et de services permettant d’éliminer sans risque l’urine et les matières fécales. C’est aussi le maintien de bonnes conditions d’hygiène grâce à des services comme l’enlèvement des ordures et l’évacuation des eaux usées. L’hygiène est définie comme les soins que l’on apporte à son corps pour le maintenir propre et sain.

Gestion des eaux usées et des eaux pluviales

Infrastructures publiques existantes pour évacuer les eaux usées et les eaux pluviales

En ce qui concerne la gestion des eaux usées et des eaux pluviales, des canaux d’évacuation tertiaires, un bassin tampon et un canal appelé canal Andriantany ont été construits pour assurer l’évacuation des eaux. Le mécanisme d’évacuation est comme suit : les eaux traversent les canaux d’évacuation tertiaires situés à l’intérieur des Fokontany. Elles sont ensuite versées directement dans le canal Andriantany ou dans le bassin tampon. Les eaux collectées dans le bassin tampon sont aspirées par la station de pompage avant d’être évacuées dans le canal Andriantany. Le pompage des eaux usées dans le bassin tampon est expliqué par le fait que la zone d’étude a un niveau plus bas (1250,2 à 1250,7 mètres) par rapport à celui du canal Andriantany (1251,3 à 1251,8 mètres).
Le curage, le nettoyage des regards et le débouchage des conduites des canaux tertiaires sont à la charge du Service Autonome de l’Assainissement et de la Maintenance de la Ville d’Antananarivo (SAMVA) qui assure la supervision et le contrôle technique. Le canal Andriantany par contre est sous la responsabilité de l’Autorité pour la Protection contre lesInondations de la Plaine d’Antananarivo (APIPA). Lebassin tampon se trouve dans le Fokontany Manarintsoa Est et ne collecte pas seulement les eaux usées de la zone d’étude mais aussi les eaux usées des quinze Fokontany environnant. La carte ci-après présente les altitudes de la zone d’étude et les réseaux d’évacuation des eaux.

Mécanisme et équipements existants

Concernant la gestion des déchets solides, les équipements mis à la disposition des Fokontany sont très insuffisants. Aucun bac à ordures primaire géré par le SAMVA n’a été recensé au niveau de la zone d’étude. Le bac le plus proche ne rentre pas dans la zone d’étude. Il se trouve de l’autre côté du canal Andriantany, à plus de 100 mètres des limites Est de la zone d’étude. Un bac à ordures a été disposé au niveau du Fokontany Andavamamba Anatihazo I mais il est aussi situé en dehors de la zone d’étude. La zone d’étude ne compte que deux sites de dépôt sauvage se trouvant dans le Fokontany Manarintsoa Est. En plus de ces sites, des bacs intermédiaires sont répartis au niveau de chaque Fokontany. La gestion des bacs est assurée par les RF2 présents dans les Fokontany. Les ménages jettent quotidiennement leurs ordures dans ces bacs. Les ordures sont ramassées et déposées dans un point de dépôt où les camions de ramassage du SAMVA y passent six jours sur sept. Lacarte suivante montre où se situent les dépôts sauvages et les bacs à ordures.

LE SECTEUR EHA DE LA ZONE D’ETUDE FACE A L’INONDATION

Cette partie va présenter le secteur EHA de la zone d’étude face à l’inondation. L’inondation est définie comme « un débordement d’un cours d’eau, le plus souvent en crue, qui submerge les terrains voisins » . Cette définition a mentionné la cause possible de l’inondation. Les causes des inondations sont nombreuses et celles concernant la zone d’étude vont être exposées ultérieurement. L’inondation pose un problème majeur pour le développement et met en danger les populations . Cette partie est ainsi divisée en deux chapitres : le premier analysera les causes et les conséquences de l’inondation sur le secteur EHA de la zone d’étude et la réduction des risques d’inondation liés à l’EHA dans le deuxième chapitre.

Les causes et les conséquences de l’inondation sur le secteur EHA de la zone d’étude

Les causes et les conséquences des inondations varient d’un pays à un autre et dépendent également de la zone d’étude affectée, zone rurale ou zone urbaine. Nous allons aborder successivement dans le présent chapitre les causes des inondations ainsi que leurs conséquences sur le secteur EHA de la zone d’étude.

Les causes des inondations dans la zone d’étude

La connaissance des causes des inondations est fondamentale pour la formulation des mesures de gestion des risques d’inondation. Les inondations sont causées par une complexe combinaison de facteurs dont les facteurs météorologiques et hydrologiques. Elles résultent aussi des activités humaines. Nous allons ainsi présenter dans cette section, les phénomènes causes des inondations, ensuite les facteurs aggravant les inondations dans la zone d’étude.

Les phénomènes causes des inondations

Situé dans l’Océan Indien à l’Est de l’Afrique, Madagascar est un pays tropical. Le climat est en général chaud toute l’année. Contrairement à l’hémisphère nord, le climat de Madagascar est dominé par deux principales saisons : la sais onsèche et fraîche ou hiver qui s’étale du 15 Avril au 15 Octobre et la saison des pluies et chaude ou été du 15 Octobre au 15 Avril.
C’est au cours de la saison d’été que les dépressions ou cyclones tropicaux peuvent se produire et provoquent des inondations. Les cyclones apportent des vents violents qui peuvent atteindre des centaines de kilomètres par heure et transportent aussi des milliards de tonnes d’eau et peuvent engendrer des crues monstrueuses ou inondations surtout dans les zones à basse altitude comme le cas de notre zone d’étude. Les exemples suivants montrent les Régions de Madagascar ayant connu des risques d’inondations associées aux évènements cycloniques de la période 2007 2012.

L’emplacement géographique et la qualité du sol

La nature et le niveau du sol restent problématiques dans la zone d’étude. La zone d’étude fait partie de la plaine de Betsimitatatra qui est une zone qualifiée de zone inondable. Elle est vulnérable aux inondations à cause de son altitude inférieure à celle de l’Ikopa et celle du canal Andriantany. L’altitude de la zone d’étude est de 1250,2 à 1250,7 mètres alors que celle du canal Andriantany est de 1251,3 à 1251,8 mètres. Située dans les zones basses de la ville d’Antananarivo, la zone d’étude se trouve sur d’anciennes zones marécageuses et d’anciennes rizières mal remblayées. De ce fait, les remblaiements sans plan d’assainissement pour l’évacuation des eaux facilitent l’imperméabilisation du sol et celui-ci n’arrive pas à absorber une grande quantité des eaux de pluies lors de la saison d’été. Les eaux s’accumulent donc en surface et provoquent des inondations.

L’urbanisation incontrôlée

« D’après les études menées, il a été constaté que le peuplement des 4 Fokontany s’est particulièrement effectué entre les années 1990 et 2004, surtout pour le Fokontany Andavamba Anatihazo I » . Depuis ces années, le nombre d’habitants ne cesse de s’accroître. Du fait de la mauvaise planification de l’aménagement du territoire, la croissance démographique donne lieu à des constructions informelles dans les zones à risques et à la formation des bidonvilles. Une urbanisation mal planifiée contribue aux risques d’inondation et c’est dans les bidonvilles que les risques sont les plus importants. «La concentration de pauvres, qui n’ont ni maison, ni infrastructures, ni services dignes de ce nom, accroît le risque d’inondation, et aggrave d’autant l’ampleur de leurs impacts sur les populations défvorisées »

Les conséquences des inondations sur le secteur EHA de la zone d’étude

Les inondations causent de nombreux dégâts en fonction de la zone touchée. En milieu rural, les inondations entraînent des dégâts sur les habitats et les cultures. En milieu urbain, les dégâts sont plus importants car les villes sont caractérisées par une forte densité de la population et une forte concentration de biens. Les inondations provoquent donc des conséquences sur la population, des dégâts sur les habitats, les infrastructures telles que le réseau de transports, l’eau, l’électricité, les bâtiments de services et de productions diverses. Dans la ville d’Antananarivo, les quartiers à basse altitude, comme notre zone d’étude, sont les plus touchés par les inondations durant la saison de pluies. L’analyse des conséquences des inondations dans notre zone d’étude est ainsi focalisée sur le secteur EHA, nous allonsprésenter les conséquences des inondations sur les infrastructures relatives à l’EHA avant d’aborder les risques sanitaires des inondations dans la zone d’étude.

Les conséquences des inondations sur les infrastructures relatives à l’EHA

Le présent paragraphe va analyser un à un les conséquences des inondations sur chacune des infrastructures relatives à l’EHA dans la zone d’étude : les canaux d’évacuation et le bassin tampon, les sources d’approvisionnement en eau potable, les latrines, les déchets solides.
Du fait de la situation géographique et les différentes causes des inondations résultant des activités humaines, la zone d’étude est vulnérable aux inondations. Avec une insuffisance des réseaux d’assainissement et de drainage des eaux usées et des eaux pluviales, l’arrivée des pluies torrentielles pendant plusieurs jours est suffisante pour inonder les zones à faible altitude. En plus, les eaux de ruissellement provenant des quartiers, à une altitude supérieure par rapport à celle de la zone d’étude, se déversent dans les canaux d’évacuation existant dans la zone d’étude.
Ces eaux transportent lors de leur passage, de la boue et des débris et s’accumulent dans les surfaces facilement inondables. Par conséquent, le réseau d’évacuation des eaux, dont les canaux d’évacuation tertiaires et le bassin tampon, est bouché et n’arrive pas à écouler à temps les eaux.
Les canaux d’évacuation tertiaires ainsi que le bassin tampon débordent petit à petit et les habitations et les infrastructures qui se trouvent au bord sont touchées en premier. La zone inondée s’étend ensuite selon la quantité des eaux pluviales.
En matière d’approvisionnement en eau potable, l’eau n’est pas coupée mais l’accès aux bornes fontaines est perturbé par la montée des eaux. Il a été constaté que deux des bornes fontaines dans le Fokontany Manarintsoa Est se situent l’un au bord du bassin tampon et l’autre au bord d’un canal d’évacuation tertiaire. Lors de la montée des eaux, les habitants doivent traverser les eaux insalubres débordant des canaux pour pouvoir s’approvisionner en eau et
attendre leur tour, les pieds dans l’eau. En période normale, le délai d’attente au niveau des bornes fontaines va d’au moins de 10 minutes jusqu’à une heure et plus . Ce délai d’attente peut augmenter durant les inondations et les usagers vont devoir tenir avec les mains les seaux et les bidons au lieu de les déposer au sol lors du momentde remplissage près du robinet. Les photos suivantes montrent les deux bornes fontaines au bord d’un canal d’évacuation et au bord dubassin tampon dans le Fokontany Manarintsoa Est :

Table des matières

REMERCIEMENTS
LISTE DES ABREVIATIONS ET ACRONYMES
GLOSSAIRE
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES FIGURES
LISTE DES GRAPHES 
LISTE DES CARTES 
SOMMAIRE 
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: PRESENTATION DE LA ZONE D’ETUDE
Chapitre 1 : Monographie de la zone d’étude
1.1.1. Situation géographique
1.1.2. Situation démographique
1.1.2.1. Origine de la population
1.1.2.2. Densité de la population
1.1.3. Situation socio-économique
Chapitre 2 : Le secteur eau, hygiène et assainissement de la zone d’étude
1.2.1. L’eau
1.2.1.1. Les sources d’approvisionnement en eau potable
1.2.1.2. La consommation d’eau journalière
1.2.1.3. La dépense financière en eau
1.2.1.4. La distance et le temps dépensé pour s’approvisionner en eau au niveau des bornes
fontaines
1.2.2. L’hygiène et l’assainissement
1.2.2.1. Hygiène personnelle et évacuation des excrétas
1.2.2.2. Gestion des eaux usées et des eaux pluviales
1.2.2.3. Gestion des déchets solides
CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
DEUXIEME PARTIE : LE SECTEUR EHA DE LA ZONE D’ETUDEFACE A L’INONDATION
Chapitre 3 : Les causes et les conséquences de l’inondation sur le secteur EHA de la zone d’étude
2.3.1. Les causes des inondations dans la zone d’étude
2.3.1.1. Les phénomènes causes des inondations
2.3.1.2. Les facteurs aggravant les inondations
2.3.2. Les conséquences des inondations sur le secteur EHA de la zone d’étude
2.3.2.1. Les conséquences des inondations sur les infrastructures relatives à l’EHA
2.3.2.2. Les risques sanitaires des inondations
Chapitre 4 : La réduction des risques d’inondation liés au secteur EHA
2.4.1. Les mesures d’aménagement et de gestion de la zone d’étude
2.4.1.1. Les mesures d’amélioration des systèmes d’hygiène et d’assainissement
2.4.1.2. Les mesures d’aménagement des zones d’habitations
2.4.2. La sensibilisation de la population du risque inondation et les mesures institutionnelles
2.4.2.1. La sensibilisation de la population au risque inondation
2.4.2.2. Les mesures institutionnelles
CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE
CONCLUSION GENERALE 
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXE : Questionnaire d’enquête

projet fin d'etude

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