Contribution à l’étude du syntagme nominal complexe en khmer contemporain

Contribution à l’étude du syntagme nominal complexe en khmer contemporain

rɔbɑh dans un SN complexe 

C’est seulement dans cette partie que nous traitons de rɔbɑh dans des SN complexes ayant la structure : X rɔbɑh Y. Contrairement aux exemples mentionnés dans la partie précédente où X, qui n’est pas exprimé, peut être récupéré situationnellement ou dans le contexte gauche (cf. la structure (X) ø rɔbɑh Y), ici la présence de X est obligatoire. D’une certaine façon, l’exemple (120) constitue la transition entre (X) ø rɔbɑh Y et X rɔbɑh Y car à travers les exemples que nous allons étudier dans cette partie X n’est présent qu’à travers l’identité que lui confère Y. Autrement dit, l’identité discursive que Y attribue à X constitue le mode de présence de X. Concernant les unités lexicales qui peuvent être le premier élément de la construction X rɔbɑh Y, nous pouvons les classer selon leur aptitude à imposer rɔbɑh lorsqu’elles entrent en relation avec un autre N ou GN (Y). Selon que X est un N absolu, relationnel ou prédicatif, la présence de rɔbɑh peut être obligatoire ou facultative. 

 X est un N absolu

 Nous rappelons qu’un N absolu est un N qui n’a pas besoin d’être déterminé par un autre N pour avoir une autonomie référentielle. Lorsque X est un N absolu, l’utilisation de rɔbɑh n’est pas privilégiée par rapport au relateur ø. Le choix de l’un ou de l’autre relève de contextes différents25 . Nous postulons que dans un SN X ø Y, X garde son statut d’entité. Avec X rɔbɑh Y, c’est uniquement la nouvelle identité discursive de X qui compte. Cette nouvelle identité devient un enjeu discursif : il s’agit de déterminer le Y qui fonde cette nouvelle identité. En disqualifiant les propriétés qui constitue X comme une entité, on ne s’intéresse plus au référent pour (re)définir X dans le discours. 25 Si nous nous rapportons à ce qui a été montré dans la section 5 (Entre lexique et grammaire) de ce chapitre pp. 71- 72, lorsque X renvoie à un individu, l’emploi de rɔbɑh est très contraint alors que ø ne pose pas de problème. Commençons par observer les trois exemples ci-dessous où le relateur ø est beaucoup plus naturel que rɔbɑh : (121) S0 demande à S1 où se trouve sa maison : ផទះបងយៅមេ ុ ំណា? pteah ø bɑɑŋnɨv mdom naa maison ø aîné être quartier INDEF Ta maison se trouve dans quel quartier ? (122) S1 doit aller au marché mais il n’a pas de moyen pour y aller. S0 lui propose sa moto : ក៍ម៉ូតូខ្ញុ ំយៅ ! yɔɔ mootoo ø kɲom tɨv prendre moto ø 1SG PART Prends ma moto ! (123) S0 demande aux gens d’apporter leur aide à un enfant dont les vaches sont perdues : រួ រកផង យោវាបាត់យហ្ើ ! cuəy rɔɔk pʰɑɑŋ koo ø vie bat haəy aider chercher PART bovin ø 3SG perdre PART Ses vaches se sont perdues, aidez-le à les chercher ! Dans ces exemples Y permet de distinguer une ou plusieurs occurrences de X. Dans (121) bɑɑŋ « aîné » spécifie de quelle(s) maison(s) il s’agit, dans (122) kɲom « 1SG » désigne quelle moto S0 propose à son interlocuteur pour aller au marché et dans (123) vie « 3SG » de qui les vaches se sont perdues26 . La présence de rɔbɑh convoque des contextes dialogiques par rapport à un X qui renvoie à une ou plusieurs entités déjà déterminées. rɔbɑh sert à introduire une détermination supplémentaire dans un cadre dialogique : (124) Chantha est fille unique. Elle vit dans une maison avec ses parents et sa tante célibataire. Après la mort de ses parents, elle considère que cette maison appartenait à ses parents et déclare que la maison est son héritage. Sa tante indignée remet en cause l’opinion de sa nièce : និយ៉ ឲ្យស្សួៃបួៃយមើៃ ផទះរបស់អនកណាអញអនក ិញណាស់ ! niʔyiey ʔaoy sruəl buəl məəl pteah rɔbɑh neak naa ʔaɲ parler donner facile ME PART maison rɔbɑh humain INDEF 1SG neak teɲ nah humain acheter PART Fais attention à ce que tu dis, la maison appartient à qui ?! C’est moi qui l’ai achetée ! Pour une analyse plus détaillée du realteur ø, voir infra chapitre IV pp. 202-282. 80 (125) Un passant demande son chemin à un homme qui est en train de labourer sa rizière. Ce dernier étant sourd croit que le passant l’accuse d’avoir volé les deux bœufs qu’il a attelés. Ayant expliqué d’où venait chacun des deux bœufs, il affirme ensuite : អញមិនៃួចយោរបស់ោណាមក ឹមយ (Recueil de contes khmers, Vol. 2 p. 44) ʔaɲ mɨn luəc koo rɔbɑh ʔaa naa mɔɔk tɨm tee 1SG NEG voler bovin rɔbɑh PRO INDEF venir atteler PART Je n’ai pas volé les boeufs de qui que ce soit pour atteler ! (126) Un jeune a mis en gage la moto de sa sœur pour emprunter de l’argent à un créancier. Au courant de ce qui s’est passé, la sœur s’exclame devant leurs parents : ម៉ូតូរបស់ខ្ញុ ំវា កយៅយធវើអញ្ា ឹង ?! mootoo rɔbɑh kɲom vie yɔɔk tɨv tvəə ʔɑɲcəŋ moto rɔbɑh 1SG PART prendre aller faire ainsi C’est ma moto et il a fait ça avec ma moto ?! Dans les trois cas, ce qui est au centre de l’échange concerne l’identité du propriétaire de X. Il s’agit dans (124) d’un conflit, dans (125) d’un malentendu et dans (126) d’une indignation. Les termes X pteah « maison », koo « bovin » et mootoo « moto » dans les exemples (124) à (126) désignent des entités qui sont déjà mentionnées dans le contexte gauche et il n’est donc pas question de les identifier ; l’enjeu est de spécifier à qui appartiennent ces entités. Dans (124), l’identification du propriétaire effectif concerne une occurrence particulière de « être maison ». S0 court-circuite toute propriété qui constitue X comme une occurrence singulière : le discernement de X ne dépend que de l’identification de son propriétaire effectif qui se trouve dans la classe des propriétaires possibles. Dans (125), le malentendu entre le passant et le laboureur concerne les bœufs définis au départ comme ceux qui sont attelés : le malentendu concerne l’identité du propriétaire de ces bœufs (le laboureur croit que le passant le soupçonne de s’être approprié les bœufs de quelqu’un d’autre). Dans (126), l’indignation de la sœur provient du comportement du frère qui fait comme si la moto lui appartenait. Entre lui et elle, c’est bien elle, et non pas lui, qui est le propriétaire effectif de la moto : le frère n’a donc aucune raison d’hypothéquer la moto. Dans les exemples ci-dessous, par rapport à X, Y n’est pas le seul repère possible et rɔbɑh est préférable à ø. Dans les deux premiers exemples, l’interprétation dialogique vient de la sélection de Y’ comme repère effectif de X au détriment de Y”. Dans (127), normalement Y’ n’est pas le repère de X et le basculement de Y” repère habituel, stabilisé de X vers Y’ signifie qu’il s’agit de quelque chose d’inattendu. Dans (128) et (129) où il s’agit de comparaisons, l’association de X à Y’ lui confère une valeur différente de son association à Y” : dans le premier cas, il est question d’accentuer cet écart et dans le second de rapprocher des points de vue 81 différents. Dans le dernier exemple, il y a autant d’occurrences de X que de Y. L’association d’un Y à un X permet de construire une occurrence particulière de X par rapport aux autres occurrences associées à d’autres Y. (127) Dès que ses caisses se vident, un haut fonctionnaire, grand fumeur d’opium, emmène ses serviteurs dans les villages pour saisir les biens des villageois : វាឲ្យោបាវប្ពាវយោះយឡើង [ ] យែញោប់មាន់ទារបស់រាស្រសត កជាប្បយយ៉រន៍ខ្ាួនវា (Gatilok, Vol. 2 p. 41) vie ʔaoy ʔaa baavpriev nuh laəŋ dəɲ cap moan 3 donner PRO serviteurs DEICT monter chasser attraper coq/poule tie rɔbɑh rieh yɔɔk cie prɑyaoc kluən vie canard rɔbɑh peuple prendre être intérêt PRO 3 il ordonne à ses serviteurs de débarquer pour attraper les volailles des villageois pour ses propres intérêts (comme si ces volailles lui appartenaient). Pour montrer à quel point le fonctionnaire drogué est un infâme personnage, l’auteur insiste sur le fait que X moan tie « les volailles » quel que soit leur propriétaire, appartiennent aux villageois et non pas au fonctionnaire drogué. Mais pour ses propres intérêts, il fait comme si ces volailles lui appartiennent. (128) Une chienne a laissé sa niche à une autre chienne enceinte qui lui a promis de la lui rendre après son accouchement. Mais après son accouchement elle demande à la propriétaire d’attendre jusqu’à ce que ses petits soient assez grands pour se débrouiller seuls. Dès la naissance de ses petits, elle leur dit que c’est leur maison, et lorsque la chienne propriétaire vient réclamer sa maison, ils la chassent : យមកញ្ជា ស់យនះ យហ្តុអវីក៏មកសេីទារ កផទះរបស់យមយ ើង (Gatilok, Vol. 4 p. 61) mee kɑɲcah nih haet ʔvəy kɑɑ mɔɔksdəy tie femelle vieux DEICT cause INDEF PART venir dire réclamer yɔɔk pteah rɔbɑh mee yəəŋ prendre maison rɔbɑh mère 1PL Cette vieille, pourquoi elle vient réclamer la maison de notre mère. Pour les petits chiens, la niche qu’ils habitent, appartient à leur mère et lorsque la vraie propriétaire déclare que la niche lui appartient, elle entre en concurrence avec leur mère pour ce qui est de la possession de la maison ; à leurs yeux, leur mère est sélectionnée comme la propriétaire effective de la maison. (129) Neary est la fille unique d’un propriétaire d’une exploitation de pierres précieuses. C’est une enfant gâtée qui fait ce qu’elle veut. Chet est un des ouvriers de son père. Un soir, Neary va parler avec Chet. A un moment donné Chet lui propose de venir dans sa maison arguant du fait qu’il fait de plus en plus froid, et elle lui obéit : មិនែឹងជាអំណាចអវីមកប្គបសងាត់ោំឲ្យោងោរីយធវើតាមចិតតរបស់យៅចិប្ត (NHOK Them 1960) mɨn dəŋ cie ʔɑmnaac ʔvəy mɔɔk krɔɔp sɑŋkɑt noam ʔaoy NEG savoirêtre pouvoir INDEF venir couvrir contraindre mener donner nieŋ nierii tvəə taamcət rɔbɑh cav cət 82 jeune femme Neary faire suivrevolonté rɔbɑh jeune homme Chet quel est ce pouvoir qui a contraint la jeune Neary à agir selon la volonté de Chet. En raison de son caractère, Neary ne réagit que selon sa propre volonté, et étant donné que Chet est un ouvrier de son père, il y a encore moins de chance qu’elle obéisse à la volonté de Chet. (130) Un dieu gardien de la forêt rencontre la femme qui était son épouse dans sa vie précédente. Comme ils avaient prêté serment de rester ensemble dans toutes leurs vies, le dieu veut vivre avec elle mais il ne peut pas se réincarner en être humain : យប្ពាះប្បពនធយៅយកើតធំយពញប្កមុំយៅយហ្ើ យហ្ើ សង្វខ ររបស់មនុសែខ្ាីណាស់មិនែូចយ វតាយ ។ (Recueil de contes khmers, Vol. 4 p. 8) pruəh prɑpuən tɨv kaət tʰom peɲ krɑmum tɨv haəy haəy sɑŋkʰaa car épouse aller naître grand être rempli puberté aller PART PART vie rɔbɑh mɔnuh kləy nah mɨn dooc teeveaʔdaa tee rɔbɑh humain court PART NEG similaire dieu PART car sa femme est née et atteint déjà l’âge de puberté. De plus, la vie des humains est très courte, ce n’est pas comme celle des dieux. Il est question de la durée de vie : celle d’un humain est courte et celle d’un dieu est beaucoup plus longue. X change donc de valeur selon le terme Y auquel il est associé : l’interprétation de X dépend entièrement de Y. (131) Une légende concernant l’origine des dauphins d’Irrawaddy : après avoir été avalée par un boa, une jeune fille s’est suicidée en sautant dans la rivière. Avant de sauter elle avait mis un bol sur sa tête : កាៃយផាតក៏ប្តយង្វៃែូចជារយបៀប ូរផតិៃ សរីរាវៈ វៈរបស់យផាតមិនខ្ុសោនពីមនុសែ ប៉ុោម នយ … (Recueil de contes khmers, Vol. 4 p. 13) kbaal ø psaot kɑɑ trɑŋaol dooc cie rɔbiep tɔtuu ptəl tête ø dauphin PART être rasé similaire être manière porter bol saʔrəyraaveaʔyɔɔveaʔ rɔbɑh psaot mɨn kʰoh knie pii mɔnuh corps-organe rɔbɑh dauphin NEG différent PART PREP humain ponmaan tee dooc cie dɑh INDEF PART comme être sein La tête des dauphins est lisse comme s’ils portaient un bol, leurs organes ne sont pas très différents de ceux des humains, notamment les seins … On décrit dans la première proposition, une partie du corps d’un dauphin (kbaal psaot « tête de dauphin » avec le relateur ø) ; dans la suite du texte on fait le rapprochement entre un dauphin et un humain en se basant sur les différents organes de leur corps : entre ceux d’un dauphin et ceux d’un humain a priori, il y a des différences mais il y a aussi des ressemblances. (132) Préface d’un dictionnaire : 83 ៗ veaʔcaʔnaanuʔkrɑm nih mienprampoanpiek haəy piek niʔmuəy niʔmuəy dictionnaire DEICT avoir cinq mille mot PART mot chaque REDUP mien səckdəyprae cie pʰiesaa kmae səh dael cɑŋ dəŋ ney avoir traduction être langue khmer élève REL vouloir savoirsens rɔbɑh piek naa muəy ʔaac baək rɔɔk kʰəəɲ yaaŋ ŋiey rɔbɑh mot INDEF un pouvoir ouvrirchercher trouver manière facile Ce dictionnaire compte 5 000 mots et les définitions de chaque mot sont données en khmer. Les élèves qui veulent savoir les sens d’un mot quelconque peuvent le trouver facilement. Chacun des cinq milles mots du dictionnaire ont un sens. Le sens de chaque mot n’est accessible qu’à travers le mot auquel il est attribué. Synthèse Pour les X qui sont des N absolus, la concurrence entre rɔbɑh et le relateur ø relève de deux contextes différents. Dans un SN X ø Y, X garde son statut d’entité et Y est une détermination pour X. Avec X rɔbɑh Y, c’est uniquement la nouvelle identité discursive de X qui permet de le discerner. Les propriétés qui le constituent comme une entité singulière ne sont pas prises en compte. Dans la plus part des cas, l’attribution d’une nouvelle identité à X devient un enjeu discursif : entre plusieurs Y possibles, à quel Y appartient X. L’enjeu n’est pas vraiment de déterminer X (puisque X est déjà une entité distinguée) mais d’identifier le Y effectif qui permet une détermination discursive de X

Table des matières

Chapitre I Introduction générale
1 La notion de SN complexe en khmer
2 Etat de la question
3 La relation d’appartenance
4 Présentation des trois relateurs
5 Cadre théorique
6 Corpus
7 Présentation des données
8 Plan de la thèse
Chapitre II rɔbɑh et le discernement
1 Introduction
1.1 Première hypothèse
1.2 Plan du chapitre
2 Variation phonétique
Synthèse
3 Origines
4 Valeur lexicale de rɔbɑh
4.1 Les quasi-synonymes de rɔbɑh
4.1.1 voattʰoʔ
4.1.2 troap
4.1.3 ʔəyvan
4.1.4 Les composés rɔbɑh troap et troap rɔbɑh
4.2 Les emplois lexicaux : rɔbɑh est un N
4.2.1 rɔbɑh comme argument d’un verbe
4.2.1.1 rɔbɑh comme complément d’objet d’un verbe
4.2.1.2 rɔbɑh comme sujet d’un verbe
4.2.2 rɔbɑh comme déterminant nominal
4.2.3 rɔbɑh suivi d’un déterminant
4.2.3.1 rɔbɑh suivi d’un déictique
4.2.3.2 rɔbɑh suivi d’un indéfini.
4.2.3.3 rɔbɑh suivi d’une propriété
4.2.3.4 rɔbɑh suivi d’un numéral ou d’un Numéral + Classificateur
4.2.3.5 rɔbɑh suivi d’un SV.
4.2.3.5.1rɔbɑh suivi d’un SV sans relatif
4.2.3.5.2rɔbɑh suivi du pronom relatif dael
4.2.3.5.3rɔbɑh suivi de dɑɑ
5 Entre lexique et grammaire
6 rɔbɑh est un relateur : X rɔbɑh Y
6.1 rɔbɑh non-précédé de X
Synthèse
6.2 rɔbɑh dans un SN complexe
6.2.1 X est un N absolu
Synthèse
6.2.2 X est un N relationnel
Synthèse
6.2.3 X est un N prédicatif
6.2.3.1 La nominalisation
6.2.3.1.1Caractéristiques générale
6.2.3.1.2Possibilité de combinaison
6.2.3.1.3Hypothèses98
1) pʰiep
2) saʔpʰiep
3) kdəy
4) səckdəy
5) kaa
6) kəc
7) ʔɑmpəə
6.2.3.2 Synthèse
6.2.4 X est suivi de détermination
6.3 X est un événement
7 Synthèse générale
Chapitre III ney et la division
1 Introduction
2 Types d’emplois et étymologie
2.1 ney dans la poésie
2.2 ney en khmer ancien
2.3 ney en khmer moyen
2.4 ney dans les œuvres datant du début du XXème siècle
2.5 ney dans les expressions temporelles
2.6 Y est un prédicat nominalisé
2.7 ney dans la littérature populaire1
2.8 teaŋ dans le GN X ou dans le GN Y1
3 Pour une analyse systématique de ney
3.1 X n’est défini que comme une composante de la classe associée à Y (Z n’a pas de visibilité propre)
3.2 Z ne se définit que comme X une « propriété » qui appartient à Y
3.3 Z est faiblement autonome par rapport à son statut de X
Synthèse
3.4 Ce qui compte c’est moins d’être X que Z
Synthèse
3.5 X a un double statut : X d’un côté, Z de l’autre
Synthèse
4 Synthèse générale
Chapitre IV Le relateur
1 Introduction
2 Les N composés
2.1 Différents types de composition
2.2 Les N composés : propriétés distributionnelles
2.3 N composés
2.3.1 Nom composé ‘catégorisant’
2.3.2 N1 est un N qui a un référen
2.3.3 Dénomination
2.3.4 Termes
2.3.5 Pluralisation/réduplication/N complexe219
2.3.5.1 [N1 N2] N où N1 et N2 sont des N proches sémantiquement219
2.3.5.2 [N1 V]N où N et V sont proches sémantiquement220
2.3.5.3 Fabrication d’une notion complexe à partir de deux N ‘complémentaires’
2.3.5.4 Fabrication d’un N collectif à partir d’une série de N désignant chacun des entités différentes
2.3.6 La séquence [N1 – Y] travaille de façon variable la notion correspondant à N
2.3.6.1 moat « bouche »
2.3.6.2 day « main, bras »
2.3.6.3 cəəŋ « pied, jambe »
2.3.6.4 tnam « médicament »
2.3.6.5 koon « enfant, rejeton »
2.3.6.6 mee « mère, chef »
2.3.7 Synthèse
3 X ø Y : SN complexe ou N composé
3.1 Distribution syntaxique
Synthèse.
3.2 L’autonomie de X et de Y
3.2.1 L’ordre de construction des déterminants
Synthèse
3.2.2 La présence d’un relateur
Synthèse
3.2.3 Les prédicats nominalisés
3.2.4 Les N relationnels
3.2.4.1 kee (pronom indéfini) est Y
3.3 X ø Y peut être soit un N composé soit un SN
4 L’analyse des SN de la forme X ø Y
4.1 Les niveaux de l’analyse
4.1.1 Entre les deux N, il existe une relation primitive : 1er repérage264
Synthèse271
4.1.2 L’ordre linéaire des N : 2ème repérage
4.1.3 Le rôle du co-texte : 3ème repérage
4.2 Etude de cas
4.2.1 Les trois plans de repérage convergent
4.2.2 Les trois plans de repérage divergent
5 Synthèse générale
Chapitre V
Conclusion : Concurrence de ney, rɔbɑh et ø
1 Introduction
2 La concurrence entre ney et ø
3 La concurrence entre rɔbɑh et ø
4 La concurrence entre rɔbɑh et ney
5 Concurrence entre ø, rɔbɑh et ney
6 Ouverture
Bibliographie

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