Les mises en scène du théâtre de Thomas Bernhard

L’auteur et le metteur en scène

Thomas Bernhard est né le 9 février 1931 à Heerlen aux Pays-Bas et il est mort le 12 février 1989 à Gmunden en Autriche. Il est le fils de Herta Bernhard et d’Alois Zuckerstätter. Herta est la fille de l’écrivain autrichien Johannes Freumbichler. Le grand-père est une figure im portante pour Thomas Bernhard, à la fois modèle et repoussoir.
Thomas Bernhard a écrit de la poésie, de la prose et du théâtre. Son premier recueil de poèmes, Auf der Erde und in der Hölle, est paru en 1957 chez Otto Müller à Salzburg. Son premier roman, Frost (Gel en français) est paru en 1963 chez Insel à Francfort. Sa première grande pièce, Ein Fest für Boris (Une fête pour Boris) est créée le 29 juin 1970 au Deutsches Schauspielhaus et publiée la même année chez Suhrkamp. De 1975 à 1982 paraissent les cinq volumes de son autobiographie chez Residenz Verlag à Salzbourg (Die Ursache, Der Keller,
Der Atem, Die Kälte, Ein Kind). De 1963 à 1986, Thomas Bernhard a publié neuf romans : Verstörung, Das Kalkwerk, Korrektur, Beton, Der Untergeher, Holzfällen, Alte Meister, Aus löschung, ainsi que des nouvelles (Amras, Ungenach, Watten, Gehen, Ja, Die Billigesser, Wittgensteins Neffe) et des recueils de nouvelles : Prosa en 1967 et Der Stimmenimitator en 1978. De 1970 à 1988, Thomas Bernhard a écrit dix-huit grandes pièces, toutes créées de son vivant, à l’exception de son avant-dernière pièce, Elisabeth II. (Elisabeth II), créée le 5 novembre 1989 au Schiller-Theater à Berlin. La dernière pièce de Thomas Bernhard, Heldenplatz (Place des Héros), a été créée le 4 novembre 1988 au Burgtheater, à Vienne. Thomas Bernhard a en outre écrit dix «dramuscules» (« Dramolette »), publiés dans deux recueils. Der deutsche Mittagstisch, publié en 1988, contient sept petits drames. Et en 1990 est publié à titre pos thume, Claus Peymann kauft sich eine Hose und geht mit mir essen, qui contient trois autres dramuscules.

Traduction et réception des pièces de Thomas Bernhard en France

En apparence, Thomas Bernhard ne semble pas s’intéresser aux traductions. Ainsi, il veut que sa pièce Le Réformateur soit jouée par Minetti en Allemagne, en Autriche et en Suisse, dans les trois pays où on parle allemand, mais pour les autres pays, cela lui est égal. Pour Thomas
Bernhard, une traduction n’a rien à voir avec l’original, c’est un autre livre, c’est le livre du traducteur, c’est un cadavre qui a été écrasé par une voiture jusqu’à le rendre méconnaissable.
D’un autre côté, Thomas Bernhard est intéressé par l’idée que ses pièces soient mises en scène à l’étranger, et par le prestige que cela représente pour lui. Ainsi, il pense que sa pièce Une fête pour Boris pourrait très bien être jouée par des acteurs anglais. Et selon Rudolf Rach (d’abord responsable du théâtre chez Suhrkamp, puis directeur de L’Arche Editeur, qui édite les pièces de Bernhard), Thomas Bernhard accordait une importance toute particulière à ce que ses pièces soient jouées en France.
La première pièce de Thomas Bernhard jouée en France est en fait sa deuxième pièce, L’Ignorant et le Fou. La mise en scène d’Henri Ronse est jouée en 1978 à Paris, au Théâtre Oblique (à l’emplacement de l’actuel Théâtre de la Bastille). La mise en scène du metteur en scène belge avait été jouée auparavant au Théâtre du Rideau à Bruxelles. La percée du théâtre de Thomas Bernhard en France a lieu en 1987 et en 1988. En 1987, Jean-Pierre Vincent crée Le Faiseur de théâtre au TNP de Villeurbanne, la mise en scène rencontre un grand succès public et critique. Le Festival d’Automne 1988 à Paris met en lumière l’œuvre dramatique de Thomas Bernhard, avec en plus de la mise en scène du Faiseur de Théâtre, une mise en scène de Minetti, par Joël Jouanneau avec David Warrilow et une mise en scène de Simplement compliqué, par Christian Colin, avec Jean-Paul Roussillon. L’année 1991 constitue le point culminant de cette vague bernhardienne, avec de nombreuses mises en scène de pièces de Thomas Bernhard, dont Heldenplatz au Théâtre de la Colline, par Jorge Lavelli, avec Guy Tréjean et Annie Girardot. La mise en scène obtient deux Molières, celui du meilleur comé dien pour Guy Tréjean, et celui du meilleur décorateur scénographe pour Louis Bercut.
Depuis, Thomas Bernhard est régulièrement mis en scène en France, avec plusieurs mises en scène par saison. En 2009, pour le vingtième anniversaire de la mort de Bernhard, on pouvait ainsi voir Minetti dans deux mises en scène, à la Colline et à l’Athénée, Simplement compli qué aux Bouffes du Nord, et Une fête pour Boris au Festival d’Avignon.

Le texte de théâtre et sa mise en scène

Dialogues et didascalies : Si l’on cherche à analyser le rapport entre texte et mise en scène, se pose d’abord la question de l’analyse du texte de théâtre. Christopher Balme souligne qu’il est assez difficile d’identifier ce qui constitue un texte de théâtre, un texte écrit pour le théâtre. Est-ce la pré sence de didascalies et de dialogues ? Roman Ingarden différencie « texte principal » et « texte secondaire ». Le texte principal, ce sont les paroles dites par les personnages représen tés. Le texte secondaire, ce sont les indications pour la mise en scène données par l’auteur : « Den Haupttext des Theaterstückes bilden die von den dargestellten Personen ausgesproche nen Worte, den Nebentext dagegen die vom Verfasser gegebenen Informationen für die Spiel leitung. »
Anne Ubersfeld parle, elle, de dialogues et de didascalies. Les didascalies ne sont pas seulement les indications scéniques (les gestes et actions des personnages), mais aussi le nom des personnages (dans la liste initiale, mais aussi dans le dialogue). Donc tout ce qui est écrit dans le texte, mais ne doit pas nécessairement être dit par les personnages. Les didascalies com prennent également les indications de lieu : elles répondent donc aux questions « qui » et « où » et déterminent les conditions concrètes du discours. Les didascalies ouvrent donc sur la représentation. Dans le dialogue, c’est le personnage qui parle, dans la didascalie c’est l’auteur lui-même. L’auteur indique qui parle et il attribue à chaque personnage un lieu pour parler et une partie du discours. Pour Anne Ubersfeld, le rapport textuel dialogue-didascalies est variable selon les époques de l’histoire du théâtre, mais la place des didascalies n’est jamais nulle.

Le théâtre et la prise de note

Avant de commencer ma thèse sur Thomas Bernhard, j’avais déjà pu voir des mises en scène de cet auteur, me permettant d’avoir une idée sur la manière dont Thomas Bernhard est mis en scène en France. J’étais allé voir Déjeuner chez Wittgenstein au Théâtre du Montparnasse en 2003, Place des Héros à la Comédie-Française en 2004, et L’Ignorant et le Fou au Théâtre de la Tempête à la Cartoucherie de Vincennes, en 2005. Durant ma thèse, je me suis efforcé de voir de nombreuses mises en scène de Thomas Bernhard en France, en Allemagne et en Au triche. Au cours de l’année 2009, j’ai ainsi pu assister à plusieurs représentations en France. J’ai par exemple vu une représentation de Minetti mise en scène par André Engel, avec Mi chel Piccoli, au Théâtre de la Colline, et une autre version de la même pièce, au théâtre de l’Etoile du Nord. A Avignon, j’ai vu la mise en scène d’Une fête pour Boris par Denis Marleau. J’ai assisté à une représentation de Simplement compliqué aux Bouffes du Nord, joué et mis en scène par Georges Wilson. En 2010, j’ai pu voir Le Faiseur de théâtre au Théâtre de la Forge à Nanterre, puis dans une autre mise en scène au théâtre de l’Athénée à Paris en 2014.
En Allemagne et en Autriche, j’ai assisté à une représentation d’Heldenplatz au théâtre de Josefstadt, à Vienne, en 2010. J’ai assisté en 2011 à une représentation de Simplement compliqué, à Berlin, au Berliner Ensemble, mis en scène par Claus Peymann, avec Gert Voss dans le rôle du vieil acteur. Je suis allé voir Emmanuel Kant au Burgtheater à Vienne en 2009, puis la même pièce dans une autre mise en scène au Berliner Ensemble en 2011. Toujours au Burgtheater, j’ai vu L’Ignorant et le Fou en 2013. Une fois ma thèse commencée, je me suis efforcé de garder en mémoire ces représentations, en prenant des notes pendant ou après le spectacle, en essayant d’être attentif aux différentes composantes du spectacle, en m’inspirant du questionnaire de Patrice Pavis. J’ai aussi dessiné certains décors et certains costumes, pour garder une image visuelle de la mise en scène.

Thomas Bernhard critique de théâtre

Lors de ses débuts comme journaliste, Thomas Bernhard a l’occasion d’écrire plusieurs critiques de théâtre. C’est pour lui une première expérience du monde du théâtre, et cela montre que très tôt il s’y intéresse. On retrouve également dès cette période le goût de Thomas Bernhard pour les polémiques et les scandales en lien avec le théâtre, avec un article contre Friedrich Torberg pour défendre Brecht, et un article contre le Landestheater de Salzbourg. De 1952 à 1954, Thomas Bernhard travaille comme journaliste pour le Demokratisches Volksblatt, un journal socialiste de Salzbourg. Le rédacteur en chef du journal n’est autre que Joseph Kaut, qui deviendra plus tard président du Festival de Salzbourg de 1971 à 1983, et qui jouera un grand rôle dans la carrière de Thomas Bernhard. Mais dans un premier temps, Thomas Bernhard écrit surtout des articles de la rubrique Au tribunal. Ensuite, de 1955 à 1956, Thomas Bernhard écrit pour le journal catholique de Vienne Die Furche138. Dans son article, Rudolf Habringer indique aussi que Thomas Bernhard a écrit des articles, surtout des critiques de théâtre, pour les Salzburger Nachrichten.
En plus des articles sur les procès, Thomas Bernhard écrit divers articles pour la rubrique culturelle, il parle de lectures publiques d’auteur, de lectures scéniques, de concerts, d’expositions. Contrairement aux chroniques judiciaires, ces articles sont signés, et donc leur attribution à Thomas Bernhard ne pose pas de problème. Thomas Bernhard se plaint des difficultés que rencontrent les jeunes auteurs en Autriche et il défend ces jeunes auteurs. Il s’intéresse aussi à la littérature américaine contemporaine, en particulier à Thomas Wolfe.
C’est aussi dans ce cadre qu’il publie ses premières œuvres littéraires, des poèmes et des courts textes en prose.

Table des matières

Introduction 
1. L’auteur et le metteur en scène
2. Traduction et réception des pièces de Thomas Bernhard en France
3. Problématique
4. Corpus
4.1. Choix du corpus de pièces
4.2. Choix du corpus de mises en scène
5. Annonce du plan
Méthodologie
1. Etudes théâtrales
1.1. Le texte de théâtre et sa mise en scène
1.2. Les méthodes d’analyse
1.3. Comparaisons
1.4. Les sources
2. Traduction, réception et transferts culturels
2.1. Questions de traduction
2.2. Questions de réception
2.3. Transferts culturels
Etat de la recherche 
1. La recherche sur Thomas Bernhard dans les pays de langue allemande (théâtre et réception)
2. La recherche sur Thomas Bernhard en France (théâtre et réception)
PARTIE I : THOMAS BERNHARD, LE THEATRE ET LA TRADUCTION 
Chapitre 1 : Thomas Bernhard et le théâtre 
1. Les années d’apprentissage du théâtre de Thomas Bernhard 
1.1. Thomas Bernhard critique de théâtre
1.2. Thomas Bernhard élève acteur et élève metteur en scène au Mozarteum
1.3. L’apprentissage de l’écriture dramatique : livrets d’opéra et premières courtes pièces
2. Les textes de Thomas Bernhard sur le théâtre 
2.1. Le théâtre dans les textes narratifs
2.2. Les dramuscules : des Impromptus à la manière de Thomas Bernhard
2.3. Le théâtre dans les Entretiens avec Krista Fleischmann
Chapitre 2. Thomas Bernhard à la recherche de la mise en scène modèle 
1. Les débuts de Thomas Bernhard en Autriche (1970-1976) 
1.1 Thomas Bernhard et le Festival de Salzbourg
1.2 Thomas Bernhard et le Burgtheater
2. Thomas Bernhard et l’Allemagne (1975-1986)
2.1. Thomas Bernhard à Stuttgart (1975-1979)
2.2 Thomas Bernhard à Bochum (1979-1986)
3. Le retour de Thomas Bernhard en Autriche 
3.1 Thomas Bernhard et le Festival de Salzbourg (1981-1986)
3.2 Thomas Bernhard et le Burgtheater (1986-1988)
Chapitre 3 : Après la mort de Thomas Bernhard
1. L’interdiction des pièces de Thomas Bernhard en Autriche (1989-1999) 
1.1. L’interdiction
1.2. Transgression et contournements
1.3. La levée de l’interdiction
2. Les mises en scène des pièces dans les pays germanophones après la mort de l’auteur
2.1. En Autriche, après la levée de l’interdiction et le départ de Peymann du Burgtheater
2.2 En Allemagne, après la mort de Bernhard : Claus Peymann à Berlin
3. La relève : anciens et nouveaux metteurs en scène et acteurs bernhardiens
3.1. Les metteurs en scène
3.2. Les acteurs
Chapitre 4 : Traduire le théâtre de Thomas Bernhard 
1. La problématique de la traduction de textes de théâtre 
2. Analyses de traductions 
2.1 Analyse lexicale
2.2. Analyse syntaxique
3. La traduction comme transfert culturel 
3.1. Le « cultural turn » en traductologie
3.2. Traduire les références culturelles
4. Les traductions de Thomas Bernhard en français 
4.1 Des traductions aux mises en scène
4.2 La reprise de L’Arche par Rudolf Rach
4.3 Les autres publications de L’Arche sur Thomas Bernhard
5. Différences de structure du théâtre germanophone et français
PARTIE II : ANALYSE COMPAREE DES MISES EN SCENE 
Chapitre 5 : Le théâtre de Thomas Bernhard : Réalisme ou « marionnettisme » ? 
1. Réalisme ou « marionnettisme » ? 
1.1. Théâtre de marionnettes ou approche réaliste ?
1.2. Les mises en scène : une approche à la fois réaliste et minimaliste
1.3. En France : la lente compréhension du « marionnettisme »
2. Les créations par Claus Peymann. Analyse des mises en scène des trois premières pièces
2.1. Une fête pour Boris (Ein Fest für Boris)
2.2. L’Ignorant et le Fou (Der Ignorant und der Wahnsinnige)
2.3. La Société de chasse (Die Jagdgesellschaft)
2.4. Bilan : les créations des trois premières pièces de Thomas Bernhard
3. Analyse des mises en scène françaises des trois premières pièces de Bernhard
3.1 1982-1983 : Deux mises en scène de L’Ignorant et le Fou par Alain Ollivier
3.2 1990-1991 : Deux mises en scène de La Société de chasse
3.3 2006-2009 : L’Ignorant et le Fou et Une fête pour Boris
3.4 Bilan : les mises en scène françaises des trois premières pièces de Thomas Bernhard
Analyse et comparaison avec les créations
Chapitre 6. L’acteur : Minetti sur scène 
1. Le « rôle de Minetti » 
1.1. Sur les traces de la comédie viennoise
1.2. Caractéristiques du « rôle de Minetti »
2. Le rôle de Minetti – créations des pièces
2.1 La Force de l’habitude (Die Macht der Gewohnheit)
2.2. Minetti (Minetti)
2.3. Le Réformateur (Der Weltverbesserer)
2.4. Les apparences sont trompeuses (Der Schein trügt)
2.5. Simplement compliqué (Einfach kompliziert)
2.6. Bilan : Les créations du rôle de Minetti
3. Mises en scène françaises du « rôle de Minetti » 
3.1. 1985-1988 : Les apparences sont trompeuses, Minetti et Simplement compliqué
3.2. 1991-1997 : Le Réformateur et La Force de l’habitude
3.3. 2002-2009 : Minetti et Simplement compliqué
3.4 Bilan : les mises en scène françaises du rôle de Minetti
Chapitre 7. Les pièces politiques 
1. Le théâtre de Thomas Bernhard a-t-il une dimension politique ? 
1.1. Contenu, forme et fonction
1.2. La portée politique des pièces de Thomas Bernhard
1.3. De l’« Anti-Brecht autrichien » au « syndrome Bernhard-Waldheim »
2. Analyse des créations
2.1. Le Président (Der Präsident)
2.2. Avant la retraite (Vor dem Ruhestand)
2.3. Le Faiseur de théâtre (Der Theatermacher)
2.4. Place des Héros (Heldenplatz)
2.5. Bilan : création des pièces politiques
3. Les pièces politiques : Analyse des mises en scène françaises 
3.1. 1981-1987 : De l’échec du Président au succès du Faiseur de théâtre
3.2. 1990-1991 : Avant la retraite et Heldenplatz au théâtre de la Colline
3.3. 2004-2007 : Place des Héros et Le Président
3.4. Bilan : Les mises en scène françaises. Analyse et comparaison avec les créations dans
l’espace germanophone
Chapitre 8 : Les pièces comiques 
1. Le comique et la comédie
1.1. Considérations générales sur le comique et la comédie
1.2. Le comique dans la littérature secondaire sur Bernhard
1.3. Comédie et tragédie
1.4. Le comique dans Immanuel Kant, Über allen Gipfeln ist Ruh et Ritter, Dene, Voss
1.5. La réception du comique bernhardien en France
2. Les mises en scène des comédies de Thomas Bernhard dans l’espace germanophone
2.1. Emmanuel Kant (Immanuel Kant)
2.2. Maître (Über allen Gipfeln ist Ruh)
2.3. Déjeuner chez Wittgenstein (Ritter, Dene Voss)
2.4. Les créations des pièces comiques : bilan
3. Mises en scène françaises d’Emmanuel Kant, Maître et Déjeuner chez Wittgenstein
3.1. 1992-1995-1997 : Déjeuner chez Ludwig W., Maître et Emmanuel Kant
3.2. 2002-2003-2004 : Tout est calme, Ritter Dene Voss et Emmanuel Kant
3.3. Les mises en scène françaises des pièces comiques : conclusion
Conclusion 
Bibliographie
1. Pièces de théâtre / Œuvres de Thomas Bernhard 
1.1. Pièces de théâtre / Œuvres de Thomas Bernhard en allemand
1.2. Pièces de théâtre / Œuvres de Thomas Bernhard en traduction française
2. Littérature secondaire
2.1. Littérature secondaire sur (le théâtre et la réception de) Thomas Bernhard
2.2. Littérature secondaire sur le théâtre
2.3 Autres
3. Sources 
3.1. Sources audiovisuelles
3.2 Photographies
3.3 Programmes
3.4 Articles de Presse/ Critiques de théâtre
3.5 Les archives
Annexes

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *