Lutte contre la varroase

Morphologie

Le varroa a un corps poilu à la loupe avec 4 paires de pattes (voir figure 1). Il vit à l’intérieur des alvéoles contenant les larves (couvains) et sur les abeilles adultes. Un dimorphisme sexuel a été marqué à l’état adulte ; la femelle étant presque deux fois plus grande que le mâle (voir figure 2). Le varroa femelle a de forme elliptique et mesure environ 1,1mm de long sur 1,6mm de large [20] avec une légère concavité de la partie
supérieure de la carapace ; sa coloration peut être marron clair ou marron foncé ; leur corps n’a pas la possibilité de se dilater, c’est le seul parasite d’abeille observé à l’œil nu[14]. Elle pèse environ 0,32 à 0,48 mg. Son espérance de vie est de 2,5 à 3,5 mois [21, 11].

Alimentation 

L’acarien Varroa destructor est un parasite des abeilles adultes et de leur couvain. Il a donc une action spoliatrice en tant que parasite [22], c’est-à-dire, il suce et ingère l’hémolymphe de l’abeille adulte en s’accrochant et perforant sur sa membrane inter segmentaire entre les segments abdominaux ou sur son dos entre les tergites [23]. Les varroas femelles seulement sont les parasites des adultes des abeilles ouvrières, des fauxbourdons et même des reines abeilles. Elle aspire aussi avec le varroa mâle l’hémolymphe des formes immatures de l’abeille à n’importe quel stade. Il est aussi vecteur d’un ou plusieurs maladies (inoculation de virus et autres agents infectieux) [24].

Cycle

Deux phases existent dans la vie des varroas : la phase reproductive et la phase phorétique. La première phase ou la phase reproductive se passe dans les couvains operculés. Après la mue imaginale des femelles varroas, elles ont une unique période de fécondation lorsqu’elles sont mures. La figure 3 montre l’étape de développement de varroa à partir de son éclosion. Elles tentent d’entrer dans l’alvéole en train d’operculer[25] et dépose de 1 à 12 œufs sur les parois des alvéoles, le premier œuf sera un male et le 2 ème à 5-6 ème s’éclosent normalement en femelle. Le 7 ème – 12ème seront stérile. Lorsque les générations femelles varroa sont mures, le male varroa féconde ses sœurs. Et plusieurs accouplements se passent entre frères et sœurs varroas dans le cas d’une mono-infestation.
Le mâle change de partenaire dès qu’une nouvelle femelle achève sa mue imaginale, soit environ 30 heures après la mue de la femelle précédente puis le mâle meurt après fécondation. Les femelles varroa sort de la cellule avec les jeunes ouvriers ou faux bourdons en s’accrochant sur le dos des abeilles adultes et sucent son hémolymphe ainsi la phase phorétique des varroas commence. Elles commencent à pondre lors qu’elles deviennent matures. Une jeune femelle fécondée doit forcément maturer en phorésie environ 7 jours [26]. La figure 4 illustre le cycle de reproduction des varroas sur lesabeilles et sur les couvains.

Modalités d’infestation et épidémiologie

La source de contamination est représentée soit par les abeilles adultes, quelle que soit leur caste, soit par le couvain dans le rucher, le pillage, la dérive des butineuses, les errements des faux bourdons. Le varroa se transmet par contact entre abeille, par déplacement de colonie d’une région infestée à une région indemne du varroa (transhumance) ou par le déplacement d’essaim (par essaimage ou par désertion) de 5 à 15 Km ou plus de son emplacement d’origine, par les manipulations de l’apiculteur sur le déplacement des cadres couvains infestés vers une autre ruche non infestée et aussi par achat d’essaim déjà contaminé dont on ne connaît pas l’origine et sa santé. Ceux sont surtout les principales causes de l’extension de la parasitose [26]. Les ruches saines fortessont donc infectées par les ruches faibles déjà contaminé. En plus l’infidélité des fauxbourdons de sa ruche aussi est l’origine de la contamination, c’est-à-dire, les faux bourdons apportent le varroa sur son corps en lui déposant ceci vers la ruche qu’ils entrent. Le pillage peut concerner des colonies distantes de plus de 1 km [42] car les ouvrières butineuses et pilleuses de miel entrent dans les ruches faibles plein de varroa, puis elles les ramassent et les amènent dans sa ruche. Concernant le délai d’infestation, l’infestation à d’autre rucher est arrivée dans 32j lorsque les ruchers sont distants de 100 m, elle est arrivée en 73j si l’intervalle est de 500 m [43]. L’extension naturelle est de 6 à 11 km chez les colonies d’abeilles fortement infestées en trois mois. Lorsque les colonies d’abeilles sont fortement infestées, les signes cliniques de la Varroase sont souvent observés pour la première fois en fin de saison lorsque le couvain est réduit. Dans une région, 3 à 4 ans après l’invasion primaire se manifestent les infestations importantes, mais peuvent se produire en quelques semaines lorsque l’infection provient des colonies voisines qui meurent [44].

Diagnostic

La varroase est diagnostiquée par l’observation des jeunes abeilles déformées avec un abdomen raccourci, de faux-bourdons de petite taille et des ailes malformés [44, 46]. Le contrôle du couvain operculé ou dépistage directe par ouverture des cellules montre l’apparition des excrétions des acariens sous forme de points et de taches blanches, et permet souvent de voir les acariens en train de quitter la cellule (voir figure 9). Le contrôle de la chute naturelle par utilisation de langes introduits sous les ruches et de fond grillagé aussi peut diagnostiquer le varroa. L’utilisation de sucre glace aussi permet de luiobserver [45].

Lutte durant la saison de récolte

Il est fortement déconseillé de lutter contre les varroas avec des produits chimiques vu le risque de résidus dans le miel durant la saison de récolte [47]. L’acide formique peut retrouver entre 17 et 85mg/kg à l’état naturel dans les miels [48].
Cependant, cela ne signifie pas qu’il faut attendre la fin de la dernière récolte de miel avant de commencer la lutte car le taux d’infestation sera à ce moment-là déjà beaucoup trop élevé. A ce fait, la lutte naturelle peut être effectuée par la suppression de couvain mâles à partir du moment où apparaissent les premières larves mâles. Cela ne permet pas d’éliminer tous les varroas existant dans la ruche mais permet de réduire sa force de parasitose. Enlever puis détruire les brèches contenant le couvain male dès que le cadre est pondu et operculé. La technique d’attraction de varroa par la construction de couvain de faux bourdon permet la facilitation de l’élimination des varroas. L’attraction de varroa chez le couvain male est de 8 fois plus grande que celle pour le couvain d’ouvrières [49].
Et la reproduction des varroas est plus abondante dans l’alvéole de faux-bourdon car le temps d’operculation est plus long par rapport au couvain femelle [50]. Durant l’hiver, le varroa a le temps de passer sur le dos de l’abeille et leur taux de reproduction est alors nettement diminué à cause de la diminution du couvain (pas de ponte de reine).
L’utilisation des fonds grillagés aussi peut contrôler la chute de varroa durant cette saison.
Les débris produits sous le fond grillagé en quelques jours vers la fin de la saison contiennent essentiellement des acariens facilement observables sur la plaque de collecte [51].

Traitement d’été (après saison de récolte)

L’objectif c’est de diminuer le niveau d’infestation pour éviter les effondrements des colonies fortement infestées juste en fin de la saison de récolte. Pour le traitement d’été, les médicaments suivants peuvent être utilisés :
 Les médicaments à base de thymol comme le Thymovar, l’Api Life Var et l’Apiguard
Le thymol est un phénol naturellement venant de l’extraction de nombreuses plantes odorantes pour l’obtention de certaines fractions d’huiles essentielles.
Le Thymovar a une action diffuseur de thymol dans la ruche pendant plusieurs semaines après la mise en place des plaquettes. Il contient 15 g de thymol imprégné dans des plaquettes d’éponge en viscose. Il confie une durée d’action de 6 à 8 semaines de protection par 2 applications et atteindre une efficacité jusqu’à 97,1%.
Le traitement à l’aide de l’Api Life Var doit être réalisé une fois par an en raison de 1 plaquette par ruche tous les 7 jours, un traitement complet est réalisé à l’aide de 4 plaquettes pour chaque ruche. Ce produit garantit en moyenne des pourcentages de chute de varroas compris entre 93% et 97%.
Le traitement par Apiguard est effectué au maximum 2 fois par an en raison de 2 applications successives de 50 g de gel par colonie à 2 semaines d’intervalle. Le produit a pratiquement manqué d’efficacité car seulement une efficacité de 56,33% contre levarroa [52].
La méthode le plus adaptative de lutte consiste à alterner les produits utilisés durant toute l’année afin d’éviter le phénomène de résistance de varroa à un seul produit.

Matériels

Les ruches d’expérimentations

Les 20 ruches ont été sélectionnées pour cet essai avant tout traitement, et ont été réparties en 3 lots de 8, de 7 et de 5 ruches. Des colonies fortes doivent être présélectionnées pour que l’étude soit parfaite. Leurs états d’emplacement ont été observés et trouvés bon. Toutes ces ruches ont été gardées sur la même condition dans le Fokontany d’Ambatosarotra et ont suivi du même itinéraire. Chaque lot était au moins distant de 200 mètres à 300 mètres et son emplacement, identique pour toutes les ruches d’un même lot, différait entre lots de manière à minimiser les phénomènes de dérive des butineuses et par là même, les contaminations entre lots. Le nourrissage des colonies a débuté aussitôt pour éviter la période du manque de provision en utilisant des sirops de sucre disposés en dessous de la ruche.
Les ruches d’expérimentations étaient donc au nombre de 20 ; dont 10 ruches traités avec le Tchik Apigener et 10 ruches témoins non traités. Les hausses à miel de ces colonies ont été retirées. Les renseignements concernant chaque ruche sont dans l’annexe. Ce sont, pour la plupart, des colonies piégées, c’est-à-dire, des colonies sauvages. Ces ruches sont numérotées de R1 à R20 : les ruches R1 à R8 étaient dans le premier rucher (figure 11), le R9 à R15 dans le deuxième rucher (figure 12) et le R16 à R20 dans le troisième rucher (figure 13).

Les outils de travail

Les Matériels apicoles

Combinaison, chapeau, bottes

Pour éviter les piqures d’abeilles toutes les tenues en apiculture sont obligés, le chapeau muni d’un voile protège la face, la combinaison et des bottes porte une protection du corps. La combinaison de protection doit être bien fermée aux poignets et aux chevilles pour éviter les attaques d’abeilles. La couleur blanche a été notre préférence, car les abeilles réagissent de façon agressive aux couleurs foncées. Le voile sur le visage est en tulle noir ; il permet une meilleure vision que la tulle blanche. Le port de gants deprotection est fréquent, mais complique les manipulations.

Enfumoir

L’enfumoir est une sorte de bocal métallique équipé d’un bec et muni d’un soufflet (voir figure 15), dans lequel on fait brûler des combustibles appropriés comme des herbes sèches ou des coupeaux de bois. Le but est de produire une fumée blanche et froide qui désoriente les abeilles et les pousse à se réfugier dans le corps de la ruche, moyen efficace aussi pour se protéger de leurs piqûres.

Méthode d’étude

Dans les trois sites où l’on a placé les ruches d’expérimentations, les méthodesétaient presque les mêmes. Après le choix de lieu, de la période et des ruches d’étude nous avons procédé à l’observation du niveau d’infestation moyenne, aux traitements et au comptage des varroas. Avant traitement chaque ruche a subi un comptage de varroas par utilisation de sucre glace pour déterminer le niveau d’infestation moyenne initial.
Après la pose de médicament, le comptage de varroas sur les plaques de collecte de chaque ruche se faisait tous les deux jours. L’efficacité du médicament a été mesurée en comparant les varroas tombés lors des traitements expérimentaux par rapport aux varroas tombés chez les lots témoins.

Méthodes expérimentales

Estimation du taux d’infestation moyenne de chaque lot

Avant de faire un essai de traitement, il est nécessaire d’observer l’infestation des ruches à tester. 300 abeilles (correspond approximativement 30g) ont été secoué dans un bocal contenant du sucre glace, pour que toutes les abeilles soient recouvertes du sucre-glace [59]. L’objectif c’est d’établir le taux d’infestation phorétique. Les abeilles ont laissées se frayer un chemin à travers le sucre glace. La séparation des varroas avec les sucres a été effectuée à l’aide du tamis. Puis les varroas sont comptés à l’œil nu sur du papier blanc après avoir tamisé le mélange et remettre les abeilles dans la ruche. Le nombre de varroa compté est rapportée au nombre d’abeilles collecté. La figure 23 illustre ces étapes.
L’observation de l’infestation à l’aide du sucre glace a été effectuée sur toutes les ruches d’expérimentations, et s’est effectuée avant la pose de traitement.

Mode de Saisie et traitement des données

Les données sont enregistrées dans un fichier Excel permettant de suivre l’évolution et la qualité des enregistrements. A la fin de suivi, les données sont compilées pour chaque catégorie de ruche pour des analyses statistiques.

Analyse des données

L’analyse de données sera effectuée en deux étapes dont la première consiste à la présentation des données sous forme d’un graphe Excel avec une courbe de tendance.
L’éventuelle différence observée sur le graphe sera confirmée par l’analyse statistique suivant un arbre de décision. Cette partie concerne la deuxième étape de l’analyse. L’arbre de décision a été structuré pour faciliter les étapes de l’analyse statistique. Cette arbre est constitué par les étapes a effectués sur le logiciel STATA11 (voir annexe 5).
On utilise en premier lieu le test de comparaison des moyennes pour savoir s’il existe une différence entre les moyennes du lot témoin et celui du traité. Si la différence sera observée à partir de la valeur de p significative (p<0.05), on continue avec la régression de poisson. Si non (p>0.05), l’analyse sera terminée en prenant une conclusion que la différence des moyennes ne fait que l’effet de la fluctuation des données.
Le but pour l’analyse avec la régression de poisson est d’abord pour reconfirmer la différence entre les deux ruches puis la vérification du modèle en rapport avec la loi de poisson. Si p<0.05 le modèle ne s’ajuste pas aux données même si la valeur de la déviance est élevée. Si non (p>0.05) l’analyse est terminée car le modèle correspond aux données et respectant la loi de poisson. En conclusion, la différence a été bien confirmée et lemodèle est retenu car les données suivent la loi de poisson.
Pour pouvoir continuer l’analyse avec le modèle non ajusté aux données, on utilise la régression binomiale négative qui compare les valeurs de la déviance ressortie de la vérification du modèle de la régression de poisson et celle de binomiale négative. Si la valeur de p de la déviance de la régression binomiale négative est significative (p<0.05), on peut dire que le modèle s’ajuste aux données et l’analyse va être continuée en généralisant le modèle de la régression binomiale négative. Si non ou p non significative (p>0.05), l’analyse est terminée en tirant une conclusion que les données ne correspondent pas aux deux modèles. Dans ce cas il s’avère important de retourner vers la qualité de données recueillies durant l’étude.
La dernière étape de l’analyse consiste à identifier si d’autres facteurs pourraient être influés les données alors qu’ils ont été exclus du modèle. Cette étape utilise le modèle généralisé de la régression binomiale négative en utilisant un constant ∝ qui varie entre les deux types de ruches. La valeur de p du constant ∝ indique l’existence ou non d’autres facteurs influant les données.

Limite d’étude

Cette présente étude connait des limites puisque lors du co mptage des varroas, l’information sur le nombre exact de varroas tombés pourrait être biaisée. L’existence des fourmis influence le nombre des varroas restants sur la plaque de collecte car ellespeuvent les ramasser avant que le comptage n’est encore fait.

Considérations éthiques

Cette étude va respecter la notion de consentement volontaire et éclairé. Elle respecte aussi la sécurité des colonies des abeilles sur le produit médicamenteux utilisé ainsi que la confidentialité des secrets de techniques adoptés par les producteurs.

Sur la zone d’étude

La varroase est parmi la maladie le plus redoutable qui touche la filière apicole dans le monde entier. L’étude s’est déroulée dans la commune rurale de Fenoambany District de Vangaindrano Région Sud-Est de Madagascar. Cette Région a une potentielle élevé en terme de production de miel. Auparavant, notre zone d’étude n’est pas infestée de varroas mais depuis l’année 2015, on a dépisté de ce parasite dans cette zone. Et l’étude a été effectué dans cette commune vue l’existence des varroas dans cette zone. D’ailleurs, les désertions et la mort des beaucoup de ruche de cette commune indique l’existence importante de la maladie. Les essais cliniques ont été effectués sur les ruches atteints de la varroase ou les ruches infestées du varroa. L’application du produit sur ces parties a été identique sur toutes les ruches traitées. Le choix de ce médicament repose d’une part sur le souhait d’utiliser un médicament ne contenant pas d’amitraze et d’autre part sur le fait que le fabricant du Tchik dispose une demande d’une AMM à Madagascar à ce produit. Les varroas tombés sur toutes les ruches sont prélevés tous les 2 jours en dessous des plateaux grillagés.

Sur l’analyse statistique

Le logiciel statistique utilisé a été STATA. Après le traitement et l’analyse préliminaire de l’ensemble des données collectées, on a décidé de travailler avec les nombres d’enregistrements le plus rapprochés pour les deux types de ruches (témoins et traites) pour éviter autant que possible les biais dans l’analyse statistique. Les 30 jourssuivant l’étude a été donc l’enregistrement choisi pour l’analyse statistique. L’analyse des résultats des paramètres d’efficacité obtenus avec les lots traités et les lots témoins laisse entrevoir de grandes différences. Evaluer l’efficacité du Tchik Apigener par l’observation des taux moyens de varroas tombés chez les deux lots est discutable. On a trouvé des varroas tombés dans chaque lot durant notre étude. En effet, les abeilles développent des comportements d’éliminer naturellement les parasites qui se fixe sur leur dos. La tombé des varroas dans le groupe traité n’est donc pas exclusivement l’effet du traitement et la négliger amènerait à surestimer l’efficacité du traitement. Mais la grande différence en nombre de varroas tombé chez les deux lots montre que le produit a un effet sur les colonies. La comparaison du nombre moyenne des varroas tombés sur chaque lot durant l’étude est alors un dénombrement sans biais.

Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : RAPPELS
I. La varroase
I.1 Historique
I.2 Etiologie
I.3 Symptômes et manifestations
I.4 Modalités d’infestation et épidémiologie
I.5 Diagnostic
II. Lutte contre la varroase
II.1 Mesure à prendre
II.2 Traitement
DEUXIEME PARTIE : METHODES ET RESULTATS
I. MATERIELS ET METHODES
I.1 Zone d’étude
I.2 Type d’étude
I.3 Période d’étude
I.4 Durée de l’étude
I.5 Population de l’étude
I.6 Mode de sélection des ruches traités et des ruches témoins
I.7 Les variables étudiées
I.8 Matériels
I.9 Méthode d’étude
I.10 Méthodes expérimentales
II. RESULTATS
II.1 Résultats des ruches sélectionnées
II.2 Résultats des taux d’infestation moyenne
II.2 Résultats de durée d’enregistrement pour l’analyse statistique
II.3 Résultats de comptage des varroas
II.4 Résultats de taux de désertion à la fin de l’étude
TROISIEME PARTIE : DISCUSSION
I. Sur la zone d’étude
II. Sur l’analyse statistique
III. Sur le taux d’infestation des ruches expérimentales
IV. Sur l’efficacité du Tchik apigener
V. Sur les désertions des colonies
VI. Recommandations
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES

projet fin d'etude

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