Réseau local – ARP – DHCP – CIDR sous packet tracer

Réseau local – ARP – DHCP – CIDR sous packet tracer

Vous allez simuler un réseau local constitué d’ordinateurs et d’une imprimante réseau. Dans le réseau privé de votre point d’accès on appelle à tort «routeur» l’appareil qui nous sert à connecter ces hôtes (souvent de marques D-Link, Linksys ou ASUS, par exemple). En effet, il ne s’agit pas d’un simple routeur car il contient un commutateur (généralement à 4 ports), un serveur DHCP en plus d’un routeur. Démarrez le simulateur Packet Tracer et au moyen de l’outil «hôtes»  installez trois ordinateurs et une imprimante : Vous allez maintenant configurer votre réseau pour que les machines puissent accéder à l’extérieur. Ajoutez un routeur derrière lequel vous mettrez un serveur web ayant comme IP 214.123.155.2  sur un autre réseau. Configurez le routeur et les machines pour permettre cet accès externe. Vérifiez la connexion et l’accès aux différentes machines par la commande ping.

Lors d’un ping @IP, la machine locale va envoyer des ICMP Echo Request messages à @IP (aller) et attendre de recevoir des ICMP Echo Reply messages (retour) venant directement de @IP. D’après vous les chemins utilisés à l’aller et au retour sont-ils les mêmes ?Essayez de trouver le nombre de routeurs parcourus avant d’arriver à www.google.fr en faisant varier le TTL de 1 à 30. Vous trouverez l’option nécessaire pour cela en tapant ping sans aucun paramètre dans votre invite de commandes. Comment le protocole IPv4 résout-il le problème de ré-assemblage des datagrammes issus du découpage d’un même datagramme ?Sur l’exemple de la figure ci-dessous, la machine A va envoyer 1520 octets vers la machine B. Le MTU (Maximum Transfert Unit) est la taille maximale de données que peut véhiculer les trames d’un réseau et chaque liaison du réseau est étiquetée par son MTU. Décrivez les fragmentations réalisées pour la transmission d’un datagramme IP émis par A à destination de B, en supposant que le routeur R1 transmet alternativement les trames qu’il reçoit vers R2 puis vers R4.

On vient d’attribuer l’adresse IP 214.123.155.0 à votre entreprise. Vous devez créer 10 sous-réseaux distincts à partir de cette adresse IP. Quelle est la classe de ce réseau ? Combien de machines peut-on adresser au maximum Quel masque de sous-réseau devez-vous utiliser Combien d’adresses IP (machines ou routeurs) pourra recevoir chaque sous-réseau Quelle est l’adresse réseau et de broadcast du 5ème sous-réseau utilisable Combien d’adresses réseaux distinctes peut-on obtenir avec cette adresse et ce masque ?Finalement, les 10 sous-réseaux n’ont pas la même taille. En effet, 4 sous-réseaux nécessitent entre 25 et 30 adresses IP tandis que les 6 autres nécessitent seulement 10 adresses IP. Quelles modifications pouvez-vous apporter au masque choisi pour satisfaire ces nouvelles exigence. Détaillez les 10 adresses de sous-réseaux finalement choisies avec leur masque respectif. Quel est le nombre total d’adresses qui peuvent être utilisées avec cette solution.

Les TP devront être rendus et seront notés. Nous utiliserons l’environnement Jalon pour le rendu des TPs (jalon.unice.fr) via l’ouverture de boîtes de dépôt. Le rendu de TP N se fait avec un deadline qui est la veille du TP N+1.

Exemple pour ce TP1 du mercredi , vous devrez rendre votre  TP avant le TD du lundi  suivant 10h. Les boîtes de dépôts seront configurées en conséquence. Aucun TP ne sera accepté par email (ils se perdraient dans nos boites surchargées!)Les TPs vous seront fournis au format .doc, vous pourrez donc utilisez les versions électroniques des énoncés pour faciliter la rédaction de vos rendus de TP. Vous déposerez ces mêmes fichiers doc dans les boîtes de dépôt. PAS de .pdf car difficile à annotés par les correcteurs.

 

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