L’IMPORTANCE DE L’AUDIT FINANCIER POUR LA BONNE GOUVERNANCE D’UNE ENTREPRISE CAS DE NATURE LODGE

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Justification de choix de la zone d’étude

Un des principes de base de chaque étude consiste en la connaissance du marché et de son secteur d’activité. Nous avons choisi la capitale pour mener notre étude car nous pouvons constater que presque toutes les grandes entreprises se trouvent à Antananarivo. D’où une zone adéquate pour récolter des informations complètes. Ce qui nous a amené à opter pour le Nature Lodge comme zone d’étude du fait que : premièrement c’est là où nous avons effectué le stage, deuxièmement, elle jouit déjà d’une grande notoriété envers le public et dernièrement, elle nous a permis d’avoir beaucoup de données sur notre thème sans oublier l’amabilité des personnels qui nous a accueilli à bras ouvert et nous a procuré toutes les informations nécessaires à l’aboutissement de ce devoir.

Matériels utilisés

A part, la zone d’étude, nous avons cette section qui consiste à présenter les divers matériels utilisés ainsi que les moyens de collecte d’informations engagés lors de notre investigation.
Parmi les moyens de collecte d’informations engagés lors de la collecte de données pour la réalisation de cette étude, nous avons d’abord eu recours à la documentation pour avoir un aperçu global du thème avant d’avoir pu procéder à la préparation des divers matériels pour la collecte de données sur terrain.
La consultation bibliographique dont notamment d’ouvrages et de supports de cours théoriques, la consultation des documents relatifs à notre thème issus des présentations de l’entreprise étudiée et de manuels et sans oublier le recours à l’aide de la technologie de l’information et de la communication constituent les formes de documentation privilégiées pour fructifier ce travail. En ce qui concerne la recherche de renseignements et d’informations en privilégiant la consultation bibliographique au moyen de la lecture d’ouvrages, ceci est basique et préalable avant toute recherche pour avoir un prérequis en matière de théories ou de pratiques sur un thème donné. En effet, des ouvrages, des articles, des mémoires portant sur l’audit interne et le contrôle interne sont ceux qui ont été le plus consultés pour la réalisation de notre collecte d’informations. Ces documents ont été fournis par divers centres de documentation dont la Bibliothèque Universitaire d’Antananarivo en l’occurrence et quelques livres empruntés à des proches.
Comme le monde tend à une informatisation de plus en plus marquée dans notre vie quotidienne, se limiter aux documents fournis par les bibliothèques et centres de documentation serait un handicap. Ainsi, afin d’élargir notre vision du thème, nous avons également eu recours à l’aide de la technologie de l’information et de la communication. En d’autres mots, nous avons eu l’aide des pages web pour étoffer nos connaissances dans le domaine de l’audit interne, du contrôle interne et de la performance. Ceci nous a beaucoup aidés étant donné la diversité et la multiplicité des documents consultables se rapportant à notre thème. De ce fait, nous nous sommes servis de présentations diaporama, de documents disponibles en ligne, etc. afin de tirer des informations relatives à notre thème.
Or, pour la conduite de ce travail, différentes théories qui se trouvent être fondamentales pour la compréhension du thème seront mises en relief dans cette sous-section.

Approche théorique

Pour mener à bien notre présent mémoire, nous devons connaitre des théories des auteurs qui ont des relations avec notre thème. Cette section va nous permettre d’avoir une vue d’ensemble sur les cas théoriques spécifiques. Afin de mieux cerner notre domaine de travail, les parties théoriques des cours ont été d’une aide capitale. Cette section est consacrée à cela.

La définition de l’audit

Selon l’ouvrage1« Mieux piloter et mieux utiliser l’audit », l’audit est utilisé pour détecter les points faibles de la chaine d’excellence déjà définie, excellence garantie par la cohérence interne de chacun dans l’entreprise ainsi que la cohérence entre ses « maillons » que sont la stratégie, les politiques, l’organisation, les systèmes, les procédures, et leur application effective. C’est pourquoi, il dit que l’audit est l’examen des cohérences, de toutes les cohérences. Pour pouvoir maitriser la communication et l’action, il faut une mise en œuvre d’une manière cohérente, on peut dire donc que l’auditeur relève les incohérences et les faiblesses. Cela n’est pas une chose facile mais peut se conquiert peu à peu. Notons qu’il est attendu des auditeurs internes qu’ils respectent et appliquent les principes fondamentaux tels que l’intégrité qui est la base de la confiance et de la crédibilité accordées à leur jugement ; l’objectivité qui évaluent de manière équitable tous les éléments pertinents et ne laissent influencer dans leur jugement par leurs propres intérêts ou par autrui ; confidentialité et la compétence qui utilise leur savoir-faire et leur connaissance pour la réalisation des travaux.Enoutre, l’audit interne est fait pour constater le passé, pour accompagner les changements en cours et pour prévoir les risques futurs. Ainsi, l’audit est un moyen pour percevoir la réalité et susciter l’action.
Dans les entreprises, l’audit est une fonction d’évaluation du contrôle interne pratiqué au sein de ces entreprises. L’inspection est parfois en parallèle avec le service d’audit qui est de conduire des enquêtes sur des évènements, des incidents ou sur des agissements, comportements individuels et collectifs afin de mettre en évidence la réalité des faits et responsabilités. Il faut noter que dans les banques, l’audit est assuré par des inspecteurs parfois relayés dans les structures opérationnelles, par des contrôleurs internes.
En plus, l’audit examine les paramètres de la gestion sociale qui sont l’existence, la cohérence, l’application des politiques d’organisation, de rémunération, d’évaluation, de formation et de communication. L’auditeur doit lui aussi apporter sa contribution à la création de valeur pour les actionnaires, pour les clients et pour le personnel, c’est la finalité de toutes entreprises.
L’audit est une garantie de conformité, de ce qui est dit et de ce qui est fait, une recherche des malversations perpétrées par les collaborateurs, un jugement sur les hommes qui travaillent dans l’entreprise, et depuis peu, une assurance pour ne pas aller en prison. L’audit est un rapport écrit sur les systèmes utilisés, le management exercé, la qualité de ce management.
Par ailleurs, auditer c’est participer au processus de décision. Une mission d’audit est un processus mais pour l’audit interne c’est une fonction. L’audit est considéré comme « le messager du contrôle interne ». Il est utilisé pour satisfaire la direction, tous les clients, à répondre à toutes leurs attentes.
Hier, l’audit est un mal nécessaire et aujourd’hui, c’est un bien indispensable. L’auditeur ne juge pas mais apporte à la hiérarchie des éléments factuels des jugements qui doivent être mis aux regards d’autre considération.
On remarque aussi une certaine indépendance dans le service d’audit .La liberté d’intervention dans n’importe quel domaine de l’entreprise, la liberté d’expression ce qui signifie écrire et parler sans autre contrainte que le respect des règles professionnels et des règles de bienséances. Pourtant l’auteur qualifie cette liberté d’indépendance sous tutelle. Il faut aussi noter que dans l’audit, il y a l’audit de conformité et l’audit d’efficacité.
L’audit a déjà existé depuis belle lurette. L’auteur a mis en exergue le full audit, l’approche système, l’approche par les risques. Maintenant, les entreprises donnent la priorité aux processus transversaux sur les structures hiérarchiques, processus chargés d’atteindre efficacement les objectifs, d’optimiser leurs fonctionnements et d’en assurer le contrôle.
La norme ISO 9000 distingue : L’audit interne : Les audits internes, appelés parfois « audit de première partie » sont réalisés par, ou au nom de, l’organisme lui-même pour des raisons internes et peuvent constituer la base d’une auto-déclaration de conformité. Ils peuvent être opérationnels ou stratégiques suivant l’approche retenue et l’audit externe : Les audits externes comprennent ce que l’on appelle généralement les « audits de seconde ou de tierce partie ».
Il y a une nette différence entre auditeur interne et auditeur externe. La mission de l’auditeur interne est de veiller au respect des procédures. Son travail se fait essentiellement par la méthode de l’observation. Il observe, discute avec les employés qui travaillent et ainsi, tente d’évaluer les méthodes de travail des employés.
Un bon auditeur doit passer tous les services de l’entreprise au peigne fin. Il ne doit rien laisser au hasard afin d’établir une liste exhaustive de tous les points et les faits marquants, les lacunes et le disfonctionnement. Il doit également maîtriser tout le processus de l’entreprise pour déceler les moindres failles.
L’efficacité de l’audit repose sur la diversité des talents et des compétences de l’auditeur, il faut aussi que l’auditeur interne ne soit pas détourné de sa mission principale surtout dans les petites et moyennes entreprises. L’auditeur interne se doit de vérifier en permanence son bon fonctionnement au travers d’un processus de contrôle de qualité et lorsqu’on est bon, il faut aussi demander aux autres de ce qu’ils pensent de nous, c’est l’audit de l’audit.
Pour pouvoir assurer la performance d’une entreprise, il faut être un bon auditeur et de ce fait, c’est, s’interroger sur la pertinence du plan d’audit, sur le professionnalisme d l’auditeur, sur la qualité de leur communication et sur leur capacité à convaincre.
Pour mieux faire, l’auditeur interne doit aussi appliquer les différents types de contrôle tels que les contrôles administratifs qui sont d’assurer une gestion ordonnée, efficace, et efficiente des activités, de mettre en place une structure administrative ayant trait aux décisions de la direction autorisant les opérations ;les contrôles comptables :la structure administrative et procédés ayant trait à la protection des biens et à la fiabilité des documents comptables conçus pour donner une certitude raisonnable que l’information financière présentée aux états financiers reflète fidèlement les opérations financières aux entreprises, qui a pour objectif de donner la fiabilité nécessaire à l’entreprise ;les contrôles préventifs et de détection qui s’intéressent à l’objectif des contrôles.

L’audit interne et externe

Les deux types d’audit les plus courants sont généralement l’audit fait par une personne à l’extérieur de l’entreprise et l’audit fait par une personne qui travaille déjà au sein de l’entreprise.

L’audit interne

L’audit interne est considéré comme un moyen pour pouvoir contrôler tous les services sous la responsabilité de la direction. Ainsi on peut regarder les fautes que les employés font d’habitude qui échappent à l’œil du dirigeant.
De plus, la direction peut ainsi trouver ce qui serait les freins pour le bon fonctionnement de l’entreprise, qui enclencheront le non performance qui est à exclure.
Enfin, l’audit permet de solliciter l’aide des « pros audit » qui assureront la formation des auditeurs débutants. Ces derniers permettront donc à garder la performance qui est déjà acquise par l’entreprise.
Pour la performance, l’audit se subdivise en auditeur généraliste et auditeur spécialiste, notons que l’auditeur généraliste concerne les petites entreprises qui ont des opérations simples et l’auditeur spécialiste concerne les grandes entreprises voire l’auditeur informatique qui n’est pas un informaticien qui fait de l’audit.
L’audit de compte est un moyen pour être informé de la situation de l’entreprise tant pour les dirigeants pour prendre des décisions que pour les clients, les pouvoirs publics, lescréanciers, les actionnaires pour évaluer leur patrimoine affecté à l’entreprise. Il importe donc que l’image que la comptabilité donne de la situation de l’entreprise soit la plus fidèle possible, pour tous ceux qui sont amenés à utiliser les informations comptables. Un contrôle général, s’appliquant à l’ensemble de la comptabilité en vue d’en vérifier la régularité et la sincérité, semble alors être indispensable.

L’audit externe

Ce type d’audit concerne surtout à la demande à une tierce personne pour faire de l’audit au sein d’une entreprise. Cette personne sera une personne assermentée qui peut travailler indépendamment ou bien au sein d’un cabinet d’audit. Nombreux sont les cabinets d’une grande envergure qui existe à Madagascar et beaucoup d’entreprises veulent faire appel à eux plutôt qu’à un cabinet nouvellement créée.
Le terme «audit» est aujourd’hui utilisé dans de nombreuses applications. Il oscille, nous l’avons vu, entre des missions de contrôle (notamment dans le cadre de la mission du commissariat aux comptes) à des missions de conseil. L’audit peut être conduit par une personne issue d’une profession organisée (expert-comptable, commissaire aux comptes, auditeur interne), mais il peut être également conduit par des personnes venant d’horizons différents (informaticiens, avocats, ingénieurs, fonctionnaires, etc.).
Selon le cadre conceptuel des missions d’audit de l’IAASB (International Auditing and Assurance Standards Board) repris par la norme ISA 200, qui est une commission permanente du conseil de l’IFAC. Elle a reçu la mission et le pouvoir de publier des recommandations et des projets de recommandations sur l’audit et les missions qui s’y rattachent. A ce jour, l’IAASB a publié plus de 30 normes.
Par ailleurs, la mission d’audit a pour objectif de permettre à l’auditeur d’exprimer une opinion selon laquelle les états financiers ont été établis dans tous leurs aspects significatifs conformément à un référentiel comptable et identifié.
La mission d’audit a pour objectif de permettre à l’auditeur d’exprimer une opinion selon laquelle les états financiers ont été établis, dans tous leurs aspects significatifs, conformément à un référentiel comptable identifié.
La mission d’examen limité a pour objectif de permettre à l’auditeur de conclure, sur la base de procédures ne mettant pas en œuvre toutes les diligences requises pour un audit, qu’aucun fait d’importance significative n’a été relevé lui laissant à penser que les états financiers n’ont pas été établis, tans tous leurs aspects significatifs, conformément au référentiel comptable identifié. Lorsque le niveau de fiabilité des comptes requis est moindre, l’auditeur peut procéder à un examen qui se conclut par l’expression d’une assurance limitée. Cette dernière est le plus souvent formulée négativement de la manière suivante : « Sur la base de notre examen limité, nous n’avons pas relevé d’anomalies significatives de nature à remettre en cause la régularité et la sincérité des comptes et l’image fidèle qu’ils donnent du résultat de l’exercice, de la situation financière et du patrimoine de la société. » L’examen limité se distingue de l’audit dans la mesure où les contrôles reposent plutôt sur des entretiens et des examens analytiques que sur l’appréciation du contrôle interne et la collecte d’éléments de forte valeur probante (observation physique, confirmation directe…). Le rapport émis à l’issue d’un examen limité de comptes comporte une conclusion écrite exprimant une assurance formulée sous une forme négative. L’auditeur doit évaluer si les éléments probants collectés lors de ses travaux permettent de fonder cette conclusion. Sur la base des travaux effectués, l’auditeur doitdéterminer si des informations réunies à l’occasion de ses contrôles indiquent que les comptes ne « donnent pas une image fidèle » conformément au référentiel comptable applicable.
L’auditeur interne doit évaluer les processus de management des risques, de contrôle et gouvernement d’Entreprise et contribuer à leur amélioration sur la base d’une approche systématique et méthodique.
Les missions doivent être remplies avec compétence et conscience professionnelle. La Direction audit interne doit garantir que l’indépendance technique et la formation Générale des auditeurs internes sont d’un niveau compatible avec les audits à effectuer et que les travaux sont supervisés de façon appropriée. Elle devrait posséder ou acquérir les connaissances, les aptitudes et les compétences techniques nécessaires à l’exercice de ses responsabilités d’audit.
Les auditeurs internes L’audit interne doit être indépendant et les auditeurs internes doivent effectuer leur travail avec objectivité.
Le responsable de l’audit interne doit relever d’un niveau hiérarchique permettant aux auditeurs internes d’exercer leurs responsabilités ».Cette phrase stipule la place de cette fonction dans l’organisation de sorte que les auditeurs puissent accomplir leurs responsabilités.
L’audit ne doit subir aucune ingérence lors de la définition de son champ d’intervention, de la réalisation du travail et de la communication des résultats.
Les Auditeurs doivent avoir une attitude impartiale et dépourvue de préjugé, et éviter les conflits d’intérêts.
Si l’objectivité ou l’indépendance des auditeurs internes sont compromises dans les faits ou même en apparence, les parties concernées doivent en être informés de manière précise. La forme de cette communication dépendra de la nature de l’atteinte à l’indépendance.
Les auditeurs doivent s’abstenir d’auditer des opérations particulières dont ils ont été auparavant responsables. L’objectivité d’un auditeur interne est présumée altérée.
Lorsqu’il réalise une mission d’Audit pour une activité dont il a eu la responsabilité au cours de l’année précédente. Les auditeurs doivent respecter les règles du code de déontologie posséder les connaissances, aptitudes et compétences techniques nécessaires à la bonne exécution des travaux d’audit interne. Etre apte aux contacts humains et savoir communiquer efficacement sont parmi de leurs qualifications. Leur compétence technique devrait être entretenue par une formation continue.
Dans une mission d’examen sur la base de procédures convenues, un auditeur met en œuvre des procédures d’audit définies d’un commun accord entre l’auditeur, l’entité et tous les tiers concernés pour communiquer les constatations résultant de ses travaux. Les destinataires du rapport tirent eux-mêmes les conclusions des travaux de l’auditeur.
Dans une mission de compilation, le comptable utilise ses compétences de comptable, et non celles d’auditeur, en vue de recueillir, classer et faire la synthèse d’informations financières.
Ceci le conduit d’ordinaire à faire la synthèse d’informations détaillées sous une forme compréhensible et exploitable sans être tenu par l’obligation de contrôler les déclarations sur lesquelles s’appuient ces informations.
L’audit et l’examen limité doivent conduire l’auditeur à exprimer respectivement un degré élevé et un degré modéré d’assurance, lesquels termes sont utilisés pour indiquer leurclassement comparatif. Les missions ayant pour objet la réalisation de procédures convenues et de compilation ne visent pas à permettre à l’auditeur d’exprimer une assurance quelconque sur les assertions concernées.
Selon l’IFACI (Institut Français de l’Audit et du Contrôle Interne), « l’audit est une activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance sur le degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte ses conseils pour les améliorer, et contribue à créer de la valeur ajoutée. Il aide cette organisation à atteindre ses objectifs en évaluant, par une approche systématique et méthodique, ses processus de management des risques, de contrôle, et de gouvernement d’entreprise, et en faisant des propositions pour renforcer leur efficacité ».
Les missions de l’auditeur sont de deux types : des missions d’assurance et des missions de conseil.
Dans le cadre des missions d’assurance, l’auditeur procède à une évaluation objective en vue de formuler en toute indépendance une opinion ou des conclusions sur un processus, un système ou tout autre sujet. Il détermine la nature et l’étendue de ses missions qui comportent généralement trois types d’intervenants : la personne ou le groupe directement impliqué dans le processus, le système ou le sujet examiné (le propriétaire du processus) ; la personne ou le groupe réalisant l’évaluation (l’auditeur interne) ; et la personne ou le groupe qui utilise les résultats de l’évaluation (l’utilisateur).
Les missions de conseil sont généralement entreprises à la demande d’un client. Leur nature et leur périmètre font l’objet d’un accord avec ce dernier. Elles comportent généralement 02 intervenants: la personne ou le groupe qui fournit les conseils (en l’occurrence l’auditeur) ; et la personne ou le groupe donneur d’ordre auquel ils sont destinés (le client).
Lors de la réalisation de missions de conseil, l’auditeur doit faire preuve d’objectivité et n’assumer aucune fonction de management.
Le rapport constitue l’aboutissement des travaux de l’auditeur. Il doit apporter une réponse aussi précise que possible à une question non précise. L’opinion formulée dans le rapport sera différente selon la mission de l’auditeur.

Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE I : MATERIELS ET METHODES
CHAPITRE I : MATERIELS
Section 1- Zone d’étude et justification de choix
1.1-Presentation de la zone d’étude
1.2-Justification de la zone d’étude
Section 2- Materiels utilisés
Section 3 : Approche théorique
3.1-La définition de l’audit
3.1.1-L’audit interne et externe
3.1.2-L’audit de fiabilité et l’audit d’efficacité
3.1.3-L’audit financier, l’audit opérationnel et l’audit juridique
3.2-La définition de la gouvernance d’entreprise
3.3-La relation entre l’audit et la gouvernance d’entreprise
3.3.1- L’existence d’un plan systématique d’organisation
3.3.2- La compétence et l’intégrité du personnel
3.3.3- L’existence d’une documentation satisfaisante
CHAPITRE II : METHODOLOGIE D’APPROCHE
Section 1- Méthodes de collecte des données
1.1-Les différentes phases d’une recherche
1.1.1-La phase préparatoire
1.1.2-La phase d’investigation
1.1.3-La phase d’analyse et de rédaction
1.2-Prise de connaissance des procédures
1.3-L’exploitation des notes de cours
1.4-Le guide d’entretien
1.5-La descente sur terrain
Section 2- Méthodes de collecte des données
2.1-L’analyse SWOT
2.2-Le diagramme d’ISHIKAWA
CONCLUSION PARTIELLE
PARTIE II : RESULTATS
CHAPITRE I: LES TRAVAUX D’AUDIT AU SEIN DE L’ENTREPRISE
Section 1- Les procédures de l’audit au sein de Nature Lodge
1.1-L’organe touché par l’audit
1.2-Les différentes phases d’audit au sein de Nature Lodge
1.2.1-La phase de préparation
1.2.2-La phase de réalisation
1.2.3-La phase de conclusion
Section 2- Les faits receuillis pendant l’audit fait par l’auditeur
2.1-Volet vente
2.2-Volet personnel
2.3-Volet contrôle interne
2.4-Volet trésorerie
Section 3- L’utilisation du pouvoir pour la performance
CHAPITRE II: L’IMPACT DE L’AUDIT AU SEIN DE L’ENTREPRISE
Section 1- L’impact de l’audit sur l’axe financier
Section 2- L’impact de l’audit sur la gouvernance de l’entreprise
CONCLUSION PARTIELLE
PARTIE III: DISCUSSION ET PROPOSITION DE SOLUTION
CHAPITRE I: DISCUSSION
Section 1- Forces et opportunités
1.1-Forces
1.1.1-La performance de l’entreprise
1.1.2-Un staff jeune et dynamique
1.2.-Opportunités
1.1.1-Confiance des investisseurs
1.2.1-Environnement de travail attrayant
Section 2- Faiblesses et menaces
2.1-Volet ventes
2.2-Volet personnel
2.3-Volet contrôle interne
2.4-Volet tresorerie
2.5-La concurrence sur le marché
2.6-Manque de confiance envers les employés
CHAPITRE II: PROPOSITION DE SOLUTION
Section 1- Proposition de solutions concernant les points faibles
Section 2- Proposition de solutions concernant les menaces
CONCLUSION PARTIELLE
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
WEBOGRAPHIE
ANNEXES

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