Définition de la gestion des PME

Cours définition de la gestion des PME, tutoriel & guide de travaux pratiques en pdf.

Les petites et moyennes entreprises (PME)

Les PME ont des besoins de gestion qui peuvent être aussi sophistiqués que les grandes entreprises mais avec des ressources humaines et financières .Cela requiert des solutions parfaitement dimensionnées et le plus rapidement opérationnelles possible.

Les caractéristiques des PME

Comme toute entreprise les PME ont des auteurs principaux que nous appelons entrepreneurs qui jouent un rôle très important dans le développement du fonctionnement de leur entreprise.

L’entrepreneur

L’entrepreneur est avant tout un individu qui anticipe un besoin, assemble et organise les outils et les compétences nécessaires pour satisfaire ce besoin. Ce faisant, il prend le risque dans la mesure où ce besoin ne se matérialise pas ou bien les moyens en place pour le satisfaire paraissent inadéquats.
Le terme « entrepreneur » fait appel à des notions de création et d’innovation et se distingue donc de celui du chef d’entreprise. Pourtant, ces deux termes bien que relevant des réalités différentes, peuvent caractériser souvent une même personne. Un entrepreneur désigne un chef d’entreprise qui pilote lui-même son projet et un chef d’entreprise peut être qualifié d' »entrepreneur » de par les objectifs intrinsèques de sa fonction.

Classification selon le secteur d’activité

Selon COLIN KLARK il existe 03 (trois) secteurs d’activités, le secteur primaire qui concerne les activités principales orientées vers ’exploitation des ressources naturelles, le secteur secondaire qui s’oriente vers la transformation des matières premières en produits finis ou semi-finis et englobe les entreprises industrielles, bâtiment et travaux publics, le secteur tertiaire qui regroupe les entreprises commerciales, regroupe les banques, les prestataires de service.
Par-delà cette classification, il y a un secteur quaternaire (recherche, développement et information), mais parfois on appelle ce secteur informel car le souvent il ne suit pas la norme imposée.

Classification par taille et Impact économique

Selon la COMISSION EUROPEENNE dans sa recommandation 2OO3/361/CE du mai 2OO3, les entreprises sont classées, en très petite entreprise (TPE) composée 10 salariés, en petite entreprise(PE) compté de 10 à 49 salariés, en moyenne entreprise (ME) avec 50 à 249 salariés, en grande entreprise (GE) avec 250 salariés et plus, en groupe d’entreprises ce qui comporte une société mère et esd filiales

Autre classification transversale

Une autre forme de classement distingue trois entreprises dans tous grands types d’entreprises existant dans tous les pays dont les entreprises privées à but lucratif (ex : TPE, PME, Grand Groupes), les entreprises privées à but non lucratif (relevant de l’économie sociale) et les entreprises publiques.

Finalités

La fonction principale d’une entreprise varie selon sa catégorie ou même selon les différents points de vue à l’intérieur d’une même entreprise (par exemple, point de vue de l’actionnaire, de l’employé du syndicat, de la direction…).
Les finalités consistent premièrement à gagner de l’argent, c’est-à-dire extraire de bénéfices financiers en « récoltant plus d’argent que d’argent investi », notamment pour attirer les investisseurs institutionnels et les petits actionnaires. Deuxièmement elles consistent aussi à produire un excèdent de trésorerie qui sera investi avec un plus grand profit dans le développement des activités ou une autre entreprise (dans le cadre d’un « groupe »). Et en fin, elles consistent à maximiser, le statut, l’utilité sociale (améliorer la situation de la société) ou le profit (différence entre le prix de vente et le coût des ressources consommées).

Recherche des bénéfices

Parmi les principaux objectifs pour une entreprise figure la recherche du bénéfice qui occupe une place importante. Le bénéfice d’une entreprise (différent du profit) sert avant tout à rémunérer le capital investi. Les entreprises peuvent prendre plusieurs formes juridiques correspondant à des caractéristiques différentes de l’apporteur de capital : les entreprises individuelles , les sociétés de personnes, les sociétés de capitaux .Ce sont les grandes entreprises qui sont en général des sociét s de capitaux.
Dans le cas des sociétés de capitaux si un investisseur (une des personnes qui financent l’entreprise) décide de le placer dans une entreprise plutôt que de le conserver, c’est qu’il souhaite que l’argent ainsi placé dans l’entreprise lui rapporte plus. Si une entreprise ne génère pas un profit suffisant redistribué sous forme de dividendes, sa réputation ternit et elle n’attire plus les investisseurs. Sa capacité de développement (en générale consommatrice de capitaux pour par exemple ouvrir des filiales à l’étranger ou démarrer de nouveaux programmes d’innovation) voir sa survie s’ en trouvent alors obérées et voir peuvent être remises en cause.
Dans La section suivante, nous allons voir l’approche par rapport à l’établissement KEMBA. En réalité la gestion du monde de restauration n’est pas différent de ce des entreprises de production ou de la commercialisation donc l’Ets KEMBA dans son organisation utilise les méthodes de pilotage des PME.

Approche de l’établissement KEMBA à la gestion des PME

Vu le champ d’application de travail et les cadres de plan d’action qui régissent la gestion des PME et malgré leurs différentes formes, elles doivent respecter les procédures de la gestion d’entreprise. L’Ets KEMBA, étant une société de restauration, adopte la stratégie des PME par la mise en place de la gestion de compte, la gestion de ressources humaines et la gestion de stock pour le bien fonctionnement de l’entreprise.
Par ailleurs l’Ets KEMBA appartient au secteur tertiaire, c’est une entreprise purement commerciale car, elle effectue un acte de revente.

Moyens humains

Le moyen humain est important dans la gestion d’une entreprise donc il faut le mettre en valeur. L’objectif est de mettre l’accent sur la rationalisation du potentiel humain de l’entreprise en créant et entretenant un climat favorable au service de l’homme pour atteindre les objectifs de l’entreprise.

La gestion du personnel

L’emploi dans une entreprise se gère qualitativement pour optimiser les ressources entre l’idéal du plein -emploi et le sous- emploi. La qualité peut être une alternative à la quantité avec les compétences du personnel. Le service de ressources humaines traite les mouvements de personnel comme les heures de travail, heures d’absences, des congés, les indemnités de caisse, indemnité de risque, prime de relevé. L’établissement KEMBA ne possède pas une Direction de Ressources Humaines ou DRH, c’est le chef de personnel lui-même qui se charge de la gestion des personnels ainsi que des règles qui les régissent . Cependant c’est le PDG qui détermine avec le bureau d’administration les salaires.

Le recrutement

Le recrutement concerne l’embauchage de nouveau personnel chez l’Ets KEMBA en cas de l’insuffisance du nombre des employés ou en cas d’ouverture de nouveau poste de travail dans l’entreprise. C’est le chef personnel qui incombe cette responsabilité. Le recrutement est très important pour l’Ets KEMBA et on test chaque candidat venu à l’entretien d’embauche.

La carrière

La carrière est constituée par la succession des affectations à des postes de travail. Le plan de carrière traduit la politique de promotion interne de l’entreprise. L’avancement dans ce plan dépend de l’évaluation de l’employé qui permet d’analyser ses compétences et ses performances dans les domaines physique, intellectuel, relationnel et personnel.
Dans le cas de l’établissement KEMBA, tout employé à droit d’affectation de poste selon la motivation et compétence et ancienneté des salariés. Après les informations recueillies durant notre stage, le chef personnel de l’établissement KEMBA à l’heure actuelle était l’ancien superviseur de l’établissement.

Approche de la gestion comptable

Le comptable de l’Ets KEMBA établit le journal de vente, le journal des opérations diverses, le journal écriture interne ou régularisation des écritures internes, le grand livre, le journal auxiliaire des opérations diverses, le journal auxiliaire des trésoreries, journal analytique, le compte détaillé et justification du compte.
Comme toute entreprise, chaque année l’établissement KEMBA établit son compte de résultat.
Le service comptable a comme attribution de :
– Veiller à la fiabilité et la sincérité des enregistrements des opérations comptables et financières de l’entreprise
– Assurer la gestion comptable et financière de l’Ets KEMBA
– Assurer la gestion et la comptabilisation de tous les mouvements de trésorerie au sein de l’entreprise et les régularisations des anomalies.
En guise de conclusion de ce deuxième chapitre nous pouvons dire que le domaine de la gestion des PME nécessite un champ d’application bien défini et bien déterminé et qu’il y a certains domaines de définition à respecter entre autre le fonctionnement de l’entreprise. Nous constatons aussi que la gestion des petites et petites entreprises nécessite les grands points suivant dont le management, la gestion des ressources humaines, le marketing, le service technique, la gestion financière et la gestion commerciale.
Ainsi la gestion consiste à étudier la manière dont nous allons diriger une entreprise quelle que soit la taille pour pouvoir obtenir en retour du profit, mais qui n’est pas forcément le même sens pour toute entreprise. Certaines entreprises ne veulent rien en échange de ses actes .Cela explique que tout société n’a pas les mêmes objectifs ou de point de vue. En réalité le profit sert d’une part le bénéfice net de l’entreprise et d’autre part la rémunération des salariés.

CADRE THEORIQUE DE LA RECHERCHE

La méthodologie est l’étude des méthodes utilisées pour entreprendre une étude, une recherche, un travail, ou une activité .La méthodologie retient plusieurs outils dont la recherche qui est question ici. Elle peut aussi se définir comme un ensemble opérations et les techniques utilisées pour acquérir de nouvelles connaissances.
Dans nos sociétés contemporaines, la communication est une donnée essentielle pour un développement durable. En effet dans cette approche méthodologique, la recherche d’information est le principal sujet. Quelle est la démarche à suivre pour obtenir de résultat rentable et comment traiter ces données?

La valorisation de l’information commerciale dans les PME

L’importance de l’information ou renseignement dans les affaires n’est plus à démontrer aujourd’hui. Elle est au cours de vie économique et semble perçue par la plupart des observateurs comme un défi à relever à l’entrée du XXIème siècle. Conscientes de ces réalités, les entreprises ont ressenti la nécessitéde mettre en pied et de développer les systèmes d’information dont la nature de celle-ci est plurielle. Dès lors qu’elle soit externe ou interne par rapport à l’organisation, ou plutôt traduise un aspect fonctionnel, c’est dans un tel contexte qu’il convient de parler d’information commerciale.
Cette information a principalement pour but de permettre la réalisation des objectifs commerciaux. Elle conditionne à cet effet les quali tés des décisions à prendre dans le tactique marketing, voire la survie de l’entreprise, ses chances de succès

Mise en évidence des articulations des informations commerciales et la démarche de la valorisation

Il s’agit ici beaucoup plus de tentative de regroupement des informations commerciales utiles aux PME, compte tenu de l’absence d’un cadre de référence précis. En effet si les travaux antérieurs ont été particulièrement productifs en ce qui concerne l’étude de la décision, c’est grâce à des systèmes d’information, perçus tantôt sur le plan stratégique, tantôt sur le plan managérial. La recherche, s’est peu intéressée aux aspects nécessaires à la décision commerciale dont l’horizon est généralement le court terme. Il demeure certes vrai que les implications à moyen et à long terme s ont le résultat d’une succession d’évènements isolés qui donnent une place de choix aux aspects épisodiques. Il a d’abord fallu revoir la littérature existante sur l’information et la décision afin d’en extraire quelques grandes orientations qui par la suite ont permis de bâtir le champ de la recherche, lequel pour finir a exigé la construction d’un cadre méthodologique.

Revue de la littérature de restaurant

Le mot restaurant provient du verbe restaurer qui signifie au XIIe siècle « remettre en état », « remettre debout ». Dès le début du XVI siècle, le terme de « restaurant », revêt une acception alimentaire pour désigner un « aliment reconstituant ». Au milieu du XVIIe siècle le terme désigne plus spécifiquement un «ouillonb reconstituant fait de jus de viande concentré » puis, à partir du milieu du XVIIIe siècle, le lieu qui en assure la vente. En 1782, Antoine Beauvillier, cuisinier du prince de Condé et officier de bouche du comte de Provence, reprend la formule de Boulanger et ouvre, dans un cadre raffiné, la « Grande Taverne de Londres », au 26 rue de Richelieu à Paris. Il propose aux clients de manger comme à Versailles. Le service des vins est fait en bouteille, comme à Londres, à la mode à cette époque. C’est là le premier véritable grand restaurant de Paris, qui restera pendant plus de vingt ans sans rival.
Mais c’est à partir de la Révolution française que le phénomène prend de l’ampleur. En effet, d’une part, la fuite des nobles laisse leur personnel de service, dont leurs cuisiniers, sans emploi et, d’autre part, de nombreux provinciaux arrivent à Paris où ils ne comptent pas de famille qui puisse les nourrir. Dès lors de plus en plus de cuisiniers, formés à la préparation de cuisine de qualité, vont devenir restaurateurs, et l’on compte dès 1789 à Paris une centaine de restaurants fréquentés par la bonne société, regroupés autour du Palais-Royal. Trente ans après la Révolution, on dénombre 3000 restaurants. Les restaurants se sont rapidement multipliés à travers le monde, le premier restaurant ouvrant aux États-Unis dès 1794, à Boston. Le type de servi ce restera longtemps fondé sur le principe du « service à la française » où les plats étaient posés à table, les convives se servant eux-mêmes. La forme actuelle de service, où le convive reçoit un repas dressé sur assiette, appelé « service à la russe », fut introduite en France par le prince russe Kourakine dans les années 1810 d’où il se répandit progressivement.

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