Implantation d’un Cyber-Centre Informatique

PRESENTATIONDU PROJET

Présenter un projet, c’est faire connaître l’origine en découvrant son historique, le lieu d’implantation où le projet sera réalisé, ce qui est vraiment ce projet en le décrivant et en indiquant ses caractéristiques.

HISTORIQUE DU PROJET

Cette première section expose l’envergure du Cyber-Centre Informatique du point de vue international et national ainsi que l’historique et la situation du lieu d’implantation.

CONTEXTEINTERNATIONAL

L’évolution sans cesse qui conduit au développement durable dans les pays industrialisés accompagnée de l’ouverture de l’économie favorisée par l’évolution rapide du monde technologie que nombreux pays comme la Corée, la Thaïlande et tant d’autres su profiter de l’avènement de ces moyens technologiques. Les variables paramètres incitent les pays moins avancés et les pays en voie de développement qui se trouvent généralement dans une situation de retard à reconnaître que les nouvelles technologies comme les technologies de l’information et de la communication participent à l’intégration globale des échanges et sont considérées comme un formidable et puissant outil de développement économique et social, d’intégration régionale et d’aménagement du territoire. Leur potentiel s’est encore mieux affirmé avec l’avènement d’Internet et d’autres nouvelles technologies, tout en engendrant de nouveaux risques de fragilisation et de marginalisation des pays.
Conscient de ces dangers de marginalisation mais aussi du potentiel de ces outils, les pays scandinaves (Suèdes, Danemark et Finlande) ont été les premiers, des les années 80, à développer et à mettre en œuvre le concept des Télécentres dans le but d’intégrer leurs populations rurales dans le processus national de développement économique et social.
Le modèle a été ensuite reproduit, dans les années 90, en Amérique du Nord (Terre Neuve et Labrador au Canada),en Europe (Manchester en Grande Bretagne).
Fort de ces expériences, et lors de la conférence mondiale sur le développement des communications tenue à la Valette (Malte), en mars 98, il a été recommandé aux pays les moins avancés (PMA) de recourir aussi à cette stratégie pour accélérer la démocratisation de l’accès aux services de télécommunications et un appel a été lancé aux partenaires en développement pour qu’ils assistent les PMA à développer et à mettre en œuvre des stratégies de création de Télécentres. De nombreux partenaires en développement (exemple : Canada, Danemark, les Pays-Bas, USA pour les pays ; UNDP, UNESCO, la Banque Mondiale, pour les organismes et le secteurprivéinternational)ont égalementrépondufavorablementà cetappel,et dans certainscas en partenariat avec l’UIT/BDT (Union Internationale des Télécommunications / Bureau de Développementdes Télécommunicationsà Genève).
C’est ainsi que dès 1999, le phénomène des Télécentres a pris une ampleur sans précédent, tant au niveau des projets d’implantation que dans la réflexion de la communauté internationale.
Plus particulièrement en Afrique, des expériences de Télécentres ont été réalisées : en Afrique du Sud (programme d’implantation des Télécentres de l’agence du service universel : 65 Télécentres), au Bénin (CyberSonghai, Malanville), au Burkina Faso (centre multimédia municipal de Ouagadougou), au Mali (Tombouctou), en Tanzanie (Sengerema), au Mozambique (Namaçha, Manhiça), en Ouganda (Nakaseke, Nabweru, Mbwama). Ces expériences ont été supportées par les principaux partenaires suivants : l’UIT/BDT, le centre de recherche pour le développementinternational(CRDI) du Canada,Francophonie,LearnLinkdel’USAID.
Mais surtout le secteur privé local qui a largement investi dans signature d’accord de franchise avec l’opérateur historique national. Parmi les exemples de succès de ces opérations, on peutciterles cas du Sénégal,du Ghana, du Togo.
De nombreuxpetits commerçant sont pu ainsi avoir des adresses électroniques et des sites Web, sans pour autant posséder ni ordinateur, ni ligne téléphonique. Et au-delà de l’accroissement résultant des revenus des opérateurs et de la contribution significative au PIB, elle sont permis des applicationsdiverses telles que le commerce,l’éducation et la santé.
Ces diverses initiatives ont donc grandement contribué au développement de l’accès universel au profit des populations et leur impactsocio-économique est très important.

CONTEXTE NATIONAL

Madagascar devrait être à la hauteur de l’évolution du monde technologique et rattraper le retard provenant des raisons financières, la manque de vision et de considération du secteur de la part des gouvernants. L’Etat malgache constate que c’est une voie vers le développement rapide et durable et participe ainsi à la réduction de la pauvreté. Pourtant à Madagascar, comme dans la plupart des pays, les services sont beaucoup plus onéreux que seule une partie de la population pourra supporter. Et le parc est concentré dans les zones urbaines et péri-urbaines alors que la majeure partie de la population se trouve dans les zones rurales. Le développement devrait fonder sur l’amélioration de l’environnement de ces zones privées de l’infrastructure, l’accès aux informations et aux ressources nécessaires à l’expansion des connaissances et à la prise de décision ainsi éventuelle qu’aux possibilités de se communiquer avec les principaux acteurs de développement. C’est la raison pour laquelle, l’Etat a sollicité le concours de l’UIT/BDT qui, en collaboration avec l’opérateur national TELMA saisit l’opportunité de créer les tout-premiers Télécentres communautaire, pour permettre à la société rurale d’entrer dans le troisièmemillénaired’une manièreformelle.
La réalisation de ce projet nécessite donc la participation des opérateurs privés voire les futurs gérants parce qu’il leur appartient de faire leur propre étude pour l’exploitation de leur centre. C’est pourquoi ce travail fait l’étude sur l’exploitation du Télécentre et choisit la commune urbaine de Marovoay.
Nous allons donc commencer par présenter cette commune dans la sous-section suivante.

PRESENTATION DE LA COMMUNE

La connaissance de l’histoire de la commune et sa localisation géographique, sa situation actuelle et activité économique et ses données démographiques illuminent le milieu d’implantation du projet afin de faire des analyses et études ultérieurement.

Historique et situation géographique

Jadis, la commune urbaine de Marovoay fut nommée « fihaonana » car c’était un lieu de rencontre de tous les commerçants issu de toute la région de Madagascar et même ceux des îles voisines (les îles Comores). A partir de l’année 1900, le nom de « fihaonana » est modifié en « Marovoay » (c’est-à-direbeaucoup decrocodiles).
La commune urbaine de Marovoay se trouve dans la sous-prefecture de Marovoay, Régionde Boeny,provinceautonomedeMahajanga.Elleest lechef lieude lasous-prefecturede Marovoay à 95 km du Sud-Est de Mahajanga, et à 12 km de la RN4. D’une superficie de 1625km² subdivisée en 13 fokontany, elle abrite 35 107 habitants, soit 21,6 habitants au km².
Elle est bordée dans la partie Nord par les communes rurales de Marovoay banlieue et d’Antanambao Andranolava, dans la partie Sud par les communes rurales d’Anosinalainolona et de Tsararano, dans la partie Est par les communes rurales d’Ambolomoty et d’Ankazomborona, dans lapartieOuest par lacommuneruralede Manaratsandry.

Données démographiques 

Lastructuredémographique montre que lapopulation de lacommune est 35107 habitants avec une légère domination de femmes qui représentent 52,07% de la population. La population active constitue le 59,64% de la population totale. En effet, la taille moyenne de ménages est de 5 personnes par famillesnucléairesur une totalede 7 214 ménages.
Le tableau ci-après montre la répartition géographique de la population par fokontany du district :

DESCRIPTION DU PROJET

Cette deuxième section énonce la structure, les typologies et les différentes tailles du Télécentre qui permet de bien choisir le type de Télécentre convenable à implanter dans la communeMarovoay.

STRUCTURE DU TELECENTRE

Un Télécentre est un centre technologique communautaire multiservices ouvert au public et offre l’accès aux services de la téléphonie, fax, Internet, multimédia, bureautique, reprographie, bibliothèque numérique, documentation, associés de la formation en informatique.
On y voit aussi d’autres activités sociales comme la création d’un petit complexe sportif pour les jeunes, l’animation d’un club de lecteur, l’organisation de conférence à thème et de cession de formation, la vente des compacts disques (CD) – cassettes – disquettes – télécartes …formation, etc.
De par sa vocation, il sera donc un lieu convivial d’échanges, de rencontre et de formation.

TYPOLOGIESDE TELECENTRES

La classification typologique des Centres cyber-informatique est très controversée dans la littérature des chercheurs. Si tout le monde s’accorde pour définir le Télécentre comme un lieu privatif où le public peut accéder à des services de télécommunication, la dénomination des diversmodèlesquise sontdéveloppés cesdix dernièresannées ne faitpas toujours l’unanimité.
Toutefois, tout le monde s’accorde sur le fait que l’essentiel reste la viabilité des Télécentres pour garantir la fourniture des services au plus grand nombre et pendant une longue période.
Nous allonsdonc citerles troismodèlesles plus courants àsavoir :

Les Télécentresprivés 

Ils sont réalisés par des investisseurs privés, conçus et exploités selon les lois du marché.
De ce fait, leur taille, l’éventail des services et les tarifs pratiqués sont dictés par le marché, même si dans certains cas, un encadrement peut s’avérer nécessaire pour des questions dépendantes de l’environnement réglementaire du secteur des télécommunications et également des questions d’éthique.

Les Télécentrescorporatifs 

Ils sont réalisés par une association, une coopérative ou une ONG visant à servir en premier ses membres. Dans ce cas, même si le profit n’est pas recherché comme une priorité de gestion, l’équilibre financier et l’autonomie financière de gestion assurant la pérennité de l’outil en dictent la conception et le mode opératoire. Ce sont généralement des Télécentres dédiés à la fourniture d’une série d’informations répondant aux besoins de la corporation. (Exemple : associationdefemmesentrepreneurs,coopérativeagricole,etc.)
 Les Télécentresassociésà unestructure(Télécentred’opportunité)
Ils sont généralement installés dans des structures accueillant du public. Ils peuvent faire partie intégrante de la structure ou être associés à la structure selon des modalités arrêtées avec les autorités compétentes de cette structure : franchise, contrat de gérance, location-bail, contrat deBuil-Operate-Transfer (BOT), etc.
C’est par exemple, le cas des Télécentres ou les centres d’accès aux services des télécommunications installés dans les bibliothèques, les hôpitaux, les universités, voire dans certains centres commerciaux, gares routières. Peuvent être classés dans ce cas les business centresdes hôtels,ou les centresd’accès dans les bureauxde poste.
Enfin tous les modèles co-existent généralement dans un même environnement, les uns plus répandus queles autres selonle marchéou encorelaréglementation.
Pour notrecasbien entendu nousavonsopté auTélécentreprivé carceci seraccordebien à notre typed’activité.

TAILLES DU TELECENTRE

L’étude de faisabilité du projet de développement de Télécentre à Madagascar (UIT-oct 2001) distingue trois (03) catégories de Télécentre classés selon leur grandeur et leur type de prestationdeservice.

Les TélécentresA ou types ESPATELS

Ils correspondent à ce que certains appellent des télékiosques (avec connexion Internet) qui sont répandus dans les grandes villes disposant souvent de 3 lignes et un appareil fax, 3 télétaxes pour le renvoi des taxes d’impulsion et emploi 2 agents de service ; quelque fois selon leurtaille,ils pratiquentcommeservice annexe ladistribution des fournitures bureautiques.
En redynamisant ce segment, certains d’entre ces ESPATELS se transformeront ultérieurementen cybercaféc’està direun Télécentrede catégorieB.

Les TélécentresB ou types CYBERCENTRES, CYBERCAFES

Ils disposent d’un éventail de services plus développé que le type précédent. En effet, la connexion sur Internet, la radio et/ou TV On Line, les matériels pour la reprographie, la possibilité de visioconférence, de télé enseignement, de télé médecine,…Tels sont les services qu’un TélécentrecatégorieB peutoffrir. Ils sont dimensionnéspour 5 à 10 ordinateurs.

Les TélécentresC ou types CENTRES MULTIMEDIAS 

Ils sont en quelque sorte des centres analogues à ceux de la catégorie B, mais seulement équipés de matériels multimédias plus performants de plus de 10 ordinateurs et nécessite un réseauà hautdébit partantd’investissementun peu plus élevé.
En tenant compte l’économie de la zone, le niveau de vie et la taille de la population, les infrastructures de télécommunication, le taux d’alphabétisation, l’existence des services publics, le Télécentre de catégorie B type CYBERCENTRE, CYBERCAFE et procéder à une expansion du projet suite à l’évolution de la demande, correspond à la situation de la commune Marovoay, etest aussi lechoix de notreétude.

ETAT DU MARCHE

Au point de vue stratégique, le marché c’est le champ d’action perméable aux actions commerciales de l’entreprise, le champ d’action étant la zone ou la catégorie de clients auprès de qui l’entreprise peut avoir de l’influence,la zone désigne l’endroit où habitent les clients réels ou potentiels de l’entreprise. En tant que chef lieu du district, la commune de Marovoay est la zone immédiate et primaire du Cyber-centre, environ 23% de la clientèle potentielle habite dans ces zones ; elle représente une population relativement jeune que la majeure partie est lettrée (étudiants, lycéens, élèves, fonctionnaires, bure aucrate, administrateurs, instituteurs, travailleurs qualifiés, agriculteurs, etc.). La moitié (2/4) du chiffre d’affaires espéré à réaliser provient de cette catégorie de clientèle. Apparemment, les entreprises et les services publics s’y concentrent qui représentent la clientèle parmi le plus important pour l’entreprise. L’insuffisance de personnel qualifié faute de l’inexistence des formations professionnelles qui mettent à jour ses connaissances ou forment de successeurs en matière de nouvelles technologies de l’information et de la communication, et surtout l’insuffisance des équipements informatiques et bureautiques deviennent des atouts et opportunités de l’entreprise qui se spécialise à la matière. Plus du quart (1/4) des recettes totales à obtenir est espéré de cette catégorie de clientèle. Mais les entreprises concurrentes qui exercent déjà une partie de services y trouvent aussi. Il faudrait prendre particulièrement en considération la situation environnementale de ces zones à des études et à des analyses. La zone secondaire et la zone tertiaire représentent la population qui peut être attirée par leTélécentre.Ces zones représentent la clientèle éventuelle de l’entreprise.

CARACTERISTIQUES DE L’OFFRE

En ce qui concerne les études qualitatives,elles peuvent être comme un moyen d’explorer un problème. Leur objectif est le lus souvent de comprendre les motivations et les freins des utilisateurs. La qualité est donc « comme l’ensemble des propriétés et caractéristiques d’un produit ou d’un service qui lui confèrent l’aptitude à satisfaire des besoins exprimés ».La qualité offerte est une source d’avantage concurrentiel déterminante. D’où la qualité du service offert différencie une entreprise à une autre. « Lorsqu’un acheteur est satisfait, il fera huit acheteurs potentiels, par contre, un mécontent informera vingt acheteurs potentiels » selon B. Stern. La crédibilité du prestataire de service, la confiance que le client lui accorde sont les facteurs primordiaux pour le succès de l’entreprise.
Tandis que celles quantitatives, elles reposent sur l’utilisation de traitements des informations collectées. Donc, un service de bon rapport qualité-prix sera établi pour satisfaire et fidéliser la clientèle cible en utilisant des matériels adéquats (la puissance ou intelligence correspond à l’utilisation) avec la possibilité d’assistance pour les guider dans leur recherche et dans le maniement de l’outil Internet, assistance et conseil dans certains services comme le studio d’enregistrement et montage vidéo, la rapidité et l’accueil sympathique dans les autres services comme la micro-édition, la vente, la téléphonie et fax, méthode de formation efficace, le prix compétitif.
La détermination des caractéristiques fonctionnelles, les spécificités des services offerts et leurs prix, l’image à adopter pour les présenter, la politique de fidélisation sont le fruit de cette analyse, d’autres analyses rationnelles comme l’analyse de la demande et l’analyse concurrentielle sont nécessaires pour adapter les services aux attentes des futurs clients.

ANALYSE DE LA DEMANDE

Dans cette optique, nous allons connaître la demande globale et identifier les besoins des consommateur senétudiant et analysant ses comportements face à l’achat d’un produit.

SITUATION GLOBALEDE LA DEMANDE

La demande est constituée par un nombre restreint de la population qui est prêt à payer pour satisfaire un besoin ressenti. Le tableau ci-dessous montre les différents besoins à satisfaire et le volume de la demande de chaque catégorie de la population par rapport à la demande totale exprimée n pourcentage.

COMPORTEMENT DES CLIENTS

Après l’étude quantitative du marché (étude de répartition des clients sur le marché, évaluation de leur nombre) il est nécessaire d’analyser en profondeur la personne du consommateur au point de vue psychologique. L’étude de comportement du consommateur, c’est-à-dire leur motivation et leur attitude, permet de faire des pressions sur l’acte d’achat ou de non-achat.
La motivation dominante de la clientèle est le besoin de communiquer vient ensuite le besoin de s’informer, la recherche de plaisir à soi même, la recherche de l’intelligence et de plaisir intellectuel ou psychologique, la recherche de gain de temps, le suivi de la technologie et la curiosité.En d’autre terme, les principales motivations repérées sont :l’utilité, la nouveauté, la commodité de plaisir, l’orgueil, la considération, la notoriété, le changement ; l’affection, la bonne attente et le confort.
A part les menaces de l’environnement, les freins de non-achat sont la peur d’entrer pour la première fois dans le lieu approprié causée par la timidité, la peur de dépenser en cas de coût élevé, la méconnaissance des services offerts ; son utilité et son fonctionnement étant donné que le service fait défaut dans la commune.
Depuis la dispersion de la formation en informatique, des genres d’exploitation et l’existence de la Radio, la plupart de la population connaissent l’avantage de la technologie dans la vie quotidienne et exige la bonne qualité du service, la satisfaction totale en contrepartie de la somme payée.

ANALYSE CONCURRENTIELLE

L’analyse concurrentielle consiste d’abord à examiner les forces et les faiblesses des concurrents, ensuite à évaluer la part de marché.

FORCES ET FAIBLESSES DES CONCURRENTS

Les concurrents sont les autres distributeurs qui utilisent la méthode de vente et/ou qui se situent dans la même zone. D’après l’état du marché, la concurrence est quasi-inexistante.

Projet d’implantation d’un Centre Cyber-Informatique à Marovoay

Quelques prestataires de services notamment en micro-édition (photocopie, saisie et impression), formation, studio d’enregistrement et montage vidéo sont localisés mais restent insignifiants de par leurs tailles et leur nombre. Ce sont les établissements ou sociétés qui ne sont pas spécialisés enmicro-informatique.

Table des matières

LISTE DES ABREVIATIONS
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES FIGURES
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE I :PRESENTATION DU PROJET
Section1 :Historique du projet
Section2 :Description du projet
Section3 :Caractéristiques du projet
CHAPITRE II :ETUDE DE MARCHE 
Section1 :Description du marche
Section2 :Analyse de l’offre
Section3 :Analyse de la demande
Section4 :Analyse concurrentielle
Section5 :Politique et stratégie marketing à adopter
CHAPITRE III :THEORIE GENERALE SUR LES OUTILS ETLES CRITERES D’EVALUATION DU PROJET
Section1 :Les outils d’évaluation du projet
Section2 :Les critères d’évaluation du projet
DEUXIEME PARTIE : CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I :TECHNIQUE DE REALISATION 
Section1 :Identification des matériels
Section2 :Technique de réalisation envisagée
CHAPITRE II :CAPACITE DE PRESTATION ENVISAGEE
Section1 :Evolution du chiffre d’affaires et unité d’activité
Section2 :Aspects qualitatifs et quantitatifs
Section3 :Les différents facteurs de réalisation
CHAPITRE III :ETUDE ORGANISATIONNELLE
Section1 :Organigramme envisagé
Section2 :Organisation du travail
Section3 :Chronogramme des activités
TROISIEME PARTIE : ETUDE FINANCIERE DUPROJET

projet fin d'etude

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